Amtrak à Montréal

Train remplacé par des autobus :expressionless:

À défaut du train, de nouveaux autobus assurent le trajet Montréal-New York


Un autobus de Trailways of New York
Photo: Gracieuseté, Trailways of New York

Alexis Drapeau-Bordage
4 juillet 2023 à 9h56 2 minutes de lecture

De nouveaux autobus de la compagnie américaine Trailways of New York assurent la liaison entre Montréal et la Grosse Pomme. L’annonce de ce nouveau service a été faite en réaction à l’annulation récente du trajet par train d’Amtrak qui reliait les deux villes.

Les autobus de Trailways of New York quitteront Montréal tous les jours en direction de l’État de New York. L’entreprise new-yorkaise offre pour destination Plattsburgh, Glens Falls, Saratoga Springs, l’aéroport d’Albany, le centre-ville d’Albany, la station SUNY d’Albany, Catskill, Kingston, New Paltz, Ridgewood au New Jersey, et finalement la ville même de New York.

Ces parcours sont disponibles dès mardi, afin de permettre à ceux qui souhaitent traverser la frontière pour la fête nationale américaine de s’y rendre.

«Avec le transport aérien qui connaît des problèmes d’équipement, de météo et de personnel et Amtrak qui a suspendu son service, nous avons estimé que la meilleure chose à faire était d’ajouter un service immédiatement», explique Nick Crist, vice-président des opérations et de la sécurité de l’entreprise de transport.

Les autobus sont équipés de réseau internet, de prises électriques, de toilettes et de places réservées aux personnes à mobilité réduite.

Le trajet par train qui reliait les deux villes a été annulé en raison de la limitation de vitesse qu’imposait le Canadien National (CN), partenaire d’Amtrak. En avril dernier, ce sont plus de 5300 passagers qui avaient profité de la liaison ferroviaire, qui reprenait pour la première fois du service après avoir été suspendue durant la pandémie.

I mean…c’est plus rapide :face_with_peeking_eye:

2 « J'aime »

Je trouve ça quand même triste que le fédéral n’est pas nationalisé certains tronçons d’intérêt public. Les compagnies privées feront le strict minimum pour maintenir leur réseau en état et donner la priorité au transport de passagers.

6 « J'aime »

:expressionless:

Suspension de service du train Montréal – New York : le CN et Amtrak se renvoient la balle


Après avoir quitté New York, l’Adirondack traverse la vallée de l’Hudson, puis la région du lac Champlain avant de rejoindre Montréal. Mais le service est interrompu depuis le 24 juin dernier pour une durée indéterminée.
PHOTO : ASSOCIATED PRESS / ROBERT F. BUKATY

Anne Marie Lecomte
Publié à 16 h 56

Deux semaines après la suspension de la liaison ferroviaire entre Montréal et New York, Amtrak et le Canadien National (CN) se renvoient la responsabilité de cette interruption du transport de passagers entre les deux métropoles.

L’Adirondack, ce train qui permet aux voyageurs de passer de Montréal à Manhattan en quelque 11 heures de roulis, a cessé de fonctionner le 23 juin dernier sur une décision qu’Amtrak a annoncée sur son site Internet.

Le transporteur, basé à Washington, affirme que l’interruption du service est la conséquence d’une décision du Canadien National (CN) de réduire la limite de vitesse en raison de la chaleur. Cette décision, écrit Amtrak, a des répercussions sur les trains Adirondack 68 et 69 qui, pour une période indéterminée, n’effectueront plus que la liaison Albany – New York, un trajet de trois heures et demie.

Ce changement survient quelque deux mois après que l’Adirondack a repris le service, interrompu durant la pandémie de COVID-19.

Le CN, lui, attribue la responsabilité de cette nouvelle interruption à Amtrak. Dans un message courriel à Radio-Canada.ca, le CN écrit qu’Amtrak est responsable et n’a pas payé l’entretien nécessaire pour maintenir le corridor ferroviaire utilisé à un niveau permettant d’assurer la fluidité de son service.

Le Canadien National reproche au transporteur américain de refuser d’investir dans ce tronçon de voie et de ne pas affecter un nombre suffisant d’employés sur cet itinéraire afin d’assurer un service continu.

Le CN poursuit en disant que les restrictions de vitesse qu’il impose pour [des] raisons de sécurité s’appliquent au transport de passagers et de marchandises, et qu’elles sont dues aux conditions météorologiques dans le sud du Québec. Selon qu’il fasse très chaud ou très froid, les rails sont sujets à la contraction ou à l’expansion.

« Le CN ne peut commenter les raisons pour lesquelles Amtrak refuse d’investir dans ce tronçon de voie afin de réduire l’impact des conditions météorologiques extrêmes, ni sur les raisons pour lesquelles Amtrak n’affecte pas un nombre suffisant d’employés sur cet itinéraire afin d’assurer un service continu. »

— Une citation de Extrait du message du Canadien National à Radio-Canada.ca

Jason Abrams, responsable des communications d’Amtrak, a répondu à la demande d’entrevue de Radio-Canada.ca en renvoyant le message affiché par Amtrak sur son site Internet.

Des régions touristiques pénalisées

Des responsables locaux cités dans l’Adirondack Explorer (média indépendant et sans but lucratif du nord de l’État de New York) ont déclaré que l’état des rails près de Montréal serait en cause dans cette interruption de service. Amtrak, dit-on, craindrait que les rails ne soient déformés sous la pression de trains circulant à grande vitesse, lorsque le mercure dépasse les 30 degrés Celsius.

On aurait espéré que ces trois ans d’arrêt de service [en pandémie] leur auraient permis de répondre à tous les besoins et préoccupations, s’est insurgé Gary Douglas, président de la Chambre de commerce de North Country, à Plattsburgh, sur le site d’Adirondack Explorer.

Par courriel, Gary Douglas a déclaré à Radio-Canada.ca que l’Adirondack était important non seulement à titre d’unique liaison ferroviaire entre Montréal et la ville de New York, mais aussi en tant que mode de transport pour des destinations touristiques telles que les Adirondacks et Saratoga Springs.

En seulement un mois, ce printemps, l’Adirondack aurait vu pas moins de 5000 passagers monter à bord, estime M. Douglas.

La décision du CN est tombée de manière inattendue, écrit-il, et elle consiste à réduire la vitesse à 10 milles à l’heure [16 km/h] pour les trains de passagers sur les tronçons entre la frontière canado-américaine et Montréal, et ce, chaque fois que la température extérieure excède 86 degrés Fahrenheit [30 degrés Celsius].

En conséquence, l’équipage d’Amtrak travaille plus longtemps que ne le dictent les règles de leur service, dit M. Douglas.

Le président de la Chambre de commerce de North Country affirme que des discussions seraient en cours entre la représentante au Congrès Elise Stefanik, le sénateur Charles Schumer, Amtrak, le CN et Transports Canada, afin que reprenne le service.

1 « J'aime »

Mais de ce que je comprend là dedans c’est que c’est encore le CN qui prend le monde pour des cons.
Le CN est propriétaire de l’emprise et Amtrak doit payer pour l’utilisé, donc l’entretien reviens au CN, mais le CN agis comme un propriétaire véreux qui prend le loyer sans aucun entretien, ou juste encore le stricte minimum. Il serait temps que Transport Canada se tiennent debout pour faire respecté le bon sens. Ces 2 compagnies que sont le CP et le CN qui sont toujours au dessus de tout n’a aucun sens. Il serait temps qu’ils soi de bon citoyens corporatifs et non pas des rois du temps du moyen âge.

13 « J'aime »

Dans ce cas, ça ne me semble pas une question de ‘bon entretien’ versus ‘sans entretien’, mais plutôt une quesiton d’optimisation de la régime d’entretien. Il y a trois variables sous le contrôle de CN pour assurer la sécurité: la température neutre du rail, la densité d’ancres et de transverses, et la vitesse des trains. Pour les temps chauds, on peux augementer le premier, ajouter le deuxième, ou réduire le 3e.

Pour augementer la température neutre, c’est un travail pas trop coûteux sur le long terme, mais ça risque des bris de rail en hiver, un danger plus important pour CN. Augementer la densité de transverses implique une réconstruction totale des voies. C’est peut-être possible d’augementer la densité des ancres pour moins de coût. Enfin, la solution de réduction de vitesse est efficace au point de vue de la gestion de la sécurité. Malheuresement, ce n’est pas le cas pour les passagers.

3 « J'aime »

Train Montréal-New York Pas de reprise du service avant la mi-septembre

PHOTO BRENDAN MCDERMID, REUTERS

En avril dernier, Amtrak avait annoncé en grande pompe le retour de sa liaison Montréal-New York, l’Adirondack, qui avait été mise sur pause en raison de la pandémie. En 2019, le train avait transporté 117 490 passagers.

Le train Montréal-New York, qui est à l’arrêt depuis la fin du mois de juin en raison de restrictions liées à la chaleur, ne devrait pas reprendre du service avant la mi-septembre. Son responsable, Amtrak, affirme n’avoir pas trouvé de « solution réalisable » avec le Canadien National (CN) qui aurait évité des retards importants durant l’été.

Publié à 10h56

Partager


Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

« Malheureusement, Amtrak, le CN et le Département des transports de l’État de New York (NYSDOT) n’ont pas trouvé de solution réalisable pour cet été », affirme en ce sens le porte-parole de l’entreprise ferroviaire, Jason Abrams, par courriel.

Il soutient que de continuer de livrer le service entraînerait pour la plupart des usagers « des retards importants allant jusqu’à quatre heures », voire même des trajets potentiellement « bloqués à mi-parcours ». En ce moment, la durée moyenne d’un trajet en train entre la Grosse Pomme et Montréal est déjà d’un peu plus de 11 heures, si tout se passe bien.

En avril dernier, Amtrak avait annoncé en grande pompe le retour de sa liaison Montréal-New York, l’Adirondack, qui avait été mise sur pause en raison de la pandémie. En 2019, le train avait transporté 117 490 passagers.

Mais depuis la fin du mois de juin, le train est de nouveau à l’arrêt depuis que le Canadien National, qui possède les rails sur lesquelles circulent les trains d’Amtrak, a imposé des « restrictions de chaleur » qui limitent les vitesses à une fourchette de 10 à 40 milles par heure ; autrement dit l’équivalent de 16 à 64 km/h approximativement. Résultat : le trajet est jugé trop long et coûteux pour procéder.

Le tout découle en fait d’une réglementation adoptée l’an dernier par Transports Canada, qui impose aux organisations ferroviaires « d’établir des seuils de température qui, lorsqu’ils sont atteints, entraînent l’application de limitations de vitesse et d’exigences d’inspection de la voie supplémentaires ». Le tout a été implanté afin « d’assurer la sécurité ferroviaire et de protéger les infrastructures pendant les périodes de chaleur extrême », soutient le gouvernement fédéral.

Pas avant deux mois

Depuis, Amtrak affirme avoir « exploré différentes solutions », mais en vain. Ainsi, l’Adirondack continuera pour le moment de fonctionner uniquement entre New York et Albany, puis à partir du 24 juillet, il n’offrira de liaisons qu’entre New York et Saratoga Springs.

M. Abrams affirme que l’entreprise prévoit aujourd’hui de rétablir la liaison entre New York et Montréal « à la mi-septembre, lorsque le CN devrait lever ses restrictions de chaleur ». « Il est possible que les restrictions de chaleur soient levées avant si la température locale baisse, et Amtrak, avec le soutien de nos partenaires, pourrait alors rétablir le service plus tôt que prévu », précise toutefois le porte-parole.

Ce dernier soutient que des discussions se poursuivent néanmoins « pour développer une solution à long terme afin que les trains Amtrak puissent circuler à destination et en provenance de Montréal au cours des prochains étés ». Autrement dit, on veut éviter de reproduire la situation en 2024. « Nous nous excusons auprès de nos clients pour tout inconvénient », conclut Jason Abrams.

Le CN, lui, blâme vivement l’entreprise Amtrak pour cette situation, jugeant que cette dernière refuse de débourser les frais nécessaires qui permettraient une réouverture. « Amtrak est responsable et n’a pas payé l’entretien nécessaire pour maintenir la voie à un niveau permettant d’assurer la fluidité de son service », soutient son porte-parole, Mathieu Gaudreault.

Selon lui, la réalité est qu’Amtrak « refuse d’investir dans l’entretien et l’amélioration de ce tronçon afin de réduire l’impact des conditions météorologiques extrêmes », et qu’elle « n’affecte pas un nombre suffisant d’employés sur cet itinéraire afin d’assurer un service continu ».

2 « J'aime »

That is unfortunate news for Montreal and the Big Apple.

2 « J'aime »

Quand est-ce qu’on se tanne d’être un pays du tiers monde en terme de service ferroviaire et on nationalise les infrastructures du CN et du CP?

13 « J'aime »

Seriously though, we’re going to have to start nationalizing some key routes in both the Canada and the US. Hell, what with these companies so concerned with their operating ratio AND the fact that a lot of tracks are doubled up for CN and CP, I bet they wouldn’t be afraid to have the assets bought off of them, then electrified as this would reduce their fuel bill and push the capital cost to the government. The only downside to them I as far as I can tell would be the imposition of maximum train lengths.

Side note: Does anyone have an Idea of how the access fees are calculated and have an idea of how much they are on a per mile/km basis? I was able to find that Amtrak paid out something like $142M but I don’t know the breakdown of trains that run on their infrastructure vs that of the freight companies.

5 « J'aime »

Le jour où le fédéral va arrêter de traiter les compagnies ferroviaires comme des intouchables et mettre en place des politiques qui vont favoriser les trains de passager par rapport aux trains de marchandises.

Autrement dit, pas avant longtemps.

3 « J'aime »

In Canada both CN and CP are considered sacred cows.

1 « J'aime »

L’arrêt du train New York – Montréal est « très décevant » pour le milieu touristique


Un train d’Amtrak.
PHOTO : RADIO-CANADA

La Presse canadienne
Publié à 22 h 19

Le milieu touristique montréalais se désole de la suspension, en pleine période estivale, du service de train de la compagnie américaine Amtrak reliant Montréal et New York. L’interruption pourrait durer jusqu’à la mi-septembre.

C’est très décevant parce que l’été représente la saison touristique la plus importante à Montréal. Et entre New York et Montréal, il n’y a pas d’alternative ferroviaire, commente la porte-parole de Tourisme Montréal, Aurélie de Blois.

C’est donc une contrainte importante pour plusieurs voyageurs, poursuit-elle. Il y a des gens qui ne veulent pas prendre l’avion ou qui n’ont pas de voiture. Et s’ils prennent leur voiture finalement, ils sont obligés de s’embarrasser d’une auto à destination. On sait qu’il n’y a pas beaucoup de stationnements, c’est assez compliqué.

Amtrak avait relancé sa liaison New York – Montréal en avril dernier après l’avoir mise à l’arrêt en 2020 en raison de la pandémie de COVID-19.

L’entreprise a toutefois annoncé le 23 juin dernier que les trains 68 et 69 de laligne Adirondack ne feront désormais que le trajet entre New York et Albany jusqu’à nouvel ordre. L’entreprise a ainsi cessé de desservir une dizaine d’arrêts, qui incluent Montréal ainsi que Saratoga Springs et Plattsburgh dans l’État de New York.

60 000 visiteurs américains par an

Amtrak a motivé sa décision par les restrictions entourant la vitesse imposée par le Canadien National (CN) sur ses rails en raison de la chaleur. Cela implique désormais une limite de 16 km/h sur une distance d’une soixantaine de km, soit entre la frontière canado-américaine et la Gare Centrale à Montréal.

Selon Tourisme Montréal, environ 60 000 visiteurs américains débarquent dans la métropole québécoise chaque année via la ligne Adirondack.

« Le nord-est des États-Unis, c’est un marché qui est hyper important pour Tourisme Montréal. C’est un marché historique pour notre organisation. Les Américains sont notre plus grande part de marché. En 2023, on attend quelque deux millions d’Américains à Montréal. »

— Une citation de La porte-parole de Tourisme Montréal, Aurélie de Blois

Néanmoins, l’organisme touristique ne croit pas que l’arrêt du service de train découragera les voyageurs qui souhaitent visiter la ville, même s’ils doivent opter pour un moyen de transport moins écologique. Ils compenseront peut-être leur empreinte carbone d’une autre manière, indique Mme de Blois.

Éventuelle reprise à la mi-septembre

Des discussions ont eu lieu avec le CN et le département des Transports de l’État de New York (NYSDOT) pour explorer différentes solutions, a indiqué un porte-parole d’Amtrak, dans un courriel transmis à La Presse canadienne, mardi.

« Malheureusement, Amtrak, le CN et NYSDOT n’ont pas trouvé de solution réalisable pour cet été qui éviterait à nos clients de subir des retards importants pouvant aller jusqu’à quatre heures, voire d’être bloqués au milieu de leur voyage. »

— Une citation de Jason Abrams, porte-parole d’Amtrak

Il mentionne que le service régulier de la ligne pourrait reprendre à la mi-septembre au moment où le CN devrait lever ses restrictions liées à la chaleur.

Il est possible que les restrictions thermiques soient levées avant cette date si la température locale baisse, et Amtrak, avec le soutien de ses partenaires, pourrait alors rétablir le service plus tôt que prévu, a précisé M. Abrams.

Entre-temps, à compter du 24 juillet, l’Adirondack desservira de nouveau la gare de Saratoga Springs, située à près de 60 km au nord d’Albany.

De son côté, le CN a dit appliquer ces restrictions de vitesse tant aux transports de passagers que de marchandises, dues aux conditions météorologiques dans le sud du Québec.

Pendant les périodes de chaleur intense, les compagnies ferroviaires mettent en œuvre des restrictions de vitesse sur différentes parties de leur réseau afin de garantir la sécurité des opérations ferroviaires en raison du risque de dilatation thermique, a déclaré la compagnie basée à Montréal, par courriel.

Elle précise que ces mesures sont aussi mises en œuvre pendant les périodes de froid intense.


L’Adirondack, ce train qui permet aux voyageurs de passer de Montréal à Manhattan en quelque 11 heures de roulis, a cessé de fonctionner le 23 juin dernier sur une décision qu’Amtrak a annoncée sur son site Internet. (Photo d’archives)
PHOTO : ASSOCIATED PRESS / ROBERT F. BUKATY

Solution durable à l’étude

Amtrak mentionne travailler avec le CN et le NYSDOT pour développer une solution à long terme afin que les trains Amtrak puissent circuler à destination et en provenance de Montréal au cours des prochains étés.

Une intention qui rassure Tourisme Montréal. L’organisation souhaite, par ailleurs, se pencher sur la façon d’optimiser les différentes lignes ferroviaires dans la métropole.

On aimerait qu’elles soient plus fluides, plus fréquentes et d’horizons divers. S’il y avait plus de liaisons ferroviaires vers Montréal, on pense que cela pourrait être bénéfique pour le tourisme dans la métropole, affirme Mme de Blois.

3 « J'aime »

Amen

I’m mostly vegetarian, but Canadians should eat burgers made from these two cows…

1 « J'aime »

Si au moins un service de train de nuit semblable à ce que l’autrichienne OBB a lancé il y a quelques années était offert, cela aurait réglé une bonne partie du problème. Pour moi, ça serait vraiment super de pouvoir aller me coucher à “Gare centrale” et de me réveiller 10-12 heures après à Penn Station, NYC, bien reposé et prêt à aller visiter la grosse pomme. La vitesse extrêmement lente côté canadien ne serait pas tant un problème ni d’ailleurs la chaleur (de ce fait nocturne) la plupart du temps.

6 « J'aime »

J’aime beaucoup ce que je lis

Une meilleur connection avec New York ouvrirait un monde de possibilité. New York - Washington DC se fait en à peine 3h par exemple.

1 « J'aime »

C’est une découverte pour moi bien franchement. Peut-être parce que je suis francophone? J’ai jamais entendu parler du CN et du CP de la sorte…

Peut-être parce qu’on les laisse faire ce qu’ils veulent. S’il y a un incident, ils enquêtent pratiquement eux-même. Ils établissent leurs propres règles. Disons que le Canada est assez laxiste sur la sécurité ferroviaire.

1 « J'aime »

Their armed private security force is better equipped than the RCMP and the Canadian Armed Forces

1 « J'aime »