Ça va finir comme Volvo.
Le PDG de Northvolt Amérique du Nord était au micro de l’émission radio Midi info : Fin d’une année difficile pour Northvolt : Entrevue avec Paolo Cerruti
Si le gouvernement canadien n’a pas encore dépensé un sou pour financer la construction de l’usine de batteries de Northvolt, au Québec, c’est parce que la subvention fédérale dépend d’une acceptation de la communauté de Kahnawake, a appris Radio-Canada. Un juge pourrait toutefois décider que le feu vert des Autochtones n’est pas nécessaire.
C’est un enjeu passé sous silence, mais qui préoccupe depuis des mois en coulisses. En plus des subventions du gouvernement Legault, l’argent d’Ottawa est important pour permettre la construction de la méga-usine à Saint-Basile-le-Grand et à McMasterville.
Le site de Northvolt aurait laissé fuir des contaminants industriels dans la rivière Richelieu, selon ce qu’indiquent des données obtenues par Le Devoir. L’entreprise assure que les mesures mises en place depuis le début des travaux permettent d’éviter les fuites, mais des groupes environnementaux demandent au gouvernement d’intervenir pour évaluer les risques pour le cours d’eau.
C’est un fait connu depuis plusieurs années : les sols et les eaux souterraines du terrain qui a coûté 240 millions de dollars au gouvernement du Québec contiennent un cocktail de contaminants, résultat de décennies de fabrication de produits chimiques, de fertilisants et d’explosifs sur le site. La présence de cette pollution remonte donc à plusieurs années avant l’arrivée de Northvolt en Montérégie.
J’espère bien que le ministère va intervenir…
Le cabinet du ministre de l’Environnement du Québec soutient qu’il n’hésitera pas à intervenir si des manquements sont constatés sur le site de Northvolt, au lendemain de la sortie de trois organisations qui « suggèrent que les travaux de construction de l’usine » ont favorisé le relargage dans la rivière Richelieu de divers contaminants.
L’entreprise Northvolt, si elle veut obtenir les autorisations nécessaires de la part du ministère de l’Environnement, doit « respecter plusieurs mesures afin de s’assurer que les sols ne contaminent pas les eaux souterraines ni la rivière Richelieu », a indiqué le cabinet du ministre Benoit Charette dans un échange de courriels avec La Presse Canadienne.
« Le Ministère a fait plusieurs inspections, dont une récemment le 6 novembre où les résultats sont en analyse. Nous allons poursuivre les inspections autant de fois que ce sera nécessaire et nous n’hésiterons pas à intervenir si des manquements sont constatés », peut-on lire dans le message.
Le géant du transport Navistar International, qui gravite dans l’écosystème de Volkswagen, est le client nord-américain dont l’identité était gardée secrète par Northvolt, a pu confirmer La Presse . C’est pour répondre aux besoins de ce constructeur de camions et d’autobus que le fabricant suédois s’est installé au Québec.
Auprès de plusieurs sources au fait du dossier, mais qui ne sont pas autorisées à s’exprimer publiquement, La Presse a pu confirmer que le client en question est le géant américain derrière la marque de camions International. Ce dernier est toujours à bord, en dépit des déboires financiers de la société mère de Northvolt, à l’abri de ses créanciers depuis le 21 novembre dernier.
International appartient au Groupe Traton, une filiale de Volkswagen, également derrière la marque européenne Scania. Au cours de l’automne, ce constructeur européen de poids lourds a effectué plusieurs sorties publiques pour soutenir la jeune pousse suédoise malgré la crise de liquidité l’ayant poussée vers l’insolvabilité.
PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE INTERNATIONAL
International propose actuellement des modèles électriques de camions de poids moyen.
L’écosystème de Volkswagen présent au Québec
L’écosystème de Volkswagen fait sentir sa présence au Québec. Outre sa participation dans Navistar International, le constructeur allemand détient 20 % de Northvolt. De plus, mercredi, Volkswagen a annoncé injecter 69 millions dans un projet québécois de mine de lithium dans la région d’Eeyou Istchee Baie-James au Québec. Le minerai qui en serait extrait servirait à alimenter les activités de production d’éléments de batteries de PowerCo en Europe et en Amérique du Nord, dont l’usine ontarienne de Volkswagen à St. Thomas au Canada.
Je ne veux pas peter la bulle a personne mais Navistar est loin d’être un géant du transport surtout en amérique du nord. Ils ont presque disparu du marché du marché du camion poids lourd.
Le leader c’est Freightliner (groupe Daimler) avec 60 % et plus du marché des camions tracteurs de remorque. Suivi surement de Paccar avec les marques peterbilt et Kenworth. Suit ensuite le groupe Volvo-Mack (volvo-renault)
En bon dernier la marque International de Navistar.
Ils se sont planter avec leur moteur maxxforce. Le plus gros citron des moteurs de camion.
Question electrification international ont aucun camions tracteur électrique ou hybride encore sur le Marché. Freightliner ont les E Cascadia electrique. Kenworth ont le T680E. VOLVO ont le VNR electrique.