Je ne sais pas si les femmes “n’aiment pas s’accrocher au pouvoir” mais je trouve tout de même dommage tous ces départs féminins simultanés. Ça a des airs de fin de régime.
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Qu’on aime ou qu’on déteste le RMM, je suis très déçu qu’on ne puisse pas en parler avec rigueur, surtout en journalisme. Ça ne s’appelle pas le 20-20-20 et ça n’oblige pas 20% de toutes. Ce n’est pas ça les modalités.
On peut bien tapocher le règlement, mais il faut tapocher ce qu’il est.
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-Tousse - Tousse-
Il y a quelqu’un dans la boîte que ne fait pas de politique de terrain. Pour être allé à des consultations, après les peurs des riverains, le deuxième chapitre, c’est toujours l’abordabilité des nouveaux logements. Le monde qui habite sur les abords de la piste cyclable sur Notre-Dame dans les tentes ont besoins de logements abordables, pas qu’on exploite l’ancien hôpital chinois. C’est le provincial qui bloque les fonds! Apparemment M. Gariepy a plus d’échos à l’assemblée Nationale que les autres politiciens avant lui. Le règlement pour une métropole mixte est une des seule chose que la ville peut faire pour faire avancer les logements abordables.
Ça me fait un peu penser à la fois où la mairesse Rouleau de Pointe-Aux-Trembles avait ri lorsqu’elle s’était vu attribuer le ministère de l’environnement; C’est une blague.
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Pas tant en fait. J’étais hier au cocktail annuel de PM, qui était encore plein à craquer et j’ai posé la question : ça se bouscule pour les sièges qui se libèrent (2-3 candidat-es de renom) par siège et souvent c’est problématique car il y a embarras du choix. Donc on n’est clairement pas en mode PLC du temps de Trudeau.
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Des indices sur qui convoite le poste de maire/mairesse de Verdun?
Aucune idée honnêtement. Ça reste très secret ce genre de trucs tant que ce n’est pas officiel.
La journaliste a modifié le texte après que je l’aie tagguée sur Bluesky!
Pour lutter contre la crise du logement, la cheffe d’Ensemble Montréal, Soraya Martinez Ferrada, promet d’abolir le Règlement pour une métropole mixte (RMM), qui force les promoteurs à inclure 20 % de logements sociaux, 10 à 20 % de logements abordables et 5 à 10% de logements familiaux dans leurs projets résidentiels selon leur emplacement et leur superficie.
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Une correction qui fait du bien à mon âme !
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Dans la catégorie des très fausses-bonne-idées, celle-ci arrive au top.
Si on veut s’assurer qu’aucun projet n’aille de l’avant, que tout prenne encore plus de temps qu’actuellement et qu’il y ait des compromis mous partout, voici la recette à suivre:
Cette « table des maires » des 19 d’arrondissements permettrait de mieux tenir compte de « leurs réalités dans la prise de décision », explique-t-elle. On ignore encore quel serait leur poids décisionnel, mais ils auraient « un pouvoir d’influence réel dans les décisions » de la Ville, dit Mme Martinez Ferrada.
Si elle voit le jour, « la table des maires pourrait lever des drapeaux si la Ville propose un aménagement mur à mur, puis démontrer que telle proposition ne peut pas se faire dans tel arrondissement, puisque le cadre bâti ne le permet pas », souligne l’aspirante mairesse. « Alors, on ajusterait et on repartirait sur de bonnes bases. »
Cette phrase est mortelle : « Alors, on ajusterait et on repartirait sur de bonnes bases. »*
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Hônnetement je comprends pas trop sa campagne. Montréal a une gouvernance assez décentralisée avec ses arrondissements, plusieurs critiquent même en disant que ça empêche de prendre des décisions efficacement. Elle rajouterait une couche ?
Et l’histoire de la péréquation, elle veut que les arrondissements moins denses excentrés payent plus parce que leur revenus fiscaux / coûts en infrastructures sont plus faibles? Sa fitte pas vraiment avec sa base électorale, j’ai de la misère à voir quelle pirouette intellectuelle elle pourrait amener pour suggérer que les arrondissements centraux devraient verser une péréquation aux arrondissement excentrés.
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J’ai une seule explication à ça: Elle veut couper l’herbe sous les pieds de Miranda qui voulait se présenter et pourrait diviser son vote.
Luc Rabouin en fait propose ce que tu dis : donner plus de pouvoirs aux arrondissement en leur facilitant leurs pouvoirs décisionnels. Exemple : pas besoin de boucler avec la Ville-centre pour valider un choix d’apaisement de circulation, comme la pose de dos d’ânes : on leur octroie un budget et aux arrondissements de faire le bon choix sans reboucher avec le central (cet argent ne peut pas par contre être utilisé pour réparer des tuyaux)
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Dans ton exemple, les dos d’âne réalisés en arrondissement sont presque toujours sur le réseau routier local et s’ils doivent être amménagés sur le réseau artériel il faut demander aux services centraux une délégation en vertu de l’article 85 de la charte de la ville.
Le financement sur le réseau local est de compétence d’arrondissement tandis que quand ces derniers demandent aux services centraux une délégation, cela vient généralement aussi avec du financement.
Un enjeu c’est que sous Coderre, beaucoup de rues à vocation locale ont été transformé en artère, parce monsieur le maire voulait pouvoir décider de l’aménagement dans les quartiers.
Ça veut dire que les arrondissements doivent faire beaucoup de demandes en vertu de l’article 85, ce qui est long et peu productif comme démarche.
Si Rabouin veut simplifier cette démarche, c’est une excellente idée, mais je sais pas comment ça peut aller chercher des votes par contre 
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Ma rue de quartier est une artérielle! C’est ça qui est sidérant…
Ce règlement impose aux constructeurs d’inclure 20 % de logements sociaux, 20 % de logements abordables et 20 % de logements familiaux dans tout projet résidentiel, peu importe sa taille.
Arrrrrrgggg
(Pas les bons chiffres, pas les bonnes modalités, encore une fois)
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Faudrait écrire à la journaliste.
Mme Martinez est sur CBC ce matin en parlant de l’utilisation de IA pour augmenter la ville… 
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Elle pourra s’inspirer de Laval, qui l’adopte de plus en plus dans sa gestion.
comment? Faut proposer des idées concrètes (j’en ai quelques unes 
)
Rien de concrète dans l’entrevue.