Inacceptable! Tout pour prolonger la guerre pour une autre génération…
More news on the Trump tarrifs. There is already a stay order in place. Trump and his government are appealing and this will most definitely go up all the way to the Supreme Court.
Un autre effet principalement dû au retard de paiement de la contribution de l’ONU par l’administration Trump.
https://www.reuters.com/business/world-at-work/un-may-cut-staff-by-20-internal-memo-says-2025-05-29/
Avec les coupes irresponsables de Trump dans le budget de l’ONU, on est rendu au niveau de la marchandisation des Organismes Internationaux et dans le démantèlement de leurs honorables objectifs, qui ont pourtant assuré un haut degré de moralité et de diplomatie à l’échelle du monde depuis la deuxième guerre mondiale.
Le désengagement des USA et d’autres grandes puissance finiront pas évider les mandats humanitaires et de maintien de la paix, en abandonnant une majorité de pays pauvres à leur propre sort, augmentant du coup la possibilité de davantage de conflits régionaux et d’encore plus de misère dans le monde.
Amer constat: les valeurs matérielles ont finalement pris nettement le dessus sur les valeurs humaines. Une dérive dangereuse qui risque de faire reculer considérablement les avancées humanitaires réalisées depuis des décennies. À terme cette tendance lourde est en train de mener à la consécration définitive de la loi du plus fort et du chacun pour soi à l’échelle planétaire.
Confirmant à mon avis l’évidence du sérieux déclin de notre civilisation et nous rapprochant encore davantage d’un conflit mondial.
Si Trump va trop loin et menace l’existence de l’ONU, le siège des Nations-Unies risque de quitter New York pour Genève ou ailleurs et n’y reviendra pas lorsque Trump ne sera plus en poste. Si les États-Unis perdent le siège de l’ONU, les Républicains n’auront qu’eux à blâmer pour avoir permis à Trump de prendre une telle dérive autoritaire. On peut aussi se demander si l’ONU et ses nombreuses Agences sans les États-Unis et possiblement sans la Chine et la Russie ont encore une raison d’être.
La raison d’être de l’ONU et ses agences est d’abord d’humaniser les rapports entre les États et tempérer, voire modérer les appétits des grandes puissances, en y ajoutant un poids moral et des pressions ciblées venant de ses différents partenaires, États, Agences et organismes internationaux.
L’action de l’ONU couvre cinq grands domaines:
Maintenir la paix et la sécurité internationales.
Protéger les droits de l'homme.
Fournir de l'aide humanitaire.
Promouvoir le développement durable.
Garantir le droit international.
Vu sous cet angle l’ONU est tout simplement irremplaçable.
Je suis d’accord que l’ONU a un mandat qui couvre des domaines très importants et qu’elle est irremplaçable mais si les pays les plus importants dont les États-Unis n’y sont pas alors ça dilue énormément son efficacité et ça met même en péril sont existence. Présentement les États-Unis assument 20% du budget de l’ONU (25% du budget de l’OACI qui est une agence de l’ONU). Si les États-Unis décident de se retirer de l’ONU je doute que les autres pays acceptent une augmentation significative de leur contribution pour compenser le retrait des États-Unis et si d’autres pays importants comme la Chine et la Russie quittent aussi alors le budget devra être amputé probablement de 40% ce qui est énorme.
On est donc très loin d’en avoir fini avec le jeu des droits de douane. Il faudra que l’effet économique soit ressenti par les Américains pour que la pression politique augmente au Congrès. Et encore.
Au moins, dans l’intervalle, on voit que des juges de toutes provenances trouvent le moyen de dire cette évidence : Donald Trump a beau avoir une âme fasciste, il n’a pas les pouvoirs d’un dictateur.
Ils le font en sachant qu’ils seront attaqués violemment par le président et ses porte-voix, insultés sur les réseaux sociaux, et probablement menacés personnellement.
Car, incroyablement, il faut maintenant du courage aux États-Unis pour simplement rappeler au président qu’il y a un État de droit.
Attaques de drones en Russie Un coup sévère aux conséquences majeures
IMAGE SATELLITE DE CAPELLA SPACE, FOURNIE PAR REUTERS
Image satellite montrant les dommages causés à des avions d’un aérodrome d’Irkoutsk, en plein cœur de la Russie, par une attaque de drones ukrainiens
En frappant dimanche des bombardiers au cœur de la Russie avec de simples drones, l’Ukraine a réalisé un tour de force à faible coût. Et cette attaque contre Moscou pourrait bien redéfinir la façon de mener les opérations militaires, estiment des spécialistes.
Publié à 0 h 00
Mathieu RABECHAULT Agence France-Presse
Quel impact sur l’aviation russe ?
Kyiv revendique la destruction de 41 appareils, essentiellement des bombardiers stratégiques à long rayon d’action Tu-95 et Tu-22, des avions de l’ère soviétique utilisés pour tirer des missiles de croisière lancés contre l’Ukraine.
La perte potentielle d’un tiers de la flotte russe, avancée par Kyiv, est « un coup sérieux pour les capacités offensives russes, et ce n’est pas la fin de ce type de campagne » de bombardements, estime Yohann Michel, de l’Institut d’études de stratégie et de défense de l’Université Lyon-3.
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Selon lui, « l’impact principal pourrait se manifester dans plusieurs semaines par une diminution du nombre de sorties du reste de la flotte ».
« Il faudra beaucoup de temps à la Russie pour compenser ces pertes » d’avions également capables de tirer des missiles à tête nucléaire, estime Maxime Starchak, spécialiste de la politique nucléaire russe.
La Russie peut-elle protéger ses bases ?
Les drones explosifs, lancés à partir des camions à proximité immédiate de bases situées pour certaines à plus de 4000 kilomètres de l’Ukraine, ont frappé des avions parqués à ciel ouvert sans protection apparente.
Si ces appareils avaient été abrités dans des hangars, les dégâts auraient été bien moindres.
Pour Maxime Starchak, « la protection des aérodromes militaires ne répond pas aux exigences de sécurité : il est possible de s’approcher discrètement d’un aérodrome et de mener une attaque rapide ne laissant ni le temps ni les moyens de se défendre ».
Avec des services de sécurité russes qui n’ont pas empêché le raid, et des défenses aériennes incapables de l’endiguer, l’opération « montre que la Russie ne se pense pas vraiment en guerre et que, dans une certaine mesure, sa profondeur stratégique joue contre elle », a jugé sur X l’expert indépendant français Stéphane Audrand.
« D’habitude, l’immensité du territoire russe est un avantage, vous pouvez planquer vos bombardiers à des milliers de kilomètres, là où ils seraient à l’abri », abonde Johann Michel. Or, le raid effectué par les Ukrainiens « veut dire que vous devez surveiller des milliers de kilomètres carrés, et c’est simplement impossible », tout comme surveiller les millions de camions qui roulent en Russie, selon lui.
Et même si la Russie déploie à grands frais des dispositifs de brouillage, des défenses sol-air et antidrones sur ses bases aériennes, rien ne dit qu’une telle opération ne peut être reproduite.
« La gamme de cibles potentielles est illimitée : raffineries, usines, bases militaires, aéroports, silos de missiles balistiques, etc. », estime Michael Shurkin, expert associé au Royal United Services Institute (RUSI) britannique.
Quel est le message envoyé ?
Après la destruction du croiseur russe Moskva ou encore l’assassinat de généraux russes, l’opération démontre « combien la Russie est vulnérable aux attaques non conventionnelles ukrainiennes », assure John Herbst, ancien ambassadeur des États-Unis à Kyiv.
Cela constitue un « contre-argument fort à la petite musique selon laquelle la guerre évolue inévitablement en faveur de Moscou », écrit-il pour le centre de réflexion Atlantic Council.
L’Ukraine doit s’attendre à des frappes de représailles d’un Vladimir Poutine soucieux de laver l’affront, prédit sur son blogue Timothy Ash, éminent spécialiste de la Russie.
Mais l’opération représente à ses yeux « une immense victoire en termes de relations publiques, qui contribuera grandement à renforcer le soutien tant sur le plan national qu’international », alors que l’aide militaire reste cruciale pour Kyiv.
Une nouvelle façon de faire la guerre ?
Les détails sur le mode opératoire restent limités. Le président Volodymyr Zelensky a affirmé qu’il y avait un pilote pour chacun des 117 drones de type FPV (First person view) employés.
Pour Michael Shurkin, « l’Ukraine vient de faire quelque chose qui devrait terrifier les armées du monde entier » : frapper à faible coût, en profondeur, « en utilisant des moyens contre lesquels peu d’armées, voire aucune, ne sont préparées à agir ».
« Ça va donner des idées à plein de gens », pointe de son côté un industriel français de l’armement sous couvert d’anonymat, pour qui ces « outils nouveaux obligent à repenser complètement les systèmes de défense, la manière dont on les produit, la doctrine […]. Cela ouvre des champs qu’on n’avait même pas imaginés ».
Pour une opération si sophistiquée, il n’est pas interdit de penser que les Ukrainiens aient prévu tous les cas de figure et entraîné des algorithmes d’intelligence artificielle pour la reconnaissance d’avions ou le guidage en cas de brouillage des drones, estime-t-il.
Les murs de la Maison Blanche ont-ils commencé à se lézarder?
Projet de loi budgétaire de Trump Une « abomination répugnante », selon Musk
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(Washington) Une « abomination répugnante » : Elon Musk, ancien conseiller de Donald Trump, s’est lâché mardi contre le mégaprojet de loi budgétaire ardemment voulu par le président américain, qui est en cours d’examen au Sénat.
Publié à 14 h 09 Mis à jour à 14 h 44
Frankie TAGGART et Aurélia END Agence France-Presse
Cette « grande et belle loi », telle que la surnomme Donald Trump, est une clé de voûte du programme présidentiel. Elle comprend notamment l’extension des crédits d’impôt monumentaux du premier mandat du milliardaire républicain, qui arrivent à expiration à la fin de l’année.
Mais pour Elon Musk, qui a terminé comme prévu la semaine dernière sa mission au sein du gouvernement Trump où il était chargé d’effectuer des coupes drastiques dans le budget de l’État, « ce projet de loi budgétaire énorme, scandaleux et clientéliste est une abomination répugnante ».
« Honte à ceux qui l’ont voté : vous savez que vous avez eu tort », a ajouté l’homme le plus riche du monde dans un message sur son réseau X, s’adressant aux membres de la Chambre des représentants.
La chambre basse du Congrès a en effet adopté le texte fin mai, sous la pression de Donald Trump, qui veut maintenant qu’il passe rapidement l’écueil du Sénat, où les républicains sont majoritaires de peu.
Il a averti les sénateurs qu’il voulait voir cette loi sur son bureau « dès que possible » pour promulgation.
Mais des élus de son propre camp républicain ont fait part de leur intention d’apporter d’importantes modifications.
Les républicains modérés rechignent en effet à réduire drastiquement les dépenses, tandis que les partisans de la rigueur budgétaire dénoncent le projet comme une bombe à retardement pour les finances de l’État, alors que la dette américaine frôle les 37 000 milliards de dollars.
Ces républicains frondeurs sont peu nombreux, moins d’une dizaine, mais suffisamment « pour arrêter le processus jusqu’à ce que le président prenne au sérieux la réduction des dépenses et du déficit », a récemment déclaré l’un d’eux, le sénateur Ron Johnson.
« Ami et conseiller »
L’opposition démocrate, quant à elle, ne cesse de critiquer des réductions d’impôts pour les plus riches au détriment d’une classe ouvrière déjà accablée par l’inflation.
Selon différents analystes indépendants, prolonger les énormes crédits d’impôt du premier mandat Trump pourrait accroître le déficit de l’État fédéral de 2000 milliards à 4000 milliards de dollars sur la prochaine décennie.
Les coupes budgétaires prévues dans le texte pourraient, elles, affecter des millions d’Américains les plus défavorisés, comme des bénéficiaires du programme d’assurance-maladie Medicaid, destinés aux plus pauvres.
Plusieurs sondages montrent qu’une large majorité d’Américains s’opposent à ces restrictions de Medicaid.
Le Bureau du budget du Congrès estime, lui, que les réductions d’impôts combinées aux grosses coupes budgétaires aboutiraient à un énorme transfert de richesse des 10 % les plus pauvres vers les 10 % les plus riches du pays.
Sur le plan politique, les débats sur cette loi budgétaire XXL devraient avoir une grande influence sur les élections de mi-mandat de 2026, un scrutin toujours périlleux pour la majorité au pouvoir.
Après la violente charge de l’ancien conseiller de Trump contre l’un des projets les plus chers au président américain, la Maison-Blanche a temporisé.
Cela « ne change rien à la position » du président qui « savait déjà ce que pensait Elon Musk », a indiqué à la presse la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt.
« C’est une grande et belle loi et Donald Trump s’y tient », a-t-elle ajouté, répétant la position de l’administration qui assure qu’elle stimulera la croissance économique.
La sortie fracassante d’Elon Musk, qui avait déjà critiqué ce texte budgétaire mais beaucoup plus prudemment, a souligné les tensions entre le multimilliardaire et l’administration qu’il a quittée.
Un jour après avoir chaleureusement remercié Musk pour son action auprès de l’administration, comme pour couper court aux rumeurs sur un froid entre eux, Donald Trump avait retiré samedi son soutien au candidat qui devait prendre la tête de la NASA, un proche d’Elon Musk.
Le natif d’Afrique du Sud, dont les relations avec les ministres de Trump ont été difficiles, avait assuré la semaine dernière vouloir rester « l’ami et le conseiller » du président.
Donald Trump se questionne sur l’avenir de sa relation avec Elon Musk
PHOTO MATT ROURKE, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS
Le milliardaire Elon Musk et le président américain Donald Trump en mars dernier.
(Washington) Donald Trump a déclaré jeudi qu’il ne savait pas si sa relation avec Elon Musk se poursuivrait, se disant « très déçu » par les critiques du multimilliardaire à l’égard de son mégaprojet de loi budgétaire.
Publié à 12 h 19
Agence France-Presse
« Écoutez, Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c’est encore le cas. J’ai été surpris », a dit Donald Trump aux journalistes dans le bureau Ovale, après que son ancien conseiller a qualifié son projet de « grande et belle loi » d’« abomination ».
Plus de détails suivront.
C’était à prévoir car Trump est un être imprévisible et instable qui ne prend avis de personne. Dans son esprit il n’y a pas de demi-mesure: ou bien vous êtes avec lui inconditionnellement, ou bien vous devenez son ennemi.
Alors dès l’instant où il n’a plus vraiment besoin de vous, vous devenez jetable. Quant à la gratitude pour service rendu, elle ne fait pas partie de ce que l’on pourrait appeler la reconnaissance, car en bon narcissique il ne peut tolérer de se sentir obligé à quiconque.
Pourtant si Trump est au pouvoir c’est beaucoup à cause de l’argent fourni par Musk qui a fait toute la différence, car rappelons-nous les deux partis (Républicains et Démocrates) étaient au coude à coude. Il sera donc intéressant de voir la suite de cet éventuel divorce, qui pourrait devenir le premier grand revers du président et peut-être l’amorce du déclin de sa présidence, par un réveil de l’opposition et la division graduelle dans le clan républicain.
Donald Trump et Elon Musk sont en train de divorcer en temps réel sur les réseaux sociaux, en ce moment.
Je ne sais pas s’il faut en rire ou en pleurer. Juste deux exemples…
LE roman-savon de cet été arrive!
Une partie de l’administration sont copain-copain avec Musk (ex: David Sacks). Je sens une refonte du cabinet.
Je me demande si/comment ça affecte la branche de Peter Thiel (ex: contrats Palantir)
Le choc de deux puissants égos qui ne peut que nuire à chacun. De toute façon aucun n’était là au départ pour le service du peuple, mais pour leur propre agenda personnel. Sans véritable objectif commun à long terme, comment deux partenaires largement indépendants et intransigeants pouvaient-iIs concilier des visions si diamétralement opposées sans égards au bien commun? Ici celui qui a le plus à perdre c’est Trump et sa fameuse image de grandeur.
Or le lien de confiance est désormais rompu devant public et aucun ne voudra perdre la face devant autant de témoins. Quel spectacle ahurissant dont on pourrait se bidonner, si ce n’était dans le cadre politique officiel de la plus grande puissance du monde.
Quelle preuve les USA attendent-ils pour destituer un président clairement inapte à gouverner et ayant perdu brusquement toute respectabilité et crédibilité auprès des autres nations?
Au final c’est l’image même de la fonction de président qui est déshonoré aux yeux du monde et devant l’Histoire.
Live Updates: Trump and Musk Alliance Crumbles Amid Public Threats and Insults
Taking to their respective social media platforms, Trump threatened to cut Musk’s government contracts, while Musk said Trump would not have won in November without him.
Article gratuit de 2023
The White House denounced Elon Musk on Friday for “abhorrent promotion of antisemitic and racist hate,” for his endorsement of what an administration spokesman called a “hideous lie” about Jews.
All of which might make one think the Biden administration was going to try to pull back from doing business with the world’s richest person. Except that, in recent weeks, the U.S. government has become more dependent on him than ever, agreeing to as much as $1.2 billion worth of SpaceX launches next year to put crucial Pentagon assets, including spy and command-and-control satellites, into space.
And in September, the Pentagon agreed to pay tens of millions of dollars for “Starshield,” a new, secure communications system his company has set up for the nation’s defense and intelligence systems, relying on the same clusters of Starlink satellites that have proved vital to Ukraine’s military during the war with Russia.
In private, administration officials say the Starlink satellites are critical to deterring China because they are far more resistant to Chinese efforts to disable them than the Pentagon’s own communications satellites.