REM - Matériel Roulant



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Super ! Une excellente nouvelle qui augure bien pour cette phase des tests. :smiley:

J’ai manqué ces voitures. Elles ont passé vers quelle heure ?


Edit: J’ai eu ma réponse en reculant la Cam3 du pont SDC; il était environ minuit et demi lors de son passage à l’IDS vers la Gare Centrale… et elle a fait son retour vers la Rive-Sud aux alentours de 1h40AM. :wink:

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Déniché sur LinkedIn:

Groupe PMM Opérations et Maintenance S.E.N.C. Groupe PMM Opérations et Maintenance S.E.N.C.566 followers13h • 13 hours ago

[GPMMOM passe en mode hiver] :snowflake: Nos équipes étaient prêtes pour ces toutes premières journées neigeuses !

Que ce soit côté véhicules lourds ou essais dynamiques, avec les voitures qui se rendent jusqu’à la Gare centrale, nos équipes s’affairent à leurs activités hivernales.

:information_source::loudspeaker:Et parce que GPMMOM se veut connecté et dynamique, une web-série au contenu régulier sera diffusée sur cette page, à partir du premier trimestre 2023. Pour tout savoir sur les journées des femmes et des hommes qui constituent les formidables équipes du mainteneur et opérateur du #REM.

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Déniché sur YT.

Vraiment génial ! :smiley: Voir la rame dépasser les véhicules pris dans le traffic sur le pont est tout simplement joui…f !

Montreal by drone - REM train with a stop at Nuns Island station

8 décembre 2022

TurboLed

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Je pédalais sur le long du Canal vers le centre-ville vers 17h et jen ai vu un passer sur la courbe en aerien au loin. Cetait élégant comme vision de nuit avec la pleine lune mais On pouvait entendre pas mal de grincements très aigus.

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Vidéo corpo de fin d’année d’Alstom Amériques, majoritairement filmée à partir du Centre de maintenance et de la station Brossard.

Alstom dans les Amériques - Vidéo de fin d’année - 2022

Alstom
21 déc. 2022

Préserver l’environnement est essentiel à notre futur. Décarboner la mobilité en est un levier majeur. C’est la mission de la Team Alstom dans les Amériques ! Son président, Michael Keroullé, revient sur cette responsabilité et les succès de la région en 2022. À voir en vidéo ! :point_down:

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Vu sur la page TikTok du REM: :gift: :light_rail: :christmas_tree:

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Il y a des tests de matériel roulant ce soir. Je viens de voir un train à deux voitures en direction gare centrale.

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Peeling the wraps on a shiny new toy is always so satisfying.

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At Panama


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Tests were done in downtown, saw one train go by, and was under the viaduct when another went by! The sound was very very subtle, if I could describe it, there was a soft hum, the structure was silent (this was at rue St-Jacques) and there wasn’t any rumble. It was quieter than a bus!

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If that’s true, that’s great news. Based on what I know, the viaduct being hollow means that it is basically a giant resonance chamber. It would imply that CDPQ-I did their due diligence and took that into account.

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If you follow the camera, tests are being done with the REM going by every 3-4 minutes

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So great to see ! :heart_eyes:

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J’espère qu’ils tiendront également des tests ce jeudi soir… :cloud_with_snow: :wind_face: :cloud_with_rain: :snowflake:

https://www.accuweather.com/fr/ca/montreal/h3a/weather-warnings/56186

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Tests du REM de la Rive-Sud Panne d’une voiture poussée à sa limite dans le verglas


PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE | Une voiture du REM effectuant un test à Brossard en février 2021

Le Réseau express métropolitain (REM) a été confronté à une panne lors d’un épisode de pluie verglaçante au début de janvier sur la Rive-Sud, dans le cadre de tests réalisés dans des « conditions extrêmes », a appris La Presse. Pour CDPQ Infra, la situation illustre que le report au printemps 2023 était la bonne décision, le temps de collecter plus de données sur les wagons poussés « à leur limite ».

11 janvier 2023 | Publié à 5h00 | HENRI OUELLETTE-VÉZINA | LA PRESSE

Le tout s’est produit le 5 janvier dernier. Ce jour-là, une voiture du REM a été déployée sur le tracé sans l’activation préalable du protocole lié au verglas et aux intempéries hivernales. Autrement dit, les wagons ont été mis en service sans grattoirs, qui permettent de déglacer les caténaires en mouvement.

Résultat : le REM est parvenu à traverser le pont Samuel-De Champlain, mais s’est arrêté juste après, non loin de l’entrepôt Costco. La voiture avait « perdu le contact » avec la caténaire, cet ensemble de fils qui alimente les wagons en électricité. Un plan de mitigation a alors été déployé pour ramener les wagons à la gare Centrale.

Une telle opération « fait partie des bonnes pratiques de tests visant à pousser le système et les voitures à leur limite », assure toutefois le directeur des communications de CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix.

Des situations comme ça, dans des conditions extrêmes, on les provoque pour avoir toutes les données en amont de la mise en service.

Jean-Vincent Lacroix, directeur des communications de CDPQ Infra

M. Lacroix affirme que le niveau d’automatisation du REM « GOA4 », soit un niveau d’automatisation complète sans personnel à bord, « permet le déploiement du protocole de déglaçage de façon automatisée 24 heures sur 24, et ce, même à l’extérieur des heures standard d’exploitation, contrairement à Ottawa », où des chauffeurs doivent être disponibles à l’extérieur des heures d’exploitation.


PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE | Dans le cadre du test du 5 janvier, la voiture circulait sans grattoirs permettant de déglacer la caténaire. Sur la photo, une voiture du REM roulant dans Griffintown mardi soir.

Un « plan de contingence » plus large est néanmoins en place en cas de panne hivernale, a pu confirmer La Presse. Ce plan impliquerait toutes les sociétés de transport de la métropole, afin de rediriger les usagers du REM vers d’autres systèmes. Le printemps 2023 demeure l’échéancier de la mise en service complète.

« Des pannes l’hiver, il y en aura »

Pour plusieurs, la situation illustre que le défi de faire rouler le réseau sans interruptions l’hiver prochain sera grand. L’expert en planification des transports à l’Université de Montréal Pierre Barrieau affirme aussi que ce premier incident confirme que CDPQ Infra a eu « raison » de reporter la mise en service du réseau.

Il espère toutefois que toutes les technologies disponibles seront utilisées et étudiées. « On est capables de faire vibrer les fils pour que ça ne givre pas, ou encore d’arroser avec une solution de liquide antigel. Et surtout, il ne faut jamais arrêter le service, parce qu’à chaque passage, ça pousse la glace, le givre et la neige », évoque-t-il notamment.

La présidente de Trajectoire Québec, Sarah V. Doyon, est catégorique. « Des pannes l’hiver, il y en aura, comme dans tous les systèmes du monde. Ça fait partie du jeu. Ce dont il faut s’assurer, c’est d’avoir un système autour qui tient la route », martèle-t-elle.

« Ça m’inquiète qu’au moment où le REM sera déployé, le Réseau de transport de Longueuil (RTL) va aussi mettre en place un réseau revu. S’il y a beaucoup de pannes, on risque de prendre ces bus redéployés au profit des mesures d’atténuation. À quelque part, on se tirerait dans le pied. La fiabilité de l’un va impacter la fiabilité de l’autre. Et si on a plusieurs pannes, on risque de perdre des usagers », note-t-elle.

Lisez « Le RTL s’apprête à “rebrasser” entièrement son offre »

Ancien membre du comité d’experts sur le REM de l’Est, le directeur général de Vivre en ville, Christian Savard, abonde en ce sens.

« Il va y en avoir au début, des pannes. Mais dans notre cas, tout est plus intégré qu’à Ottawa, où les fournisseurs de matériel roulant et d’infrastructures sont séparés. Ici, le REM se trouve aussi quelque part entre la technologie d’Ottawa et celle d’un train lourd. En théorie, ses caténaires ne sont pas aussi légères qu’à Ottawa. On peut ainsi s’attendre à une plus grande résilience », raisonne-t-il.

À Ottawa, des fermetures

Dans la capitale fédérale, les usagers embarquant dans l’« O-Train » pour se rendre au travail ont découvert, lundi matin, qu’une partie de cette ligne de transport léger était fermée, alors que des réparations se poursuivaient après la tempête de pluie verglaçante de la semaine dernière.


PHOTO SPENCER COLBY, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE | Un ouvrier répare les fils endommagés par le verglas au-dessus d’un train léger, à Ottawa, vendredi.

OC Transpo, l’opérateur de la région, a expliqué que la tempête de mercredi soir dernier a endommagé des lignes aériennes et laissé un certain nombre de trains bloqués sur les voies pendant des jours. Deux des trains ont été dégagés dimanche soir, mais les voies étaient toujours fermées en début de semaine.

La directrice générale des Services de transport en commun d’Ottawa et ancienne de la Société de transport de Montréal (STM), Renée Amilcar, a annoncé que des autobus supplémentaires circulaient lundi matin pour amener les gens de la partie est d’Ottawa jusqu’au centre-ville.

[…]

Avec Maxime Bergeron, La Presse, et La Presse Canadienne

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J’ai un peu de mal à comprendre la communication ou le cas de test. Si j’interprète le test: un grattoir aurait pu être utilisé mais ne l’a pas été? Ou les caténaires implémentés ne peuvent pas avoir de grattoir (trop fragiles)?

I believe the scraper was removed as a test of how the train would operate without it (like maybe if it breaks during its route). I’m surprised how far it was able to travel!

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En effet ça me paraît comme étant des tests volontaires, mais l’ambiguïté volontaire du titre de l’article (pour s’attirer des clics) porte à confusion.

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Donc… de mauvaise foi.

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C’est la difficulté de trouver un bon titre tout en étant court.