Nouveau poste Berri à 315‑25 kV - ? étages

Ces exemples sont intéressants, mais seul celui de Toronto est un peu comparable.

Les trois autres sont dans des quartiers ou des secteurs industriels, et le projet de la STM est très très très petit comparé au poste prévu.

Hydro-Québec ne partage « pas du tout » la « lecture alarmiste » des sept figures de la société québécoise qui dénoncent le projet controversé consistant à ériger un imposant édifice industriel destiné à abriter un poste de 315 000 volts sur les terrains de la Grande Bibliothèque, juste devant la Gare d’autocars de Montréal.

Par la voix de Graham Fox, son vice-président aux affaires publiques, la société d’État dit s’étonner « des conclusions catégoriques et fatalistes » publiées dans les pages du Devoir le 3 décembre.

Lise Bissonnette, ancienne directrice de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), l’urbaniste Gérard Beaudet, l’architecte Phyllis Lambert, l’ancienne ministre de la Culture Christine St-Pierre, le dramaturge Michel Marc Bouchard, l’historien Yves Gingras et l’archiviste Carol Couture dénoncent ce projet qui, selon eux, menace le quartier et ses institutions s’il est conduit en ce lieu.

Que répond Hydro-Québec ? Elle réaffirme qu’un concours d’architecture rendra ce projet enviable. « Pour relever le défi, nous allons mener un concours d’architecture. Nous avons confiance que nos talents québécois sauront innover et proposer un projet dont nous serons doublement fiers : d’abord pour le rôle qu’il jouera dans la décarbonation, ensuite pour la qualité de son architecture. »

La société d’État réitère en outre souhaiter, en construisant au milieu de cet espace vert, « éviter les expropriations ». Le terrain vierge sur lequel elle met la main comprend une partie des jardins aménagés et occupés par la Grande Bibliothèque.

Les mêmes arguments manipulateurs que CDPQ infra pour le REM de l’est.

«Elle réaffirme qu’un concours d’architecture rendra ce projet enviable.»

Ah! Voilà! Tout est réglé. Il y aura concours d’architecture.
Pourquoi s’inquiéter de tous les enjeux urbains, économiques et sociaux du projet; ce sera un concours d’'architecture.

C’est vraiment prendre les gens pour des cons.
Mais malheureusement ça fonctionne trop bien.

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Un concours d’architecture, c’est devenu du pur marketing pour faire accepter un projet, sans toutefois donner aucune assurance de résultat. On l’a vu ailleurs au QdS dont le décevant TNM et le MAC. Le problème avec cette méthode c’est qu’on se permet dans le processus de transformer librement le projet gagnant pour arriver à une version édulcorée motivée pour une simple question d’économie.

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Une verrue, mon dieu il aurait pu prendre un titre un peu moins sensationnalisme, genre juste dire " Des exemples d’intégration d’infrastructures électriques en milieu urbain".

La gang on se calme un peu là, on a même pas encore vu un seul rendue et, encore une fois, quel site vous pourriez proposer en remplacement? La question n’est pas de savoir si on en besoin ou non, l’autre poste est en fin de vie il faut le remplacer. Autant dire que le statu-quo n’est pas tenable, alors qu’est-ce que vous proposez en alternative? Qu’est-ce que hydro aurait pu faire autrement qui aurait rendu le projet acceptable? Quelles sont les réelles possibilités qu’Hydro a écartés?

Dans le cas où elles sont trop coûteuses ou qu’il n’y en n’ait pas, bien arrêtons de critiquer le fonds, mais plutôt la forme du projet. Genre oui un concours d’architecture n’est un gage de bonne réussite, mais c’est déjà un premier pas! En tout cas c’est mieux qu’il n’y ait un au lieu de rien du tout. Au lieu de s’enfoncer dans le négativisme et de complètement discréditer notre parole auprès d’hydro, gardons un semblant de compréhension de la nécessité du projet et attaquons la forme. Ce qui est difficile en ce moment parce qu’on a rien vu d’à quoi ça pourrait ressembler. C’est uniquement des spéculations à ce point il n’y a rien de concret.

Justement, praticité veut dire parfois tenter d’avoir des coûts raisonnables, genre construire en aérien plutôt qu’en souterrain pour le tc, après c’est aux institutions de déboucher sur quelque de potable.

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Je suis aussi de cet avis. Avec des contraintes importantes, on peut tout de même concevoir quelque chose de bien, d’unique même, il faut juste un peu de volonté. Le seul hic est qu’on parle d’Hydro, une puissante machine opaque qui n’est pas reconnu pour ses sensibilités urbaines et son dialogue transparent.

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Il faut garder en tête que le jour ou on va voir un rendu, il va être trop tard.

Hydro-Québec est un de ces organismes qui travaille en mettant les gens devant les faits accomplis. Ils vont dévoiler les rendus, puis faire une séance d’information, puis demander aux gens s’ils préfèrent le jaune ou le bleu, puis demander à MU de faire une murale avec les enfants du quartier et dire Voilà! On a consulté et on a fait participer les gens du quartier.

Et je le répète, même si vous ne l’acceptez pas, il y a d’autres sites possibles, notamment en divisant le projet en deux. Dans 95% des cas, Hydro n’a pas trop à se soucier du contexte. Des projets comme celui-ci ils en ont à la tonne. Mais est-ce qu’on peut accepter que celui-là est particulier? Que son site est particulier? Qu’il est possible qu’on dépense un peu plus et qu’on fasse preuve d’un peu d’innovation?

Je ne comprends pas cet acharnement à toujours accepter les mauvais projets, comme si à Montréal on était plus cons que les autres, qu’on ne méritait pas mieux.

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Oui effectivement, encore une raison de plus pour bien concevoir nos critiques, pour pas juste que ça soit juger trop maximaliste par Hydro-Québec et qu’elle puisse les évacuer facilement, comme une vision alarmiste.

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Est-ce que nous avons des exemples de ces sites?

Comme vous vous en doutez, Hydro-Québec garde ces autres sites hautement confidentiels.

À titre de référence, voici les trois exemples donnés par Hydro-Québec dans Le Devoir ce matin.

Vancouver

Celui de Seattle n’est pas très convaincant, celui de Paris fait à peu près un centième de la taille de celui de Montréal, mais celui de Vancouver, 100% souterrain, ouvre la porte à quelque chose d’intéressant.

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Je le répète, est-ce que cette option est possible? Est-ce qu’elle fait sens d’un point de vue technique? Pour la troisième fois quels sont les sites qui auraient été possibles? Est-ce que le coût en aurait valu la peine? C’est toutes des questions que je pense sont nécessaires à envisager et qui peuvent expliquer la décision d’hydro. C’est comment ils vont transformer cette nécessité après qu’on pourra les juger. On est dans une ville, malheureusement il y a des infrastructures techniques à construire de temps en temps. On est mieux d’être crédible dans ce qu’on demande à hydro plutôt que de juste demander de ne rien faire ce qui est impossible.

C’est rare qu’un projet est impossible à sauver, sauf certains projets autoroutiers ou pétroliers que là oui on peut dire que c’est des mauvais projets à cause de leurs externalités, c’est souvent une question de points positifs et négatifs. Certains vont en avoir plus dans une catégorie que l’autre, mais il y a toujours une façon d’améliorer les choses. C’est pour cela que militer pour une annulation complète est souvent contre-productif, tentons de corriger les points négatifs pour les transformer en points positifs. Ce n’est pas vrai que Montréal a pire que les autres, on peut même dire qu’en général, contrairement à d’autres villes nord-américaine, on s’en sort plutôt bien. On n’a qu’à penser au REV, à la réaménagement de plusieurs rues, le REM et plein d’autres que je ne peux nommer. Je dirai même notre obsession à avoir le meilleur projet dès son annonce et de ne pas avoir un discours publique constructif bloque beaucoup de projets plus ambitieux de peur des controverses publiques. On n’a qu’à voir le traitement de l’aérien en tc par l’ARTM pour constater cette peur latente.

Voyons, Hydro-Québec c’est pas la CIA, je veux dire ils se sont pas levé un matin et ce sont dit on va désigner un projet spécifiquement pour détruire le quartier latin. Il y avait peut-être d’autres options, mais ils ont sûrement balancé le pour et le contre d’un point de vue technique et ont pris ce terrain parce que le reste était absolument hors de prix. On n’a pas de compétence en génie électrique (désolé de l’erreur s’il y en a dans le forum qui en ont) pour réellement juger la faisabilité de l’une ou l’autre des options, alors on ne peut que mettre de la pression sur Hydro-Québec pour un résultat final qui ressemble à quelque chose. Je ne ferme pas la porte à du souterrain, juste le site c’est pas mal inévitable alors arrêtons de nous battre sur la localisation et plutôt sur ça va ressembler à quoi. Surtout que, vu la densité du centre-ville, j’ai de la misère à voir une autre place où ça aurait pas coûté une fortune.

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On s’entend que peut importe le concours d’architecture, un viaduc ferroviaire arérien va resté un viaduc ferroviaire aérien et restera relativement semblable… donc l’exemple du REM de l’Est n’est pas vraiment applicable.

Si l’enveloppe est littéralemetn construite a l’identique (revêtement, hauteur, couleur) que la Grande Bibliothèque, on va juste avoir l’effet d’une annexe. La Grande Bibliotèque reste quand même une masse monolitique dans le secteur.

De plus, si Hydro derait allée de l’avant avec un autre terrain, ça aurait été dans le secteur, car si on bouge le poste, on doit bouger toutes les connexions, spécialement celles du métro, pour laquelle ce poste sert. Donc on aurait dû avoir des expropriations et ça aurait été encore pire que le carré de pelouze existant.

C’est pas le projet du siècle et c’est dommage qu’on doit le construire là, mais on a pas 15 choix non plus.

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Je ne supposerai pas de mauvaise foi dans le fait d’avoir partagé une vue de Denny (Seattle) à partir d’une ruelle juxtaposée à un terrain vague de mauvaise mine plutôt que sur John ou sur Minor, quoique j’inviterai tout le monde à explorer le poste et son environnement dans tous les angles, à travers les années.

Oui / Oui / Confidentiel / Oui

Mais pourquoi, pour une fois, au lieu de «sauver» le projet, on ne partirait pas avec les bonnes prémisses? Il y a cette dangereuse attitude au Québec depuis quelques années de faire des mauvais projets, puis de peinturer du beau dessus, au sens propre et figuré, pour les rendre acceptables. Un bon projet devrait partir sur de bonnes bases.

À part vous, personne n’a parlé d’annulation complète.
Il faut comprendre que ce projet est nécessaire et devra avoir lieu dans tous les cas. C’est pourquoi il faut le faire bien.

Oui, mais avec les lunettes de tous leurs autres projets qui sont, dans 95% des cas, dépourvus d’enjeux urbains. Je le répète, des remplacements de postes électriques, ils en font beaucoup dans une année. Mais très rares sont ceux qui posent des enjeux d’intégration urbaine. Les équipes d’Hydro ne sont pas outillés pour ces enjeux.

Et pourtant. Suffit d’un peu sortir du cadre rigide.
Et d’ailleurs, la solution pourrait se trouver sur ce même site.

Il y a quelques mois à peine, Hydro-Québec hurlait que c’était impossible de le mettre en souterrain. Ce matin, ils donnent en exemple un poste souterrain à Vancouver. Ce n’est pas arrivé comme par magie, c’est arrivé parce que les gens se sont mobilisés, en coulisses et dans les journaux, pour réclamer mieux. Alors au lieu de cracher sur les gens qui essaient d’améliorer notre ville, je propose de les aider, de les appuyer et de continuer à militer pour un bon projet, qu’il soit là ou ailleurs. Parce que si rien n’est dit, on va se retrouver pris avec une erreur urbaine majeure.

Bah au contraire, c’est exactement la même chose, deux projets dont l’intégration urbaine et les dimensions posaient problème, et qu’on a tenté de faire accepter en faisant miroiter un «beau» projet, un projet «wow», un projet «signature». L’apparence des choses ne rend pas soudainement les choses acceptables.

Je ne crois pas que reproduire la masse monolitique de la bibliothèque soit le meilleur moyen d’amoindrir la masse monolitique d’un gigantesque poste électrique dont la taille est le principal enjeu.

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J’ai quand même envie de me mouiller.

Pour moi, ce qui serait acceptable, c’est que la portion sud (celle à gauche sur l’image, actuellement occupée par un jardin), devrait être 100% souterraine. Sur le dessus, on pourrait aménager un parc, mais qui serait une réserve foncière pour un éventuel agrandissement de la Bibliothèque ou un autre projet public.

Dans la portion nord, le grand rectangle de gazon, le poste pourrait partiellement sortir de terre, mais dans un bâtiment à l’architecture impeccable et qui intègre d’autres fonction. Pour moi, le poste de Londres, bien que 7 fois plus petit, est un bon exemple de cette mixité. Il intègre une garderie et un restaurant.

Vu que le site est plus grand, on pourrait voir plus loin et même intégrer un volet résidentiel. Audacieux, oui, impossible, non.

Pour ça il faut deux choses:

  1. Sortir de la logique qu’un concours va tout sauver. Il faut que la prémisse du concours soit bonne. Pour l’instant, Hydro-Québec ne semble pas vouloir intégrer d’autres programmes, principalement parce que ce n’est pas dans ses habitudes. Mais il le faut.
  2. Continuer à revendiquer un bon projet, parce que la minute ou les lettres ouvertes arrêtent d’être publiées, Hydro va avoir la porte ouverte pour faire le projet le plus basic possible pour avoir l’acceptabilité minimale.

Il est très rare qu’un poste de cette taille soit construit dans un quartier aussi central. Il faut vraiment s’assurer d’un bon projet, et un bon projet ne va pas se faire en se croisant les bras et en ne faisant rien. Celui de Seattle est de taille similaire, mais encore une fois c’est un projet dans un quartier très différent.

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C’est bien le problème ! Le premier choix d’Hydro-Québec, c’était l’ancienne gare d’autobus, mais la ville a refusé parce qu’elle veut y développer autre chose et qu’elle refuse qu’un poste de transformation soit mélangé à du résidentiel et/ou commercial !
Donc déjà, on oublie tout projet où autre chose s’intégrerait au poste. Au mieux, il sera sous-terrain, avec rien au-dessus.

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Et même, dépendamment de ce que tu fais, ça peut être très bien! Tu as juste à voir qu’est-ce qui se fait en Europe et tu vois que ce ce type d’infrastructures est considéré comme banal dans bien des lieux alors qu’ici c’est le diable incarné. Bref, tout peut être bien fait, la taille est loin d’être un problème.

Même si c’est confidentiel, réalistiquement, quelle option voyez-vous? S’il y en a aucune et bien il faut assumer qu’ils y avaient des raisons très justifiables de mettre le poste là. C’est très facile de sortir cet argument sans amener aucune preuve de ça.

Il n’y a pas une question de mauvaises prémices dans ce cas-ci, il faut un nouveau poste électrique et ne dites pas que c’est juste hydro qui dit ça il n’en construirait pas un nouveau si c’était pas absolument nécessaire. Vous juger que la base est mauvaise sur votre impression personnelle qu’il y a d’autres options viables évitant l’élément qui vous pose problème. Vous justifiez que ces options existent en disant qu’Hydro les camouflent, peut-être, mais en voyez-vous réellement? Je veux dire pas juste des vagues suppositions, mais une réelle alternative viable qui va permettre de réaliser le projet.

Demander au gouvernement de reculer c’est pas mal annuler un projet.

Il n’y a pas de problèmes à ça! Je ne dis pas de ne pas faire souterrain, moi ce qui me dérange c’est les discours toxiques et sensationnalisme qu’on voit apparaître. Ça ne fait pas une discussion posée, alimenter la peur sur ce projet alors qu’on ne sait encore quasiment rien n’est pas efficace pour alimenter le discours publique. Il y a juste à dire oh nous comprenons la nécessité de base de ce projet, mais voici ce qu’on voudrait. Pas juste dire oh gouvernement vous devez reculer maintenant et rien demander autres que ça sans dire ce qu’on veut ultimement. On est pas dans la collaboration ni dans le input constructif, juste de l’obstruction qui va plus déranger hydro qu’autre chose sans les faire changer d’avis. Aussi, je suis désolé, mais il y a aussi des considérations économiques à prendre en compte et enfouir ça coute cher. Tu pourrais faire un très beau bâtiment en surface sur l’aspect architecturale si on mettait tout l’argent que tu vas engloutir pour enfouir ton infrastructure. En revanche, votre proposition me semble très bien, ça serait un juste milieu intéressant! J’apprécie la démarche qui est déjà plus constructif que juste protester sur le site.

Pourquoi? À un moment, si on suit cette philosophie, on pourra plus rien construire d’un tant soit peu plus gros ce qui limite drastiquement les options. On est dans une métropole il y a des équipements qui prennent de la place et on peut pas y échapper. Le souterrain, bien qu’intéressant à certains moments, ne peut pas être utilisé tout le temps. Que ça soit pour le transport en commun ou les équipements publics. Il faut être capable de rendre ces équipements acceptables à un moment, malgré leur taille, (parle pas nécessairement de ce cas précis juste en général) si on veut pouvoir développer la ville. Juste regardez le métro, on s’est condamné à faire du souterrain et voyons où ça nous a mener, une stagnation du réseau depuis 20 ans parce que ça coûte trop cher de construire. Il y a d’autres raisons évidemment, mais on ne peut pas nier que ça à nuit généralement. Cet argument de la taille peut vraiment mener à des dérives et je ne dis pas que c’est le cas ici, mais il faut en être conscient pour ne pas tomber dans le piège du blocage simpliste. On rends la taille problématique lorsque nouvel élément arrive dans notre paysage parce que ça marque, mais souvent les gens s’y font et passent à autre chose si c’est correctement fait. Encore une fois, j’utilise le général ici, genre la métropolitaine le problème c’est pas tant qu’elle est imposante, le problème c’est surtout ces externalités (pollution, son et trafic). Ce qui n’est pas le cas des trains aériens ici qui ont uniquement une légère nuissance sonore et on voit avec le REM actuel que les gens s’y font graduellement. Bref, je m’éloigne, mais principalement mon propos est que rejeter toute grande taille d’emblée n’est pas toujours la bonne approche. Ça peut pousser à rejeter des projets qui ont des nuissances mineures très local, mais qui ont des bénéfices importants pour la ville en tant que tel (pas nécessairement ce projet juste en général soyons prudent).

Elle est très belle la bibliothèque, l’architecture est sobre, mais efficace. Après c’est mon avis, libre à vous d’être en désaccord.

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Pour vous donner une idée, voici le quadrilatère étudié pour trouver une site convenable, délimité par Wolfe, Ste-Catherine, St-Dominique et Roy. Les sites convenables sont rares ! Exproprié un propriétaire est difficile, on le voit juste avec le poste de ventilation comme juste exproprier une seule maison devient un drame.

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