Refonte tarifaire de l'ARTM pour la région de Montréal

Je serais surpris s’ils implémentent le tap-out, surtout découplé de la refonte tarifaire. Sans le Tap-out, impossible d’implémenter ce mix de tarifs. S’ils avaient vraiment voulu cela, ils l’auraient implémenté dès l’étude sur la refonte tarifaire.

Ça prend beaucoup, BEAUCOUP de communication pour conscientiser la clientèle de ce type de changement (svp revalidez votre tarif à la sortie).

Mon opinion est que l’ARTM trouve qu’avoir plus qu’1 carte OPUS est acceptable, déconnecté de la réalité qu’ils sont.

Pour le tarif réduit, comment on est censé avoir 2 cartes opus ?? C’est toujours mieux que d’avoir 1000 titres différents, mais quand même, ils auraient pu attendre l’installation de tous les nouveaux lecteurs, et remplacer les cartes opus vers des cartes plus moderne.

En fin de compte, j’ai jamais compris pourquoi les titres sont stocké sur la carte opus et pas sur un serveur centralisé. La carte ne contiendrait qu’un identifiant, identifiant qui pourrait être linked à une application mobile, par exemple, qui permettrait de substituer sa carte opus avec son téléphone et consulter son solde de titres en ligne.

Demande cela à l’ARTM, je ne sais même pas s’ils y ont pensé.

Comme je l’ai mentionné précédemment, il y a eu un moment où j’ai dû avoir 2 cartes opus (avec une pastille de couleur collé sur l’une pour les distinguer), et la personne au centre de service de Berri me l’a fait sans broncher. Facile de déduire que pour eux c’était une situation fréquemment rencontré.

Pendant ce temps, j’ai encore une balance sur ma carte Suica (japon) dans mon Apple wallet, avec l’historique de tous mes trajets.

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Probablement qu’ils ont hérité du vieux système poussiéreux de l’AMT, et que tout changer coute trop cher. Mais on peut toujours espérer. Avec les valideurs nouvelle génération, il ne sera question que de changer de cartes et développer une application mobile.

Le problème historique d’avoir des serveurs centralisés c’était que les autobus n’avaient aucune façon d’accéder à cette information quand ils sont en route. Et même avec accès à l’Internet mobile il y avait le problème de lag. Aujourd’hui c’est une situation différente avec les réseaux de nouvelle génération 5g ou même 4g LTE …

Maintenant, espérons juste que ça change. Le système actuel devient de plus en plus ridicule plus le temps avance…

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Je me demande si l’ARTM aurait pu adapter le programme OPUS à l’année pour ouvrir un compte client à ses membres et les facturer à l’usage, au début de chaque cycle de facturation. Pendant la pandémie, quand j’avais suspendu mon abonnement opus et compagnie, j’avais remarqué que l’ARTM pouvais détecter si ma carte était utilisée ou non. Je ne sais pas quel est leur niveau de granularité sur l’utilisation, mais j’ose espérer que ce soit suffisant pour offrir une tarification dynamique sans devoir attendre le remplacement complet de leur système de billetterie ou de facturation.

Il semble que l’ARTM vise à remplacer la carte OPUS par un portefeuille électronique. La réponse de la STM au sujet de cette question. Donc il n’y auras plus de titres à choisir à l’avenir; on charge simplement de l’argent sur la carte (ou utiliser une carte de crédit) et les tourniquets/validateurs débiteront le bon montant automatiquement.

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Je trouve ça quand même drôle de voir les gens être scandalisé d’avoir 2 cartes OPUS, comme si ce n’était pas déjà le cas pour bien des gens avant. Je dis pas par ça que c’est logique ou idéal, mais c’est pas nouveau.

La carte OPUS peut juste contenir 4 titres différents en théorie, mais comme une correspondance prend un des espaces c’est seulement 3 titres en réalité. Avant la refonte (et avant les cartes solo) j’ai déjà eu jusqu’à 3 cartes OPUS pour avoir tous les titres que j’utilisais. Avec des amis à Longueuil et La Prairie et des voyages occasionnels pour le travail à Laval, St-Jérôme et St-Hyacinthe, en plus d’avoir des titres différents pour ces trajets tout dépendant si je prenais le train, l’autobus, et avec les billets de métro unitaires pour le retour, etc., c’était pas long qu’on avait plus que 3 titres différents. Et ça impliquait “d’avancer” des centaines de dollars en achat de lisières de ces billets pour avoir un prix décent, parce qu’en plus l’achat à l’unité de ces différents billets ne se faisait souvent qu’en argent comptant dans l’autobus sinon.

C’est sur que c’est pas idéal comme situation, mais c’est transitoire et c’est vraiment pas la fin du monde d’avoir 2 cartes OPUS pendant un an ou deux. J’ai l’impression que bien des gens ne saisissent pas comment la réforme de tarif simplifie ÉNORMÉMENT l’achat de titres et sont rapides à dire que c’est un échec en voyant les quelques aspects négatifs.

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Les deux principales critiques que je vois passé depuis quelques jours se résume à :

  1. Les gens ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas avoir de titre AB et A sur la même carte. Il faut plus de communication sur pourquoi le système n’est pas en mesure de distinguer quel titre doit être prélever tant qu’un système de tap-out n’est pas implémenté.
  2. Les gens chialent que c’est plus cher. Ils prennent leur petit cas limite à eux, qui est souvent de stationner à l’une des stations de métro pour prendre le métro vers Montréal. Avant c’était moins cher puisqu’ils pouvait prendre l’équivalent d’un billet A pour revenir en zone B. Encore une fois, il faut mieux communiquer que dans l’absolu, si tu prend un autobus pour aller et revenir de la station de métro en zone B, c’est moins cher.

Essentiellement, les critiques sont toujours dans le Je-Me-Moi, et que la nouvelle tarification désavantage leurs situations personnelles et qu’ils vont maintenant prendre l’automobile pour aller au centre-ville.

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Des années d’études pour une solution limité par l’implémentation actuelle, sans feuille de route explicite et avec une argumentation de mais ça a toujours été comme cela, alors c’est correct.

Si on accepte cela sans broncher, alors on mérite la médiocrité de l’offre de service et performance de l’ARTM.

Vive l’ARTM!

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Je suis désolé mais je ne suis pas d’accord avec vous. L’ARTM prend plusieurs année pour pensée à une solution pour la refonte tarifaire et nous arrive avec une version plus complexe et de plus incompatible avec les cartes et le système actuel. Donc la solution avoir plusieurs cartes OPUS en attendant d’avoir un meilleur système. Donc remettre le fardeau sur les gens alors que les décideurs eux ont probablement une carte ARTM qui débloque toute la régions pour leurs déplacements.

Donc aussi la limitation à aussi été imposé par les tourniquet utilisé et l’ARTM ne voulais pas devoir changer le système complet. Comme c’est drôle la STM procède à l’implantation de nouvelle tête de tourniquet actuellement pour avoir une plus grande flexibilité et pouvoir accepté carte débit/crédit et code QR.

Pendant ce temps nous devons expliquer à la clientèle que maintenant les billets A et AB ne peuvent plus être sur la même carte, que les anciens billet 1 passage bloque l’achat de paquet de 10 passages A (et que l’ARTM ne sais pas pourquoi non plus) Littéralement ça donne l’impression qu’il n’y a personne aux commande de cette entité qu’est l’ARTM.

Avoir un système tap-in tap-out avec une valeur monétaire sur la carte et problème réglé. Pas de billet de différente zone etc. Un prix par zone A-A, A-B, B-B, A-B-C, B-C, C-C etc. En plus vu que tu as une carte OPUS avec de l’argent dedans tu peux aussi t’en servir pour payer différent truc en payant avec la carte OPUS, machine distributrice, BIXI, TAXI, Dépanneur etc. Mais non c’était probablement trop simple et trop pratique.

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Vous pensez vraiment qu’ils ont pas pensé à ça et qu’ils ont préféré faire compliqué pour une raison obscure?

C’est exactement le plan et ce que l’ARTM est en train de faire, vous avez même le commentaire de la STM relayé par @lgnjrskfjo plus haut qui le confirme. C’est pour ça que tous les autobus ont changé leurs lecteurs de titres l’an passé et qu’on fait les tourniquets de métro cette année. C’est pour ça que la STL accepte les cartes de crédit sans contact depuis quelques temps et que ça prend en compte les correspondances.

Si c’était si simple de tout mettre en place d’un coup avec une solution parfaite, c’est ça qu’on aurait. Mais de toute évidence il y a des contraintes qui empêchent ça.

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Les prières de plusieurs semblent avoir été exaucées. :pray:

Du moins, en partie… Le usagers du métro dans le 450 payeraient 4,50$ (donc, un peu plus que le coût payé à Montréal (3,50$)…, mais moins que le 5,25$ qu’ils paient présentement). :man_shrugging:

Métro à Laval et Longueuil Après des critiques, l’ARTM revoit ses prix à la baisse


PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE | Avec les nouveaux tarifs, plusieurs usagers des couronnes nord et sud avaient dénoncé devoir débourser 5,25 $ pour un titre unitaire, contre 3,50 $ par le passé.

Deux mois après l’entrée en vigueur de sa nouvelle grille tarifaire, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) s’ajuste une première fois. Dès octobre, les prix de plusieurs titres seront diminués afin de « réduire l’écart tarifaire avec les anciens titres unitaires » donnant accès aux métros de Laval et Longueuil.

25 août 2022 | Publié à 15h07 | HENRI OUELLETTE-VÉZINA | LA PRESSE

En avril, dès le moment de la présentation de ces nouveaux « tarifs métropolitains » – réunissant le métro, les bus et le futur Réseau express métropolitain (REM) –, plusieurs usagers des couronnes nord et sud avaient dénoncé devoir débourser 5,25 $ pour un titre unitaire, contre 3,50 $ par le passé.

« Pour un couple qui prend le métro à Longueuil pour se rendre à Montréal, on parle d’une vingtaine de dollars pour un déplacement. À ce prix-là, l’automobile devient très concurrentielle » avait notamment martelé le porte-parole de l’Association pour le transport collectif de la Rive-Sud, Axel Fournier.

Il semble donc que l’ARTM ait entendu ces revendications. Son conseil d’administration a entériné jeudi que dès le 1er octobre, tous les titres unitaires pour circuler dans les zones AB, soit Montréal, Laval et Longueuil, passeront de 5,25 $ à 4,50 $. Le prix de deux passages sera abaissé de 10 $ à 9 $. Et pour 10 passages, on devra maintenant débourser 42,50 $, soit 2,50 $ de moins que ce qui était initialement prévu.

Pour les 17 ans et moins ainsi que les 60 ans et plus, qui bénéficiaient déjà de rabais, le titre unitaire coûtera dorénavant 3 $, les deux passages 6 $ et les dix passes, 28,50 $.


COURTOISIE ARTM | Une idée des réductions annoncées jeudi par l’ARTM

Selon l’Autorité, cet ajustement « permettra une transition graduelle vers le plein tarif, en 2025 » – au moment où le REM devrait être pratiquement complété – en réduisant « l’écart tarifaire avec les anciens titres unitaires donnant accès aux services de métro à Laval et Longueuil » « Cela offre également une réduction encore plus importante aux usagers occasionnels qui devaient acheter plusieurs titres pour un seul déplacement avant juillet 2022 », signale l’organisme.

Contexte « plus difficile »

Le directeur général de l’ARTM, Benoit Gendron, dit constater « que la demande de déplacement sort de plus en plus du métro-boulot-dodo avec plus de déplacements atypiques et occasionnels ». « On voit aussi revenir en force les épisodes de congestion automobile. Avec cette mesure, on facilite davantage les déplacements occasionnels en transport collectif entre les deux zones centrales dans un contexte de mobilité́ plus difficile », a-t-il souligné jeudi.

À Laval, le maire Stéphane Boyer a rappelé que 70 % des émissions gaz à effet de serre (GES) sont issues des déplacements. « Il n’y a certainement pas de solution unique à cette problématique, mais quand on favorise l’accès à notre réseau de transport collectif, il ne fait aucun doute qu’on améliore notre qualité́ de vie », a-t-il indiqué en réaction à l’annonce de l’ARTM.

Sur la Rive-Sud, la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, a estimé que ces réductions de prix permettront « une transition plus en douceur vers le nouveau cadre tarifaire, au bénéfice des citoyens […] effectuant des déplacements occasionnels en métro vers Montréal ».

« L’ARTM offre ainsi davantage d’équité, ainsi qu’un incitatif supplémentaire permettant de se réapproprier les transports collectifs. C’est d’autant plus vrai avec les répercussions attendues du chantier de réfection du tunnel Louis-Hyppolyte-Lafontaine », a encore évoqué Mme Fournier, en référence aux trois voies sur six qui seront fermées jusqu’en 2025 dans ce tunnel central au réseau routier montréalais.

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Oof quand j’ai lu l’headline j’avais peur qu’ils eussent brisé l’harmonisation des tarifs en créant un billet seulement métro pour Laval et Longueuil à 3.50… Mais en ajustant le prix AB à 4.50 c’est une bonne compromise temporaire. On doit se rendre compte a quelque point que briser quelques oeufs c’est nécessaire quelquefois pour faire du progrès, et c’est impossible de satisfaire a tous le monde et d’avoir un système harmonieux. A mois que le gouvernement contribue davantage…

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Mais il faut tout de même dire que la hausse qui avait été mise en place était incroyable. De 3,50$ à 5,25$ et un aller retour de 6,50$ à 10$. Je suis désolé, mais c’est littéralement du vol !

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Ca ne règle pas le problème du détenteur de carte mensuelle A qui doit acheter un nouveau billet pour Longueuil ou Laval.

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Mais l’avantage c’était que ça inclut une correspondance gratuit entre les systèmes STL et STM, ce qui bénéficient la majorité des usagers de TEC a Laval. De ce que je souviens, il y avait genre 50000+ usagers du métro a Laval, et il y a certainement pas la capacité de stationnement pour que la majorité de ces usagers viennent en voiture. On doit souvenir que c’est pas le fait de prendre le métro a Laval qui nécessite (en théorie) $5.25, c’est le fait de voyager de zone B → A. Dans la future si c’est corrigé, prendre le métro de Cartier a Montmorency sera 3.50 également

c’était fait par exprès comme ça. Les tarifs de transport en commun ne doivent pas dépendre du véhicule. le métro, le bus ou le REM devrait coûter le même prix s’il est pris dans la même zone et plus s’il traverse des zones.

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Mais on devrait pouvoir acheter un supplément comme dans toutes les villes à zones.

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True

C’est un déficience assez drôle de la ARTM de suivre l’échéance de la réforme tarifaire sans que la technologie arrive en premier.

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