Service de vélos en libre-service BIXI - Actualités

Au 20.004 (dossier 1238848027) de l’ordre du jour de la séance du comité exécutif du 13 mars

OBJET
Accorder, conformément à la loi, un contrat de gré à gré à Hydro-Québec, d’une durée de 12 mois, pour le raccordement électrique lié à l’électrification de 125 stations BIXI sur le domaine public de la Ville de Montréal, pour la somme maximale de 3 125 000 M$ (taxes incluses) - fournisseur unique
[…]
DESCRIPTION
Les travaux liés à l’électrification des stations BIXI Montréal requierent des raccordements électriques et civils au réseau d’Hydro-Québec (HQ). Une entente de partenariat existante entre la Commission des services Électriques de Montréal (CSEM) et Hydro-Québec (HQ) permet à cette dernière de facturer à la Ville les coûts des travaux électriques et civils exécutés.

Les travaux de raccordement des 125 nouvelles stations électrifiées sont répartis dans 19 arrondissements de la Ville de Montréal et ce sur le domaine public. Les sites VAELS à électrifier ont été identifiés par l’opérateur BIXI Montréal selon des critères bien définis afin de réduire les coûts d’exploitation dus à la permutation des batteries. Les concepts d’aménagement retenus ont été validés et entérinés par les arrondissements, le Service de l’urbanisme et de la mobilité de même que BIXI Montréal.
[…]
Le SUM estime que le montant de 25,000$ par station reste stable pour 2023-2024 à la suite de la forte augmentation du coût moyen de raccord HQ,

Il y aussi un contrat avec PBSC pour l’acquisition d’équipement Bixi
20.008 / dossier 1238848032

OBJET
Accorder un contrat de gré à gré à PBSC Solutions Urbaines Inc. pour l’acquisition d’équipements compatibles avec le système de vélos en libre-service BIXI de la Ville de Montréal pour une période de 12 mois - Dépense totale de 6 965 968,48 $, taxes incluses - (fournisseur unique)

DESCRIPTION
Le montant de 6 965 968,48 $ comprend l’achat de 1300 vélos mécaniques, 68 vélos à assistance électrique, 32 terminaux électrique(stations), 736 points d’ancrage complets avec électroniques et câbles, 284 pavés techniques, 32 panneaux d’affichage, 147 ensembles ECO 5.1, 1015 points d’ancrage et tout le matériel nécessaire au fonctionnement du système.

Les équipements à acquérir sont décrits dans le devis technique :

  • Vélos mécaniques 3 vitesses;
  • Vélos à assistance électrique 3 vitesses;
  • Terminaux électriques EBS hybride;
  • Point d’ancrage complet avec électronique et câble (CLW Dock);
  • Pavé technique complet (compatible EBS kiosk);
  • Panneau d’affichage statique;
  • Ensemble ECO 5.1;
  • Point d’ancrage CLAW (câble inclus)
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Les données d’achalandage révèlent que 95 020 déplacements ont été faits en décembre, contre 54 548 en janvier et 70 274 en février. À plusieurs reprises, Bixi a enregistré plus de 4000 déplacements par jour, notamment le 27 février avec 4416 déplacements, alors qu’un record de chaleur a été enregistré avec un mercure atteignant les 15 °C dans la métropole. Le 5 mars, le beau temps a fait sortir les bixistes, qui ont fait 4848 déplacements.

Texte complet : Malgré quelques pépins, les Bixi ont survécu à l’hiver

Malgré quelques pépins, les Bixi ont survécu à l’hiver


Photo: Adil Boukind, Le Devoir
Dans le cadre d’un projet-pilote, quelque 1500 vélos en libre-service ont circulé à Montréal au cours des derniers mois.

Jeanne Corriveau
21 h 09
Transports / Urbanisme

Le projet-pilote de vélos d’hiver de Bixi à Montréal a fait des heureux. Malgré le nombre limité de stations et quelques problèmes techniques, comme les difficultés avec les points d’ancrage en raison de la glace et de la neige, Bixi a enregistré plusieurs journées de plus de 4000 déplacements depuis le début du mois de décembre.

Après une année record avec plus de 576 000 utilisateurs pour la saison normale de 2023, Bixi avait décidé de rendre disponibles 1500 vélos pendant la saison hivernale dans le cadre d’un projet-pilote dans sept arrondissements montréalais. Les engins ont été adaptés pour affronter l’hiver, avec l’ajout de pneus cloutés et de cale-pieds antidérapants.

Les données d’achalandage révèlent que 95 020 déplacements ont été faits en décembre, contre 54 548 en janvier et 70 274 en février. À plusieurs reprises, Bixi a enregistré plus de 4000 déplacements par jour, notamment le 27 février avec 4416 déplacements, alors qu’un record de chaleur a été enregistré avec un mercure atteignant les 15 °C dans la métropole. Le 5 mars, le beau temps a fait sortir les bixistes, qui ont fait 4848 déplacements.

Sans surprise, ces données sont bien moindres qu’en saison estivale. À titre de comparaison, Bixi a enregistré plus de 1,8 million de déplacements en juillet et en août 2023, et plus de 1,9 million en septembre. Mais dans ses prévisions pour la saison hivernale, l’organisme prévoyait que 4000 usagers par jour enfourcheraient un Bixi.

Bixi n’a pas voulu commenter le déroulement du projet-pilote ni accorder d’entrevue à ce sujet, préférant attendre la fin officielle du projet, à la mi-avril, avant de dresser un bilan de cette première expérience.

Un « succès »

Le p.-d.g de Vélo Québec, Jean-François Rheault, estime toutefois que l’expérience a été un « succès sur toute la ligne » jusqu’à maintenant. « Je pense que, pour un projet-pilote, ce sont vraiment des chiffres intéressants. Il y a eu plusieurs journées au-delà de 4000 déplacements. Ç’a permis de prolonger la saison pour bien des utilisateurs. »

Il juge que Bixi a été sage de limiter le nombre de stations et de vélos en circulation afin d’être en mesure de tester le comportement des vélos et de gérer les problèmes liés au déneigement. « Ça faisait longtemps que les gens voulaient un projet-pilote, mais, selon moi, les résultats sont vraiment bons, ajoute-t-il. Ils ne l’ont pas eu facile avec les grosses tempêtes au début de l’hiver, mais après, les choses se sont replacées et l’hiver a été très clément. Je crois que la demande a dépassé l’offre. On a entendu beaucoup de gens dire qu’ils auraient utilisé le Bixi, mais qu’il n’y avait pas suffisamment de stations à leur destination. »

C’est d’ailleurs la principale critique de Martin Baron, un cycliste croisé sur la piste cyclable de la rue Rachel roulant sur un Bixi. « Il fallait parfois se déplacer beaucoup pour trouver une station où laisser le Bixi. J’espère que l’an prochain il y en aura davantage », a-t-il dit, tout en qualifiant de positive cette première expérience.

Au début de l’hiver, des utilisateurs se sont plaints de l’accumulation de neige au pied des bornes, qui rendait difficile la remise des vélos aux points d’ancrage. Jean-François Rheault estime toutefois que ces problèmes ont été corrigés par la suite, les températures plus clémentes faisant le reste. « Mais utiliser une voiture en hiver, c’est plus compliqué qu’en été. C’est un peu pareil pour les vélos en libre-service. »

D’autres cyclistes avec qui Le Devoir s’est entretenu ont jugé que les pneus cloutés offraient généralement une bonne adhérence. L’un d’eux a indiqué qu’il avait dû privilégier les pistes cyclables pour des raisons de sécurité. « Le déneigement rendait les trajets moins sécuritaires dans les rues », estime Thomas, qui a utilisé Bixi quotidiennement. Certains ont aussi évoqué la difficulté d’ajuster la hauteur des sièges des vélos, le froid ayant tendance à rendre cette opération laborieuse.

La saison normale de Bixi débutera le 15 avril. Mercredi, la Ville de Montréal a annoncé l’ajout de 1300 vélos à sa flotte et l’achat de 32 stations supplémentaires.

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Texte complet : Le BIXI électrique a le vent dans le dos

Le BIXI électrique a le vent dans le dos

Un vélo électrique bleu de Bixi.
Les vélos à assistance électrique représentent 25 % du parc de BIXI et sont 30 % plus utilisés que les vélos classiques. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Mathias Marchal
Publié à 11 h 54 HAEMis à jour à 13 h 10 HAE

Face au succès des BIXI électriques, la Ville de Montréal a décidé de sortir son chéquier pour relier 125 stations au réseau d’Hydro-Québec au coût de 3,1 millions $.

Pour justifier le coût du raccordement (25 000 $ par station en moyenne), la Ville invoque la popularité grandissante des 2395 vélos bleus.

Ils ont conquis les adeptes du vélo en libre-service et ont même attiré de nouveaux clients jusqu’au point où l’utilisation par jour a bondi de 17 % par rapport aux vélos standards depuis 2021, mentionne un document décisionnel de la ville de Montréal dont Radio-Canada a examiné le contenu.

Les BIXI électriques bleus en bref :

  • représentent désormais le quart des BIXI montréalais;
  • sont 30 % plus utilisés que les BIXI gris;
  • permettent d’effectuer des trajets plus longs de 21 % (en moyenne);
  • sont plus onéreux à utiliser.

En résumé et d’après nos calculs, si un BIXI classique est utilisé en moyenne près de 6 fois par jour, un BIXI électrique est enfourché 7,8 fois. Ces calculs n’ont pas pu être confirmés par BIXI Montréal au moment de publier ces lignes.

Une dizaine de vélos BIXI bleus.
Les bornes pour stationner les BIXI fonctionnent pour la quasi-totalité à l’énergie solaire, ce qui ne permet pas de recharger des vélos électriques. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / BENOÎT CHAPDELAINE

L’électrification des stations d’ancrage se justifie par des raisons opérationnelles.

En attendant l’électrification de ses stations, BIXI doit compter sur sa main-d’œuvre pour changer manuellement ses batteries de VAELS (vélos à assistance électrique en libre-service) rechargées de diverses manières, ce qui représente des coûts d’opération évitables, mentionne le document de la Ville.

Actuellement, les bornes pour stationner les BIXI fonctionnent pour la majorité à l’énergie solaire, ce qui permet de faire fonctionner la borne de paiement, mais pas de recharger des vélos électriques.

Lors de la réunion du comité exécutif du mercredi 13 mars, un autre contrat de 6,9 millions $ était à l’ordre du jour pour l’achat de matériel et de près de 1400 vélos.

L’octroi de ce contrat permet de noter que le coût d’acquisition d’un BIXI classique gris est de 1437 $, tandis que celui d’un BIXI électrique bleu est de 3317 $.

La Ville indique qu’elle a soumis une demande de subvention dans le cadre du Programme d’aide financière au développement des transports actifs dans les périmètres urbains (TAPU), qui permet d’obtenir jusqu’à 2 millions $ en remboursement.

Premier test hivernal

Un siège de vélo recouvert de glace.
C’est la première année que les BIXI ne sont pas tous remisés pour l’hiver. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / CHARLES CONTANT

L’année dernière, BXI a connu une (autre) saison record avec près de 12 millions de déplacements. Un record qui sera possiblement battu en 2024, puisque les BIXI roulent pour la première fois l’hiver dans la métropole.

La société de vélo en libre-service fera son bilan hivernal plus tard ce printemps, mais les données accessibles en ligne indiquent que 54 548 déplacements ont été effectués en janvier et 70 274 en février.

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Il y a un mélange de vélos d’hiver et vélos d’été aux stations!

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J’ai remarqué que les stations pour l’été sont en installation dans mon coin!

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Ça permettrait un lancement plus rapide de la saison cette année si les stations en dehors des zones du projet pilote d’hiver sont actives dès leur installation

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168 stations actives hier, contre 161 le reste de cet hiver, j’espère qu’ils vont continuer à en installer rapidement et qu’on se retrouve avec une ouverture anticipée
Ils ont dû voir que la météo jusqu’au 16 avril annonçait peu de risques de verglas ou neige et ont donc donnée le feu vert pour les bixis d’été
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Un texte de Strong Towns sur Bixi!

While Marier is excited about the success of BIXI’s business, he points to a broader victory that benefits everyone in Montreal. BIXI offers “more than a bikeshare system; it’s easy public transportation,” accounting for as many trips as a bus network. And with 25% of all Montrealers using BIXI in 2023, “bicycling as a transportation solution is rapidly increasing.”

Texte complet : How a Cold, Hilly Canadian City Became a Year-Round Cycling Success Story

How a Cold, Hilly Canadian City Became a Year-Round Cycling Success Story

The average daily temperature in February is 26 degrees Fahrenheit, with overnight lows at 12 degrees. There are 12 days of precipitation (primarily snow). There’s a massive, 764-foot-high hill (locals call it a Mont) smack dab in the middle of the city. Who would go cycling in such conditions? Montrealers, and the city’s bikeshare program has the stats to prove it.

Montreal’s bikeshare program, called BIXI, has grown exponentially since launching in 2009. With over 10,000 bikes, it has the largest fleet in Canada and one of the largest in North America. BIXI has a user base of more than 500,000 riders, who took almost 12 million trips in 2023, more than double the 5.8 million in (pre-COVID) 2019. This demand led BIXI to add winter service for the first time this season.

Opponents of investing in human-powered infrastructure often point to some impediment that makes their city less amenable to cycling than, say, sunny San Diego. 70,274 bike rides in February in one of the coldest and hilliest cities in North America suggests they may be underestimating that demand.

Pierre-Luc Marier, BIXI’s communications director, attributes its impressive growth to a wide range of factors. On the product side, it was important to launch with high-quality cycles, a well-designed network, and a pricing structure that riders are comfortable with.

Decisions made on the planning side, and cooperation from the city and other stakeholders also set BIXI, and Montreal cycling in general, on a solid path. BIXI took a holistic look at how it would fit within the broader transportation framework of the city, says Marier. “Integration with public transit is key. Planning along infrastructure is very important.”

But most important of all is making the network available where users live and travel between. The city of Montreal is just one population center in the metropolitan area, so BIXI created 865 stations including the surrounding municipalities of Westmount, Mount Royal, East Montreal, Longueuil, Boucherville, Terrebonne, and Laval. Using dedicated docking stations eliminates the complaints many bike (and in particular, scooter) vendors have faced for cluttering up cities.

BIXI’s fleet now includes 2,600 e-bikes, and Marier says they’ve been key to expanding service. Mont Royal looms over downtown at an elevation of 764 feet, and is the site of multiple universities, including a campus of Universite de Montréal. Despite being a popular area for rides overall, very few riders made it all the way up the hill until BIXI added e-bikes in 2019. Then the university offered BIXI subscriptions to its employees, and now BIXI finds that 75% of the bikes at those stations are electric-assist.

Marier sees two important elements contributing to this success, the institutional support that encourages more workers to ride, and the fact that a combination of good biking infrastructure and the right type of bike enabled “a new behavior. Because they can go to their meetings and they feel fresh, they don’t feel sweaty at all.”

He says that BIXI is focused on using user data to analyze and improve its routes. “You have thousands of Point A to Point B [trips] every day. So you need to understand it,” says Marier, adding that BIXI shares all data with the city planner’s office, and has benefitted from a collaborative relationship with Montreal area transportation officials, who’ve shown strong commitment to increasing multimodal options.

Author Daniel Piatkowski has studied cities that have effectively embraced cycling for his upcoming book, Bicycle City: Riding the Bike Boom to a Brighter Future. He found that one key factor has been “bringing bicycling into the fold of the larger system.” He cites an example in Minneapolis in which a federal grant funded a bike planner position in the city government, which changed cycling “from being this thing that’s advocate-driven to this thing that is driven from within.”

Piatkowski points out that the city most revered for being bicycle friendly wasn’t always that way. “People talk about Amsterdam in this sort of mythical way, as if the Dutch are born on bicycles.” But like much of Europe and North America, the Netherlands committed heavily to the car in the 20th century. The shock of the 1970s energy crisis led the country to lessen its dependence on foreign oil and to seek more economical transportation options. That, plus the work of highly effective cycling advocates, helped lead to a retooling of urban infrastructure that turned “pretty much all of the Netherlands into a really bicycle-friendly place that’s now leading the world.”

Piatkowski adds that effective cycling policy has broad benefits for a city. “Cycling success stories also really have to have all the other pieces, like walking and public transport … And as you make one better, it makes the other ones better too. So investments in each other always add up.”

While Marier is excited about the success of BIXI’s business, he points to a broader victory that benefits everyone in Montreal. BIXI offers “more than a bikeshare system; it’s easy public transportation,” accounting for as many trips as a bus network. And with 25% of all Montrealers using BIXI in 2023, “bicycling as a transportation solution is rapidly increasing.”

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+11 stations mercredi, total de 178
+13 stations jeudi, total de 192

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I was looking through some news from last year’s start-of-season and I came across a map of the station locations preferred by the borough of Pierrefonds-Roxboro:

I mapped it out to make the locations clearer:

Il semble que les stations nouvellement installées ne soient pas toutes fonctionnelles
On peut y ramener un vélo, mais pas en prendre un

D’ailleurs, il y a plusieurs stations sur la carte avec la mention « Disponible pour l’instant » et non « Réseau à l’année » comme les stations du projet-pilote hivernal

Source : Vélo d'hiver - Montréal | Bixi n’ouvrira pas les stations qu’elle est en train d’installer maintenant avant le début de la saison “régulière” le 15 avril | Facebook

J’ai réussi à prendre un vélo au métro De L’Église. De toute évidence quelqu’un à réussi à le verrouiller aussi, donc il y a peut être quelques stations rogues.

Elle n’apparaît même pas sur la carte! :thinking:
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Sur la carte, il n’y a aucune station au sud du canal.

elles apparaissent de temps en temps sur la carte d’activité du bot, mais avec 0 locations, et il y a eu 1 location à de l’Eglise samedi
Ces stations sont plus fonctionnelles que ce que Bixi annonce officiellement

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Ce serait une belle surprise si Bixi ouvrait sa saison le 1er avril, surtout que c’est à partir de cette date que l’abonnement saisonnier peut être acheté à prix promotionnel

J’ai utilisé des vélos sanss pneus cloutés aujourd’hui. Ça roule nettement mieux avec la belle température d’aujourd’hui

Avec le surplus de vélos, les stations autour de chez moi étaient quasiment toutes pleines

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Bixis rouges aperçus au métro Henri-Bourassa! Ils sont de retour!

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J’ai croisé une personne sur un vélo fluo hier

je me demande s’ils sont déjà en train d’enlever des pneus cloutés et les remplacer par des pneus d’été, et quelle va être la. procédure en général.
J’imagine qu’ils essayent d’éviter de devoir tout faire d’un coup, ca ferait sens de faire ça graduellement avant et après l’entrée en servuce

Perso j’espère qu’il vont garder les pédale d’hiver.

Beaucoup plus grippante que les pédale d’été.