Ailleurs dans le monde - Politique et économie

Les postes américaines (USPS) suspendent les colis en provenance de la Chine et de Hong Kong

Tentative de bloquer les achats en ligne sur les sites chinois (Shein, Temu, AliExpress, etc.) ?

Suspension of Inbound Parcels from China and Hong Kong

INTERNATIONAL SERVICE SUSPENSION NOTICE – effective Feb. 4, 2025

Effective Feb. 4, the Postal Service will temporarily suspend only international package acceptance of inbound parcels from China and Hong Kong Posts until further notice. Note the flow of letters and flats from China and Hong Kong will not be impacted.

:woman_facepalming:t2:

Le président américain a dévoilé mardi soir sa vision d’un plan qui apporterait, selon lui, la paix au Proche-Orient : une prise de contrôle de la bande de Gaza par les États-Unis pour la développer économiquement, de concert avec le déplacement « permanent » de tous les Palestiniens qui y habitent.

Les États-Unis suspendent « jusqu’à nouvel ordre » la livraison des colis chinois

Un camion de livraison du United States Postal Service, le service postal américain.

Photo : Getty Images / Joe Raedle

Agence France-Presse

Publié hier à 23 h 07 HNE

Les services postaux américains (USPS) ont annoncé mardi qu’ils n’accepteraient plus « temporairement » et « jusqu’à nouvel ordre » les colis en provenance de Chine continentale et de Hong Kong, alors que s’est ouvert la guerre des droits de douane entre Washington et Pékin.

USPS n’a pas donné de raisons dans son très bref communiqué, précisant seulement que le flux de lettres et d’envois plats (de même provenance) ne sera pas affecté.

Les actions d’entreprises chinoises de commerce en ligne trébuchaient à la Bourse de Hong Kong à la suite de cette annonce : JD.com dégringolait de 5,25 % et Alibaba cédait 1,6 %.

Visée à partir de minuit par 10 % de droits de douane additionnels sur toutes ses exportations vers les États-Unis, la Chine a immédiatement répliqué mardi en promettant de relever les barrières douanières sur une série de produits américains, du charbon au pétrole, et des machines agricoles aux véhicules de sport de grosse cylindrée.

La décision de USPS pourrait bloquer, au moins temporairement, l’entrée aux États-Unis de colis provenant d’applications de commerce en ligne ultra-populaires telles que Shein et Temu, qui vendent des produits à bas prix.

La livraison des biens achetés sur l’application chinoise de commerce en ligne Temu pourrait être affectée.

Photo : Reuters / FLORENCE LO

Les articles de petite valeur étaient jusqu’à présent épargnés par les droits de douane aux États-Unis, mais le nouveau gouvernement a suspendu cette règle, en plus des droits de douane supplémentaires.

Elle a largement bénéficié à ces deux plateformes et à Amazon : le nombre d’envois exemptés a bondi de 600 % sur les dix dernières années, pour atteindre 1,36 milliard de colis l’année écoulée, contre près de 140 millions en 2015.

Les exportations du Mexique et du Canada vers les États-Unis devaient aussi initialement se voir infliger des droits de douane (de 25 %) à compter de mardi. Mais Donald Trump leur a accordé lundi un délai de grâce d’un mois après avoir reçu des engagements sur le renforcement de la sécurité aux frontières.

Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des États-Unis et représentent au total plus de 40 % des importations du pays.

Vider Gaza c’est faire le jeu d’Israël et de son gouvernement d’extrême droite qui a littéralement détruit l’enclave pour le rendre pratiquement inhabitable. L’appui de Trump vise à récompenser Nétanyahou et lui faciliter le nettoyage ethnique en s’emparant du territoire palestinien sous le prétexte fallacieux que les palestiniens seraient heureux de quitter leur terre.

Trump a une méconnaissance de l’histoire et des enjeux régionaux qui sont extrêmement complexe, en plus il a déjà un préjuger favorable à Israël et est prêt à créer le chaos dans la région au mépris de la justice internationale pour atteindre ses objectifs.

Pendant combien de temps le monde se laissera abuser par un homme ignorant, incompétent, insensible aux gens, dangereux, parce que profondément dérangé?

Résumé

L’administration Trump baigne dans l’inconstitutionnalité et l’incompétence, selon des experts

Par Pierre Saint-Arnaud, La Presse Canadienne

4 février 2025 à 12h42

Le président Donald Trump, assis dans le Bureau ovale à Washington après avoir signé de nouveaux décrets, le lundi 3 février 2025. (Evan Vucci/Archives Associated Press)

L’administration de Donald Trump s’est engagée sur une voie où la règle de droit et le respect de la Constitution américaine ont été relégués à l’arrière-plan. Selon des experts en politique américaine interrogés par La Presse Canadienne, au-delà de l’approche idéologique radicale, la récente avalanche de décisions témoigne de l’impulsivité du président et de l’incompétence de son administration.


Pour Pierre Martin, expert en politique américaine à l’Université de Montréal, le président dépasse déjà largement ses pouvoirs. «Par exemple, son décret pour réécrire la Constitution sur la citoyenneté à la naissance, c’est-à-dire sur le droit du sol; le juge qui a reçu les contestations juridiques a dit que ça lui semblait hallucinant qu’un avocat certifié ait pu écrire quelque chose comme ça.» La Constitution américaine est claire à ce sujet depuis 150 ans, mais «le décret cherche à imposer une nouvelle interprétation de ce passage de la Constitution. Oui, de prime abord, ça semble entièrement illégal.»

Aussi, souligne-t-il, le fait de congédier tous les inspecteurs généraux va à l’encontre de la loi qui exige un préavis, des explications et qui leur donne le droit de se défendre «pour préserver justement l’indépendance d’un inspecteur général parce qu’il est là pour passer en revue les actions de l’exécutif».



Atteinte à l’intégrité et à la neutralité

«Effectivement, c’est illégal», renchérit le président et fondateur de la chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM, Charles-Philippe David. «Leur terme n’était pas terminé et c’est une atteinte à l’intégrité et à la neutralité de la fonction publique, une loi qui date de près d’un siècle où on avait normé que la fonction publique doit être neutre.»

Même, poursuit Pierre Martin, les fameux décrets sur les tarifs, sans être illégaux, «sont contraires à l’esprit de la loi». La présidence peut imposer des tarifs dans des situations dites d’urgence nationale ou pour des questions qui ont trait à la sécurité nationale, mais dans ce cas-ci,

«Donald Trump invente une crise à partir de rien ou à partir d’une interprétation alarmiste d’une situation qui n’est peut-être pas idéale, mais qui n’est certainement pas une menace à la sécurité nationale ou une crise».

— Pierre Martin, expert en politique américaine à l’Université de Montréal

Approche de choc et stupeur

Charles-Philippe David ajoute un autre exemple: «Un juge d’une Cour fédérale a dû stopper le projet de suspendre les subventions du gouvernement fédéral en disant que ce n’était pas légal, parce que c’est au Congrès de décider ça et non pas au président.» Ces poursuites, note-t-il, se multiplient dans plusieurs États. «Ça va sortir au compte-gouttes et là, il y aura des juges qui vont dire non. Il suffit qu’il y ait une interdiction dans une Cour fédérale d’un État pour que ça s’applique à l’ensemble des États-Unis. C’est là-dessus qu’il faut compter à court terme.»

Pour David Grondin, chercheur au Centre d’études et de recherche internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM), l’intention du président Trump est claire: «Il y a, avec l’approche de choc et stupeur du président Trump contre l’administration fédérale, une volonté de tester la nature fédérale de la gouvernance américaine. Le président semble avoir, avec son équipe, un plan pour essayer d’affirmer l’autorité du président comme chef de l’exécutif pour redéfinir le fonctionnement des bureaucraties fédérales. Il y a là, ajoute-t-il, une lutte à venir avec le Congrès – pour l’instant, elle n’est pas là – mais il y a des réactions à venir aussi des États et des administrations locales.»

Contrepoids

Le système politique américain est conçu, théoriquement, pour offrir des contrepoids au pouvoir exécutif détenu par Donald Trump, dont la nécessité de passer par les deux chambres du Congrès, c’est-à-dire le Sénat et la Chambre des représentants. «Le fait de gouverner décret par décret n’est assurément pas prévu pour être la seule façon que le président Trump aura de gouverner, explique le professeur Grondin. Les décrets peuvent de toute façon être suspendus par la Cour ou par le Congrès, comme le fédéralisme américain le prévoit. Cela dit, le Parti républicain étant marginalement dominant dans les deux Chambres, il semble que ses membres ne soient pas intéressés à défier le président.»

Frédérick Gagnon, titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand, souligne que les cours fédérales de première instance peuvent effectivement être un premier rempart en termes de contre-pouvoir, mais à court terme. «Trump peut continuer la bataille dans les cours et ça peut se rendre jusqu’à la Cour suprême qui, elle, a un penchant conservateur en ce moment. C’est une cour qui peut avoir – ce n’est pas automatique – qui pourrait avoir tendance à l’avenir à pencher plutôt du côté de Trump si jamais des gens remettent en question ces décrets là à travers les cours.»

Le Congrès jouera-t-il son rôle?

Il ajoute que le déferlement d’annonces est une chose, «mais Trump va avoir besoin de fonds pour mettre en œuvre ses politiques. Puis l’argent, les fonds, en fait les budgets, c’est le Congrès qui les adopte.» Les républicains ont beau avoir la majorité dans les deux Chambres, ces majorités sont minces et même très mince dans le cas de la Chambre des représentants où les démocrates détiennent 215 sièges contre les 218 des républicains.

«Les démocrates ne sont pas extrêmement puissants dans le contexte actuel. Mais au Congrès des États-Unis, il va quand même y avoir des contre-pouvoirs. (…) Il n’y a pas de discipline de parti aussi automatique que dans nos législatures, ici au Canada puis au Québec. Donc il arrive de temps en temps que des républicains ne voudront pas nécessairement voter pour les projets de Trump.»

Signal d’alarme

Pour Pierre Martin, «les cours fédérales de première instance sont effectivement un signal d’alarme important parce qu’on les a vus rejeter plusieurs des mesures qui ont été proposées dans les derniers jours. Du côté du Congrès, normalement, le Congrès devrait réagir en tant que contrepoids, mais personne dans la majorité républicaine semble être disposé à mettre ses culottes», laisse-t-il tomber.

Mais cela pourrait changer, précise-t-il. «Au moment où certaines décisions vont devenir politiquement intenables pour certains de ces législateurs, et surtout qui vont les empêcher de fonctionner de façon efficace, notamment la Chambre des représentants, parce qu’il semble y avoir beaucoup de dissension à l’intérieur du caucus.»

«Les contre-pouvoirs sont très mis à mal, très affaiblis, confirme Charles-Philippe David. L’opposition démocrate est vraiment dans un sale état et ce ne sont pas les républicains qui vont vraiment s’opposer à Trump, sinon épisodiquement quand ça dépasse l’entendement. Le Congrès, à court terme, ne sera pas un facteur ou un contre-pouvoir au duo maléfique de Trump-Musk», selon lui.

Réaction négative du public

Cependant, croit-il, «à moyen terme, je pense qu’il va y avoir une résistance qui va s’organiser du côté de la société civile, des organismes non gouvernementaux, d’organisations de toutes sortes et on voit déjà cette mobilisation. Quand les gens vont souffrir, ils vont vouloir réagir.»

Pierre Martin note que c’est d’ailleurs déjà tangible. «Le public réagit déjà de façon négative. Il y a déjà une majorité de l’opinion publique qui désapprouve les actions de Trump, les sondages le montrent. Il y a beaucoup de ses électeurs qui ne s’attendaient pas à ce qu’il prenne ce genre de direction aussi radicale qui vont peut-être l’abandonner. Et au fur et à mesure que l’opinion publique se tourne contre lui, il n’est pas impossible que les législateurs aussi commencent à se poser des questions sur: est-ce que c’est à propos de continuer à l’appuyer politiquement pour la prochaine élection?»

«Une masse d’incompétence critique»

La manière d’agir de Donald Trump trahit par ailleurs une réalité qui a de quoi inquiéter lorsqu’on considère que les États-Unis sont toujours la première puissance économique et militaire au monde. «C’est non seulement le gouvernement le plus incompétent de l’histoire des États-Unis, mais aussi le plus amateur, quand on regarde la masse des gens qui sont nommés, tranche Charles-Philippe David. Il y a toujours eu des incompétents ici et là, mais là on parle d’une masse d’incompétence critique.»

Le chercheur fait référence au fait que, dans son premier mandat, Donald Trump avait été entouré par son parti de gens ayant une certaine expérience de la gouvernance dans les postes-clés, des gens qui ont tous démissionné ou été congédiés en cours de route. Or, l’administration Trump 2.0 est d’une tout autre nature, le président ayant lui-même choisi toutes les personnes devant occuper les postes-clés.

Loyauté d’abord et avant tout

«Ce qui va compter d’abord et avant tout pour la formation de l’équipe Trump 2.0, c’est la loyauté envers sa personne, explique Pierre Martin. Contrairement à ce qui est normalement la règle, c’est-à-dire que les membres d’un gouvernement sont d’abord et avant tout loyaux envers la Constitution des États-Unis, la règle de droit existante, pour Trump, tout ça va prendre le bord au prix d’une relative incompétence apparente de certains de ses nominés.»

Et cela l’inquiète. «Est-ce qu’on veut vraiment confier le Pentagone, le ministère de la Défense des États-Unis, la plus grosse bureaucratie du monde, à quelqu’un (Peter Hesgeth) qui n’a aucune expérience de gestion et qui est un animateur de télévision de Fox News? C’est un risque. Est-ce qu’on veut confier le ministère de la Santé à quelqu’un (Robert Kennedy Jr.) qui ne croit pas en la mission du ministère de la Santé? C’est un autre risque. Face à des crises, face à des situations difficiles, cette relative incompétence là risque d’avoir des conséquences sérieuses.»

Frédérick Gagnon rappelle que, durant le premier mandat de Donald Trump, «il y avait plus de désaccord dans le parti, il y avait plus de désaccord, même au sein de son administration à ce moment-là parce qu’il n’avait pas emprise aussi forte sur le parti. Mais là ce qu’on voit, c’est qu’il a gagné de façon encore plus nette qu’en 2016. Il estime avoir un mandat pour gouverner comme il le veut. Il nomme autour de lui des gens qui lui sont plus loyaux dans son administration et parmi les républicains du Congrès.»

3 « J'aime »

:melting_face:

Donald Trump veut prendre le contrôle de la bande de Gaza

« Les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza » et la développer, a lancé le président américain mardi soir, en compagnie du premier ministre d’Israël Benyamin Nétanyahou, en visite à Washington.

Le président a aussi plaidé en faveur du déplacement « permanent » des habitants de la bande de Gaza.

De quoi raviver les tensions alors que les négociations reprennent pour la deuxième phase du cessez-le-feu dans la bande de Gaza.

Anne-Marie Dussault en discute avec Piotr Smolar et Azeb Wolde-Giorghis.

Donald Trump veut s’approprier la bande de Gaza

Donald Trump avait déjà dit qu’il voulait relocaliser tous les Gazaouis, mais cette fois, il dit que les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza pour en faire le développement économique.

Le président américain a fait cette déclaration alors qu’il recevait le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou à la Maison-Blanche.

Les explications de notre correspondante Azeb Wolde-Giorghis.

La bande de Gaza est le territoire dénombrant le plus grand nombre de décès et de personnes blessées, avec plus de 47.000 morts et plus de 111.000 blessés. La population totale de la bande de Gaza équivaut environ à 2,1 millions d’habitants.

Vouloir faire une riviera étrangère sur ce qui est devenu le cimetière de dizaines de milliers de palestiniens, en expulsant la population locale dans le processus, est un affront infâme et le mépris le plus abject à l’encontre de la vie et de la dignité humaine.

https://fr.statista.com/statistiques/1423795/guerre-israel-territoires-palestiniens-nombre-morts-et-blesses/

1 « J'aime »

La Bande de Gaza est plus petite en superficie que l’île de Montréal avec une plus grande population

La bande de Gaza, qui compte 2,3 millions d’habitants, fait 10 km de large et 41 km de long. Il faut environ une heure pour se déplacer en voiture de Rafah, au sud, à Beit Hanoun, au nord.

La bande de Gaza a une superficie de 365 kilomètres carrés, soit plus petite que la superficie de l’agglomération de Montréal (499 kilomètres carrés).

Source : La bande de Gaza en cartes et en chiffres | Radio-Canada

3 « J'aime »

Comment tuer USPS 101. Trump vient de donner un énorme boost pour ups, FedEx, et DHL.

C’est aussi bcp d’artisans (par ex. sur Etsy) ou petits entrepreneurs qui font fabriquer leurs produits en Chine et qui reçoivent les commandes par USPS… En tout cas, sur Bluesky, ces gens rageaient bcp

Merci cette comparaison donne plus de réalité à ce territoire enclavé.

La bande de Gaza, parfois simplement appelée Gaza, est une région de la Palestine constituée d’une bande de terre de 41 km de long pour une largeur de six à douze kilomètres, soit une superficie de 360 km², au sud de la côte de la Méditerranée orientale dans le bassin Levantin, au Proche-Orient. Wikipédia

Superficie : 360 km²

Population : 2,142 millions (2024)

Date de fondation : 1949

Clubs et équipes : Shabab Khan Younes, Al-Aqsa FC

Capitale : Gaza

Coordonnées : 31° 27′ nord, 34° 24′ est

Densité : 5 935 hab./km2


Montréal

Ville au Québec

Montréal est la principale ville du Québec. Grande métropole insulaire et portuaire du fleuve Saint-Laurent, au pied des rapides de Lachine, c’est la deuxième ville la plus peuplée du Canada, après Toronto, et la plus grande ville francophone d’Amérique. Wikipédia

Population : 1,792 million (2022) Organisation des Nations unies

Date de fondation : 17 mai 1642

Superficie : 365,1 km²

Province : Québec

Quartiers : Vieux-Montréal, Centre-ville, Vieux-Port de Montréal · Afficher plus

Arrondissements : 19 arrondissements

Code géographique : 66023

USPS, ce n’est pas comme Postes Canada aussi, dans le sens qu’ils doivent desservir les petites communautés où un service de livraison est moins rentable? Il y a des communautés qui vont avoir peu ou pas de service, si c’est le cas.

1 « J'aime »

Oui, tout comme Postes Canada, USPS est la société d’état des postes. Aussi, contrairement aux entreprises de courriers privés, elle ne charge pas les frais de dédouanement aux destinataires

Ajout :

:exploding_head: suspension annulée

Les services postaux américains (USPS) ont annoncé mercredi qu’ils accepteraient à nouveau les colis venant de Chine, alors que s’est ouverte une guerre des droits de douane entre Washington et Pékin.

USPS a déclaré «continuer à accepter» les colis venant de Chine et de Hong Kong, un jour après avoir annoncé ne plus les accepter «temporairement» et «jusqu’à nouvel ordre».

http://www.tvanouvelles.ca/2025/02/05/la-poste-americaine-accepte-a-nouveau-les-colis-venant-de-chine

2 « J'aime »

Listen, the game is confusion. Zip! Zam! Zoop! Nobody gets a break! Never!

This is what happens when the world’s most powerful man makes decisions like a high schooler with ADHD

Yup. It’s purposeful!!!

Alec Castonguay parlait de flooding ce midi à son émission radio : La stratégie de déstabilisation de Donald Trump, avec Frédérick Gagnon

1 « J'aime »

Muzzle velocity, par Steve Bannon:

3 « J'aime »

Tout inclus à Punta Gaza

SERGE CHAPLEAU, LA PRESSE

6 février 2025

Serge Chapleau La Presse


Et l’autre côté de la médaille:

It’s all a distraction from the deep cuts he’s making in agencies in Washington. He has no intention of doing this.

Ce qui se passe actuellement aux USA est tellement grave qu’on n’arrive même pas à en mesurer l’importance et encore moins les conséquences à court et long terme. C’est un feu roulant de démantèlement furieux comme si le gouvernement central américain était en feu. Tout cela à cause d’un président profondément psychotique qui montre clairement chaque jour à quel point il est totalement inapte à gouverner. Des jours sombres pour ce pays, mais aussi pour le monde, puisque cet homme en furie à la tête de la première puissance mondiale créé le chaos partout où il passe.

Inquiétant, très inquiétant…

1 « J'aime »