Merci pour tes données, très intéressant. Dans le contexte d’une pandémie, personellement, je ne trouve pas ces données très stressantes pour l’avenir de la rue. Ce serait bien de pouvoir comparer avec une autre rue (ex. St-Laurent)
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Oui tu as raison, il y a espoir que tout redeviendra meilleur éventuellement. Je crois que Saint-Laurent est plus dynamique. Les locaux sont souvent plus petits et il y a une énergie propre à cette rue qui lui est propre et qui fait son charme, un peu négligé, un peu bum, un peu tour du monde etc…
Je suit ce gars sur Youtube qui habite à New York et la situation est pas jojo non plus. Bon j’aime pas trop comparer deux villes avec une réalité différente mais bon. Si on capotait par rapport à la propreté et les locaux vide à Mtl, c’est très chaud à New York hahah.
Moi je trouve, au contraire, que c’est bien de comparer car cela nous fait prendre conscience que nous ne sommes pas les seules à connaitre certaines difficultés. Bien sur que dans les comparaisons il faut prendre en compte les différences entre les 2 villes. New York, par exemple, a une capacité de rebondir beaucoup plus grande que Montréal et qu’une mauvaise situation là-bas n’a pas le même impact la ville qu’une mauvaise situation ici.
Je dirais aussi que la rue Saint-Denis a une plus grande importance (symbolique peut-être) pour Montréal que la 1 ère avenue peut en avoir pour New York. Moi je compare plus, toute proportion gardée, la 1ère avenue à Notre-Dame Ouest dans Saint-Henri ou à Ontario dans l’est par exemple. Des rues plus locales ou il n’y a pas vraiment de touristes.
Cela étant dit, merci pour la vidéo, elle est très intéressante. Et j’aime bien me promener virtuellement dans certaines villes comme cela.
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Faut dire qu’on va voir nos rues vides tous les dimanches pour quelques temps 
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Oui, tout à fait. Mes photos n’ont pas l’intention de démontrer que c’est vide, au contraire, je voulais montrer la rue après la neige dans un contexte super tranquille, ce qui est assez rare. Et j’ai aussi quelques devantures que je trouve super jolie.
Comme la terrasse de ce resto qui est super sympathique.
Ou les petits nouveaux qui participent au succès de ce tronçon de rue autrefois négligé
Voilà un resto qui prend soin de son image et qui est très invitant.
Et bien sur, ce magnifique immeuble totalement différent de l’architecture typique de cette rue mais qui apporte une touche chaleureuse et originale.
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Une chose qu’on peut aussi apprécier de Saint-Denis, sont bâti est généralement de qualité, et bien entretenu@ Il y a des exceptions (surtout des sinistres d’ailleurs), mais c’est quand même à mon avis une des plus belles rues visuellement.
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Le Saint-Sulpice est à vendre
PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE
Le bar Le Saint-Sulpice, institution de la rue Saint-Denis à Montréal, est à vendre.
Le célèbre bar de la rue Saint-Denis et son jardin-terrasse pourraient être remplacés par un projet mixte commercial et résidentiel
Publié hier à 8h00
André Dubuc La Presse
Lieu de souvenirs mémorables pour des générations d’étudiants, le bar Le Saint-Sulpice, institution de la rue Saint-Denis à Montréal, est à vendre. Selon le courtier, les acheteurs potentiels souhaitent bâtir des logements en lieu et place de son immense jardin-terrasse à l’arrière qui a contribué à la popularité de l’endroit.
Situé tout près de l’UQAM et du cégep du Vieux Montréal, Le Saint-Sulpice se compose de deux bâtiments de quatre étages, dont les façades sont protégées. Son voisin est l’ancienne bibliothèque Saint-Sulpice, édifice auquel le gouvernement provincial cherche désespérément une nouvelle vocation.
Le bâtiment qui abrite le Saint-Sulpice, au 1680, rue Saint-Denis, était à l’origine une résidence victorienne érigée à la fin du XIXe siècle par le président de la Banque d’Hochelaga ; par la suite, le lieu a été la résidence du lieutenant-gouverneur Évariste Leblanc, selon la description qu’en fait le site canada-listing.com.
Le bar a été fondé en 1980 par le docteur en psychologie Maurice Bourassa et son conjoint, feu Pierre-Luc d’Orsonnens, diplomate. M. Bourassa en est aujourd’hui l’unique propriétaire. Nos efforts pour lui parler sont restés vains.
L’établissement a fermé ses portes pendant la pandémie. « Le lieu a servi à des tournages récemment. J’ai vu des camions tout autour », dit Sundeep Patel, responsable des opérations de la Société de développement commercial du Quartier latin. Celui qui travaille depuis 13 ans à la SDC garde espoir que l’établissement rouvrira ses portes avec la floraison des lilas et la fin des mesures sanitaires.
Il est vrai que ce n’est pas la première fois que la propriété est offerte à la vente. La Presse rapportait sa mise en vente en mars 2019 sous la plume de notre collègue Yvon Laprade. À l’époque, le propriétaire demandait 15,6 millions. « On avait eu beaucoup d’offres, mais rien ne s’était concrétisé. Il tient à son prix », dit aujourd’hui Eduardo Novoa, courtier immobilier à la division commerciale du Groupe Immobex, pour expliquer pourquoi la vente n’avait pas eu lieu à l’époque.
Cette fois, M. Bourassa a scindé sa propriété en deux : les deux bâtiments dans un lot et le terrain de 1331 m2 à l’arrière dans l’autre. Il demande 7,5 millions pour les bâtiments et 7,5 millions pour le terrain.
« Le but est vraiment de vendre l’ensemble à un seul acheteur », précise le courtier contractant.
Au prix demandé, la plupart des promoteurs qui nous contactent ont l’intérêt d’y faire un projet mixte avec du commercial sur Saint-Denis et du résidentiel à l’arrière, sur Sanguinet où le zonage est résidentiel.
Saguy Elbaz, courtier chez Sotheby’s International
En général, la hauteur permise est de quatre ou cinq étages dans le secteur, précise-t-il.
https://www.lapresse.ca/affaires/2022-01-20/le-saint-sulpice-est-a-vendre.php
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Montréal offre un « bilan de mi-parcours » pour la rue Saint-Denis:
On apprend qu’en 2021, 37 nouveaux commerces ont ouvert, et une augmentation de 11 commerces de l’offre. Donc peut supposer 26 fermetures pour la même période?
L’achalandage piéton a augmenté de 65% par rapport à l’an passé, mais reste en dessous de l’achalandage avant la pandémie:
Selon deux éco-compteurs, l’achalandage piéton a augmenté en moyenne de 65 % entre l’été 2020 et 2021. Entre ces deux années, le nombre de passages est passé de 170 000 à 292 000 au coin de Duluth et de 299 000 à 421 000 au coin de Mont-Royal. En comparaison, en 2019, avant la pandémie, ce sont 382 000 et 680 000 passages qui ont été enregistrés aux mêmes endroits. Les données de 2021, bien que toujours impactées par la COVID-19, affichent donc une nette remontée.
Ce à quoi on peut s’attendre cette année:
Cette année, le Plan de relance prévoit l’ajout de nouvelles installations artistiques, l’aménagement d’un mobilier urbain signature et le déploiement d’un projet d’illumination unique sur la rue, afin de rehausser l’expérience client et de mettre de l’avant le nouvel ADN de Saint-Denis, notamment.
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Quelques observations rapides en allant chercher ma machine à raclette au Centre du Rasoir aujourd’hui.
Une autre place de tacos français ouvre dans le Plateau:
Des travaux visibles dans l’ancien GAP:
Et le gros vent a endommagé la façade de cet édifice, les pompiers sont sur le cas:
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la rue Saint-Denis sera fermée à la circulation à la fin mai pour le Festival de la BD!
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Il était évident que le ‘‘Shawarma’’ n’allait pas fonctionner longtemps. Avant lui il y avait un ‘‘Istanbul’’ je crois mais ca n’a jamais marché. Ce type de resto aurait plus de chance sur Saint-Laurent. On ne peut pas ouvrir n’importe quoi sur Saint-Denis. Je ne vais pas aller manger un hot-dog sur Saint-Denis, par exemple. Mais j’ai aucun problème à aller en manger sur Saint-Laurent. C’est peut-être bizarre mais c’est comme ca.
Par contre, je trouve incroyable le nombre de ‘‘Tacos’’ sur Saint-Denis. Je crois qu’il y en a deux coin Mont-Royal sans parler des vrais tacos mexicains un peu partout. La mode est maintenant au ‘‘Tacos’’ Français ! Est-ce une mode qui nous vient de la France ou est-ce quelque chose de Montréalais ou… ?
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J’espère que ca sera un grand succès afin de raviver la rue Saint-Denis et de repartir sur de bonnes notes. C’est peut-être le genre de festival qu’il faut. Un peu intello, un peu artistique et un peu bigarré.
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Ça semble être son propre truc de France:
Tacos français — Wikipédia (wikipedia.org)
L’article Wikipedia mentionne que la popularité a augmenté en France dans les années 2010, avec plusieurs grosses chaînes. Ça devait être une question de temps avant que ça arrive ici, vu la popularité là-bas. Le comfort food en général est aussi à la mode ces dernières années, avec l’explosion des pizzérias, tacos, poulet frit…
Personnellement je n’ai jamais essayé. Je trouve le branding de nos places de tacos français un brin vulgaire et ça me rebute. Mais bon, je passe peut-être à côté de quelque chose qui vaut la peine 
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C’est gras et très riches, genre steak avec une sauce crémeuse et fromage dans un wrap, servis avec frittes. C’est un bon ‘‘junk food’’ à 3h du matin.
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C’est ça… et ça vient de Lyon en France
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Et c’est absolument dégueulasse.
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It’s an acquired taste… and I’ve stopped trying acquiring it.
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