Réaménagement de l'axe Saint-Urbain / Clark


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Ce matin coin Prince-arthur

Plus au nord, ils posent des bollards verts.

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Ce matin, en détails.

Tous les fûts de lumières sont installés.
Les bollards verts toujours en cours.
Il reste quelques blocs de béton à installer et 2 quais évolutifs à asphalter.

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Coin Laurier à 13h. Tous les blocs de béton ont été installés.

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Coin Bernard/Clark

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Quelques bollards à installer. Tout l’asphaltage est fini de Bernard à Laurier. Manque le marquage au sol et la signalétique.

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Coin prince-Arthur, la station bixi est de retour… sur l’îlot! Cependant elle n’est pas électrifiée visiblement.


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Phase 2 dès le 4 août.

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Suis-je le seul qui commence à être blasé de l’utilisation du mot durable à outrance ?

On dirait que chaque organisme ou projet doit être affublé de ce mot… Genre de green washing.

Tant qu’à moi j’appelerais un chat un chat et ce serait aménagement de corridor cyclable.

Précision: Juste pour être clair, ceci n’est pas un post anti piste cyclable.

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Voici mes suggestions pour le remplacer:

“Mobilité environnementale”
“Mobilité écologique”
“Mobilité soutenable”
“Mobilité responsable”
“Mobilité désirable”
“Mobilité douce”
“Mobilité urbaine”

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Je pense que la ville souhaite utiliser ce terme dans les projets qui combinent aménagement cyclable + aménagement pour le transport collectif (ex Saint-Urbain, Henri-Bourassa).

Même si d’accord que le terme est généralement galvaudé.

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pitié :sob:… on appel une corridor cyclable un corridor cyclable.

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Je suis d’accord avec toi mais dans ce cas ci, une voie réservée pour les autobus va être ajoutée donc l’appellation corridor cyclable ne serait pas complète pour refléter tous les changements.

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En fait, la mobilité durable a toute une définition dans la littérature (en urbanisme et en génie civil), ce n’est pas juste un buzz word.

Dans le cadre du corridor, l’usage est bon car le repartage de la voirie pour la mobilité active et pour le transport en commun (et les services d’urgence!) est fait de façon équitable.

Le gouvernement du Québec en donne aussi une bonne définition dans ces objectifs.

Là où l’on peut être très critique, c’est son usage pour vendre des projets qui ne le sont pas, voire quand le MTQ devient MTMD, mais fait tout le contraire dans ses budgets et ses priorités.

L’IA donne une définition juste :

La mobilité durable est une approche de la planification des déplacements qui vise à satisfaire les besoins de mobilité des personnes tout en minimisant l’impact environnemental, social et économique des transports. Elle encourage l’utilisation de modes de transport moins polluants et plus respectueux de l’environnement, comme la marche, le vélo, les transports en commun, le covoiturage, et les véhicules électriques.

En d’autres termes, la mobilité durable cherche à concilier la liberté de déplacement avec la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la préservation de l’environnement. Elle prend en compte l’aménagement du territoire, l’organisation des réseaux de transport, et la sensibilisation de la population.

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Un aménagement cyclable est de facto un aménagement durable s’il est établi en contexte de réduction de l’utilisation de l’automobile.

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Cela dit un aménagement durable n’est pas nécessairement durable (pensez Doug Ford par exemple).

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Il est durable et non pérenne. :slight_smile:

Photo de ce samedi, la piste avec un quai au coin Laurier/Saint-Urbain:

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N’ayons pas peur des mots, le mot durable a une connotation de durabilité en accord avec les énormes défis environnementaux et les changements climatiques. Comme nous sommes très loin d’atteindre nos objectifs nationaux et internationaux (avec les reculs que l’on constate actuellement et pas seulement au sud de la frontière) on devra continuer à promouvoir les objectifs fixés par les ententes internationales qui marquent le pas actuellement dans le monde

En ce qui me concerne le mot durable dans le contexte environnemental est rassurant et bienvenu, puisqu’il confirme des actions au bénéfice du présent mais aussi pour les générations à venir. Surtout qu’on a trop longtemps développé notre économie, en oubliant les conséquences néfastes de la croissance infinie, l’exploitation à outrance des ressources planétaires, les ravages environnementaux dans les forêts, les milieux humides, les fleuves et rivières, les océans, etc etc.

Et ça continue comme si le message n’atteignait pas le public cible que sont d’abord les politiciens, les décideurs économiques et une majorité des gouvernements partout sur la planète. La CAQ est d’ailleurs un des pires exemples gouvernementaux en la matière.

Parce que justement au lieu d’appliquer des politiques durables (qui n’auront pas d’impacts négatifs sur les prochaines générations) elle continue à gérer le Québec à court terme, en limitant le développement des transports en commun, tout en favorisant les routes et infrastructures routières (3ème lien particulièrement qui est un gaspillage scandaleux de fonds publics) qui favorisent l’étalement urbain et l’usage généralisé de l’automobile, comme on le faisait au 20ème siècle.

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