Aéroport Montréal-Trudeau - Discussion générale

Les ex-CSeries sont connus pour leur faible bruit. Si YUL (et même les autres aéroports Canadiens) implémentaient des palliers de bruit maximal pour les périodes étendues, ça améliorait la situation et promouvoit indirectement le produit, non?

Le fait que l’écrasante majorité de ces résidents se soient installés là bien après l’ouverture de l’aéroport me laisse vraiment perplexe. Pourquoi s’imposer à soi et à sa famille une telle « souffrance » ??

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L’abordabilité sûrement. Par exemple, malgré toutes les industries lourdes et une des pire qualité de l’air de la région, la pointe est de l’île a parmi les secteurs les moins chers de la CMM. 10 ans de moins sur ton hypothèque… et sur ton d’espérance de vie, mais ça s’améliore avec le départ de plusieurs gros pollueurs. Il y a probablement aussi des gens qui ont fait le pari que certaines activités seraient éventuellement déplacées bien loin (Mirabel)…

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Honnêtement avec chaque année qui passe je réalise de plus en plus que la fermeture de Mirabel était une erreur. Pas seulement pour satisfaire les gens de “l’aéroport est trop bruyant >:( … Oui je me suis déménagé ici hier…” Mirabel avait essentiellement de la place illimitée pour fair des airport things, ce qui inclut de l’expansion. On manquait seulement un lien direct avec la ville en train.

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Please stop kicking a dude while he’s down!

:joy::joy:

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Dorval has higher home prices than many boroughs and municipalities further away.

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En ce qui concerne le bruit, je suis tombé sur une solution originale mise en place à Amsterdam aux Pays-Bas. Est-ce que ça pourrait être répliqué à Montréal? Il y a un peu d’espace au bout des pistes proche de Valois.

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Montreal – Athens
27MAR23 – 30APR23 787-8 replaces -9, 2 weekly
01MAY23 – 31MAY23 5 weekly 787-9 (no changes)
** eff 01JUN23* 450-seater 777-300ER replaces 787-9, 1 daily

Montreal – Barcelona
30APR23 – 29MAY23 4 weekly A330-300 instead of 5
** eff 30MAY23* 5 weekly A330-300 instead of 7

*** Montreal – Brussels** eff 25MAR23 450-seater 777-300ER replaces 787-9, 1 daily
Montreal – Cairo eff 02MAY23 787-9 replaces -8, 3 weekly. Planned 4th weekly from 02JUN23 removed
Montreal – Delhi eff 25MAR23 3 weekly 787-9 instead of 4
Montreal – Dublin eff 01JUN23 787-8 replaces A330-300, 3 weekly
Montreal – Lisbon 26MAR23 – 02JUN23 3 weekly A330-300 (Planned 5 weekly flights from 01MAY23 moved to 03JUN23)
*** Montreal – Milan Malpensa** Planned increase from 5 to 7 weekly from 01JUN23 removed, A330-300 operating
Montreal – Paris CDG 25MAR23 – 30APR23 AC874/875 5 weekly A330-300 instead of 7 weekly 787-9 (Peak season from 15JUN23 with 2 daily 450-seater 777-300ER unchanged)
Montreal – Rome
25MAR23 – 30APR23 787-8 replaces -9, 4 weekly
** eff 02MAY23* 400-seater 777-300ER replaces 450-seater, 5 weekly (7 from 31MAY23)

Montreal – Sao Paulo Guarulhos eff 26MAR23 Increase from 3 to 4 weekly (5 from 19JUN23), 787-9 operating
Montreal – Shanghai Pu Dong Service remains cancelled in NS23, on/after 26MAR23
Montreal – Tel Aviv
01MAY23 – 31MAY23 Increase from 2 to 3 weekly, 787-9 replaces -8
eff 01JUN23 Increase from 3 to 4 weekly, 787-9 replaces -8

Montreal – Tokyo Narita 26MAR23 – 30APR23 787-9 replaces -8, 5 weekly (1 daily 787-9 from 01MAY23 unchanged)

Previously reported changes:
Montreal – Copenhagen eff 01JUN23 5 weekly 787-8, new route

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Les stats de juillet sont sorties, l’aéroport a opéré à 90% de l’achalandage pré-covid!

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Même pas un vol quotidien pour Paris? Ça c’est déjà vu? J’avais l’impression que c’était au moins un vol quotidien toute l’année.

AC874/875 is the second flight

AC870/871 is the daily B777-300ER, year round

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Domestique: -17.6%
International : -6.6%
Transfrontalier : -5.8%

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Vraiment très intéressant merci de la vidéo!

Les vols domestiques étaient très utilisés pour les réunions d’affaires. Avec l’adoption des Teams/Zoom/Google Meet, c’est une tendance qui risque de rester. Les réunions en personne resteront, mais les aller-retours dans la journée pour une seule rencontre à Toronto risquent d’être de moins en moins populaires.

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Montréal a aussi bénéficié d’une multiplication des dessertes internationales et transfrontalières, évitant ainsi des correspondances à Toronto ou Vancouver.

Pour les réunions d’affaires, ce n’est pas seulement la pandémie, mais aussi la multiplication des initiatives net-zéro dans les entreprises. La firme où je travaille privilégie les voyages en avion surtout pour le développement d’affaire et beaucoup moins pour des réunions de travail. On va surement voir plus de ces initiatives alors que tout le monde essaie de devenir carboneutre.

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Compagnies à bas prix À contre-courant, Flair Airlines s’enracine à Montréal-Trudeau


PHOTO TIRÉE DU SITE WEB FLAIR AIRLINES | Flair Airlines accroîtra la fréquence de ses vols à Montréal-Trudeau l’an prochain.

Des quatre transporteurs canadiens à bas coûts, Flair Airlines est le seul dont les avions se posent au Québec. L’entreprise albertaine s’enracinera davantage à Montréal-Trudeau en faisant le pari que bon nombre de voyageurs n’ont pas « de compagnie aérienne qui répond à leurs besoins ».

29 septembre 2022 | Publié hier à 8h00 | JULIEN ARSENAULT | LA PRESSE

Flair caresse de grandes ambitions pour la prochaine saison estivale. Elle planifie une croissance de ses activités de l’ordre de 50 %. Pour le Québec, cela signifie l’ajout de correspondances entre Montréal-Trudeau et l’aéroport Pearson de Toronto. En moyenne deux allers-retours quotidiens seront offerts. Le transporteur a présenté le premier volet de sa stratégie, mercredi.

« Nous savons qui sont les principaux acteurs à Montréal et c’est correct pour nous, affirme le directeur de la planification et de la programmation du réseau de Flair, Eric Tanner, en entrevue téléphonique. On veut offrir un produit aux consommateurs qui veulent voyager et dont le vol n’est pas [la principale dépense du] voyage. »

Comment convaincre les voyageurs d’atterrir à l’aéroport Pearson, situé à une quarantaine de kilomètres du centre-ville de Toronto, quand on peut atterrir à Billy-Bishop, au cœur de la métropole, sur les ailes d’un concurrent ? Avec des vols qui coûtent plusieurs « dizaines de dollars » de moins, selon M. Tanner.

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PHOTO TIRÉE DE TWITTER | Eric Tanner est directeur de la planification et de la programmation du réseau de Flair Airlines.

« Les voyageurs qui veulent faire l’aller-retour vers Toronto dans la même journée ou venir passer un week-end à Montréal, on croit que nos produits répondent à leurs besoins ».**

Eric Tanner, directeur de la planification et de la programmation du réseau de Flair

Ces dernières années, le Québec a été ignoré par les transporteurs à bas coûts canadiens qui ont fait leur apparition dans le ciel canadien. Cela a changé en juillet 2021 quand Flair a commencé à offrir des vols vers sept destinations au pays.

Canada Jetlines vient de lancer ses activités avec une liaison régulière entre Toronto et Calgary. WestJet est propriétaire de sa propre filiale à bas prix, Swoop, qui a pris son envol en 2018. Elle offre des destinations au Canada, aux États-Unis, au Mexique et dans les Caraïbes, mais ne se pose pas au Québec.

« À l’heure actuelle, Swoop n’a pas l’intention de s’étendre au Québec, a confirmé la compagnie dans une déclaration envoyée à La Presse. Nous évaluons continuellement notre réseau pour trouver de nouvelles occasions de croissance. »

Chez Lynx Airlines, le vol inaugural a eu lieu en juin dernier. Les aéroports québécois ne sont pas encore desservis par le transporteur albertain. L’entreprise n’a pas précisé, mercredi, si cela changera.

D’autres possibilités

Le modèle des transporteurs aériens à très bas prix mise généralement sur l’utilisation d’aéroports secondaires étant donné que leurs frais sont moins élevés et que l’achalandage moindre réduit les risques de retard. Cela n’empêche toutefois pas Flair de s’enraciner à Montréal-Trudeau. La question des frais aéroportuaires constitue cependant un frein, selon M. Tanner.

« Notre principal concurrent n’est pas Air Canada ou WestJet, affirme-t-il. Ce sont les frais aéroportuaires. Il y a des marchés où nous ne sommes pas présents qui pourraient devenir plus intéressants si les frais [de l’aéroport] étaient moins élevés. »

Reste à voir si le pari de la compagnie aérienne établie à Edmonton fonctionnera. Selon Mehran Ebrahimi, professeur à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et directeur de l’Observatoire de l’aéronautique et de l’aviation civile, il existe un « certain potentiel », qui est cependant limité.

« Pourquoi on ne prend pas l’avion ? C’est essentiellement à cause du prix et des trajets. Sur cet aspect, il y a un potentiel à aller chercher. Mais après cela, il y a un plafond et on se bagarre pour la même part du gâteau ».

Mehran Ebrahimi, professeur à l’UQAM et directeur de l’Observatoire de l’aéronautique et de l’aviation civile

Si l’émergence de transporteurs à bas coûts canadiens dans l’industrie aérienne suscite des espoirs chez certains, M. Ebrahimi ne croit pas qu’il y ait de la place pour tous ces nouveaux acteurs aux côtés des transporteurs bien établis comme Air Canada, WestJet et Air Transat. Il faut aussi tenir compte de Porter Airlines. Le transporteur table sur une expansion après avoir commandé des E195-E2 d’Embraer. Ces appareils, qui peuvent accueillir un plus grand nombre de passagers et parcourir de plus longues distances que les avions actuellement exploités par Porter, s’envoleront notamment de Montréal-Trudeau.

Pour les voyageurs, cela signifie des aubaines potentielles à court terme, mais cela risque d’être éphémère, selon M. Ebrahimi.

« La taille du marché canadien fait en sorte que tout le monde ne pourra pas être rentable, souligne-t-il. Ce n’est pas comme si l’on passait d’un marché d’une trentaine de millions de personnes à environ 300 millions. »

EN SAVOIR PLUS

  • 4,5 %
    C’est la proportion du nombre de vols annulés par Flair depuis le 1er juin. À l’instar de ses concurrents, le transporteur a été critiqué pour les annulations estivales.

SOURCE : CIRIUM

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:+1: :airplane:

Résultats trimestriels d’Aéroports de Montréal Le retour des voyageurs s’accélère à Montréal-Trudeau


PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE | Des voyageurs à l’aéroport Montréal-Trudeau

Les voyageurs sont revenus en grand nombre à Montréal-Trudeau de juillet à septembre, ce qui devrait permettre à l’aéroport de terminer l’année avec un trafic passager à 80 % de son niveau prépandémique « si la tendance actuelle se maintient ».

1er novembre 2022 | Publié à 16h43 | JULIEN ARSENAULT | LA PRESSE

Aéroports de Montréal (ADM), l’exploitant des aéroports Montréal-Trudeau et Mirabel, a publié mardi des résultats du troisième trimestre qui témoignent de la reprise des voyages. L’organisme sans but lucratif a affiché un excédent de 38 millions au trimestre terminé le 30 septembre, comparativement à une perte de 42 millions l’an dernier. Les revenus ont bondi de 137 % à 200 millions.

Montréal-Trudeau a accueilli 5,4 millions de passagers pendant les mois de juillet, août et septembre, soit 89,4 % du niveau enregistré en 2019, avant l’arrivée de la COVID-19. Après les neuf premiers mois de l’année, l’achalandage atteignait 74 % de son niveau de 2019.

Les choses semblent rentrer dans l’ordre plus rapidement que prévu, mais ADM opte pour la prudence. L’organisme s’attend toujours à tourner la page sur la pandémie en 2024.

« Quant au devancement de l’échéancier, nous préférons tout de même demeurer prudents, en tenant compte de l’inflation et des possibles craintes d’un ralentissement économique », indique ADM, dans une déclaration.

Au troisième trimestre, les plus fortes hausses du trafic passager ont été observées dans le secteur international ainsi que vers les États-Unis.


Communiqué de presse complet:

Résumé

ADM ANNONCE SES RÉSULTATS FINANCIERS AU 30 SEPTEMBRE 2022

Logo de Aéroports de Montréal (Groupe CNW/Aéroports de Montréal)

NOUVELLES FOURNIES PAR Aéroports de Montréal | Nov 01, 2022, 10:00 ET

MONTRÉAL, le 1er nov. 2022 /CNW Telbec/ - ADM Aéroports de Montréal a annoncé aujourd’hui ses résultats d’exploitation consolidés pour la période se terminant le 30 septembre 2022. Ces résultats sont accompagnés de données sur le trafic de passagers de YUL, l’aéroport international Montréal-Trudeau.

Faits saillants

  • Le nombre de passagers à YUL s’est établi à 5,4 millions au troisième trimestre de 2022 en hausse de 173,0 % par rapport à l’année 2021, soit 89,4 % du trafic de la période correspondante de 2019. La croissance aura été maintenue tout au long du trimestre atteignant 90,9 % du niveau de trafic 2019 en septembre. Soulignons la reprise marquée des secteurs transfrontalier et international, affichant respectivement 92,5 % et 93,1 % du niveau de trafic de 2019 au troisième trimestre. Pour les neuf premiers mois de 2022, le trafic de passagers s’est établi à 11,6 millions, en hausse de 302,6 % versus 2021.
  • Le BAIIA (l’excédent des produits par rapport aux charges avant charges financières, impôts, amortissement et dépréciation et quote-part des résultats d’une coentreprise, voir la section « Mesures non conformes aux PCGR » pour plus d’informations) s’est chiffré à 108,1 millions $ pour le trimestre en revue soit une hausse de 76,8 millions $ par rapport au BAIIA de
    31,3 millions $ pour la même période de 2021. Pour la période cumulée terminée le 30 septembre 2022, le BAIIA était de 225,0 millions $, soit une augmentation de 205,2 millions $ par rapport au BAIIA de 19,8 millions $ pour les neuf premiers mois de 2021.
  • Les investissements en capital ont été de 31,3 millions $ au cours du troisième trimestre de 2022, comparativement à 13,9 millions $ pour la période correspondante de 2021, soit une augmentation de 17,4 millions $ ou 126,1 %. Les investissements en capital pour la période se terminant le 30 septembre 2022, quant à eux, se sont chiffrés à 103,7 millions $ (44,2 millions $ en 2021), soit une augmentation de 59,5 millions $ ou 134,8 %. Pour les neufs mois de 2022, les subventions provenant du Programme des infrastructures essentielles des aéroports (PIEA) ont totalisé 41,3 millions $.

Citation

« Les neuf premiers mois de l’année affichent des résultats en pleine croissance et de plus en plus près des indicateurs de 2019, grâce à une très forte reprise des activités aériennes au cours de l’été. Avec un trafic de 5,4 millions de passagers lors du dernier trimestre, YUL Aéroport international Montréal-Trudeau a pleinement repris son rôle de plaque tournante majeure du trafic aérien international. Notre organisation est d’autant plus fière d’avoir obtenu le renouvellement de sa certification 4 étoiles du « World Airport Star Rating » de Skytrax, qui l’élève au rang des grands aéroports du monde. Notre industrie a traversé de nombreux défis au courant des derniers mois et je tiens à nouveau à remercier les employés de la communauté aéroportuaire pour les efforts déployés lors de cette période difficile, mais également depuis le début de l’année. » a indiqué Philippe Rainville, président-directeur général d’ADM.

Résultats financiers

Les produits consolidés se sont élevés à 199,7 millions $ pour le troisième trimestre de 2022, en hausse de 115,3 millions $ ou 136,7 % par rapport à la période correspondante de 2021. Pour les neuf premiers mois de 2022, les produits se sont chiffrés à 460,6 millions $, soit une croissance de 292,9 millions $ ou 174,7 % comparativement à la période correspondante de 2021. Ces résultats positifs résultent de la reprise importante du trafic de passagers qui s’est amorcée à la fin du premier trimestre de 2022 et qui s’est poursuivie tout au long de la saison estivale.

Les charges d’exploitation pour le trimestre en revue ont atteint 56,6 millions $, une augmentation de 20,1 millions $ ou de 55,0 % par rapport au même trimestre de 2021. Pour la période terminée le 30 septembre 2022, les charges d’exploitation ont augmenté de 47,1 millions $ ou 44,7 %, passant de 105,4 millions $ à 152,5 millions $. Cette variation des charges d’exploitation est principalement liée à la hausse des frais opérationnels pour les services aux passagers en raison de la reprise soutenue des activités depuis le printemps 2022 et à la diminution des subventions salariales. En effet, ADM a rencontré les critères d’admissibilité du Programme de relance du tourisme et de l’accueil jusqu’en mars 2022 alors qu’elle s’est prévalue du programme du Subvention salariale d’urgence du Canada pour toute l’année 2021.

Les transferts aux gouvernements (paiements versés en remplacement d’impôts aux municipalités [PERI] et le loyer à Transports Canada) ont atteint 35,0 millions $ pour le trimestre en revue, soit une hausse de 18,4 millions $ comparativement à l’année précédente et représentent 17,5 % des revenus d’ADM (19,6 % en 2021). Pour les neuf premiers mois de 2022, ces derniers se sont élevés à 83,1 millions $, soit une augmentation de 40,6 millions $ par rapport à la même période de 2021 et représentent 18,0 % des revenus totaux d’ADM (25,3 % en 2021).

L’amortissement et la dépréciation des immobilisations corporelles et des actifs au titre des droits d’utilisation ont été de 40,4 millions $ pour le troisième trimestre de 2022, en hausse de 0,4 million $ ou 1,0 % par rapport à la période correspondante de 2021. Au 30 septembre 2022, ces charges se sont établies à 118,4 millions $ en baisse de 3,3 millions $ ou 2,7 % par rapport à la période correspondante de 2021.

Les charges financières nettes totalisent 29,9 millions $ pour les trois mois clos au 30 septembre 2022 en baisse de 3,5 millions $ ou 10,3 % par rapport à la même période de 2021. Les charges financières nettes cumulées au 30 septembre 2022 totalisent 93,2 millions $ comparativement à 98,7 millions $ pour 2021, en baisse de 5,5 millions $ ou 5,6 %. Cette variation s’explique principalement par la hausse des revenus d’intérêts sur les surplus de liquidités.

Pour le trimestre terminé le 30 septembre 2022, l’excédent des produits par rapport aux charges s’est chiffré à 37,9 millions $ comparativement à une insuffisance des produits par rapport aux charges de 41,9 millions $ pour le même trimestre de 2021, soit une hausse de 79,8 millions $. Au 30 septembre 2022, l’excédent des produits par rapport aux charges était de 13,6 millions $ comparativement à une insuffisance de 199,9 millions $ par rapport à la même période en 2021.

Situation financière

La dette nette d’ADM au 30 septembre 2022 est de 2,32 milliards $ comparativement à 2,45 milliards $ au 31 décembre 2021; voir la section « Mesures non conformes aux PCGR » pour plus d’informations.

Pour les années 2021 et 2022, ADM a obtenu le consentement des détenteurs d’obligations d’amender l’acte de fiducie-cadre permettant ainsi à ADM de se libérer temporairement de ses obligations de respecter ou de satisfaire aux exigences de certaines clauses restrictives de ce dernier. Cette exemption a été demandée en raison de l’incertitude entourant la durée de la baisse importante du trafic de passagers et des mouvements aériens résultant de la pandémie de COVID-19.

Mesures non conformes aux PCGR

ADM présente parfois des mesures financières n’ayant pas de sens prescrit par les Normes internationales d’information financière (« IFRS »), appelées des mesures non conformes aux PCGR. Il est donc peu probable que l’on puisse les comparer avec des mesures du même type présentées par d’autres sociétés.

BAIIA
Le BAIIA est défini par ADM comme étant l’excédent des produits par rapport aux charges avant charges financières, impôts, amortissement et dépréciation et quote-part des résultats d’une coentreprise. Ce dernier est utilisé par la direction comme indicateur pour évaluer la performance opérationnelle. Le BAIIA a pour objet d’apporter de l’information supplémentaire et ne devrait pas remplacer d’autres mesures du rendement préparées en vertu des IFRS.

Dette nette
La dette nette correspond à la différence entre le solde brut à payer des obligations à long terme, y compris les contrats de location, et le montant disponible dans la trésorerie et les équivalents de trésorerie ainsi que dans le fonds de réserve affecté au service de la dette.

Principales mesures financières

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Investissements en capital

Les investissements à YUL et à YMX en 2022 ont été financés par les activités d’exploitation.

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Trafic de passagers

Pour le troisième trimestre de 2022, le trafic à YUL a totalisé 5,4 millions de passagers, une augmentation de 173,0 % par rapport à la même période en 2021. Les trois secteurs ont connu une hausse de trafic par rapport au troisième trimestre de 2021 : 272,1% pour le secteur international, 286,6% pour le secteur transfrontalier (États-Unis) et 74,1% pour le secteur domestique.

Pour le trimestre en revue, le trafic de passagers à YUL a atteint 89,4 % du niveau de trafic 2019 soit 93,1 % à l’international, 92,5 % au transfrontalier et 82,8 % au domestique.

Le trafic de passagers des neuf premiers mois de 2022 représente 74,0 % du trafic de la période correspondante de 2019, soit 76,8 % pour l’international, 71,3 % au transfrontalier et 72,1 % pour le domestique.

**Trafic de passagers total ***

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La durabilité chez ADM

Au cours de ce trimestre, ADM a mis en place les initiatives suivantes afin de poursuivre son engagement sur la voie de la durabilité :

  • L’amorce d’une consultation auprès de 13 groupes de parties prenantes dans le cadre d’une démarche de durabilité. Les réponses permettront de valider si les enjeux liés au développement durable identifiés lors de la consultation menée en 2019 doivent toujours être ceux priorisés par ADM et ainsi, d’orienter la révision de ses plans d’action.
  • La tenue d’un projet-pilote d’une durée de quatre mois à YMX Aérocité internationale de Mirabel sur l’utilisation du biodiesel dans les équipements d’entretien des terrains, permettant une réduction des émissions de GES à la hauteur de 8,7 tonnes de GES, soit l’équivalent de deux vols passagers aller-retour reliant Montréal à Toronto.
  • L’adoption d’une directive à l’intention des concessionnaires et opérateurs de salons VIP de YUL Aéroport international Montréal-Trudeau afin d’éliminer le plastique à usage unique, tels que les ustensiles, récipients alimentaires, gobelets et sacs. Cette directive s’implante dans le cadre des objectifs de développement durable d’ADM d’atteindre un taux de récupération de
    70 % en 2025 et zéro déchet en 2030.

Pour en connaître davantage sur les actions d’ADM, visitez sa plateforme d’indicateurs en développement durable ou consultez son rapport annuel 2021 dans lequel est présenté son tout premier Rapport de durabilité s’inspirant des normes GRI (Global Reporting Initiative).

SOURCE Aéroports de Montréal

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Via la page FB de YUL: :yum:

image YUL Aéroport International Montréal-Trudeau

On est super contents de vous annoncer qu’un nouveau restaurant ouvrira ses portes en début d’année 2023 dans la jetée internationale ! 🎉

En attendant son ouverture, pouvez-vous deviner de quel restaurant il s’agit ? Voici quelques indices. 🌶️

image

la

bonne

réponse

est

Carlos & Pepe’s :wink:

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Aww… I wish some place in Montreal will get Chipotle at some point!

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No chipotle in Quebec :frowning:

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