Politique municipale - Ville de Montréal

La Presse a changé 3 fois le titre de cet article, car les journalistes ont mal compris

Il vaut mieux écouter le reportage de Benoit Chapdeleine de Radio-Canada qui explique que tous les administrations depuis Gérald Tremblay finissent l’année dans le vert. Gérald Tremblay avait commencé par un manque à gagner de 400 M$ dans ses prévisions budgétaires et a fini par le combler.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Élections municipales 2025 - Villes de l’agglomération de Montréal

ils finissent souvent avec un surplus comptable, à chaque année.

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Rôle d’évaluation 2026-2028 Le centre-ville de Montréal encaisse le coup

Le centre-ville de Montréal encaisse durement le coup du télétravail et de l’insécurité. La valeur des immeubles de bureaux a reculé de plus de 10 % dans Ville-Marie, une situation inédite, tandis que les résidences affichent la plus faible hausse parmi les arrondissements.

Publié à 11 h 31 Mis à jour à 12 h 09

« C’est quand même exceptionnel, ce qu’on constate », a reconnu la directrice de l’évaluation foncière, France Mousseau, en conférence de presse mercredi. Elle dévoilait le nouveau rôle d’évaluation municipale de la Ville de Montréal 2026-2028, dont le plus récent exercice remontait à il y a trois ans.

D’après le rapport, les 463 tours à bureaux de l’arrondissement de Ville-Marie totalisent une valeur de 15,7 milliards, un chiffre en baisse de 10,8 %.

À travers la métropole, la valeur des immeubles de bureaux diminue en moyenne de 8,2 %, une situation que la Ville attribue à la hausse du taux d’inoccupation des locaux au centre-ville en raison du télétravail. Les centres commerciaux s’en sortent mieux, avec une hausse de 4,4 % ; idem pour les artères commerciales, avec un bond de 17 %.

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Valérie Plante made history in 2017 when she unseated Denis Coderre to become Montreal’s first woman mayor.

She came to city hall with bold promises: a greener city, improved mobility and more affordable housing.

​​"I’m going to get Montrealers moving again. I’m going to build safer roads for pedestrians, seniors and cyclists," she said on election night.

Her victory was a political upset that few saw coming — and in the eyes of supporters, Plante ushered in a new era of progressive politics in Montreal.

With her signature laugh and ever-present smile, she was for many a breath of fresh air after Coderre’s bombast and the corruption-ridden tenures of past mayors.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Élections municipales 2025 - Villes de l’agglomération de Montréal

Bilan de la mairesse dans Le Devoir

Bien de l’eau a coulé dans les conduites d’aqueduc depuis l’arrivée au pouvoir de Valérie Plante à l’hôtel de ville de Montréal, en 2017. Si la mairesse a donné une nouvelle impulsion à la Ville, il y a tout de même eu du sable dans l’engrenage. La pandémie de COVID-19, qui a bouleversé la vie des Québécois, a aussi exacerbé certains phénomènes, comme l’itinérance, la crise du logement et la hausse du coût des biens et services, qui ont mis du plomb dans l’aile de l’administration sortante.

Il y a aussi un texte sur le verdissement et un autre sur la mobiliité

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Excellent article sur le verdissement bien étoffé. C’est tellement bon qu’on en veut plus comme une carte de micros-forêts :eyes:. Une belle illustration de ce legs encore invisible de Mme Plante, surtout le parc de l’Ouest.

En tout, une belle rigueur du Devoir à ces sujets.


Côté vélo, une augmentation de 34% du réseau cyclable sur 8 ans, dans un contexte de demande exponentielle d’usage, ça ne me semble pas mériter l’étiquette de dogmatique que certains attribuent à Mme Plante.


Pour les campagnes 2025: plus (+) de vision et d’ambition, plus de grands parcs et de renaturalisation, et plus de réseaux cyclables sécuritaires, ça me semble être dans le bon sens de l’histoire.

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Le changement est tel que Montréal est incluse dans le prochain livre sur les femmes au pouvoir qui ont transformé leur ville de Melissa Bruntlett, une Vancouveroise qui vit maintenant aux Pays-Bas avec toute la petite famille

Du compte Bluesky de Melissa et Chris Bruntlett

After two years of obsessing over every word and photograph, the first physical copies of “Women Changing Cities” landed on our doorstep today.

We couldn’t be prouder of these eleven stories of transformational leadership, and sincerely hope they find the global audience and attention they deserve.

From Paris to Bogota, Manila to Montréal, despite often fierce opposition, female leaders are reclaiming streets, reimagining mobility, and designing safer, more inclusive public spaces. Nineteen of these inspirational women are profiled in Women Changing Cities: Global Stories of Urban Transformation by Canadian urban mobility advocates Melissa and Chris Bruntlett. Their 208-page book—out on 1 October—was commissioned by RIBA Publishing, the publishing arm of London’s Royal Institute of British Architects.

In Montréal, Mayor Valérie Plante rolled out the most ambitious car-free scheme in North America, pedestrianising more than five miles along 11 different commercial arteries each summer, opening the streets in front of 2,100 local businesses.

Denis Coderre n’aurait jamais mis Montréal « sur la mappe » de cette façon :wink:

J’espère juste que le livre pourra être acheté ailleurs que sur Amazon, car actuellement, il est 95 $ sur le site… vs le prix suggéré de 38 £ de l’éditeur :melting_face:

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Wow, ça a l’air super intéressant comme ouvrage! Si tu trouves moyen de l’acheter moins cher, fais nous signe :slight_smile:

Leur livre précédent est dispo en version numérique à la BAnQ : Curbing Traffic - Bibliothèque et Archives nationales du Québec - OverDrive

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tu en fais partie en fait @ScarletCoral , ça ne s’applique pas juste à la mairesse! :wink:

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Maxime Bergeron fait le bilan de l’administration Plante au Téléjournal

Élections municipales : la campagne est officiellement lancée

Le lancement des élections municipales marque la fin d’un chapitre : celui des huit années de l’administration Plante à la tête de Montréal. Peu connue du grand public à ses débuts, Valérie Plante a su déjouer tous les pronostics en n’essuyant aucune défaite sur la scène politique municipale. Quel héritage laisse-t-elle après deux mandats? Et que peut-on attendre de cette nouvelle course à la mairie?

Entrevue avec Maxime Bergeron, journaliste à La Presse.

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Il affirme que Plante sera associée à l’augmentation du sentiment d’insécurité dans la ville.

Qu’en pensez-vous?

Il y a assurément une augmentation du sentiment d’insécurité dans la ville, avec la hausse de l’itinérance, la baisse du pouvoir d’achat, la montée des tensions sociales. Est-ce dù spécifiquement à l’administration Plante? J’en doute, puisque le phénomène est répandu partout en occident. Toutefois, c’est clairement un cas de “au mauvais endroit, au mauvais moment”. Ça va assurément teinter son leg dans les livres d’histoire, par la force des choses.

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De Maxime Bergeron? Qu’il a beaucoup de rancune, mais bon une chance que ce n’est pas un journaliste.

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“Video unavailable — This video has been removed by the uploader” :cry:

Revenue. Bizarre.

Je crois que c’est effectivement l’une des faiblesses de l’administration Plante au cours des dernières années. Il y a beaucoup de positif à dire de son bilan, aucun doute, mais la gestion de l’itinérance et de l’insécurité auront été déficient et l’administration n’aura pas été en mesure de prendre le dessus, malheureusement.

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Entrevue-bilan avec la mairesse dans La Presse

Valérie Plante | « J’ai vite compris que j’étais un paratonnerre »

Après huit ans à la mairie, Valérie Plante constate qu’elle a été un « paratonnerre », servant de défouloir à certains Montréalais. Avant son départ, la mairesse livre un message à son successeur : ne laissez pas la frustration de certains vous empêcher de « transformer la ville ».

« J’ai vite compris que j’étais un paratonnerre social », lance Mme Plante, en entrevue avec La Presse, dans son bureau de l’hôtel de ville, qu’elle quittera en novembre.

Elle prendra part lundi à sa dernière réunion du conseil municipal après une carrière de 12 ans en politique municipale. Un volumineux bilan de son administration y sera déposé.

Dans le Devoir aussi

Une photo du siècle dernier, montrant une femme à vélo parmi les « gros chars » de la rue Sainte-Catherine, orne un mur du bureau de Valérie Plante, à l’hôtel de ville. La mairesse sortante adore ce cliché de l’illustre photographe Gabor Szilasi, qui lui a été offert l’an dernier pour son 50e anniversaire : « Cette cycliste warrior, c’est moi ! »

À un peu moins de deux mois de son départ de la mairie, Valérie Plante affirme partir avec le sentiment du devoir accompli malgré les « défis » qui perdurent — crise du logement et de l’itinérance, bouchons de circulation, centre-ville en perte de vitesse, absence de transport structurant dans l’est de l’île, infrastructures en décrépitude.

La première femme à diriger Montréal depuis sa fondation, en 1642, est fière d’avoir « ramené l’intégrité à l’Hôtel de Ville », après la corruption mise au jour il y a une douzaine d’années par la commission Charbonneau. Des élus avaient été arrêtés. Le lien de confiance était brisé entre les dirigeants politiques et la population.

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Entrevue de Noovo avec la mairesse

Ajout : sur YouTube

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