Retour des Expos?

Hé bien. Qui l’eût cru ?

Pendant que Groupe Baseball Montréal se disait encouragé par les discussions présentement en cours avec le conseil exécutif du baseball majeur,…

… le PM Legault affirmait jeudi sur RDS que son gouvernement rencontrera Gary Bettman au cours des prochains mois pour discuter d’un éventuel retour des Nordiques de Québec.

Alors, quelle ville retrouvera la première son équipe professionnelle ? Montréal avec le :baseball: ou Québec avec le :ice_hockey: ?

Les paris sont ouverts ! :grin:

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Ce serait quand même quelque chose deux nouvelles équipes

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Je suis d’accord que ce serait une bonne chose qu’il y ait le retour des équipes, à Montréal comme à Québec, mais avec toutes les crises dans lesquelles nous sommes (climats, pandémie, système de santé, écoles, CPE, infrastructures, etc) est-ce que le gouvernement n’a pas d’autres choses plus prioritaires où mettre son énergie que d’aller des promoteurs ?

En quoi que le gouvernement va apporter quoi que ce sois à ces projets ?

Du financement… et le gouvernement a quand même tout à gagner parce que ce genre d’équipe génère des retombées économiques. Dans le cas de Québec le stade est déjà construit donc les coûts déjà engagés… might as well.

Dans le cas des Expos, il ne faut pas que le gouvernement finance le stade par contre.

Chronique

Le lock-out de la MLB passera-t-il les Expos-Rays à la moulinette?


Stephen Bronfman, président du Groupe Baseball Montréal
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Martin Leclerc
le 23 novembre 2021

La semaine dernière, une nouvelle concernant le projet de retour du baseball majeur à Montréal est passée en coup de vent dans l’actualité sportive et n’a à peu près pas suscité de réactions au Québec.

Deux ans après avoir obtenu la permission d’explorer la viabilité du partage d’une équipe de baseball entre la région de Tampa Bay et Montréal, le propriétaire des Rays, Stuart Sternberg, présentait le fruit de ses travaux au comité exécutif du baseball majeur le mercredi 17 novembre dernier.

Composé de huit propriétaires, le comité exécutif est l’instance suprême au sein de la MLB. Les orientations, les ententes commerciales et les projets importants y sont filtrés et débattus. Et lorsqu’il y a consensus, ils sont ensuite présentés à l’ensemble des propriétaires qui apposent le sceau final d’approbation pour la forme.

Il y a deux ans, donc, on nous disait que les membres du comité exécutif avaient été enchantés par l’idée de construire deux stades dans deux villes pour accueillir une seule équipe. Mais mercredi dernier, aucune décision n’a été rendue après la présentation de Stuart Sternberg. Les huit membres du comité n’ont pas voté sur cette question et le propriétaire des Rays n’a pas obtenu de feu vert officiel pour tenter de concrétiser le projet.

Le printemps dernier, une source bien au fait des us et coutumes des décideurs de la MLB avait prédit que les membres du comité exécutif allaient se montrer polis à l’endroit de M. Sternberg, sans plus.

Ils vont l’encourager à développer son concept, mais personne ne se couchera sur la voie ferrée pour que ça se réalise. Par exemple, ils ne laisseront pas ce sujet devenir une distraction pendant les négociations de la prochaine convention collective. Les autres propriétaires ne voudront rien concéder pour obtenir le droit de faire jouer les Rays dans deux villes, arguait-on.

En sortant de cette rencontre mercredi dernier, le commissaire Rob Manfred a expliqué que le comité exécutif ne s’était pas prononcé sur le concept des villes soeurs parce qu’il y avait d’autres sujets plus pressants à l’ordre du jour. Et cela se comprend parfaitement. Après 27 ans de paix industrielle, les propriétaires de la MLB s’apprêtent à décréter un lock-out qui s’annonce long et douloureux.

Manfred a aussi ajouté qu’aucune décision n’avait été prise parce que le concept d’équipe à deux têtes est compliqué, ce qui est un bel euphémisme.

À sa sortie de la rencontre, Stuart Sternberg, qui fait la promotion de cette idée avec le milliardaire montréalais Stephen Bronfman, s’est toutefois dit encouragé par l’allure des discussions. Et il a dit s’attendre à une réponse formelle de la part du comité exécutif au cours du prochain mois.

Quant à Stephen Bronfman, il a publié un communiqué plutôt sibyllin. Bien que nous ayons encore beaucoup de travail à accomplir, nous sommes fiers de la relation que nous avons établie avec Stuart Sternberg et les Rays de Tampa Bay dans cette démarche visant l’atteinte de notre objectif ultime, a-t-il fait savoir.

Plus de deux ans après avoir présenté cette idée sur la place publique, tant M. Sternberg que M. Bronfman peinent à présenter des avancées ou des réalisations concrètes.

Cela dit, la convention collective de la MLB vient à échéance le 2 décembre. Et comme mentionné ci-haut, joueurs et propriétaires seront plongés dans un conflit de travail qui s’annonce long et difficile. Certains prédisent même le plus difficile de l’histoire, après les huit autres arrêts de travail qu’a déjà connus le baseball. Et le dernier, on s’en souvient, avait provoqué l’annulation de la Série mondiale de 1994.

À preuve, l’Association des joueurs vient de distribuer aux agents un long document expliquant, entre autres, que les coffres du fonds de secours sont pleins, que les mécanismes de paie de conflit sont en place et que les joueurs continueront à profiter de leur régime privé d’assurance maladie.

Sachant que les joueurs ne sont payés que durant la saison et que leur prochaine paie n’est prévue que pour le mois d’avril, ça en dit long sur l’état d’esprit des dirigeants de la MLBPA! Les joueurs, qui voient leur part du gâteau diminuer depuis cinq ans, sont sur le point de s’attaquer à des systèmes économiques majeurs de leur industrie comme la taxe de luxe imposée aux équipes les plus riches, le partage des revenus et le nombre d’années nécessaires pour accéder à l’autonomie.

C’est une véritable guerre de tranchées qui s’annonce.

À travers cela, il sera intéressant de voir comment Stuart Sternberg, avec un projet jugé farfelu par plusieurs acteurs du milieu, parviendra à placer le concept de villes soeurs dans cette intense conversation. Parce qu’après avoir fait approuver son projet par le comité exécutif de la MLB (si approbation il y a), il faudra ensuite trouver des négociateurs suffisamment convaincus et convaincants pour obtenir une telle concession de la part des joueurs.

En entrevue avec un éditorialiste de l’Associated Press durant les dernières séries éliminatoires, le premier-but étoile des Braves d’Atlanta, Freddie Freeman, s’était montré incrédule à l’idée de voir une équipe de la MLB jouer dans deux villes.

Avoir deux domiciles quand les gens ont des familles et des enfants qui fréquentent l’école. Je pense que c’est beaucoup demandé. Il n’y a aucune autre façon de présenter cela. Ce serait énorme comme demande, avait-il dit.

Le gérant des Dodgers, Dave Roberts, avait formulé un commentaire semblable.

Les saisons sont déjà assez difficiles. Si les Rays pensent que c’est ce qui est le mieux pour eux, grand bien leur fasse. Mais ce n’est certainement pas un scénario idéal, avait-il ajouté.


Le domicile des Rays de Tampa Bay, le Tropicana Field
PHOTO : GETTY IMAGES / DOUGLAS P. DEFELICE

Il est tout à fait normal que ceux qui portent l’uniforme et qui font face aux rigueurs du calendrier réagissent ainsi. Ce qui porte à croire qu’il faudrait que les propriétaires décrochent une victoire écrasante dans les prochaines négociations pour que le projet de villes soeurs soit accepté par les joueurs. Or, l’Association des joueurs est l’un des plus puissants syndicats du monde.

En attendant le déclenchement et la fin du lock-out qui secouera le baseball, il sera intéressant de voir si Stuart Sternberg et Stephen Bronfman recevront, au cours du prochain mois, un endossement plus vigoureux de la part du comité exécutif de la MLB.

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Chronique de Michel C. Auger dans La Presse

Pour réussir le baseball (si c’est possible…)

MICHEL C. AUGER
COLLABORATION SPÉCIALE

On a le droit de s’interroger quand le premier ministre, de son siège à l’Assemblée nationale, affirme qu’il « n’est pas question que notre gouvernement mette un sou des contribuables » dans le projet de retour du baseball majeur à Montréal malgré le fait qu’il ait nommé deux ministres responsables du retour de franchises sportives au Québec.

Publié le 12 décembre 2021 à 6h00

Et pas les moindres. Des membres de sa garde rapprochée : Eric Girard (Finances) pour les Nordiques et Pierre Fitzgibbon (Économie) pour les Expos.

Une équipe de baseball ou un Grand Prix de Formule 1, ça fait partie du tissu d’une ville et de son identité. Comme un orchestre symphonique, un musée d’art contemporain, un festival de jazz ou un grand parc.

Les gouvernements, partout dans le monde, subventionnent – parfois très généreusement – de tels évènements ou institutions. Et il y a, évidemment, de gros lobbies qui poussent très fort pour de tels projets.

Par exemple, il est maintenant devenu impensable de ne pas subventionner le Grand Prix de Formule 1, tant le lobby des hôteliers et des restaurateurs s’active. Les trois gouvernements (Ottawa, Québec et Montréal) ont donc récemment payé presque 100 millions de dollars pour garantir le Grand Prix pour trois années de plus, soit jusqu’à 2029.

Le lobby du baseball est nettement moins puissant, surtout que son principal soutien, l’ex-maire Denis Coderre, n’est plus dans le paysage. Mais il existe tout de même. Il reste que, ne serait-ce que pour le prestige, ce ne serait pas mauvais que Montréal, la huitième ville d’Amérique du Nord (sixième si on exclut Mexico et La Havane) retourne dans les ligues majeures.

Mais inutile de discuter en théorie, il faut regarder le projet tel qu’il se présente. Et c’est là que ça se gâte.

D’abord, il y a cet étrange concept de garde partagée où l’équipe jouerait en avril, mai et juin à Tampa et en juillet, août et septembre à Montréal. Avec le propriétaire actuel qui garderait la majorité des actions, ce qui n’est pas un détail dans les circonstances.


PHOTO JULIO CORTEZ, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS
Joueurs des Rays de Tampa Bay lors d’un match en mai dernier

Ça pose des problèmes sur le plan sportif. Les athlètes – qui sont presque tous dans la vingtaine ou la trentaine – voudront-ils vivre à temps partiel dans deux villes avec les problèmes familiaux que cela peut entraîner ? Pas certain que cela soit accepté dans la négociation de la nouvelle convention collective.

Et quel serait l’attachement des Montréalais envers cette demi-équipe ? Imaginez que les Rays-Expos aient un début de saison comme celui du Canadien et qu’ils arrivent à Montréal en juillet déjà éliminés du championnat. Comment, pensez-vous, qu’on vendra les billets ?

De plus, une génération s’est écoulée depuis le départ des Expos. Y a-t-il encore un marché pour le baseball à Montréal ? Il faudra tout recommencer à zéro, surtout auprès de jeunes amateurs de sport qui sont rendus ailleurs et qui n’ont aucun souvenir des Expos, sauf peut-être d’une longue agonie dans un Stade olympique vide.

On dira que c’est l’affaire des promoteurs du projet. Mais s’il y a des fonds publics, directement ou indirectement, ça deviendra le problème de tous.


PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE
Le bassin Peel, à Montréal, près duquel la société Devimco et le groupe Claridge souhaitent construire un stade de baseball et plusieurs autres édifices.

Ensuite, il y a la question du bassin Peel. Le dernier terrain d’importance qui reste à développer au centre-ville de Montréal. La société immobilière Devimco et le groupe Claridge de Stephen Bronfman ont acquis plusieurs terrains dans ce secteur et lorgnent ceux qui appartiennent au gouvernement fédéral et ceux qui logent des centres administratifs de Loto-Québec.

La construction d’un stade est souvent vue comme un moyen de revitaliser un quartier. On l’a vu dans le sud-ouest de Washington quand les Expos sont allés s’y installer. Mais ça se traduit essentiellement par une forêt de tours de condos et de commerces de services. Une revitalisation qui a profité essentiellement aux promoteurs et aux développeurs.

Ce qui pose la question : est-ce que le meilleur moyen de développer le bassin Peel est une telle combinaison stade-condos ?

Par ailleurs, un scénario ne peut être exclu : c’est que le propriétaire des Rays – qui aurait toujours la majorité des actions –, après quelques années, décide que l’expérience de la garde partagée n’est pas concluante et rapatrie son club à Tampa ou ailleurs.

Les promoteurs montréalais n’y perdraient presque rien et conserveraient leurs lucratifs immeubles. Grâce au baseball, ils auraient réalisé une remarquable passe immobilière…

Avant de céder les terrains du bassin Peel, il faut s’assurer qu’un stade de baseball et une série d’édifices en hauteur forment un modèle de développement durable pour l’entrée sud-ouest du centre-ville de Montréal et le dernier terrain d’importance qui reste à y développer.

En particulier, il faut qu’une nouvelle consultation publique ait lieu par les instances de la Ville de Montréal, et que l’administration Plante dise clairement quelle est sa vision pour le développement de ce secteur.

Parce que la dernière chose dont Montréal a besoin, c’est un nouveau Griffintown avec un stade inoccupé au milieu.

https://www.journaldemontreal.com/2021/12/14/retour-du-baseball-a-montreal-valerie-plante-maitre-du-jeu

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Article d’un média de Tempa Bay

« Un des six hommes d’affaires vedettes présentés comme membres du Groupe Baseball Montréal se dissocie officiellement du groupe et affirme n’avoir aucun lien financier avec le projet. Stéphan Crétier, président de la firme de sécurité internationale GardaWorld, « n’a aucun lien financier avec le projet du retour du baseball à Montréal ni avec le Groupe Baseball Montréal plus spécifiquement », a déclaré la porte-parole de l’entreprise au moment où notre Bureau d’enquête l’interrogeait au sujet de la situation fiscale de l’homme d’affaires. »

https://www.tvanouvelles.ca/2022/01/10/un-des-acteurs-cles-de-baseball-montreal-se-dissocie-du-projet-1

Il avait fait les nouvelles il y a quelques années en se montrant ouvert à participer au financement d’une équipe de la NBA à Montréal.

More room for Garber to increase his stake.

Mis à jour, 14:25

Entre Tampa et Montréal La fin du projet d’un club en garde partagée


PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Stephen Bronfman et ses partenaires travaillaient sur ce concept de « villes sœurs » depuis au moins 2016.

Le projet d’un club de baseball en garde partagée entre les villes de Montréal et de Tampa est mort.

Publié à 12h23

Alexandre Pratt

Alexandre Pratt La Presse

La nouvelle, d’abord rapportée par La Presse et le Tampa Bay Times, a été confirmée par le propriétaire des Rays de Tampa Bay, Stuart Sternberg, jeudi après-midi.

Le comité exécutif du baseball majeur s’y oppose.

« Le baseball majeur n’est pas prêt » à se lancer dans l’aventure d’une garde partagée, a déclaré Sternberg aux médias, jeudi.

S’il considère la nouvelle « décourageante », le propriétaire assure tout de même que son but « a toujours été, et reste, de faire prospérer les Rays à Tampa ». « On a toujours dit vouloir garder l’équipe ici pour des générations et des générations. »

Stephen Bronfman et ses partenaires travaillaient sur ce concept de « villes sœurs » depuis au moins 2016. C’était le scénario privilégié pour assurer le retour d’une équipe des ligues majeures à Montréal. Le projet était aussi soutenu par Stuart Sternberg, et avait reçu l’appui du commissaire du baseball majeur, Rob Manfred, tout juste avant tout juste avant la pandémie, en février 2020.

« Je suis 100 % convaincu et, plus important encore, les propriétaires des autres équipes ont été convaincus par [M. Sternberg] que c’est la meilleure solution pour garder un club des ligues majeures à Tampa Bay », avait déclaré M. Manfred à l’époque.

Stuart Sternberg ne sait pas exactement pourquoi la MLB a changé d’idée.

« Au départ, l’idée générait beaucoup d’hésitation, mais elle a germé, a-t-il expliqué jeudi. On a eu de bonnes conversations, et les gens comprenaient de plus en plus les avantages de la garde partagée. »

« C’était le cas avec Major League Baseball. Ils trouvaient que c’était une bonne idée pour le sport, et les mentalités ont évolué. Ce n’est que récemment que les choses se sont détériorées. On ne sait pas trop pourquoi. Ce n’était finalement pas quelque chose qui intéressait la MLB. »

Le plan des « villes sœurs » prévoyait la construction de deux nouveaux stades de baseball. Un dans la région de Tampa Bay, financé par le club et les gouvernements locaux. L’autre au bassin Peel, à Montréal, sur des terrains appartenant en grande partie à la Société immobilière du Canada, une agence du gouvernement fédéral. L’équipe devait amorcer la saison en Floride, avant de déménager au Québec, en juin.

Stuart Sternberg a salué le travail de l’équipe de Bronfman et des gens impliqués dans le projet à Montréal.

Le Groupe Baseball Montréal « était aussi, sinon plus, dévasté que nous », a-t-il déclaré. « Les gens de Montréal doivent être tenus en haute estime pour ce qu’ils ont fait. »

« Montréal est une région qui a perdu le baseball, et elle mérite de le retrouver. »

Le Groupe Baseball Montréal n’avait pas encore annoncé comment il comptait financer l’acquisition du terrain, ni la construction du stade. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, avait précisé que la Ville n’investirait pas dans la construction d’un nouveau stade.

Le gouvernement du Québec, lui, était en discussion avec le consortium. Mais « si jamais il y a un stade de baseball », avait déclaré le premier ministre François Legault en décembre, « il ne coûtera pas un sou aux contribuables québécois. Il n’est pas question que notre gouvernement mette un sou des contribuables là-dedans ».

Le projet du stade à Montréal planifiait d’« accueillir des évènements à l’année longue », a révélé Sternberg. « Leur plan prévoyait des choses avec une grande valeur civique. »

Stephen Bronfman avait déjà fermé la porte à l’idée d’acquérir une équipe d’expansion, en raison des coûts trop élevés. « Ç’aurait été difficilement réaliste, même pour moi. Aux États-Unis, il y a plusieurs hommes d’affaires qui peuvent mettre 2 ou 3 milliards de dollars pour acheter une équipe. […] Mais au Québec, trouver cet argent, c’est un très grand risque. J’aurais eu à supporter un énorme stress. », avait-il dit au Journal de Montréal à l’hiver 2020.

Le Tampa Bay Times rappelait plus tôt jeudi que les membres de l’état-major des Rays avaient déjà « fortement laissé entendre » qu’il y avait plus de chances que l’équipe cherche à déménager de Tampa si l’entente avec Montréal tombait à l’eau, plutôt que de tenter de rester en ville de façon permanente.

Stuart Sternberg a voulu rassurer les partisans des Rays.

« Je n’ai pas, et je n’ai jamais eu, l’intention de vendre l’équipe. Je n’ai jamais non plus menacé de déménager l’équipe. Cette option semble être dans le coffre d’outils de tous les propriétaires qui veulent un nouveau stade. Des gens me l’ont même suggéré. Je suis peut-être plus doux, mais je ne trouve pas que c’est juste pour les partisans. Ce n’est pas une idée à laquelle je pense. »

Valérie Plante avait demandé une mise à jour publique en décembre, alors que Bronfman se disait optimiste… Je me demande quelle est sa réaction (à lui).

Le projet d’équipe partagé est mort, et Bronfman a déjà exclu créer une nouvelle équipe (expansion).
Pas d’équipe, donc pas de stade. Pas de stade, alors est-ce que Devimco-Claridge voudront continuer leurs acquisitions auprès de Loto-Québec et la SIC? Que feront-ils des terrains déjà acquis? Les revendront-ils, en tout ou en partie? Verrons-nous du développement Griffintonnien?

Une maudite chance que François Legault a commencé cette année électorale avec un ministre des Nordiques et un des Expos :roll_eyes::laughing:

Bien hâte de suivre ce nouveau chapitre dans cette saga!

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À la base Devimco et Claridge se battaient pour ces terrains avant d’unir leur forces. Je crois que Devimco va juste vouloir continuer le développement du secteur sans égard au stade potentiel… Avec Ray-Mont logistique qui s’en va ça libère de l’espace.

Pour ce qui est de l’équipe… Effectivement ça semble difficile d’imaginer que les Expos pourraient s’en venir avec ces informations la…

Le groupe Baseball Montréal a sorti un communiqué

3 vidéos sur le site de RDS

Imaginez Denis Coderre aujourd’hui… Pas de mairie, et pas de baseball…

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même la Chambre de commerce a émis un communiqué

Je sais que ce n’est pas l’opinion de tous mais je suis bien content que ce projet tombe à l’eau. Je n’y croyais pas depuis le début

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