Plan directeur d'aménagement du campus de la montagne (UdeM)

La place de La Laurentienne change de nom et devient tout simplement la place Publique du campus.

Amorcés en 2021, les travaux de réaménagement de la place Publique, située au cœur du campus de la montagne, devaient favoriser un meilleur partage du lieu et renforcer sa convivialité tout en protégeant le patrimoine bâti et paysager.

Les travaux comprenaient notamment le creusement de bassins de rétention et de puits d’infiltration, la plantation de nombreux arbres, arbustes et végétaux, l’ajout de mobilier urbain et d’appareils d’éclairage.

11 « J'aime »

Beau design, mais ça manque de bancs, de tables, d’espaces conviviaux. On dirait que ce n’est conçu que pour être un lieu de passage, alors que ça serait très bien situé pour être un point de rencontre sur le campus.

6 « J'aime »

Les bancs sont peut-être peu nombreux, mais avez-vous remarqué que toute la bordure de la place publique est constituée d’un bloc continu qui permet de s’y asseoir ?

2 « J'aime »

Je pense qu’ils vont ajouter du mobilier, dont à coté du pavillon Jean-Brillant là ou se trouve l’aire de restauration.

Est-ce qu’on connait la raison du changement de nom ? Car Place Publique, il n’y a rien de plus générique et non représentatif… au moins avec l’ancien nom, on savait de quoi on parlait. C’est pas comme si la Laurentienne c’était péjoratif ou célébrait quelqu’un de problématique…

Bonne question :thinking: À l’origine le nom de place de La Laurentienne était en reconnaissance d’un don fait à ce moment-là par la Banque Laurentienne, mais aujourd’hui la nouvelle place est financé directement par les étudiant à même le Fonds de la vie étudiante. Peut-être que le nouveau nom est pour mettre la nouvelle source de financement en valeur.

3 « J'aime »

Université de Montréal : fin des travaux de réaménagement de la place Publique

Portail Constructo | 18 octobre 2022


Crédit : Amélie Philibert

La place publique située entre les pavillons Maximilien-Caron, Samuel-Bronfman, 3200 rue Jean-Brillant et Lionel-Groulx de l’Université de Montréal a été réaménagée.

Amorcés en 2021, les travaux de réaménagement ont été achevés le mois dernier et comprenaient notamment le creusement de bassins de rétention et de puits d’infiltration, la plantation de nombreux arbres, arbustes et végétaux, l’ajout de mobilier urbain et d’appareils d’éclairage.

Le projet a été financé à parts égales par l’Université de Montréal et le Fonds d’amélioration de la vie étudiante.

Source : Université de Montréal

2 « J'aime »

ou bedon ‘place Publique’ est juste un nom temporaire en attendant une commandite ou un mécène qui y accolera son nom

De très gros travaux à venir sur le campus de l’UdeM…
Transformation complète des pavillons Roger-Gaudry et Marie-Victorin.

L’Université de Montréal investit 390 M$ pour la rénovation de ses pavillons

Portail Constructo | 4 novembre 2022 | Par Mathieu Ste-Marie

Le pavillons Roger-Gaudry serait reconnu comme le premier bâtiment moderne du Québec. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

Deux pavillons de l’Université de Montréal seront complètement transformés. Ces réaménagements intérieurs représentent le plus important projet de rénovation d’infrastructures existantes entrepris par l’établissement d’enseignement dans les 50 dernières années.

Les travaux toucheront environ 22 300 mètres carrés des pavillons Roger-Gaudry et Marie-Victorin, soit l’équivalent de trois terrains de football. Pas moins de 390 M$ seront investis dans ces transformations devenues possibles grâce à la libération des espaces et nécessaires à cause de la vétusté des pavillons construits au milieu du siècle dernier. « C’est un projet important d’un point de vue financier, mais c’est également un projet important pour l’institution et la communauté universitaire, explique le directeur général des projets majeurs d’infrastructure à l’Université de Montréal, Alain Boilard. Le pavillon Roger-Gaudry est le premier pavillon du campus, c’est son pavillon phare. Les gens s’identifient beaucoup à celui-ci. »

image
Alain Boilard, directeur général des projets majeurs d’infrastructure à l’Université de Montréal. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

Aménagement de salles d’enseignement et d’informatique, de laboratoires, de salles pour le travail en équipe et de bureauxnbsp; le pavillon Roger-Gaudry pourra accueillir notamment l’École de réadaptation et l’École d’orthophonie et d’audiologie, la Faculté de médecine ainsi que des bureaux administratifs. Ces nouveaux locaux proposeront un milieu de vie et de travail plus moderne qui intégrera la lumière naturelle et misera sur le décloisonnement de l’espace. De son côté, le projet de réaménagement de l’espace au pavillon Marie-Victorin comprend la création de salles de cours, de salles de réunions et de bureaux administratifs ainsi que de locaux d’un centre de la petite enfance. L’endroit pourra accueillir l’École de travail social, l’École de psychoéducation et des groupes de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant permettant ainsi de créer un pôle en sciences sociales.


Le pavillons Marie-Victorin, construit en 1959, subit des travaux depuis le mois d’octobre. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

Dans les deux pavillons, des mesures durables seront intégrées aux nouveaux aménagement, comme une meilleure ventilation, un système d’éclairage écoénergétique, des appareils de plomberie à faible débit et l’utilisation de matériaux recyclés. Ces travaux visent la certification LEED v4 pour la conception et la construction des aménagements intérieurs.

Une préoccupation patrimoniale

Toutefois, avant d’y arriver, les défis seront importants, surtout dans le pavillon Roger-Gaudry construit à la fin des années 1920. « À l’époque, les codes de construction étaient différents, tout comme les normes. Il faut adapter nos rénovations aux normes d’aujourd’hui pour s’assurer que tout est sécuritaire pour les usagers », explique Alain Boilard. D’ailleurs, les travaux seront l’occasion de traiter les matériaux contenant toujours de l’amiante, en conformité avec les bonnes pratiques.

Le projet présente des défis également sur le plan architectural. « Nous avons des contraintes avec la trame structurale, avec les fenêtres existantes, la forme de l’immeuble, la mise en conformité. Par exemple, nous ne pouvons pas démolir les colonnes dans les salles de classe, il faut travailler avec. De plus, nous avons dû déplacer certaines trames de corridors pour que notre programme s’intègre bien dans les espaces », indique l’architecte et gestionnaire de projets à l’Université de Montréal, Michelle Beausoleil. D’autre part, les gestionnaires de projet doivent veiller à préserver l’aspect patrimonial des pavillons. Entre autres, des éléments distinctifs de l’architecture de l’époque seront conservés. « Nous n’enlevons pas tout. Nous conservons une bonne quantité de choses qui vont rappeler le bâtiment d’autrefois. Certains murs vont rester en place », explique Alain Boilard.

image
Michelle Beausoleil, architecte et gestionnaire de projets à l’Université de Montréal. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

Peu de travaux seront effectués sur la façade extérieure et donc l’allure des pavillons restera la même en dehors des bâtiments. Toutefois, près de 1 200 fenêtres seront remplacées au pavillon Roger-Gaudry et une nouvelle porte extérieure sera installée. « Nous allons essayer de limiter les interventions extérieures. On va faire attention pour qu’il n’y ait rien de très visible. Les interventions sur Roger-Gaudry sont très surveillées », note Michelle Beausoleil. Le remplacement de ces fenêtres s’avère cependant essentiel pour assurer la réalisation d’économies d’énergie.

Un autre défi sera davantage logistique puisque, comme les activités d’enseignement et de recherche se poursuivent, les travailleurs de la construction devront limiter le bruit et les vibrations au strict minimum. De plus, il faudra installer les clôtures afin que les étudiants, enseignants et le personnel administratif puissent entrer dans le bâtiment sans passer par les zones de chantiers.

Première étape, la déconstruction

Le projet a été scindé en trois sous-projets distincts, soit le pavillon Roger-Gaudry secteur ouest, le pavillon Roger-Gaudry secteur est et le pavillon Marie-Victorin. Les travaux de déconstruction ont commencé en juin dans le secteur est et en septembre dans le secteur ouest alors que ces travaux se sont amorcés en octobre au pavillon Marie-Victorin. Comme il n’y a pas de démolition, les matériaux pourront être recyclés et réutilisés.

Après cette première étape, l’Université de Montréal ira en appel d’offres cet hiver pour trouver un gérant constructeur. « Ce projet comporte une part de risque. Donc nous voulions d’abord déconstruire pour voir si tout était conforme aux plans, que les devis soient bons. Ensuite, nous pourrons chercher un entrepreneur général », souligne Alain Boilard.

Selon lui, cet imposant réaménagement intérieur devrait se terminer au printemps 2026. D’ici là, le travail ne manquera pas dans ces deux pavillons universitaires.

UN PEU D’HISTOIRE

Conçu par l’architecte Ernest Cormier, le pavillon Roger-Gaudry a vu sa construction débuter en 1928 pour se terminer en 1943. Selon l’Université de Montréal, ce pavillon est reconnu comme le premier bâtiment moderne du Québec « en raison de l’utilisation du béton, de la verticalité des lignes de la façade et du dépouillement de l’ornementation ». Le bâtiment a été renommé en 2003 en l’honneur du premier recteur laïc de l’établissement et qui a mené ce dernier sur la voie de la modernité.

De son côté, le pavillon Marie-Victorin, conçu par l’architecte Félix Racicot, a été construit en 1959. Avec l’ordonnance symétrique de ses fenêtres, son ornementation classique et sobre et ses longs couloirs, ce bâtiment est représentatif des édifices que l’on retrouve ailleurs au Québec.

5 « J'aime »

Il y a une exposition sur la construction du pavillon Roger-Gaudry, le pavillon principal

«Construire sur la montagne»: exposition sur la construction du pavillon Roger-Gaudry

UDEMNOUVELLES
LE 13 DÉCEMBRE 2022

Une importante exposition de photos d’archives a vu le jour cette semaine sur les clôtures de chantier entourant le pavillon Roger-Gaudry, présentement en rénovation.

L’exposition Construire sur la montagne présente une série de photographies et d’images d’archives qui relatent l’histoire de la construction de l’un des plus importants bâtiments de Montréal et l’immense influence qu’a eue l’architecte Ernest Cormier sur les diverses étapes de ce vaste projet, depuis sa conception dès 1924 jusqu’à sa réalisation finale en 1942.

Choisies parmi la collection des archives de l’Université de Montréal et celle du Centre canadien d’architecture, les images reproduites ont été installées sur les clôtures de chantier qui entourent présentement l’immense bâtiment dans le cadre des grands travaux sur le campus de la montagne.

Montréal, métropole moderne

image
Construction du Pavillon principal de l’Université de Montréal, 30 octobre 1931

L’année 1928 marque le début de la construction du pavillon Roger-Gaudry. Il s’agit alors du plus gros chantier de la région métropolitaine, reflet de la croissance de la ville moderne qu’est Montréal vers les années 1930. Le projet est colossal et les images d’archives viennent illustrer l’échelle monumentale du bâtiment, la complexité de sa construction. Elles témoignent d’un chantier spectaculaire, porté par le travail de centaines d’ouvriers qui semblent nous observer à un siècle de distance.

La force visuelle des photos s’exprime, entre autres, dans les imposantes fondations faites de béton armé et l’immense charpente exposée du bâtiment, alors que le pavillon semble prendre forme sous nos yeux, indissociable de la montagne sur laquelle il vient s’implanter.

Un travail d’enquête et de découvertes

image
Travaux sur le campus

Un important travail d’enquête attendait Éléonore Aubut-Robitaille, archiviste à la Division des archives et de la gestion de l’information de l’UdeM, lorsqu’elle a été sollicitée par le Bureau des communications et des relations publiques pour collaborer à ce projet d’exposition.

«Chaque projet est une découverte. Dans celui-ci en particulier, le plus grand défi a certainement été de me familiariser avec l’histoire architecturale de l’Université, ce qui a été aménagé sur le campus de la montagne et à quel moment, les projets envisagés et ce qui a été réellement construit ou encore l’occupation intérieure, surtout celle du pavillon Roger-Gaudry. Plus d’une centaine de photographies ont été proposées en lien avec ce projet, dont certaines que je voyais pour la première fois!» dit-elle.

C’est en parcourant la quantité et la diversité des images d’archives qu’on se rend compte de l’ampleur de la tâche et des risques inhérents à ce type de recherche.

Certaines photos d’archives sont d’ailleurs moins bien conservées ou plus rares, mais non moins saisissantes, comme celle où l’on aperçoit le versant nord de la montagne avant la grande phase d’expansion du campus, dans les années 1960.

«Dans cette masse impressionnante d’archives institutionnelles, le risque est grand de se perdre, de chercher dans toutes les directions, explique Éléonore Aubut-Robitaille. Mes collègues et moi avons travaillé fort pour trouver des photos qu’on n’avait pas encore vues. Souvent, dans certains projets, les mêmes images sont réutilisées parce qu’elles sont magnifiques, que ce sont des images signatures, mais l’objectif était également de proposer des images qu’on n’avait pas encore eu la chance de voir.»

Enfin, l’abondance de documents et d’informations ainsi que la variété des instruments de recherche peuvent représenter un défi pour l’archiviste qui doit répondre aux besoins de la clientèle: «Dans une recherche d’archives comme celle que nous venons de réaliser, il faut en général consulter plusieurs fonds d’archives, utiliser plusieurs instruments de recherche et d’outils pré- et postinformatisation dont les descriptions sont d’une précision très variable. Les archives décrites à la pièce, numérisées et disponibles en ligne en un clic sont une petite portion de la documentation, la pointe de l’iceberg. Ici, à l’Université de Montréal, on parle de près de 150 ans d’histoire en archives, soit plusieurs dizaines de milliers de photographies et au moins deux kilomètres linéaires d’archives textuelles!»

Communiquer et valoriser le patrimoine bâti

Mis sur pied par le Bureau des communications et des relations publiques, ce projet avait notamment pour objectif de mettre en valeur le pavillon Roger-Gaudry, en plus d’égayer le campus pendant la phase des travaux.

Les grandes banderoles destinées aux divers usagers du campus ont été conçues par la conseillère en communication Natacha Monnier avec l’appui de la coordonnatrice Audrey Rochon et de la graphiste Guylaine Gauthier.

La mise en valeur des contenus se prolonge sous la forme d’une exposition virtuelle permettant de voir l’ensemble des affiches de même que leurs sources bibliographiques.

https://nouvelles.umontreal.ca/article/2022/12/13/construire-sur-la-montagne-exposition-sur-la-construction-du-pavillon-roger-gaudry

8 « J'aime »

Rénovation de cette grande fenêtre sur l’avenue Claude-Champagne, pavillon Marie-Victorin:

5 « J'aime »

J’ai attendu un peu avant de vous partager ce magnifique clip du campus de l’UdeM, réalisé par @tipat99.

Admirez la vue ! :star_struck:

Université de Montréal vue du ciel

Pat vidéo Drone & plus
22 févr. 2023

Voici le campus principal de l’université du ciel vue de drone en février 2023.
Ceci a été filmé avec le drone DJI mini 2 en 4k

2 « J'aime »

Le 21 mars, le Vice-rectorat à la planification et à la communication stratégiques invite des membres de la communauté à participer à des discussions sur l’avenir des espaces intérieurs des campus.

La journée d’échanges aura lieu au Carrefour des arts et des sciences, sur le campus de la montagne, et prendra la forme de rencontres en petits groupes. Les personnes désireuses de participer à ces ateliers doivent remplir le formulaire suivant au plus tard le 14 mars: Demande de participation à la journée d’ateliers - Plan directeur des espaces 2023-2043.

Il est également possible de déposer un court mémoire (maximum de 3000 mots) ou encore de faire parvenir ses commentaires par courriel à l’adresse vrpcs(at)umontreal.ca au plus tard le 28 mars prochain.

1 « J'aime »

La rénovation du pavillon de la faculté d’Aménagement de l’UdeM:


11 « J'aime »

Finition sur la grande fenêtre sur l’avenue Claude-Champagne, pavillon Marie-Victorin:

10 « J'aime »

Institut de cybersécurité Polytechnique, HEC et l’Université de Montréal créent l’IMC2

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

L’Université de Montréal et ses deux écoles affiliées, Polytechnique et HEC Montréal, annoncent la création de l’Institut multidisciplinaire en cybersécurité et cyberrésilience (IMC2).

(Montréal) Le haut savoir universitaire se mobilise pour élever une muraille de sécurité informatique au service des Québécois.

Publié à 7h33

Partager

Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne

L’Université de Montréal et ses deux écoles affiliées, Polytechnique et HEC Montréal, annoncent ainsi la création de l’Institut multidisciplinaire en cybersécurité et cyberrésilience (IMC2).

L’objectif de ce nouvel institut, auquel seront associés 44 professeurs, leurs équipes de recherche et de nombreux étudiants, est d’offrir une expertise à la fine pointe non seulement en matière de recherche et de formation d’une relève qualifiée, mais aussi un service public en cybersécurité.

« L’objectif, c’est aussi d’essayer de jouer un rôle par rapport aux orientations en termes de politiques publiques au niveau réglementaire, au niveau aussi de l’observation de la menace. C’est aussi important d’avoir un observatoire de la menace de manière à pouvoir aider dans les décisions lorsqu’il y a un incident majeur qui se produit », a expliqué en entrevue le professeur Frédéric Cuppens, expert en cybersécurité au département de génie informatique et génie logiciel de Polytechnique, qui devient le directeur de l’Institut.

Même pour le citoyen

Cette expertise ira même jusqu’aux citoyens, affirme-t-il.

« Au niveau des PME et des citoyens, quand il y a des vols d’identité, des fraudes chez les citoyens, souvent ces personnes ou ces petites structures d’entreprises ne savent pas nécessairement quoi faire pour faire face à ces incidents et c’est aussi un objectif de l’Institut d’avoir une structure, un centre d’expertise qui permet de fournir une aide, les premiers secours à des individus et des PME qui doivent faire face à des incidents. »

Tâche herculéenne s’il en est une et le professeur Cuppens ne se fait guère d’illusions sur la capacité ultime de l’Institut.

« On ne va probablement pas répondre à tous les besoins. On sait que les besoins sont larges, qu’ils évoluent rapidement, qu’ils augmentent, mais une réussite ce sera de dire, justement, qu’on n’arrive pas à tout faire. »

« Si ça se produit, on aura déjà réussi pas mal puisque ça permettra de démontrer aux politiques publiques qu’il faut peut-être des structures plus importantes que ce qui existe aujourd’hui. »

Une structure multidisciplinaire

Le fait de réunir des expertises en informatique, en affaires, en criminologie et plusieurs autres domaines fera de l’IMC2 un outil multidisciplinaire capable d’attaquer les problèmes de cybersécurité sur plusieurs fronts.

L’Institut s’engage à « devenir une référence universitaire mondiale en matière de cybersécurité et de cyberrésilience » qui demeurera à la fine pointe de l’évolution rapide de technologies émergentes telles l’intelligence artificielle, le post-quantique et la 5G.

L’Intelligence artificielle, notamment, présente à la fois un outil indispensable et un défi en matière de cybersécurité, reconnaît Frédéric Cuppens.

« Pour faire de la cybersécurité, on a besoin de l’intelligence artificielle. On a besoin de solutions d’apprentissage pour apprendre automatiquement quelles sont les menaces, les vulnérabilités, comprendre les attaques, automatiser les processus de réponse. Le revers, c’est que l’intelligence artificielle est elle-même vulnérable aux attaques en raison de son manque de robustesse. »

L’époque contemporaine est marquée par l’utilisation malveillante des nouvelles technologies. Les risques de fraude et de sabotage se multiplient et « certaines attaques mélangent les deux », précise le professeur Cuppens.

La fraude, dit-il, est la plus importante de ces menaces et la plus visible. Le sabotage, lui, est moins visible, mais il est important aussi.

« La raison pour laquelle on ne voit pas davantage d’actions de sabotage, c’est qu’aujourd’hui, une action de sabotage majeur est vue comme un acte de guerre, qui implique une escalade importante d’un conflit », explique-t-il, surtout dans un contexte de guerre comme celui que l’on connaît présentement.

3 « J'aime »

Pôle de la santé et des lieux améliorés au pavillon Roger-Gaudry


Pavillon Roger-Gaudry, 3e étage de l’aile U. CRÉDIT : NATACHA MONNIER


Pavillon Roger-Gaudry, 7e étage de l’aile D. CRÉDIT : NATACHA MONNIER


Pavillon Roger-Gaudry, 7e étage de l’aile H. CRÉDIT : NATACHA MONNIER


Pavillon Roger-Gaudry, couloir et ascenseurs. CRÉDIT : BBBL / JODOIN LAMARRE PRATTE / PROVENCHER_ROY ARCHITECTES EN CONSORTIUM


Pavillon Roger-Gaudry, couloir. CRÉDIT : BBBL / JODOIN LAMARRE PRATTE / PROVENCHER_ROY ARCHITECTES EN CONSORTIUM


Pavillon Roger-Gaudry, bureaux et salles de réunion. CRÉDIT : NFOE + EVOQ ARCHITECTES

Regroupement des sciences sociales et futur CPE au pavillon Marie-Victorin


Pavillon Marie-Victorin, aire de repas et de vie étudiante. CRÉDIT : NFOE + EVOQ ARCHITECTES


Pavillon Marie-Victorin, couloir. CRÉDIT : NFOE + EVOQ ARCHITECTES

7 « J'aime »

Dommage qu’on ne mise pas plus sur l’architecture art déco du bâtiment. Je trouve qu’il y a là un gros potentiel inexploité sur le campus de l’UdeM.

14 « J'aime »

Sur le site Web de Lemay

9 « J'aime »

La dernière image de rendu a déjà été réalisée, ca semble être la place intérieure publique du campus.