Ma théorie est que les conifères occupent beaucoup d’espace au sol, ce qui rend leur plantation plus difficile là où l’espace est restreint. Sinon je suis d’accord, j’en voudrais plus. Il y en a un dans la saillie devant chez nous et il est magnifique à l’année.
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Pour les rues, c’est une question de résistance au sel. Les conifères brûlent à cause du sel de déglaçage. Pour une saillis de trottoir, c’est un peut moins risquer, mais faut que la saillie sois assez grande et que l’arbre y sois centrer.
Dans les parcs, on pourrait en mettre plus, sauf que leur ‘‘désavantage’’ c’est qu’on ne peut pas s’y ‘‘réfugier’’ à l’ombre (épinettes, sapins,), car on ne peut pas aller sous la canopée, donc ils sont plus décoratifs que ‘‘fabricant d’ombre’’. Il y a les pins qui peuvent offrir une couverture, sauf qu’on a le problème des épines.
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Il y aussi qu’un conifère va avoir un impact sur l’acidité du sol autour de lui qui nuit à certains autres végétaux. Et il y a aussi la considération que les conifères sont jugés par certains comme étant ‘criminogènes’ à cause des angles morts qu’ils créent, lorsque jumelés ensemble.
Reste que les conifères ont aussi de grands avantages : ils protègent du vent en hiver, ils continuent le travail de filtre à poussière que les feuillus cessent d’être en hiver, et ils constituent des refuges hivernaux pour la faune urbaine, notamment les oiseaux.
Et ils ont une image nordique qu’on pourrait mettre de l’avant. Peu de métropoles ont des rangées de sapins.
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Après, il existe différentes catégories de conifères qui peuvent être utilisées pour répondre aux problématiques soulevées. Les pins sont moins touffus et opaques, ils ne produisent pas d’angles morts.
La pruche, sinon, lorsque plus mature, est dégagée de branches dans ces 2-3 premiers mètres, tout en ayant une apparence différente des autres conifères (c’est similaire au thuya).
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Merci pour toute ces infos, ça montre l’importance des architectes de paysage car la plantation d’arbres est tellement plus complexe qu’on pourrait le croire.
J’adore cette idée. J’avoue que Duluth par exemple, en hiver avec ses sapins, avec le Mont-Royal au loin, j’ai parfois l’impression de marcher dans un petit village de ski alpin. Je trouve que Montréal pourrait vraiment mettre son image nordique et hivernale de l’avant avec plus de plantation de conifères et même d’en faire quelque chose d’emblématique. Un McGill College de conifère par exemple?
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J’ai passé tout à l’heure et le projet est fini, il y a même une petite partie du côté ouest qui est déjà ouverte au public…
Edit à 17h27
La fameuse photo pour prouver mes dîres…
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Le Projet est complété et ouvert au public !!!
Bonne prise de photos et d’analyses et je vous souhaite un excellent temps de fêtes !
Vous faites un excellent travail avec toutes vos belles photos.
Je sens pas le besoin de rien rajouter.
Bisou !
Johan !
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Ça fait quand même unique a Montréal comme Place, avec les roche et tout. J’aime bien, j’ai hâte de voire avec le mobilier installé.
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On a une place neuve, mais avec en prime des poteaux électriques… pourquoi la CSEM n’est pas plus proactive dans l’enfouissement.
De plus, c’est étrange de forcer les piétons dans la place du côté de Mentana & Boyer. J’ose espérer que les cols bleus ne vont pas inonder la place de sel, car technique elle est rendu les trottoirs de ces 2 rues et les conifères sont collés sur la rue et les trottoirs… à suivre
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C’est vraiment joli et original les impressions de fleurs/plantes sur le sol!
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Je crois qu’ils continuent d’en ajouter aujourd’hui.
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Comment ne pas exprimer de l’enthousiasme face à l’apparition de cette charmante petite place publique avec accès direct sur la rue Mont-Royal. Tout me plait dans cet aménagement, son originalité incluant les conifères trop rarement utilisés en ville. Ce sera un oasis de détente, un lieu de rencontre et aussi un site événementiel propice à l’animation populaire. On peut déjà dire qu’avec les années, l’usage et la croissance des végétaux, cet espace deviendra encore plus invitant en toute saison.
Vivement qu’on multiplie les places publiques dans tous les quartiers parce qu’elles contribuent au bien-être des citadins, tout en ajoutant un bonne dose d’animation à la vie urbaine. 
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L’appel de propopsitions pour l’oeuvre d’art est terminé et la proposition gagnante a été sélectionnée.
C’est l’oeuvre de l’atelier En Temps et Lieu qui a gagné.
L’œuvre
L’installation Partiellement nuageux avec de fortes probabilités de « wow »! est un concept hybride, qui se situe entre la nature et l’urbanité, l’organique et le technologique, l’ombre et la lumière, la science météorologique et les croyances populaires face à la météo. L’œuvre souligne la présence de l’eau, en lien avec le concept d’espace multifonctionnel inondable (« water square ») de la nouvelle Place des Fleurs-de-Macadam. Ainsi, un petit nuage cubique sera posé sur une trame bleue qui flottera au-dessus de la Place, évoquant un horizon. Le cumulus vaporeux filtrera doucement la lumière pour former des zones ombragées qui se déplaceront lentement avec la course du soleil. Le soir venu, une tout autre expérience se révèlera aux usagers : l’installation sera connectée en temps réel à son environnement : la mise en lumière évoluera en fonction des prévisions météos réelles : canicule, orage, pluie, grand soleil, etc. L’œuvre sera éclairée dans une palette de couleurs irisées, propres à chacun des scénarios météo prévus.
Les autres propositions finalistes
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