Si une personne le sait plus que quiconque, c’est Valérie Tétreault, qui a annoncé en point de presse la tenue d’une étude de faisabilité pour la mise à niveau du Stade IGA en prévision d’un tournoi qui prendra de l’ampleur à compter de 2025.
Tétreault, qui entamera sa troisième année à la direction de l’Omnium Banque Nationale de Montréal, espère mandater une firme pour mener cette étude de faisabilité dès janvier 2025 et en livrer les conclusions pendant la prochaine édition du tournoi, qui s’échelonnera du 26 juillet au 7 août.
Elle admet que l’échéancier est assez serré compte tenu de l’ampleur de la tâche. Mais cette tâche, a-t-elle aussi reconnu, est nécessaire.
En 2025, l’arrondissement de Verdun prévoit aménager une piste à rouleaux (pumptrack) au parc Adrien-D.-Archambault, sur une partie de terrain en friche près du boulevard de la Forêt.
Cette nouvelle installation sportive et de loisirs, accessible à tous les âges, sera un ajout important dans le quartier de L’Île-des-Sœurs.
Le projet en bref :
- Deux parcours en boucles fermées pour la pratique de différents sports à roues comme la trottinette, le patin à roues alignées, le vélo, etc.
- Des parcours accessibles pour les personnes à mobilité réduite
- Une aire d’accueil multifonctionnelle
- Une zone de détente
- Une fontaine à boire
- Du mobilier urbain inclusif
- Un sentier accessible
- De l’éclairage sur activation, par un bouton pressoir
Ce nouvel équipement permettra de mettre en valeur un terrain vague non aménagé, dont les sols sont en partie contaminés, résultat du remblayage des berges réalisé dans les années 1960.
- Superficie totale du lot concerné par le projet : 17 232 m2
- Superficie totale du terrain désigné par le projet : 3747 m2
- Superficie totale de la surface asphaltée de la piste : 850 m2
La piste à rouleaux sera située à 30 mètres des résidences et à 80 mètres du boisé du domaine Saint-Paul.
Des terrains intérieurs de bocce ont été inaugurés au centre récréatif de Rivière-des-Prairies
Le bocce ou la pétanque est très populaire à RDP. Il y avait des tournois à toutes les années dans le parc à côté de mon école primaire.
La mairesse de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, madame Caroline Bourgeois, les membres du conseil d’arrondissement ainsi que des joueuses et joueurs du Club de bocce de Rivière-des-Prairies ont eu le plaisir d’inaugurer les nouveaux terrains de bocce du centre récréatif de Rivière-des-Prairies le 13 décembre dernier.
Rappelons qu’un contrat de 298 935,00 $, taxes incluses, a été attribué à l’entreprise Nexxfield inc. Le projet a également bénéficié d’une aide financière dans le cadre du programme d’infrastructures municipalité amie des aînées du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) à la Ville de Montréal d’un montant de 97 700 $.
Le centre récréatif de Rivière-des-Prairies et ses terrains de bocce sont fréquentés de façon hebdomadaire par une clientèle aînée. Des organismes tels que le Fiamme D’Oro, la AIAPA, l’Abruzzese et le Club de bocce de Rivière-des-Prairies organisent hebdomadairement une série d’activités de loisirs communautaires, sportives et culturelles à leur intention. Ces occasions favorisent le vieillissement actif en encourageant les personnes aînées à s’impliquer davantage dans leur communauté, à sociabiliser et à briser l’isolement. Le Club de bocce de Rivière-des-Prairies a par ailleurs accueilli plusieurs championnats provinciaux, nationaux et même internationaux sur les terrains du centre récréatif.
Le bocce est un sport très spécialisé, et il n’existe que trois centres permettant sa pratique en intérieur au Québec, dont deux sont privés. Après avoir lancé deux appels d’offres infructueux, l’arrondissement a multiplié les démarches afin d’effectuer des travaux qui consistaient à retirer les quatre surfaces de jeu existantes et à les remplacer. In extremis, un fournisseur a contacté l’arrondissement, affirmant pouvoir réaliser le contrat et installer des surfaces de jeu en résine polymère acrylique. C’est ainsi qu’après avoir effectué l’ensemble du processus légal d’appel d’offres, le conseil a entériné en juin dernier l’octroi du contrat de réfection des surfaces de jeu existantes datant de 20 ans à la firme Nexxfield inc.
Les nouveaux terrains de bocce du centre récréatif de Rivière-des-Prairies ont été inaugurés le 13 décembre dernier
Résumé
La station de ski de Bromont souffle ses 60 bougies
Par Jean-Luc Lorry, La Voix de l’Est
18 janvier 2025 à 04h00
D’une superficie de plus de 180 hectares, la station Bromont, montagne d’expériences compte 127 pistes dont 82 sont éclairées. (Bromont montagne d’expériences)
Aménagée sur le mont Brome en 1964, la station de sports d’hiver Bromont, montagne d’expériences (BME) fête ses 60 ans de ski.
Cette aventure qui place aujourd’hui la station comme l’un des plus grands domaines skiables éclairés en Amérique du Nord a débuté modestement avec le Mont Soleil et ses trois pistes sur le Mont Brome.
«Le Mont Soleil avait alors quatre pistes et les trois premières aménagées sur la montagne étaient les pistes Cowansville, Waterloo et Granby qui a été renommé Coupe du monde — en référence à la finale de la Coupe du Monde de ski alpin qui s’est déroulée à Bromont en 1986», se remémore Charles Désourdy, en entrevue à La Voix de l’Est.
Sportif aguerri, ce dirigeant garde fraîchement en mémoire l’année de l’ouverture de la station familiale.
«Le 25 décembre 1964, le jour où mon père Roland Désourdy a inauguré la station Bromont, il faisait 25 degrés Celsius. C’était un record. Il a fallu attendre le mois de janvier avant qu’on puisse commencer à skier.»
— Charles Désourdy, président de Bromont, montagne d’expériences
Lancé comme entreprise de loisirs, BME représente aujourd’hui un employeur majeur dans la région avec l’emploi d’environ 2000 personnes durant l’année.
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Le 6 octobre 1980, La Voix de l’Est annonçait l’arrivée du ski de soirée et de la fabrication de neige à la montagne. Le projet représentait à l’époque un investissement de 900 000 $. (Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ))
En février 2002, l’on pouvait lire dans La Voix de l’Est un article sur l’arrivée d’un nouveau télésiège quadruple. (Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ))
En 2013, Charles Désourdy avait l’ambition de faire passer la capacité d’accueil de la montagne de 7000 à 12 000 visiteurs. (Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ))
En octobre 2018, le sommet du mont Brome a été remodelé et dégagé pour accueillir l’arrivée d’une remontée mécanique hybride et la construction d’un chalet. (CHRISTOPHE BOISSEAU-DION/Archives La Voix de l’Est)
Le Chalet du Sommet, inauguré le 30 novembre 2019 a nécessité un investissement de six millions de dollars. Le bâtiment qui offre une vue imprenable sur les paysages environnants s’est vu décerner le Prix du Public, dans le cadre du Gala des prix d’Excellence de l’Ordre des architectes du Québec, en 2020. M. Désourdy avait souligné que le chalet a été conçu par la firme d’architectes Lemay un peu «à l’image d’un trait sur la montagne». « Si vous remarquez, de partout, le chalet est visible, mais il n’accapare pas le paysage. (…) Il est venu compléter la vision de la montagne, sans la dénaturer », avait-il estimé. (FOURNIE/Fournie)
La remontée mécanique avec télécabines inaugurée le 20 décembre 2018 allait permettre à la station touristique de se faire plus attirante et d’augmenter son achalandage, avait calculé le président, Charles Désourdy. (photo Christophe Boisseau-Dion/Archives La Voix de l’Est)
En 2021, BME terminait la construction et l’aménagement d’un nouveau chalet au pied des pentes du Mont-Soleil. (LA VOIX DE L’EST, JESSY BROWN/Archives La Voix de l’Est)
Environ 200 millions d’investissements
Au fil des ans, l’entreprise souhaite être au sommet des attentes de la clientèle en investissant continuellement.
«Depuis mon arrivée dans l’entreprise en 1998, nous avons investi environ 200 millions de dollars incluant un hôtel de 134 chambres qui sera collé directement sur les remontées mécaniques», précise M. Désourdy.
La station dispose de 127 pistes dont 82 éclairées réparties sur sept versants. Pour composer avec les aléas du climat, l’entreprise compte près de 1500 canons à neige.
À une certaine époque, la station de ski de Bromont ne comptait que quelques pistes. (Bromont, montagne d’expériences)
Pour la saison 2024-2025, Charles Désourdy estime que le contexte économique et le réchauffement climatique affectent dans une même proportion l’entreprise.
«Nous devons composer avec moins d’épisodes de froid. Notre défi sera d’augmenter notre capacité d’enneigement pour agrémenter notre clientèle jusqu’au printemps. Jusqu’à maintenant, le mois de janvier est très bon. Ces dernières semaines, nous avons une très belle qualité de neige», souligne M. Désourdy.
Charles Désourdy, président de Bromont, montagne d’expériences continue de vivre pleinement sa passion de skier sur les nombreuses pistes que compte la station. (Bromont, montagne d’expériences)
«Nous constatons cette année moins de ventes d’abonnements. Mais heureusement, la neige naturelle fait venir les skieurs», ajoute-t-il.
Pour les amateurs de glisse, le dénivelé de cette station est de 370 mètres.
«Nous sommes une montagne large, mais pas haute. Après une bonne journée de ski, les sourires sont sur tous les visages», mentionne M. Désourdy.
Avalanche de festivités
Pour fêter en grand ce 60e anniversaire, l’entreprise a organisé une avalanche de festivités ce samedi 18 janvier.
Celles-ci débuteront en force au pied des pentes du Versant du Village avec un spectacle de l’humoriste Alex Barrette qui sera suivi d’un concert des Trois Accords.
Les célébrations se poursuivront en soirée avec des feux d’artifice et le Bal des lumières. Cette activité proposera une descente de la piste Bedford dans l’obscurité. Les skieurs et planchistes disposeront de bâtons lumineux comme unique lumière.
La soirée se terminera par un spectacle de Qualité Motel au pied des pentes.
Sur le partage des installations sportives et culturelles des écoles
Le ministère de l’Éducation a annoncé le mois dernier qu’il coupait le financement supplémentaire accordé aux écoles qui mettaient leurs installations sportives sans frais à la disposition des citoyens les soirs et week-ends. Ces fonds servaient notamment à payer des employés d’entretien qui travaillaient après les heures de classe.
Selon la Ville de Montréal, cette décision menace l’entente sur le partage d’équipements sportifs et culturels entre les arrondissements montréalais et les écoles. Les élus municipaux ont dénoncé la situation à l’unanimité lundi au conseil municipal.
« Ça va avoir un impact majeur sur la qualité des services aux citoyens, à la grandeur de l’île », a déploré la mairesse Valérie Plante, en demandant à Québec de faire marche arrière.
Tous ces équipements sont payés par les contribuables, par des fonds publics. Il est donc normal qu’ils puissent être utilisés par tous, a-t-elle fait valoir.
Cette entente optimise les ressources. On se tire dans le pied à ne pas encourager le partage des infrastructures.
Ce n’était pas suffisant pour la CAQ de mettre le fardeau de l’achat de terrain pour les écoles sur le dos des municipalités 
Voici la version de l’article à Radio-Canada
La mauvaise gestion des finances de la CAQ avec son déficit historique retombe maintenant sur les villes, en privant la population de services indispensables pour le bien-être des jeunes notamment.
Et on ne s’en débarrassera pas de sitôt. Plusieurs membres de la CAQ préparent sûrement leur retour au PQ puisque le parti a le vent dans les voiles.
Ces transfuges (surtout les ministres) traineront avec eux leur capital négatif, leur réputation, leur forte identification à la CAQ et leurs échecs. Je doute alors qu’on leur donne de nouvelles responsabilités ou des postes de grande visibilité car la population ne les appuiera pas.
Dans un autre ordre d’idée voici un autre article ce matin:
Santé physique et mentale
Des milliers de personnes pratiquant divers sports risquent d’en subir les conséquences partout au Québec. Annuler ces activités, ou alors doubler ou tripler les tarifs d’inscription aurait des conséquences majeures sur la santé physique et mentale des gens, estime Isabelle Ducharme, directrice générale de Sports Québec.
« Parmi nos 67 fédérations sportives, les trois quarts sont touchés plus ou moins directement », dit-elle, notant que l’impact se ferait sentir tant pour une personne âgée qui fait du yoga dans un gymnase scolaire que pour un enfant qui suit des cours de natation dans la piscine d’une école.
Les équipes de volleyball, par exemple, utilisent presque exclusivement les plateaux sportifs des écoles, souligne le directeur général de Volleyball Québec, Guillaume Proulx-Goulet.
Il faut absolument trouver une solution pour maintenir ces activités. On sort tout juste de la pandémie, et on se souvient à quel point les conséquences ont été négatives pour les gens quand ils ne pouvaient plus pratiquer certains sports.
Isabelle Ducharme, directrice générale de Sports Québec
N’est-ce pas le même gouvernement qui a refilé des millions à la riche LNH il y a quelques mois pour des partis de hockey dans son rêve chimérique d’attirer une équipe à Québec?
Lisez Accès aux installations sportives des écoles : le sport amateur compromis
Devant la perspective de devoir assumer la facture, les élus municipaux dénoncent l’accumulation de nouvelles dépenses que leur impose le gouvernement du Québec.
Valérie Plante a donné l’exemple de l’itinérance, où les investissements insuffisants du ministère de la Santé et des services sociaux obligent les Villes à développer des services.
Mais elle a surtout fait valoir que, depuis 2020, les municipalités doivent payer des millions de dollars pour fournir des terrains pour les futures écoles. « Ce sont les Montréalais qui ont payé les terrains avec leurs taxes, et ensuite on leur demanderait de payer pour avoir accès au gymnase de cette école ? Ça n’a aucun sens », a lancé la mairesse.
C’est aujourd’hui que les employés de Tennis Canada ont leur rencontre de démarrage pour lancer le plus gros projet de la fédération depuis des décennies : construire un toit au-dessus du terrain principal du stade IGA.
Chapitre un De Val-David à Val-Morin
Chapitre deux De Val-Morin à Sainte-Adèle
Chapitre trois De Sainte-Adèle à Prévost
Le prix de certaines activités hivernales au parc Jean-Drapeau est vraiment tourné vers les touristes dont le taux de change leur permet de profiter de gros prix à rabais. Et pourtant l’accent devrait être mis sur une accessibilité tarifaire pour les résidants Montréalais. Ceux-ci devraient minimalement bénéficier d’un tarif préférentiel pour louer des skis, des patins, raquettes ou vélos d’hiver dans leur propre parc public. Actuellement, la gratuité est offerte aux 17 ans et moins accompagné d’un adulte payant. Un rabais Accès-Montréal à tous les adultes résidants devrait être normalisé en cette période inflationniste.
L’accès au site est déjà gratuit, la plupart des utilisateurs ont déjà leur équipement. Donc beaucoup d’usagers ne paie pas un sou pour utiliser ces sites. Ce serait peut-être plus juste de charger un montant à l’entrée…
Une innovation chinoise fort intéressante
Le dôme du terrain de soccer de l’université Concordia n’a résisté aux 74 cm de neige
Massive snowfall wreaks havoc on 2 inflatable Montreal-area sports domes
The collapse of Concordia University’s Stinger Dome is leaving some recreational soccer players in the lurch. Meanwhile, in Laval, Que., the Centre du Golf UFO deflated after snow tore through it, leaving a large hole.
