On suppose beaucoup, mais Hydro aurait littéralement pu faire une projet ‘‘absolument exemplaire’’ et beaucoup plus simple en bâtiment sur Berri… On aurait littéralement pu voir une poste en partis souterrain et avoir une ‘‘annexe’’ de la BANQ qu’on aurait pu facilement intégrer avec le bâtiment existant.
Avec le site de la Miséricorde, on a la composante historique à prendre en compte et en plus de restauration et de transformation du patrimoine. On avait déjà un projet qui semblaient bien ficeler pour enfin avoir quelque chose avec ce site. Là avec le poste sur ce site, on repart à zéro.
T’en qu’on ne verra aucun rendus de Hydro et plus d’information sur la conservation du site, extérieur et les intérieurs de la chapelle, je vais resté sceptique sur le choix du site.
Je ne partage pas du tout ta confiance. Tant mieux si cette vision idyllique se concrétise, mais rien dans le passé ou l’attitude d’Hydro me laisse croire que c’est vers là qu’on s’en va. Si telle était leur volonté, ils auraient annoncé qu’ils avaient inclus un montant substantiel pour la restauration des immeubles patrimoniaux dans le budget du projet. Ce qui n’est pas le cas.
En langage de communications publiques, s’engager à “revaloriser une partie des bâtiments de l’Institut et à discuter avec le milieu afin de favoriser l’intégration d’usages communautaires au projet.”, c’est l’équivalent de dire :
“on n’a aucune idée de ce qu’on va faire avec ces bâtiments excédentaires, alors on est ouvert à les céder gratuitement à des groupes communautaires si par miracle ils arrivent à bricoler un projet avec des bouts de ficelle”.