Politique municipale - Ville de Montréal

Je ne dis pas de parler d’un projet mort, mais simplement de prendre la même technologie pour proposer quelque chose de nouveau qui reprends grosso-modo le même tracé tout en y apportant des ajustements significatifs. Je ne blâme pas Luc Rabouin, il respecte l’autorité de l’ARTM ce qui est une bonne chose en soi, mais j’avais l’espoir que l’on puisse voir plus grand et dans le cas du PSE cet absence de remise en question par le politique est un cadeau empoisonné. Tout ce que je dis c’est qu’on peut voir grand tout en étant réaliste, penser qu’on pourra mettre des tramways ou autobus comme seule réseau structurant dans une ville aussi populeuse que Montréal n’est ni réaliste ni sensé. Encore une fois, son idée de se concentrer sur les bus n’est pas mauvaise, mais rien ne l’empêche de proposer une vision plus à long terme qui serait plus accompli que le PUM 2050. Il n’a pas en n’en faire une promesse, il peut simplement dire voici ce que j’aimerais voir pour Montréal si l’argent provincial est disponible, mais sa réalisation dépends du provincial. Comme ça, il ne se mouille pas, mais il montre tout de même sa volonté d’aller plus loin.

Encore une fois, il peut afficher une volonté qui est conditionnel au support provinvial. Par exemple, mon administration va pousser pour que ça soit souterrain sous René-Lévesque, mais c’est au provincial de mettre l’argent. Je sais que politiquement ça serait difficile, mais c’est ce que je critique beaucoup de la politique aujourd’hui on ne tente pas de choses. On reste dans des sentiers battue et on évite toute vague, mais ça fait qu’il n’y a plus aucun courage politique ni audace.

Ce n’est pas tant pointer des coupables à mettre au bûcher, mais simplement énoncés les faits, leurs actions n’étaient pas nécessairement mauvaises. En revanche, on ne peut nier leur effet sur le débat public et comment cela à inutilement rendu la vision qu’on a du REM très négative en occultant les bonnes choses qu’il a accompli, comme son approche cost effective. Personnellement, je trouve que le débat était rendu toxique, ce concentrant uniquement sur des aspects sur l’aérien sans questionner les réelles décisions problématiques. On donnait aussi beaucoup trop de place aux acteurs qui ne souhaitais pas voir le projet amélioré, mais annuler totalement sans compromis.

Oui je suis d’accord, mais la sphère médiatique a indéniablement quelques problèmes par rapport à son traitement des enjeux tc. Est-ce que je dis que les journalistes individuels sont responsables? Absolument pas, c’est le système qui favorise cet état de fait, le sensationnalisme, le manque de contexte et tout ces problèmes sont des choses qui devraient être corrigé pour réellement avoir une seine démocratie. Tout le monde devrait pouvoir dire son opinion, mais les médias ne sont pas tout le monde et c’est pourquoi je les tiens à une plus grande rigueur. Quand il parle des dépassements de coût du REM sans mentionner que le prix du projet est très bas, ça participe à un narratif, surtout que je n’ai pas vu autant d’acharnement sur la ligne bleue qui est le prolongement de métro le plus cher au monde. Dans le cas du tc, les avis négatifs sont beaucoup trop présents, ça ne reflète pas l’avis de la population, alors ça peut souvent mener à une fausse perception de “l’accessibilité sociale” d’un projet. Encore une fois, je critique non parce que j’ai envie de voir l’institution journaliste disparaître, mais de la voir s’améliorer pour réellement remplir son rôle de quatrième pouvoir.

Oui, comme je dis, je ne blâme pas de vouloir commencer avec des bus, mais justement, je veux savoir quel est sa vision sur le long terme. Quel axe il maximiserait en mode plus lourd ou en tramway? Est-il pour les modes lourds? Quel est sa position sur l’aérien? Va-t-il pousser pour l’amélioration à la GO des trains d’EXO? Je veux savoir c’est des questions qui en disent beaucoup sur la vision politique d’un candidat. Certaines des réponses à ces questions vont faire la différence entre n’avoir rien autres que des extensions du métro hors de prix ou pouvoir réellement développer un réseau structurant sur toute l’île.

Je n’irai pas si vite, les deux projets ont des externalités, et des coûts surtout, totalement différent. Avec le REM de l’Est on avait un projet qui permettait de couper par deux ou trois les temps de trajet entre les extrémités de l’île et le centre-ville. Le coût par kilomètre était plus cher que le premier REM, mais c’était tout de même encore raisonnable comparativement à l’Amérique du Nord. Il y avait des problèmes, mais ça pouvait largement être réglé avec un peu de pression sur les éléments réellement flexible du projet. Par exemple, l’interconnexion avec le train de l’Est au nord aurait pu être amélioré. Pour ce qui est du PSE, on parle d’un gain de temps minimal pour 18 milliards de dollars! Bien au-delà de ce qui est payé pour des tramways en Europe et plus cher que qu’est-ce qu’un métro leger pourrait coûter pour aucun des bénéfices. Il y a aucune connexion au centre-ville et la ligne verte risque rapidement d’être saturé, même si elle ne l’est pas aujourd’hui, avec une nouvelle ligne déversant des usagers. Je dirai même le choix du tramway va probablement artificiellement limité la demande, parce que si on n’était que serait-ce égal aux temps de trajet voiture (ce qui ne sera pas le cas de l’option tramway), ce mode ne serait probablement pas capable de faire face à la demande.

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Valérie Plante aurait 2 mots à vous dire là dessus…elle a essayé avec la ligne rose, la CAQ n’a rien voulu savoir et c’est elle qu’on accuse de bulshiter sur la mobilité… Voilà la job ingrate des maires et mairesses au Québec…

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En effet et c’est là que Rabouin est plus terre à terre abec les bus.

Toutefois Plante et plusieurs autres ont été très naifs de penser que en laissant tomber le Rem de l’est…le projet serait nécessairement remplacé rapidement par le gouvernement.

La facture n’étant plus payée à 50% par la Caisse…le jour de la mort du Rem2 je savais que le projet de l’est était mort pour des années et années à venir.

Si c’était à refaire je suis convaincue que la mairesse dirait …ok le projet est pas parfait…on doit continuer avec la Caisse à l’améliorer mais surtout…à terme on doit aller de l’avant

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La ligne rose n’a jamais été un projet qui aurait pu se réaliser avec nos coûts de construction en souterrain, le gouvernement aurait été incapable de justifier une telle dépense uniquement pour Montréal. Cette tentative, bien que donnant un bon projet pour le très, très long terme quand on aura réglé nos coûts de construction, n’aurait jamais pu voir le jour et manquait de pragmatisme, même si je salue la volonté derrière la démarche. Il faut arrêter de comparer tout projet qui ne suit pas cet alignement à la ligne rose qui ne verra pas le jour avant un bon moment que lorsque de sérieuses réformes pour limiter les coûts vont êtres mises en place. En revanche, si un politicien arrive avec un projet mettant à profit des emprises inutilisées et limitant le recours au souterrain. Tu peux aussi limiter la taille des trains à 80 m, plus une automatisation pour limiter les coûts d’opérations pour le gouvernement sur le long terme, je pense que ça pourrait permettre d’au moins débuter un dialogues.

Le problème avec la ligne rose de Plante est qu’elle assumait que le gouvernement allait accepter de parler peu importe le projet. Ce qui n’était pas le cas, il était clair que ce projet allait coûter une fortune et il était peu probable que le gouvernement allait accepter de payer, surtout que ça ne servait aucun de ces contés. On ne sentait pas une approche cost effective dans la ligne rose, il y avait beaucoup trop de stations, l’alignement comportait une bonne partie en souterrain et la jonction avec la subdivision westmont aurait probablement été un enfer. De plus, on aurait ruiner le potentiel pour une future transformation de la ligne Vaudreuil en RER. Bref, personnellement, je respecte la démarche, mais il est faux de penser que cette proposition était réellement quelque chose de pragmatique vu le contexte passé et actuel. C’est un peu similaire au PUM 2050, on lance des lignes en l’air en espérant que ça passe, tu ne sens pas un sérieux dans la démarche et une réelle planification sur le long terme sur ce qui ferait du sens de réaliser. Dans le cas où un candidat voudrait vraiment afficher son sérieux, je pense qu’il pourrait proposer un métro leger type REM qu’on pourrait appeler REM B avec ces modifications au projet original:

  • Prolongement du tracé à Rivière-des-Prairies en suivant l’axe de Maurice-Duplessis en aérien à partir de Langelier avant de plonger pour terminer à une nouvelle gare du train de l’Est dans les environs de Redolphe-Forget.
  • Changement de localisation de la station Montréal-Nord pour connecter avec le train de l’Est et déplacement un peu au sud de la station Couture.
  • Changement de localisation de la station contrecœur à l’intersection de Joffre pour mieux desservir Thétreauville et Saint-Justin ainsi que l’ajout d’une station à Broadway pour desservir Montréal-Est.
  • Reprendre le tracé original sur Sherbrooke Est au lieu de Souligny pour permettre une meilleur connectivité avec le réseau de métro.
  • Rajouter une option souterrain à partir des voies du CN en mettant bien au clair que la ville va pousser pour ça auprès du provincial en demandant plus d’argent, mais que ça ne se fera au prix de ne pas avoir de projets se protégeant en partie des réactions citoyennes.
  • Dans le cas de l’option en aérien, mettre en place des tunnel piétonnier direct entre les stations Berri-UQAM ainsi que Papineau et ceux du métro léger (Labelle/Cartier dans les plans originaux), utiliser le même nom pour une meilleure cohérence dans les deux cas.
  • Station de 80 m au lieu de 40 pour faire face à la demande future.

Bref, ça serait un gros morceaux, mais je pense qu’en montrant sincèrement une volonté de faire quelque chose de plus raisonnable que ce que la ligne rose proposait serait déjà un bon pas dans rétablir un dialogue avec le provincial. Une grosse raison pour moi dans le manque de volonté politique à construire est le coût astronomique des projets. Une variable que tous les plans de transport jusqu’à maintenant de l’administration municipale semble oublier et que la STM ne semble pas trop pressé de régler en changeant ces règles internes dans la construction de stations. Je critique Plante parce que son approche n’avait évidemment aucune chance de fonctionner, tant qu’à proposer quelque chose de gros, fait que ça soit un minimum possible dans le contexte dans lequel tu évolues. Comme je l’ai dit souvent, un changement de mentalité est nécessaire et ce n’est pas en ne proposant rien de plus big (tout en étant conscient du coût de certaines décisions d’alignement ce que ne faisait pas la ligne rose) qu’on va vraiment changer le statu-quo dans lequel on se trouve.

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Je pense qu’on ne doit pas perdre de vue ce dont il est question ici: une course à la chefferie pour un parti municipal.

Aucun des candidats n’a accès à un bureau de projet avec les ressources et les professionnels nécessaires à faire un projet qui pourrait être qualifié de véritablement sérieux. Le reste n’est que des préférences en matière d’orientation, de la fantaisie, ou du marketing électoral.

Ce que tu recherches, je crois, c’est la personne qui devrait être à la tête de l’agence Mobilité Infra Québec :wink:

Le prochain maire ou mairesse de Montréal, je doute que ça se fasse élire sur la longueur précise en mètre des quais d’un projet hypothétique. Cette personne va se faire élire à ramasser les poubelles, à sécuriser le métro, à promettre des autobus “plus fiables” et à gérer les chantiers de voirie. Les questions techniques devraient être laissées à une équipe de planification expérimentée, peu importe qui.

Les projets sont bien plus gros et complexes que les suggestions des candidats. Et si on trouve qu’un exercice comme le PUM 2050 n’est pas assez sérieux malgré l’apport des professionnels derrière, ça n’arrivera définitivement au niveau des candidats.

Personnellement, je ne pense pas que c’est mal, car le TEC devrait être dépolitisé, et avoir un chef d’orchestre clair en matière de planification, et être du domaine des professionnels.

Je suis en désaccord sur l’opinion des médias, et des “opposants” en général. Je crois que l’espace qu’ils occupent dans la sphère publique est normal, mérité, et universel. Il est du ressort des gens qui pensent différemment d’occuper le même espace avec la même force et d’enrichir le débat, et de venir le gagner. C’est un pouvoir que nous avons tous.

Un candidat qui partage les mêmes orientations aiderait dans ce sens, c’est certain. Mais il ne faut pas avoir des attentes trop précises sur les projets. Il faut regarder des orientations au niveau d’un dirigeant, pas d’un ingénieur ou d’un architecte.

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Effectivement c’est un bon point! Après, au minimum, sans nécessairement parler de projet en soi, j’aimerais savoir ses positions sur des éléments qui vont drastiquement aider à la réalisation de tc, comme l’aérien. Au moins dire qu’il va laisser MIQ faire ce type d’alignement lorsque c’est justifié serait une bonne chose.

Mon plus gros problème n’a pas été la présence d’opposant, mais le tapis rouge qu’on leur déroulait sans remettre en question des éléments faux ou incomplet qu’ils mentionnait. Alors que chaque dire de CDPQ était passez au peigne fin ce qui n’est pas un problème en soi, mais on prenait en contrepartie mot pour mot des déclarations du collectif Mercier-Est qui n’avait nul intérêt à améliorer le projet sans le moindre regard critique. Tout ce que je critique c’est le double standard et la négativé autours du projet (REM A et B) grandement excarcerber par les quelques points négatifs répétés en boucle sans mentionner les éléments très positifs qui viennent les contrebalancer. Il y a aussi un manque de contexte sur certains éléments comme les coûts, genre ouiii il y a des dépassements, mais comparativement à l’Amérique du Nord c’est rien. Je n’ai jamais vu ce genre d’acharnement autours de la ligne bleue qui est beaucoup plus problématique dans ses dépassements.

Votre argumentaire est très bien et je ne suis pas fondamentalement désaccord avec celui-ci, mais je dois tout de même dire que proposer des changements aux niveau de la STM pour diminuer les coûts des projets serait possible même pour un simple candidat à la mairie.

En bref, je ne peux que vous donnez raison sur la majorité des points, même si j’ai quelques objections. En espérant que MIQ sera autant audacieuse que CDPQ et que la mairie ne vas pas bloquer les projets à moins vraiment qu’ils soient horribles… hum… hum PSE.

Quand on se compare, on se console?

L’impôt foncier à Toronto est toutefois comparable, voire inférieur, au taux dans d’autres grandes villes du sud de l’Ontario, souligne le politologue Peter Graefe de l’Université McMaster de Hamilton.

Une comparaison avec Montréal est un peu abusive. Les villes ont des compétences plus importantes en Ontario. On paie plus en impôt foncier, mais moins en impôt des particuliers.

Une citation de Peter Graefe, politologue, Université McMaster

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20 janvier 2025
Via Bluesky.

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Goddam on est rendu à combien de candidats, le gagnant va avoir une faible proportions des votes en ospri.

la conseillère d’arrondissement de Verdun, Céline-Audrey Beauregard, a publié un montage photo des personnes qui ont annoncé leur candidature

Source : Redirecting...

Elle a aussi publié un tableau avec de l’info sur chaque personne : Course à la chefferie-Projet Montréal-2025 - Google Docs

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Je crois que la course va se jouer entre Luc Rabouin et Laurence Lavigne Lalonde, avec comme troisième Maja Vodanovic. Rabouin est définitivement celui qui a le plus de notoriété de tous les candidats, par contre, LLL et Vodanovic ont quand même beaucoup plus d’expérience en politique, étant élues depuis 2013, et ayant la perspective d’avoir siégé dans l’opposition. Les trois autres candidats ne me semblent pas assez expérimentés: Katahwa et Alneus ne sont élues que depuis 2021, et la seconde est uniquement conseillère comparée aux quatres autres maires d’arrondissement. Tant qu’à Bernier, le fait qu’il n’ait jamais été élu rend automatiquement sa candidature plus faible face aux autres.

Par contre, je suis vraiment content d’avoir une diversité de candidatures - ça fait changement de la course à deux de 2013!

Selon moi les points forts de ceux qui je pense formeront le top 3:

Luc Rabouin: Pragmatisme, notoriété et connaissance du milieu des affaires
Laurence Lavigne Lalonde: Expérience dans deux quartiers (MHM et maintenant VSMPE) et désir de se démarquer de l’actuelle administration avec des idées nouvelles
Maja Vodanovic: Expérience en politique et représentation d’un quartier périphérique, moins associé à Projet Montréal

Ça serait cool d’avoir une liste des appuis publics reçus par chaque candidat!!!

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En lien avec tout ça, si Luc Rabouin gagne la chefferie, j’aimerais vraiment ça voir Marie Plourde se présenter comme mairesse du Plateau-Mont-Royal: ça fait longtemps qu’elle y est conseillère et elle y a fait un travail incroyable!

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Les journalistes ne devraient pas être autorisés à poser des questions lors des séances des commissions permanentes de la Ville de Montréal, selon un rapport déposé au conseil municipal lundi.

Le 17 novembre 2023, en pleine tourmente entourant la gestion déficiente à l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM), des journalistes présents à une séance de la Commission sur les finances et l’administration avaient profité de la période de questions des citoyens pour interroger Isabelle Beaulieu et Dominique Ollivier, anciennes dirigeantes de l’organisme qui témoignaient ce jour-là. Plus tard dans la journée, la mairesse Valérie Plante avait annoncé qu’elle recommanderait la destitution d’Isabelle Beaulieu et la mise sous tutelle de l’organisme. De son côté, Dominique Ollivier avait déjà démissionné de son poste de présidente du comité exécutif.

Un citoyen s’était plaint de voir la période réservée au public se transformer en « conférence de presse », jugeant que les droits des Montréalais s’en trouvaient brimés. Ce citoyen est Robert Perreault, un ancien conseiller municipal et ami de Dominique Ollivier. Un mandat avait alors été donné à la Commission de la présidence du conseil, composée d’élus des différentes formations politiques, pour qu’elle se penche sur la question.

"Le document fait valoir « qu’il existe des canaux privilégiés pour les journalistes afin d’obtenir réponse à leurs questions »,"

"« On le sait, lors de la tenue de cette commission, il y avait encore des intervenants qui refusaient de répondre à des médias, et, dans un contexte de transparence, on croyait que c’était important que les personnes répondent non seulement aux commissaires, mais aussi aux médias. "

Il ne semblait pas y avoir de problématique, sauf une fois où PM a invité les journalistes car ces derniers n’obtenaient pas de réponses à leurs questions. Visiblement les canaux privilégiés pour les journalistes ne fonctionnaient pas.

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Dommage!

Contrairement à ce qu’elle avance, elle n’avait ni les 200 bulletins (dont au moins 10 personnes dans 7 arrondissements différents), ni les 7.500$ demandés pour déposer son dossier officiel avant le 31 janvier. Une fois de plus, elle ment pour sauver la face. C’est triste… La plupart des élu.e.s de Projet Montréal ont de mauvaises expériences avec elle et aucun ne l’appuyait (sauf Martine Musau Muele, certainement dans une volonté de renforcer son côté “mystérieux” et imprévisible). Cependant, on peut accorder à la mairesse de Lachine d’avoir ramassé des centaines de nouvelles adhésions de Lachine et du West Island à Projet Montréal. Maintenant, elle va faire face à un procès pour diffamation en février, on va voir ce qui ressort de ça !

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Ouf…

Sa candidature a aussi coûté le poste de son directeur de cabinet qui a remis sa démission après l’histoire du changement de vocation de la page Facebook dénoncé par 3 des personnes élues de Lachine …

Cette situation a p-ê fait en sorte qu’il a été plus difficile de recueillir les signatures requises. Juste pour l’exigence d’avoir des signatures provenant de différents arrondissements, c’est facile en demandant aux membres du caucus du partie.

Le site web de Projet Montréal a été mis à jour en cours de journée pour refléter le retrait de la candidature de Maja Vodanovic

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