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The PRC :cn: is responding with a 84% counter-tariff.

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Frappée de droits cumulatifs de 125 %, la Chine est exclue de la pause tarifaire décrétée par l’administration Trump. Déjà exemptés de la ronde de droits de douane punitifs qui étaient en vigueur depuis minuit, le Canada et le Mexique, visés par des tarifs douaniers atteignant 25 %, ne bénéficient d’aucun changement.

Opérant un virage important après des journées tumultueuses sur les marchés boursiers, le président américain, Donald Trump, a annoncé mercredi, pour tous les pays à l’exception de la Chine, une pause immédiate de 90 jours sur la surtaxe entrée en vigueur il y a quelques heures à peine.

Alors que les membres de son administration assuraient depuis des jours qu’il ne suspendrait pas les droits punitifs prévus, le président américain a annoncé sa volte-face en après-midi sur son réseau Truth Social.

Le taux tarifaire imposé sur les exportations des quelque 60 partenaires commerciaux visés par cette suspension est ramené à 10 %, le même que celui imposé depuis samedi à une centaine de pays et territoires.

Ce président est totalement irrationnel et représente une menace sérieuse non seulement pour l’avenir des USA, mais aussi du monde.

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Mercredi, il a évoqué la possibilité de « de relancer, que ce soit une base militaire, une station aéronavale, des endroits où les troupes américaines peuvent travailler avec les troupes panaméennes » pour « sécuriser » le canal, une hypothèse immédiatement rejetée par le gouvernement du Panama, que les États-Unis avaient envahi en 1989 pour renverser le dictateur Manuel Noriega.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois Lin Jian a réagi avec virulence aux « attaques malveillantes » du secrétaire américain à la Défense « dénigrant et portant atteinte à la coopération Chine-Panama, et révélant une fois de plus la nature brutale des États-Unis ».

Autre avancée pour Washington : le gouvernement panaméen a annoncé mercredi avoir signé un accord en vue de trouver une solution aboutissant in fine à ce que les navires de guerre américains utilisent sans payer le canal pour faire la bascule entre les océans.

Washington exige la gratuité pour les bateaux de sa marine et le ministre du Canal, et les deux parties sont d’accord pour mettre en forme l’idée panaméenne d’un « mécanisme permettant aux bateaux de guerre et aux navires auxiliaires de bénéficier d’un système de compensation pour leurs services », qui compenserait le coût d’utilisation du Canal sans toutefois rendre celui-ci « gratuit » par principe.

Grosse nouvelle dans le domaine de la mode haut de gamme : Prada achète Versace

Prada has agreed to buy the Versace fashion brand for €1.25bn ($1.38bn) from the fashion conglomerate Capri Holdings.

It comes after months of speculation about a potential deal to combine the two Italian fashion houses and, more recently, rumours that the acquisition was set to collapse after market upheaval in response to President Trump’s tariff policies.

Insiders say the original deal was expected to be agreed at €1.43bn, but a discount of about €180m was achieved because the recent market turmoil and trade uncertainty has hit the retail industry particularly hard.

Capri, which also owns Michael Kors and Jimmy Choo, originally bought Versace for $2.1bn in 2018. After an $8.5bn attempt by Tapestry – the American group that owns Coach and Kate Spade – to acquire Capri was blocked last year by the US Federal Trade Commission, Capri has been under pressure to sell off Versace to reduce its debt. According to those close to the deal, Prada was one of the earliest bidders.

La Chine, elle, a été finalement frappée par une surtaxe monumentale à 145 %.

Lors d’une rencontre vendredi avec le premier ministre espagnol Pedro Sanchez, le président chinois Xi Jinping a appelé l’Union européenne à « résister ensemble » face à la guerre commerciale de Donald Trump.

« La Chine et l’UE doivent assumer leurs responsabilités internationales, protéger conjointement la mondialisation économique et l’environnement commercial international et résister ensemble à toute coercition unilatérale », a lancé Xi Jinping à Pékin.

D’après un responsable de la Maison-Blanche cité par le Washington Post, le transfert de plus de 6000 noms d’immigrés, principalement latinos et hispaniques, dans une base de données de personnes « mortes » est censée « mettre la pression sur des immigrés sans-papiers pour qu’ils quittent le pays ».

Déclarés « morts », ces étrangers vont perdre de facto leurs droits à toute prestation et existence sociale aux États-Unis, ont expliqué des sources proches du dossier au quotidien américain.

Le numéro de sécurité sociale à sept chiffres est une véritable carte d’identité aux États-Unis, permettant de travailler, être payé, avoir un compte en banque, louer un logement ou un commerce, déclarer ses impôts et effectuer nombre de démarches administratives.

Si bien que des centaines de milliers de clandestins sans visa ni titre de séjour disposent toutefois de ce numéro.

Considérées comme « mortes », ces personnes vont être ainsi contraintes de rompre tout lien avec leur employeur, propriétaire, banque, s’est félicité un responsable auprès du Washington Post.

Le président américain conservateur répète depuis des mois des allégations mensongères, pourtant maintes fois vérifiées et démenties, selon lesquelles la SSA verserait indûment des pensions à des millions de personnes, américaines ou étrangères, mortes depuis des années.

États-Unis La confiance des consommateurs a encore plongé en avril

PHOTO YUKI IWAMURA, ARCHIVES BLOOMBERG

Le moral des consommateurs « est maintenant 30 % plus bas qu’en décembre 2024 en raison des inquiétudes grandissantes autour des développements de la guerre commerciale ».

(Washington) La confiance des consommateurs a reculé fortement en avril aux États-Unis pour le quatrième mois d’affilée, avec des sondés qui redoutent une inflation massive, une dégradation de l’activité économique et une hausse du chômage, selon un baromètre régulier publié vendredi.

Publié à 11 h 09 Mis à jour à 11 h 30

Agence France-Presse

Un indice évaluant cette confiance a reculé à 50,8 en avril, ce qui représente un repli de près de 11 % sur un mois, selon une estimation préliminaire de l’Université du Michigan qui fait référence, et cite les inquiétudes sur l’offensive douanière des États-Unis comme principal tourment.

Les analystes s’attendaient à un repli moindre, autour de 54,6, selon le consensus publié par MarketWatch.

« Ce recul a été, comme les mois précédents, généralisé et unanime, quels que soient l’âge, le revenu, le niveau d’études, le lieu de vie ou l’appartenance politique », souligne la directrice de cette enquête de l’Université du Michigan, Joanne Hsu, citée dans un communiqué.

Le moral des consommateurs, ajoute-t-elle, « est maintenant 30 % plus bas qu’en décembre 2024 en raison des inquiétudes grandissantes autour des développements de la guerre commerciale ».

Elle relève aussi que les anticipations d’inflation ont bondi à leur plus haut niveau depuis 1981.

Ces craintes quant à l’inflation future « ne devraient pas être ignorées et sont alimentées par les droits de douane », remarque dans une note l’économiste Ryan Sweet, chez Oxford Economics.

« Historiquement, ajoute-t-il, les prix du carburant et de la nourriture influent la perception des consommateurs en matière d’inflation » mais « le recul de prix à la pompe » n’apaise pas les inquiétudes cette fois-ci.

Les consommateurs « sont passés d’anxieux à tétanisés », estime Pantheon Macroeconomics dans une note.

« La question est : comment cela se traduit sur les dépenses ? […] La tendance jusqu’ici a été de voir les gens consommer tant qu’ils avaient l’argent pour », observe Robert Frick, économiste chez Navy Federal Credit Union.

La consommation est le moteur de la croissance américaine. Les économistes s’attendent à ce qu’elle se grippe si les ménages freinent leurs dépenses et mettent de l’argent de côté pour parer les à-coups économiques.

Another thing that we might want to keep an eye out for is geopolitical problems in the coming months. Peoples are always looking for somebody to blame for their problems. Historically, wars have been a good distraction for elites who want to stay in power. It could very well end up being the biggest irony of Trump’s second presidency. It is entirely possible that he could end up destabilising the world’s economy to such an extent that old conflicts flare up.

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“In just two months [Trump] has destroyed the reputation of the US, shown one way by diminished travel from the EU to the US,” said Paul English, co-founder of travel website Kayak. “This is not only one more terrible blow to the US economy, it also represents reputation damage that could take generations to repair.”

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Résumé

Pour Donald Trump, on l’aura compris, l’âge d’or des États-Unis passe par le forage de pétrole et de gaz à tout vent. « Drill, baby, drill! » avait-il notamment déclaré.

Cependant, l’attaque tarifaire qu’il mène depuis quelques semaines, mise en veilleuse pendant 90 jours pour l’instant, pourrait avoir exactement l’effet contraire.

La guerre commerciale que le président américain livre au reste du monde pourrait perturber non seulement les activités des oléoducs et des terminaux méthaniers mais aussi le secteur éolien et la filière batterie pour les véhicules électriques.

Même s’il a suspendu les tarifs dits réciproques pour la plupart des pays, le président américain impose toujours des droits de douane de 145 % sur les produits chinois, des droits de 25 % sur l’acier et l’aluminium canadiens ainsi qu’un tarif de base de 10 % pour un très grand nombre de pays. Ces tarifs touchent une grande quantité de matériaux ainsi que des composantes nécessaires à la construction des infrastructures énergétiques, ce qui risque de faire gonfler la facture de grands projets et de décourager les investisseurs.

Et pourtant, c’est notamment grâce au libre commerce que les États-Unis sont devenus une puissance énergétique hors du commun au fil des décennies.

En 2024, 90 % de la capacité énergétique installée aux États-Unis était de source renouvelable, selon les chiffres de l’Agence internationale de l’énergie. Ces sources d’énergie génèrent aujourd’hui le quart de la production électrique du pays, deux fois plus qu’il y a 10 ans.

Cette expansion a été rendue possible en bonne partie grâce aux importations de métaux, de composantes et de technologies de l’étranger.

L’acier et l’aluminium nécessaires à la construction des turbines ou des tours éoliennes viennent en bonne partie du Canada.

Les panneaux solaires ou leurs composantes proviennent pour une bonne part de la Chine ou des pays d’Asie du Sud-Est et font déjà l’objet de tarifs.

De la même façon, 82 % des batteries lithium-ion pour véhicules électriques importées par les États-Unis proviennent de Chine. Les Chinois en ont exporté pour 15,3 milliards $ US aux États-Unis en 2024.

“C’est un coup de fouet politique qui met en péril l’accès à une énergie abordable et fiable pour les Américains en interrompant les chaînes d’approvisionnement”, a déclaré au New York Times Vanessa Sciarra, de l’Association américaine des énergies propres.

La guerre commerciale menée par Donald Trump pourrait donc achever ce qui aurait pu être une transition énergétique historique dans la plus grande économie du monde.

Cependant, la guerre tarifaire risque d’avoir l’effet contraire, pour deux raisons essentielles.

Premièrement, l’industrie des énergies fossiles est grandement dépendante de l’acier pour se développer. Les droits de douane font donc augmenter le coût de construction des infrastructures, en partie à cause des tarifs de 25 % imposés sur l’acier et l’aluminium canadiens.

“Les rapports de l’industrie indiquent que les prix des tuyaux en acier, essentiels pour faire les puits de forage, ont augmenté de 15 à 25 % peu après l’annonce des droits de douane [sur l’acier]”, écrit Bruce Beaubouef, éditeur du Offshore Magazine, une publication spécialisée de ce secteur.

Deuxièmement, le prix du pétrole ne cesse de baisser depuis que Donald Trump a lancé son offensive tarifaire. Selon le site Oilprice.com, les prix du Brent et du Western Texas Intermediate, à leur plus bas depuis quatre ans (autour de 60 $ US le baril), ont chuté d’environ 15 %.

Selon de nombreux experts, cette tendance à la baisse est en bonne partie due à la crainte d’une récession mondiale.

Or, quand les prix du pétrole baissent, les compagnies pétrolières ne sont pas incitées à investir dans de nouvelles infrastructures.

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Quel aurait été l’impact si Trump n’avait pas exempté ces produits ?
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On aurait sans doute assisté à une flambée des prix des gadgets électroniques aux États-Unis, estime Ari Van Assche. Pourquoi ? Il faudrait reproduire l’écosystème de production très complexe qui existe actuellement en Asie, explique-t-il. « Je ne suis pas surpris qu’ils aient décidé de donner des exemptions dans ce secteur-là. La Chine est incontournable », ajoute le professeur. De façon plus concrète, un iPhone se détaillant à environ 1000 $ pourrait en coûter… 3500 $, soit plus du triple, s’il était fabriqué aux États-Unis. C’est ce qu’a rapporté Dan Ives, directeur mondial de la recherche technologique au sein de la société de services financiers Wedbush Securities, dans une entrevue avec CNN mercredi. Et il en coûterait à Apple environ 30 milliards de dollars pour transférer ne serait-ce que 10 % de sa chaîne d’approvisionnement aux États-Unis, a-t-il précisé, et il faudrait trois ans pour y arriver.
Existe-t-il toujours des risques de récession aux États-Unis ?

Bien qu’elle atténue potentiellement les répercussions sur le portefeuille des consommateurs et des entreprises, cette exemption n’est pas assez importante pour contrer les risques de récession. « L’électronique, c’est important », affirme M. Van Assche. Mais selon lui, l’exemption de ce secteur ne contrebalance pas les droits de douane imposés à toutes les autres importations américaines. « Les discussions de récession avaient déjà commencé même avant le début de la guerre commerciale avec la Chine », ajoute-t-il. Une proportion de 16,4 % des exportations chinoises est absorbée par les États-Unis, pour un total d’échanges commerciaux de 500 milliards de dollars, selon les données douanières de Pékin, largement déficitaires pour les États-Unis.

Avec l’Agence France-Presse
En savoir plus

Plus de 20 %
    Proportion des produits exemptés dans le total des importations américaines depuis la Chine, selon les données des douanes américaines relayées par le chercheur Gerard DiPippo, spécialiste de la Chine

Agence France-Presse

« Vous êtes environ 36 000, le plus grand rassemblement que nous ayons jamais eu », a lancé le sénateur du Vermont, en sous-entendant que la foule dépassait celle de ses rassemblements de 2016 et 2020, lorsqu’il briguait l’investiture démocrate à la présidentielle.

« Et votre présence ici aujourd’hui rend Donald Trump et Elon Musk très nerveux ! », s’est-il félicité, sous les rugissements du public.

Depuis deux mois, l’élu indépendant, jamais encarté au Parti démocrate, draine les foules avec sa tournée « Combattre l’oligarchie ».

« Société autoritaire »

« Nous vivons un moment où une poignée de milliardaires contrôle la vie économique et politique de notre pays », a insisté M. Sanders, en estimant que l’administration Trump « nous conduit rapidement vers une société autoritaire ».

Avec sa tournée, le sénateur espère pousser de nouveaux candidats indépendants à se présenter aux élections sans l’étiquette démocrate, alors que la popularité du parti est au plus bas dans les sondages.

La jeune candidate arrive dans un contexte favorable : son opposante âgée de 80 ans demande un nouveau mandat dans le sillage de la campagne avortée de Joe Biden, marquée par les questionnements sur l’âge des élus.

Son franc-parler et son aise devant la caméra font contraste avec la crainte des médias qu’avait Kamala Harris. Elle secoue les usages du parti peu après que le sénateur Chuck Schumer a provoqué des remous chez les démocrates en appuyant le budget républicain. Et elle condamne Donald Trump et son parti avec agressivité, se démarquant ainsi des protestations polies de l’establishment démocrate.

Elle se présente alors que bien des démocrates remettent en question la doctrine du parti et se demandent s’il faut faire comme les républicains en 2010, quand les nouveaux candidats du Tea Party ont détrôné les républicains sortants et poussé le parti plus à droite.

« Les gens disent que les démocrates ont le don d’arracher la défaite quand la victoire est à portée de main, ironise Mme Abughazaleh. C’est ce qu’on a vu durant la campagne de 2024. »

Espérons que comme dans la grande majorité de ses déclarations, qu’il mente pour celle-là aussi. :unamused:

Pas certain que la suite serait bien mieux considérant que c’est JD Vance qui hériterait de la présidence.

Je suis convaincu que Vance ne saurait rallier l’équipe ministérielle car ils n’ont rien de commun sinon avoir été choisis par Trump et liés par un serment de fidélité.

Ça promet… d’autres dérives autoritaires, la religion s’invite maintenant directement dans le tableau. Est-ce le début de l’inquisition?

Le câble diplomatique, dont l’Associated Press a obtenu des copies, indique que toutes les allégations signalées feront l’objet d’une enquête par une équipe spéciale gouvernementale sur les préjugés antichrétiens et que, si une discrimination est avérée, les coupables pourront faire l’objet de sanctions disciplinaires. Il précise également que les allégations peuvent être soumises anonymement.

« L’équipe spéciale recueillera des informations et des idées auprès de personnes et de groupes, y compris des employés du département, victimes de préjugés antichrétiens ou d’autres comportements discriminatoires religieux », précise le câble.

« Ce groupe sollicite des exemples de préjugés antireligieux, notamment au cours des quatre dernières années, où le ministère a ciblé des personnes en raison de leur religion, notamment par des mesures de discrimination, de harcèlement, d’exclusion, de mesures disciplinaires, de décisions d’habilitation de sécurité défavorables ou toute autre mesure défavorable, ou en représailles à l’exercice de leurs droits religieux », indique la note.

« Cela inclut les préjugés antireligieux commis par des employés du département dans l’exercice de leurs fonctions officielles à l’encontre de membres du public. »

Parmi les exemples de violations potentielles, on peut citer les mesures formelles ou informelles prises à l’encontre d’une personne parce qu’elle a demandé des aménagements religieux « pour ne pas avoir à prendre les vaccins obligatoires ou à participer à des fêtes religieuses » et les « maltraitances pour refus de participer à des évènements et activités promouvant des thèmes incompatibles ou hostiles à ses convictions religieuses, y compris les politiques ou pratiques relatives aux pronoms personnels à privilégier », selon le câble.

D’autres cas incluent « des mauvais traitements pour s’être opposé à l’affichage de drapeaux, de bannières ou d’autres accessoires sur ou dans les locaux gouvernementaux en raison d’objections religieuses, ou pour s’être opposé à des contenus médiatiques officiels en raison d’objections religieuses, et pour avoir forcé des employés à retirer des signes personnels de foi ou de conscience religieuse, que ce soit sur des vêtements ou des accessoires sur leurs bureaux ou dans leur espace de travail », toujours selon le câble.

Dans des cercles de discussion non gouvernementaux et ailleurs, certains employés du département d’État ont exprimé leur inquiétude face à cette nouvelle mesure, d’autant plus qu’il a été publié peu après la promotion d’un agent de bas rang du service extérieur à la tête temporaire du bureau des ressources humaines du département, le Bureau de la gestion des talents mondiaux.

Lew Olowski a pris ses fonctions la semaine dernière et a adressé la bienvenue à une nouvelle promotion de diplomates, citant à la fois des versets bibliques et des citations à caractère religieux du président Abraham Lincoln.

Par une coïncidence peut-être inhabituelle, les signalements de préjugés antichrétiens ou autres préjugés religieux doivent être signalés à l’épouse de M. Olowski, Heather, qui dirige le bureau des droits civiques du département d’État. La semaine dernière, l’American Foreign Service Association, qui représente les diplomates américains, et l’American Academy of Diplomacy ont déclaré que la nomination de Lew Olowski constituait un affront à la norme établie de longue date selon laquelle le poste doit être occupé par un diplomate de haut rang, en activité ou retraité.

Avec les informations de Sam Mednik, à Jérusalem.

Dans un autre ordre d’idées

Ça peu d’importance. Tout comme Trump, c’est un agent du chaos. Les chances sont qu’on se retrouverait avec une administration tout aussi dysfonctionnelle.