En supposant que la construction ne soit pas terminée d’ici à ce que Montréal déconfine et que les gyms ré-ouvrent, je me demande où est-ce que les gens pourront aller s’entraîner. Avant la pandémie, Le Nautilus, le centre sportif Centre-Sud et les deux econofitness peinaient à répondre à la demande tellement elle était forte dans le quartier. En un an, on aura déjà perdu nos deux econofitness, tous deux relativement neufs par ailleurs.
Je ne serais pas surpris que l’Arrondissement ait reçu beaucoup trop de courriels pour ne pas retarder les démarches, compte tenu de l’ampleur des réactions sur les réseaux sociaux.
Ce n’est pas impossible que la décision vienne du promoteur.
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Je ne sais pas si c’est ce terrain, ou celui du projet de l’autre bord de la rue, mais un édifice s’est effondré à cette intersection, et son voisin, avec le même propriétaire, menace de faire pareil:
C’est le bâtiment de gauche de 2 étages, qui s’est effondré, il avait brulé en octobre 2021
Lui qui menace de s’effondrer, c’est lui de 3 étages à droite. Je ne crois pas qu’aucun des 2 n’étaient concernés par ce projet. Cependant, si le fait que ces 2 terrains se libèrent, j’espère que ça va faire déboucher ce projet et d’autres dans le coin pour refermer les trous dans la trame urbaine et redonner une vitalité à coin qui littéralement, fait dur
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Je serais étonné de voir ces projets sortir de terre. Beaucoup trop de problèmes de drogues / troubles mentaux et autochtones déracinés concentrés au même endroit.
La notion de diversité me semble quelque peu galvaudée par cette administration très inclusive au point de diluer tout ce qui faisait l’attrait de cette partie du quartier en concentrant un amalgame de problèmes au travers desquels les piétons / visiteurs doivent circuler en évitant les corps étendus à terre…
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“Les corps étendus à terre” vraiment extrêmement exagéré comme description. J’ai vécu dans le quartier près de deux ans et le fréquente depuis plus d’une décennie et je n’ai jamais eu à slalomer entre des personnes itinérantes couchée sur la voie.
Par ailleurs, les alentours de la station Berri-UQAM ne sont pas vraiment là où se trouvent les Autochtones en situation d’itinérance: ils se concentrent plutôt au coin Milton-Parc et au métro Atwater.
Votre message semble pour moi refléter une méconnaissance de la situation et ne fait que renforcer les stéréotypes et préjugés.
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Aux dernières nouvelles c’était l’absence de financement pour la portion sociale du projet qui bloquait le démarrage.
Le promoteur était évidemment bien au fait des caractéristiques du quartier avant de commencer à y investir. D’ailleurs Mondev est loin d’être à son premier projet dans le secteur.
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Réalistiquement, la raison qui justifierait que ce projet ne sorte pas de terre ce serait à cause des fluctuations majeures dans le monde de l’immobilier en ce moment. Et ce ne serait pas surprenant qu’il ne voie en effet pas le jour, tout comme plusieurs autres projets en planification en ce moment dans la région.
Il paraîtrait que ACDF, comme d’autres firmes d’architectes qui se concentrent beaucoup sur le développement résidentiel privé, connait en ce moment des enjeux de workflow important, se traduisant par une diminution des effectifs. À confirmer.
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Il faut se rappeler également la mobilisation citoyenne à l’époque (les gestionnaires de nos comptes sur les Réseaux sociaux s’en rappellent bien 
). Pour simplifier, on craignait une certaine perte d’identité du Village pour laquelle la multiplication des projets immobiliers comme celui-ci pourrait contribuer.
Le Comité de démolition avait reporté l’évaluation du projet. Depuis, il y a eu les démarches de la VdM, de la SDC et le Forum de travail pour le Village pour réfléchir à l’avenir de l’endroit.
Mais parallèlement, il y a la situation économique actuelle et ses impacts, et Mondev continue le laisser-aller des bâtiments sans les occuper.
Gageons qu’ils deviendront tellement dangereux que l’arrondissement n’aura pas le choix de permettre leur démolition. Ça s’est déjà vu.
Desole mais j’ai plusieurs photos assez révélatrice de la situation que je ne peux naturellement pas publier mais le phénomène existe bel et bien - peut-être meme un peu plus accentué en été. C’est malheureux car c’est la principale porte d’entree entre St-Hubert et Amherst ( je n’utilise pas la bonne denomination car je la trouve essentiellement non representative de l’histoire plus recente du quartier et qui l’a marqué réellement). Quartier, qui par ailleurs n’est pas plus mal que bien d’autres regions de la ville que je visite aléatoirement en faisant mon 10kms de marche quotidienne.
Je n’ai cependant aucune solution credible que je pourrais proposer. Ce n’est qu’un constat qu’on ne finit par ne plus voir parce qu’on y est habitué et qu’on ne regarde plus. Un constat qui choque malheureusement et qui sera aggravé par la nouvelle maison d’accueil pour Autochtones.
Je m’excuse pour cette entrave au fil de discussion.
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Je pensais que c’était la décision du comité de démolition, à la troisième révision, d’exiger la préservation des immeubles existants et de revoir l’ensemble de la proposition pour les intégrer aux futurs immeubles qui avait mené à ce dernier report avant le début de la pandémie.
Aucun logement social n’était prévu puisque le projet était proposé de plein droit et avait été soumis avant l’application du règlement sur le développement mixte.
Mondev a soumis plusieurs autres projets dans le secteur avant l’entrée en vigueur du règlement et aucun projet, même après l’approbation, montent de terre encore (Sainte-Catherine/Papineau, rue Fullum au sud de Sainte-Catherine, deux projets sur de Maisonneuve près de Parthenais (mais ils semble essayer de débarrasser de ces deux projets…). Surement pas une coïncidence.
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Je n’interromperais pas plus le fil non plus mais je vous invite à vous interroger sur la pertinence de prendre des photos de personnes en situation vulnérable, qui plus est sans leur consentement je présume. Bonne journée.
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À titre informatif aussi, Mondev a 11 projets dans la section en construction en ce moment sur le forum. Ils sont peut-être simplement à leur capacité de pousser des projets en parallèle.
La street photographie, ce n’est pas seulement prendre ce qui est beau mais plutôt le reflet d’un moment constituant cette entité qu’on nomme une ville avec son côté ‘humain’ parfois sombre, dur mais aussi heureux ou travaillant dans la plupart des cas.
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Bof… vous critiquez l’administration en place, mais ce n’est pas la Ville qui a le pouvoir dans cette situation. Ils font déjà tout ce qu’ils peuvent. Ces gens là, pour être aidés, c’est au niveau fédéral et provincial qu’on doit agir. La Colombie-Britannique vient tout juste de dépénaliser la possession simple de plein de drogues. Déjà si on avait ça je crois que ça pourrait aider.
On critique que c’est laid, on critique que c’est laid, mais qu’est-ce que vous proposez qu’on fasse? Qu’on les envoie ailleurs ou ils deviendront la laideur d’un autre quartier? Vous dites qu’une tour à condo ne sera pas construire ici à cause de la présence des itinérants… C’est un beau signe que le monde préfère faire comme si le problème n’existait pas.
Je pense que la Ville doit agir sur un point très important par contre: la propreté. C’est rendu qu’il y a des excréments sur le trottoir sur les rues adjacentes (Wolfe, Atateken, etc.). J’utilise l’application 311 régulièrement et c’est ramassé assez rapidement, mais la Ville doit agir de façon proactive sans que les citoyens doivent appeler chaque fois.
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Les centres pour personnes handicapées doivent redevenir disponibles pour les gens qui souffrent. Les rues et places publics ne sont pas des lieux pour leurs bienséance- la société et les gouvernements ont mis au chemin ceux qui ont besoins d’un refuge.
Les squares d’un centre ville n’est pas un dortoir.
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J’ai remarqué depuis quelques jours qu’il y a beaucoup moins d’itinérants et que Sainte-Catherine est plus propre autour de la Place Dupuis. Je ne sais pas pourquoi par contre.
L’entreprise prévoit finalement construire un seul bâtiment au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Hubert, plutôt que les deux tours de 18 étages (totalisant 500 logements) prévues. Seule la tour sur le coin sud-ouest de l’intersection serait construite.
« Effectivement, pour l’instant, on se concentre sur l’îlot ouest », a indiqué l’architecte Maxime-Alexis Frappier, d’ACDF, responsable du projet pour Mondev. « Ça ne veut pas dire que l’[îlot] est ne se fera pas, mais il n’est pas inclus dans le projet qu’on va déposer d’une journée à l’autre. »
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