Art public

La murale semble terminée sous le viaduc de la gare De la Concorde. Magnifique!

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j’adorerais qu’on fasse ça partout!

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Sur les murs du Cinéma Beaubien

Un dernier retour en photo sur les deux murales de Chien Champion (@chien.champion) crées pour le Cinéma Beaubien et le Le Elsdale Buvette de quartier. Ce projet est né de la volonté de ces deux commerces de célébrer la vitalité du quartier de Rosemont–La Petite-Patrie, de propager la magie du cinéma, et d’enjoliver l’artère commerciale qu’est la rue Beaubien Est. Les murales rassemblent de nombreuses références au quartier et au cinéma québécois. Les citoyens ont été sollicités pour participer à la réflexion du contenu des murales. Fort de ces nombreux retours, Chien Champion a pu imaginer et travailler son œuvre.

A final look back at the two murals by Chien Champion created for the Cinéma Beaubien and the Elsdale – Buvette de quartier. This project was born from the desire of these two businesses to celebrate the vitality of the Rosemont–La Petite-Patrie borough, to spread the magic of cinema, and to embellish the commercial artery that is Beaubien East. The murals bring together numerous references to the neighborhood and to Quebec cinema. Citizens were asked to participate in the contents of the murals which Chien Champion was then able to translate into his work.
:round_pushpin: Ruelles derrière le Cinéma Beaubien et Le Elsdale Buvette de quartier.
Projet financé dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal conclue entre la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec.

Source : MURAL


Pour la murale hommage à Françoise Sullivan, on peut voir dans les photos de la page FB de MU, le design sur papier

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Jolies photos , merci !
Et la murale aussi est fort belle. Illustrative, pleine de couleurs vives.

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Je reconnais quelques références : C.R.A.Z.Y. (l’oeil avec l’éclair), Laurence Anyways (les amoureux enlacés), le Grand Antonio (l’homme qui tire le bus). L’image en haut est à mon avis une illustration du Parc Molson…sinon le reste, vous avez une idée?

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Peut-être la guerre des tuques (sous C.R.A.Z.Y)?

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Je n’ai pas pu prendre de photo, mais il y a installation d’une sculpture assez monumentale devant le 770 rue Sherbrooke Ouest, juste à l’est de McGill College.

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Nouvelle murale en réalisation sur l’école communautaire Belz, Laurier Ouest.

On peut lire le détail sur cette nouvelle œuvre ici: Nouvelle murale au 270 Laurier O - RENCONTREZ L’ARTISTE DU 5 AU 14 SEPTEMBRE ! - Laurier Ouest

De quoi ça aura l’air:

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Roadsworth a publié sur Facebook des photos du viaduc de la gare de la Concorde

Recently completed mural on an underpass outside of De La Concorde metro station in Laval. L’aube au crépuscule (Dawn to dusk) transforms the ceiling and walls of the underpass into a tree canopy through which we observe the passage of the sun across the sky from sunrise to sunset. This was truly a team effort with up to 8 people and 4 lifts working on the mural at any given time over a 2 week period. Big up to @rafaelsottolichio who managed the whole affair and made sure things got done on time. Gros merci comme d’hab @mumtl pour m’avoir fait confiance et aussi @villedelavalqc d’avoir l’audace et l’imagination d’embarquer sur un tel projet.

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Ce sont les “fleurs métalliques” de l’artiste LeBicar. Je trouve que cette sculpture convient très bien à cet endroit en face de l’Université McGill sur la rue Sherbrooke.

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Sur la page FB de MU

:bulb: Le saviez-vous ? La murale en hommage à Françoise Sullivan devient la quatrième oeuvre de MU qui met en lumière les signataires du texte éponyme du Refus Global (1948), aux côtés de Paul-Émile Borduas (2012), Marcelle Ferron (2020) et de Jean Paul Riopelle (2022).

Allez découvrir les artistes à l’oeuvre!
:round_pushpin: Coin Sainte-Catherine / Saint-Hubert, Montréal
:art: Conçue par Françoise Sullivan et réalisée par l’équipe de MU : Arnaud Grégoire, Julien Sicre, Benjamin Tran, @Diane roe , Jenna Schwartz, Marianne Blondeau D’Amour , Nikki Küntzle .
:handshake: Art of Canada ; Ville de Montréal ; Visitez Montréal / Visit Montréal ;Arrondissement de Ville-Marie, centre-ville ; UQAM | Université du Québec à Montréal ; Village Montréal ; Hyatt Place Montréal Centre-Ville ; Benjamin Moore ; Galerie Simon Blais
:camera_flash: IG: k_photographyca

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Série de sculptures en face du CHUM sur René-Lévesque.

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Dans l’atelier de Francis Montillaud L’ado révolté devenu sculpteur réputé

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Francis Montillaud dans son atelier d’Hochelaga-Maisonneuve

À 44 ans, Francis Montillaud est un artiste dans la force de l’âge. Il gagne de nombreux concours d’art public et réalise des sculptures impressionnantes et humaines. La station de métro Pie-IX accueillera, en 2024, sa plus grosse commande. Nous sommes allés le voir travailler dans son atelier montréalais, mais aussi à Chambly, où il a fait réaliser une partie du projet.

Mis à jour hier à 8h00

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Éric Clément
Éric Clément La Presse

1. L’art qui sauve

Lévisien d’origine, Francis Montillaud était bien mal parti durant son adolescence. « J’étais un peu perdu, un peu agressif, révolté et négatif, dit-il. Je ne me sentais pas bien dans ma peau jusqu’à ce que je découvre les arts visuels à l’âge de 20 ans. »

S’inscrivant à des cours d’arts plastiques, il comprend qu’il a trouvé sa voie quand il entre dans les ateliers de l’Université Laval. Parallèlement, de 20 à 24 ans, il est monteur d’échafaudages sur des scènes de spectacles en Europe. Une expérience qui lui ouvre les yeux, développe son sens de l’installation et de la mise en scène, ainsi que son goût pour la photographie et la vidéo.

PHOTO FRANCIS MONTILLAUD, FOURNIE PAR L’ARTISTE

Branle-bas monumental, installé en 2020 à Gatineau et inspiré de son expérience européenne

Il amorce sa carrière avec une installation vidéo, Helio Plage, présentée à la Manif d’art de Québec, en 2005. Il réalise ensuite la conception vidéo de la pièce Ailleurs du metteur en scène Kevin McCoy, qui connaît un beau succès au Québec. « Comme Kevin était le chum de Robert Lepage, j’ai pu travailler dans un studio de la caserne Dalhousie avec le matériel de tournée de Robert. On a pu construire le spectacle comme une grosse installation vidéo. »

Fasciné par les expressions du visage humain, Francis Montillaud crée par la suite une série de sculptures, notamment pour l’art public. Se mettre au vert, installée en 2007 dans le bassin de l’esplanade de la Place des Arts, lui ouvre les portes des concours lancés par les organismes publics pour l’intégration d’œuvres dans l’espace public.

PHOTO FOURNIE PAR L’ARTISTE

Se mettre au vert (2007)

2. L’atelier

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Francis Montillaud dans son atelier

Francis Montillaud est installé depuis 11 ans dans un atelier de deux étages, dans Hochelaga-Maisonneuve. Il y a créé bien des sculptures parmi tous ses projets réalisés pour Dollard-des-Ormeaux, L’Île-des-Sœurs, Art souterrain, la galerie Laroche/Joncas, la maison de la culture Janine-Sutto et la galerie Circa.

PHOTO FRANCIS MONTILLAUD, FOURNIE PAR L’ARTISTE

Projection par sacrifice, une sculpture « punching ball » que les visiteurs d’Art souterrain 2011 ne se sont pas gênés de frapper !

Il a participé au festival Passages insolites à Québec, exposé à la galerie Yves Louis-Seize dans Lanaudière, créé des sculptures pour plusieurs écoles du Québec, pour une rue à Ottawa et un parc au Manitoba. Des œuvres qui évoquent souvent la statuaire classique, à laquelle il ajoute une pointe d’étrangeté.

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3. Pie-IX

Durant la pandémie, Francis Montillaud a gagné le concours lancé par la Société de transport de Montréal pour ajouter des œuvres d’art aux deux édicules de la station de métro Pie-IX, dans le cadre de l’aménagement d’ascenseurs. Le thème était les Jeux olympiques de Montréal. L’artiste a conçu deux installations. La première représente des médailles d’or, d’argent et de bronze, et sera placée au-dessus d’escaliers roulants. L’autre consiste en trois couronnes qui seront fixées au plafond. Elles évoquent les couronnes d’olivier des Jeux antiques et l’architecture du Stade olympique conçu par Roger Taillibert.

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Les couronnes, en acier, ont été réalisées en atelier. Les médailles, qui représentent des superpositions de pictogrammes de disciplines olympiques, ont été sculptées en bois MDF avant d’être fondues en alu à la fonderie Fondremy de Chambly. Nous sommes allés dans cette usine voir comment les médailles ont été créées par moulage dans du sable mélangé à une résine, puis par coulée d’aluminium en fusion. Le directeur de Fondremy, Hicham El Idrissi, nous a expliqué la technique utilisée.

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Une fois coulées, les médailles sont refroidies, poncées et peintes au four pour donner un fini lustré or, argent et bronze. Ces œuvres, qui constituent le plus gros défi technique de la carrière de Francis Montillaud, seront inaugurées l’an prochain.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Des coulées d’aluminium ont permis de créer les trois médailles.

4. Mandeville

Disciple de l’artiste et enseignant Stephen Schofield, Francis Montillaud n’a jamais manqué de travail. Il a même dû recruter un assistant. Mais il veut aller plus loin dans la création et la diffusion. Il projette d’exposer son travail et celui d’autres sculpteurs sur la terre de 51 acres qu’il a achetée il y a cinq ans à Mandeville, dans Lanaudière.

« Je vais développer la terre. J’ai acheté une pépine pour aménager ce territoire qui comprend une pinède, un lac, un cours d’eau, une autre forêt et plein d’écosystèmes différents. Mon but est de créer un parcours de sculptures. C’est un projet un peu comme les Jardins du précambrien de René Derouin, à Val-David. »

PHOTO FOURNIE PAR L’ARTISTE

Vue de sa terre, à Mandeville

En parallèle, il va continuer à créer pour l’art public, même si c’est une avenue stressante, car très compétitive, et à exposer dans des centres d’artistes. « Sur ma terre, il y a un immense atelier. Je vais pouvoir y sculpter des œuvres plus grosses que je peux le faire à Hochelaga. »

Quand Francis Montillaud regarde en arrière, il constate combien l’art lui a fait faire des pas de géant et a canalisé son énergie à l’époque souvent destructrice. « Je travaille tout le temps. C’est devenu une vraie passion », dit-il.

Visitez le site de l’artiste

5. En photos

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Montreal mural honours immigrant ‘women of steel’

“We have to give a voice to the women who were always in the background,” said Margherita Morsella, of the Montreal “Women of Steel” mural project. It pays tribute to immigrant women who worked in the city’s textile factories. Teresa Romano reports.

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I remember with fondness my Saturday morning visits to Chabanel street in the 80’s (we used to go buy clothing there at cheaper rate). Many of the older woman that I used to know worked there, my mom was one of them for a brief time. Every time I go back there I smile.

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La murale hommage à Françoise Sullivan a été inaugurée aujourd’hui. Photos d’Allison Slattery partagées par la page de Tourisme Montréal




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Françoise Sullivan, au cœur de la ville

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

La murale hommage à Françoise Sullivan sur l’Hôtel Hyatt, au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Hubert

La grandiose œuvre murale en hommage à l’artiste a été inaugurée lundi au cœur de Montréal. Elle prend déjà sa place dans le paysage de la ville. Nous avons été témoins de sa création.

Publié à 1h22 Mis à jour à 7h00

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Stéphanie Bérubé
Stéphanie Bérubé La Presse

Si vous êtes entré à Montréal en provenance de la Rive-Sud dans le dernier mois, vous avez peut-être noté qu’il y avait quelque chose de différent dans le paysage. Alors que la nature vire au gris, Montréal s’est doté d’une touche de couleur qui fait du bien. L’œuvre murale de Françoise Sullivan est une courtepointe colorée qui se voit de loin.

Il y avait beaucoup de monde sur un petit bout de la rue Saint-Christophe qui fait face à la murale Damiers 2023. Son adresse officielle : 801, Sainte-Catherine Est, mais elle appartient maintenant à tous les passants qui la voient de près ou de loin, avec ses 108 mètres de hauteur, ce qui en fait la plus imposante de Montréal. Elle comprend 33 carrés de couleur, sur ce mur de béton.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Françoise Sullivan devant la nouvelle murale

Françoise Sullivan était là, émue des nombreux hommages qu’on lui a rendus, mais aussi bien impressionnée du travail fait par les muralistes de MU. « Est-ce que c’est épeurant d’être en haut ? », a-t-elle demandé à Julien Sicre et Arnaud Grégoire, les chefs de chantier. Les deux muralistes ont avoué que oui, devant l’artiste qui a salué leur bravoure. « Vous êtes brave aussi », a spontanément répondu Arnaud Grégoire, dans une jolie complicité.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

« Je n’avais pas mesuré l’impact sur la ville. C’est immense », confie Julien Sicre, responsable de la signature. À sa droite, son collègue muraliste Arnaud Grégoire.

L’œuvre

La murale fait partie d’une collection amorcée par MU en 2010 qui rend hommage aux bâtisseurs culturels montréalais, toutes disciplines artistiques confondues – on y a notamment célébré Michel Rabagliati, Yannick Nézet-Séguin et Alanis Obomsawin. Deux œuvres de cette collection sont immenses. Celle consacrée à Jean Paul Riopelle – L’art magnétique, réalisée par Marc Séguin, rue Milton près de l’Université McGill. Et l’autre, la Tower of Song, qui représente Leonard Cohen en plein centre-ville. C’est maintenant une œuvre phare à Montréal.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Il ne faut pas avoir froid aux yeux pour travailler sur une œuvre murale de cette dimension.

Les démarches

On s’en doute, on ne débarque pas du jour au lendemain pour peindre une telle superficie. Un projet de cette ampleur demande patience et doigté.

Au moment de la réalisation de la murale hommage à Riopelle, l’an dernier, les gens de MU ont sollicité la mairesse Valérie Plante qui a accordé son soutien au projet Sullivan quelques mois plus tard, alors qu’elle était assise à la même table que Françoise Sullivan, au bal du Musée des beaux-arts. Restait à trouver un mur.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

L’artiste Françoise Sullivan et la mairesse Valérie Plante

J’aspire à ce que l’on reconnaisse Montréal comme la ville aux 100 clochers, mais aussi la ville des 100 murales. Peut-être même des 1000 murales !

Valérie Plante, mairesse de Montréal

Profession : Chercheur de murs

« Je suis un wall hunter », affirme Michel de la Chenelière, président du comité de développement de MU. L’hôtel de la Place Dupuis appartient au groupe Hyatt, mais les discussions se sont faites avec les propriétaires de cet établissement qui vivent maintenant à Montréal.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Le mur a 300 pieds de haut.

300 000 $

Le financement a été compliqué, admet la directrice générale de MU, Elizabeth-Anne Doyle. Il n’est d’ailleurs pas terminé. Le projet total coûtera 300 000 $, fournis par la Ville, l’arrondissement de Ville-Marie, Tourisme Montréal, notamment.

L’artiste

Françoise Sullivan fait partie des signataires du manifeste Refus global et des fondateurs du mouvement de l’automatisme, aux côtés de Borduas et de Riopelle. Elle a une longue carrière en arts visuels et a eu une carrière de danseuse et de chorégraphe.

MU souhaite projeter des images vidéo et des photos de performances de Françoise Sullivan dans une phase subséquente de la murale, ce qui serait une première pour l’organisme.

Les cadres de couleurs deviendraient des écrans.

Le lieu

« On cherchait un endroit qui ait du sens pour Françoise », dit Elizabeth-Anne Doyle. On a choisi ce lieu qui est proche de l’École des beaux-arts où elle a étudié.

Montréal est en train de devenir une destination de murales, comme ville

Elizabeth-Ann Doyle, directrice générale et artistique de MU

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

MU fait des murales depuis 2007. Elle en a une collection de 200 depuis sa création.

L’impact

L’organisme MU loge dans les habitations Jeanne-Mance, pas très loin de la Place Dupuis. « Nous sommes nous-mêmes des résidants du Quartier latin. Nous vivons ici, nous consommons ici. Nous aussi, depuis la pandémie, sommes très interpellés par la manière dont le quartier se dégrade et la situation de personnes vulnérables qui sont autour d’ici », dit Elizabeth-Ann Doyle. MU pense que ça peut contribuer à la revitalisation.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

L’équipe de Mu a isolé une partie d’une œuvre de Françoise Sullivan, son Damier numéro six. Sur le mur, elle est devenue une nouvelle œuvre, avec ses changements de couleurs, de lignes et de proportions.

La mise en couleur a pris deux semaines, à partir de la maquette, pour peindre les formes sur le mur. Il y a eu des changements de couleur une fois les rectangles peints sur le mur, souvent commandés par Françoise Sullivan elle-même, qui a suivi l’évolution des travaux.

« Les couleurs se parlent dans les abstractions », explique Corinne Lachance, responsable de la production, pour MU. L’agencement a inévitablement dû être ajusté. Par exemple, des carrés sont laissés au béton sur le mur. Dans les toiles de Françoise Sulllivan, ces carrés sont gris pâle. Mais le béton est plus foncé que les tableaux, ce qui demande de revoir certaines des couleurs, une fois qu’elles sont déjà appliquées. Le soleil et la luminosité changent aussi les perspectives. Le même rose peut avoir deux impressions.

Histoire de couleur

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Il y avait d’ailleurs un rectangle rose que Françoise Sullivan trouvait trop éteint une fois sur le mur. Elle a demandé qu’il soit changé.

Tout peintre n’est pas muraliste. Être muraliste est un métier à part entière. Ça prend d’autres types de connaissances, d’autres types de compétences. La compréhension de l’espace. Être capable de comprendre des choses abstraites dans sa tête, de transposer physiquement les échelles.

Elizabeth-Ann Doyle, directrice générale et artistique de MU

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

« La vue est magnifique. Tu es au milieu de la ville, dans un silence, dans ta nacelle. C’est une perspective sur la ville qui est vraiment différente », dit Corinne Lachance, responsable de la production pour MU.

En savoir plus

  • 17 500 pieds carrés
    Dimension de la murale
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La murale de l’ÉTS a été inaugurée la semaine dernière

Lignes du temps - Grande murale à Griffintown, Montréal

Intitulée Lignes du temps, cette murale retrace l’histoire de Griffintown, évoquant les vestiges des premiers peuples, la présence historique de la communauté irlandaise, le développement industriel via le canal de Lachine, et l’héritage brassicole du quartier.

Réalisé par le collectif d’artistes Artducommun en collaboration avec Artgang, ce projet d’art mural s’inscrit dans le cadre du Programme d’intégration des arts et de la culture de l’ÉTS (PIAC) visant à positionner l’établissement comme un joueur clé dans la création et la diffusion d’œuvres d’art pour sa communauté ainsi que pour les citoyens et visiteurs de son quartier universitaire.

Le tout est rendu possible grâce au financement du gouvernement du Québec et de la métropole dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.

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Une 16e mosaïque par l’artiste Laurent Gascon a été inaugurée aujourd’hui.
Il s’agit de Franfreluche! D’ailleurs, Kim Yaroshevskaya a célébré son 100e anniversaire dimanche

Source : Qu'est-ce que j'ai fait de mon heure... - Lëa-Kim Châteauneuf


Source: Laurent Lorenzo Gascon

La mosaïque se trouve sur le mur latéral du 2837, rue Ontario Est, coin Wurtele

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