Musée d'Art Contemporain - 4 étages

C’est exactement ce que je pense depuis quelque temps. Les deux restos vitrines étaient quelque chose d’originale au début mais là je trouve qu’ils sont plutôt encombrants. On devrait chercher à les inclure dans l’agrandissement du MAC ou tout simplement oublier le concept. Le MAC aurait avantage à s’ouvrir sur la Grande place des festival et pourquoi pas avec des terrasses mais intégré au bâtiment et non en forme d’ilot en milieu de trottoir.

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Elle ne peuvent pas être déplacées. Ce sont des sous-marins, toutes les cuisines sont au sous-sol dans d’énormes massifs de béton coulés en place. Ce sont parmi les bâtiments les plus complexes et sophistiqués construits à Montréal ces dernières années, loin d’être des food trucks (et aussi une portion très important du budget de construction du QDS). Leur mur-rideau est un des plus précis et raffinés à Montréal, tout leur système mécanique a fait l’objet de plusieurs innovations, leur aménagement est un modèle qui a été maintes fois copiés depuis, sans compter tous les détails d’enveloppe développés spécifiquement pour ce projet pour notamment avoir une toiture vitrée et sans parapets. Ce sont des bijous d’architecture comme il n’y en a presque pas à Montréal.

D’ailleurs es deux restaurants sont considérés comme étant «patrimoniaux» (deux demandes de modifications ont d’ailleurs été refusées pour cette raison il y a quelques années). et il n’y a aucune chance qu’ils soient démolis.

Le projet du MAC prévoyait une ouverture sur Sainte-Catherine mais le budget ne permet absolument pas une ouverture sur Jeanne-Mance. Dans tous les cas, les niveaux ne fonctionnent pas du tout, et à moins de travaux majeurs, il n’y aura jamais de réelle perméabilité sur Jeanne-Mance. Et dans tous les cas, même s’il y avait plus d’ouverture, je doute que le MAC soit prêt à perdre de l’espace au profit de restaurants. Mais nous avons besoin de restaurants pour animer la place. Et puisque l’ONF et la Maison de la danse ont choisi de ne pas suivre le plan directeur, on en n’a déjà pas beaucoup.

Bref, je comprends votre avis, mais il y a de nombreuses autres interventions beaucoup beaucoup moins couteuses et nuisibles pour améliorer les circulations de part et d’autre que de simplement démolir ces éléments essentiels de l’histoire de l’architecture contemporaine à Montréal. À commencer par enlever deux des inutiles voies de Jeanne-Mance que les ingénieur de la Ville avaient refusé de retirer à l’époque.

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Il y avait même des réserves aux VH a l’époque. Dommage…Quartier des spectacles - Labonté demande à Tremblay d'améliorer les «vitrines habitées» | Le Devoir

Peu importe les éloges des organismes d’architectes ou son statut patrimonial, je continue de penser que c’est un échec urbanistique en raison de son emplacement.

On ne pas dire que les VH étaient un succès fou non plus. Celle du sud est vacante depuis un bon bout. En plus les restos qui occupaient les 2 structures répondaient aux portefeuilles d’une certaine classe. Pas à monsieur et madame tout le monde. Pendant ce temps ces derniers doivent se diriger vers le food court au sous-sol du Complexe-Desjardins et apporter leur bouffe pour apprécier les fontaines ou la faune de la Place des festivals.

Pour revenir à leurs emplacements sur les trottoirs menant au Métro Place des Arts, ceci a créé une sorte de ruelle étroite. C’est une espace désastreuse pour l’expérience piétonne, en plus de ne pas être sécuritaires. Un grand mur aveugle sur un côté et des ‘vitrines’ habitées seulement pour quelques heures de l’autre. Et quelles vues qu’ils ont les ‘chanceux’ clients assis du côté ‘ruelle’.

Je reviens à ma suggestion de réfléchir sur les VH et les déménager vers le mur du MAC et profiter de l’espace gagné pour agrandir la terrasse extérieure du côté de la Place des festivals. Ils peuvent certainement conserver les ‘cuisines au sous-sol’ en créant un ‘annexe en forme de L’. Je crois que la VH du Sud (avant depuis longtemps) est parfois utilisée pour des usages touristiques ou promotionnels de temps en temps. Sinon, il y a certainement d’autres options possible dans le QdS pour ces structures.

Pour le mur aveugle du MAC.
Ce ne pas absolument nécessaire de percer des fenêtres dans le mur aveugle du MAC donnant sur place des festivals. Mais éliminer le corridor noir et faire vivre ce mur au niveau de la rue sera une avance. Et possiblement ajouter un belvédère au-dessus des sorties de garage avec des escaliers/gradins de chaque côté pour apprécier la place, inspiré du réaménagement de l’esplanade de la PVM.

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Ou on pourrait y aller dans le encore plus abordable et retirer 1 voie de Jeanne-Mance, pour les rares fois qu’elle est ouverte et en faire un trottoir plus large, ce qui forcerait les gens de passer de l’autre côté et d’évier le ‘‘tunnel’’ étroit entre le musée

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Parce qu’il est prévu qu’elle soit utilisée comme roulotte de chantier pour le MAC, l’espace étant restreint dans le secteur. Il a été laissé volontairement vide mais le chantier a été retardé comme on le sait.

C’est la ville qui s’occupe de louer ces deux locaux, mais la ville n’a ni l’habitude ni la structure pour louer des espaces commerciaux. La lourdeur administrative et les conditions démesurées imposées par la ville en ont fait effectivement deux restaurants moins abordables pendant plusieurs années. Idéalement, leur gestion serait transférée au Partenariat Quartier des spectacles, qui gère maintenant les locaux de l’Esplanade Tranquille. Ce serait déjà une grande amélioration.

Mais ce n’est pas supposé être un espace piéton, c’est une ruelle, c’est un espace de service et de sécurité pour les festivals, il y a de nombreuses raisons pour l’existence de cet espace, on ne peut pas juste le faire disparaître. Il existe pour une raison. Je reste convaincu que réduire Jeanne-Mance serait la première étape. Le trottoir devrait passer devant les terrasses des vitrines, comme c’était prévu initialement. C’est la base de la forme urbaine.

Je réitère que ça ne se «déménage» pas. Déménager les vitrines coûterait aux bas mots entre 9 et 12 millions de dollar. Dans le contexte actuel, je vois mal la ville dépenser autant d’argent et gaspiller autant de matériaux plutôt que d’opter pour des solutions simples et durables comme réduire la largeur de Jeanne-Mance.

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Plein de problèmes d’aménagement, mais je vois la solution!

On occupe le resto de façon temporaire avec un Imbiss allemand avec des vitres tout le tour. Ça occupe l’espace inocupé, ça vient rompre l’effet coupure du bâtiment, on vient apporter une option relativement abordable et si on y offre des steamés authentique, ça cadre dans notre patrimoine culinaire :hotdog: :hotdog: :hotdog:

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Oui, c’est bien l’option à 12 millions dont on parlait.

Je me suis permis de faire la version durable:

Musée d’art contemporain de Montréal John Zeppetelli annonce son départ

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Le directeur général et conservateur en chef du Musée d’art contemporain de Montréal, John Zeppetelli

Le directeur général et conservateur en chef du Musée d’art contemporain de Montréal, John Zeppetelli, a annoncé ce mardi à son équipe qu’il quitterait ses fonctions en 2024.

Publié à 14h15 Mis à jour à 14h42

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Jean Siag
Jean Siag La Presse

John Zeppetelli, qui dirige le MAC depuis plus de 10 ans, a fait cette annonce en présence de son équipe, a fait savoir le musée sur le réseau Facebook.

« Depuis plus de 10 ans, John a mis au service de l’institution sa passion dévorante pour l’art, son grand amour des artistes et son audace remarquable. Grâce à lui, le MAC a présenté des expositions hors du commun, notamment Teresa Margolles : Mundos et Leonard Cohen : Une brèche en toute chose. Plus récemment, le MAC recevait Contagion de la Terreur (Terror Contagion) du collectif de recherche londonien Forensic Architecture, en collaboration avec la célèbre documentariste Laura Poitras. »

L’équipe du MAC poursuit sa publication en mentionnant aussi les expositions en cours de Pussy Riot et Jeremy Shaw.

Il a également fait en sorte que l’art soit plus accessible par l’entremise d’une multitude d’activités éducatives, destinées à des publics variés, et contribué à l’enrichissement de la collection du Musée, en faisant l’acquisition d’œuvres remarquables. Plus récemment, il lançait le projet ambitieux de transformation architecturale du Musée. Nous remercions John pour son apport remarquable à l’histoire du MAC.

L’équipe du MAC, dans une publication Facebook

Dans son mot annonçant son départ, John Zeppetelli a indiqué qu’il quittait ses fonctions « pour explorer de nouvelles possibilités ».

« Je suis convaincu que le Musée d’art contemporain de Montréal continuera à prospérer et à évoluer sous sa nouvelle direction, soutenue par un conseil d’administration exceptionnel et dévoué. Je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude au personnel si dédié et motivé, aux artistes brillants et à la communauté dynamique qui ont transformé presque chaque moment passé au musée en quelque chose d’extraordinaire. Ensemble, nous avons cultivé un espace qui non seulement stimule et ravit, mais aussi défie et confronte – un espace ancré dans les complexités du monde. »

Transformation du musée

John Zeppetelli ne verra donc pas se réaliser les travaux de transformation du MAC sous sa direction, malgré des plans en ce sens, qui se dessinent depuis 2014. Les derniers en date ont été exécutés par les firmes d’architectes Saucier+Perrotte et GLCRM Architectes en 2017, mais le budget pour leur réalisation a été sans cesse revu à la hausse, notamment à cause de la surchauffe dans le secteur de la construction.

Cette année, les deux ordres de gouvernement, fédéral et provincial, ont bonifié leur participation, faisant passer le budget de 44 millions en 2018 à 116,5 millions. Un appel d’offres est actuellement en cours. Mais malgré cette somme imposante, La Presse révélait en septembre dernier que selon Le programme de construction, la superficie de ses salles d’exposition n’allait augmenter que de 28 %.

Lisez notre reportage sur le projet de transformation du MAC

Le conseil d’administration du MAC, mené par l’homme d’affaires Alexandre Taillefer pendant la quasi-totalité du mandat de John Zeppetelli, est présidé par Claudie Imbleau-Chagnon depuis l’été 2022. La nomination Mme Imbleau-Chagnon, qui est associée au cabinet d’avocats Blakes depuis le mois de juillet dernier, devait faciliter, voire accélérer la réalisation des travaux de transformation du musée.

Le MAC a déménagé dans un local commercial de Place Ville Marie en 2021, condamnant l’essentiel de sa collection permanente dans le bâtiment actuel. Si les travaux commencent le printemps prochain, le musée pourrait rouvrir à la fin de 2026.

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Ouverture en 2028

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Travaux de transformation Le MAC annonce le début d’un long chantier

PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE

Les travaux préparatoires à l’intérieur du MAC ont commencé, tandis que la démolition partielle du bâtiment se fera au printemps.

Le Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) a annoncé cette semaine avoir accepté les offres reçues pour les premières étapes de son projet de transformation évalué à 116,5 millions. La réouverture complète du musée est maintenant prévue pour 2028.

Publié à 1h37 Mis à jour à 12h00

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Jean Siag
Jean Siag La Presse

L’appel d’offres de l’automne dernier ne concerne que les quatre premiers lots du projet – sur une vingtaine –, a fait savoir la présidente du conseil d’administration du MAC, Claudie Imbleau-Chagnon, lors d’un court entretien avec La Presse.

« Considérant la surchauffe du marché de la construction, on a convenu avec les différents partenaires publics du MAC qu’on allait relancer l’appel d’offres avec les lots critiques », a précisé Mme Imbleau-Chagnon.

On parle essentiellement de la « démolition partielle » du bâtiment actuel, de la mise en place de la « structure d’acier, du coffrage et du bétonnage ainsi que du renforcement structural ». Les travaux préparatoires à l’intérieur sont commencés, nous dit la présidente du C.A. du MAC, qui espère une réouverture complète du musée en 2028.

Les premières phases, dont la démolition partielle du bâtiment, vont commencer à la fin de mars et seront visibles pour les gens qui vont passer devant la Place des Arts.

Claudie Imbleau-Chagnon, présidente du conseil d’administration du MAC

Le MAC fera plusieurs appels d’offres pour les 15 à 20 lots restants au cours des prochains mois. « La première fois, on avait été en appel d’offres avec tous les lots, cette fois, on procède par petits pas, tout en étant réalistes avec l’échéancier du MAC », ajoute Mme Imbleau-Chagnon.

C’est la Société québécoise des infrastructures (SQI), qui gère le projet de transformation, qui a recommandé au MAC de procéder de cette façon, a précisé la présidente du C.A. du MAC.

Le projet de 116,5 millions est financé par le ministère de la Culture et des Communications (55 millions), Patrimoine canadien (50 millions) ainsi que par la Fondation du MAC (11,5 millions). Les plans ont été produits en 2017 par les firmes d’architectes Saucier+Perrotte et GLCRM Architectes.

Même si le nouveau bâtiment doublera sa surface, la superficie des salles d’exposition du nouveau MAC n’augmentera que de 28 %, selon le programme de construction que La Presse a obtenu il y a quelques mois grâce à la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels.

Lisez notre reportage

La SQI avait procédé à un premier appel d’offres en 2022 avec un budget de 85,3 millions, mais avait dû interrompre le processus après avoir reçu les offres de sept lots étant donné qu’elles dépassaient « de plus de 50 % » les prévisions du MAC, selon ce que nous avait confié le directeur général sortant John Zeppetelli.

D’ici à la réouverture du musée, en 2028, l’essentiel de la collection permanente du MAC – qui compte environ 8000 œuvres – est verrouillé dans une aile du bâtiment actuel et demeure donc inaccessible. Le Musée d’art contemporain loue un local à la Place Ville Marie depuis 2021 où il continue de présenter des expos.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Le directeur général et conservateur en chef sortant, John Zeppetelli, demeurera en poste jusqu’à la nomination de son remplaçant.

La succession de John Zeppetelli

Le directeur général et conservateur en chef du MAC, John Zeppetelli, a annoncé au mois de décembre dernier son intention de quitter son poste, qu’il a occupé pendant 10 ans, « pour explorer de nouvelles possibilités ».

Dans son allocution de départ, il a fait savoir qu’il partirait « en 2024 », sans autre précision.

Claudie Imbleau-Chagnon nous a confirmé que le processus de recrutement afin de trouver le remplaçant de John Zeppetelli était commencé.

« John Zeppetelli va être avec nous jusqu’à ce que la nouvelle personne arrive. Nous allons procéder à l’affichage du poste à l’interne et à l’externe dans les prochaines semaines, a-t-elle affirmé. Il y a aussi un affichage au gouvernement du Québec, avec les emplois supérieurs, vu que c’est une nomination du Conseil des ministres. »

La présidente du C.A. fera donc une recommandation au gouvernement, qui aura le dernier mot sur la personne qui succédera à M. Zeppetelli.

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Alors, la question ici est ou ira le reste de l’augmentation de la surface si seulement 28% ne sera dédié qu’aux salles d’exposition?

Quelques photos avant le début des travaux.

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Les salles d’exposition, ce sont les salles avec un climat contrôlé aux normes muséales, mais ce ne sont pas les seuls endroits où on expose des œuvres au musée. Surtout dans un musée d’art contemporain où on fait des projections vidéo par exemple, tout n’a pas besoin d’être dans une salle conditionnée et on peut exposer dans des corridors, des halls, des salles de rassemblement, des auditoriums, etc.

Donc ici, on parle de 28% plus de salles aux conditions muséales. Le reste sera des espaces de circulation, de rassemblement ou d’entreposage, mais qui pourront pour beaucoup servir à exposer aussi.

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Voila! Il peut aussi s’agir d’espaces pour des événements, des salles de présentation pour les écoles ou des salles de visionnement d’art graphique (généralement les oeuvres sur papier ne sont pas exposées de façon permanente).

Ça peut aussi être des espaces aussi plates que de l’administratif!

Regardez le TNM. Une grande partie de la nouvelle partie du théâtre ne sera pas accessible au grand public, notamment la deuxième salle qui sera allouée aux répétitions et à la création.

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Quand j’étais au primaire dans les années 90. Ma mère était responsable de l’accueil et de la billetterie au musée. Elle y travaillait une fin de semaine sur deux et mon père travaillait de nuit. Donc, je me ramassait souvent au musée à arpenter les expositions ou à écouter des Wallace et Gromit dans des salles vidéos que ma mère me dénichait.

Donc, j’ai un certain attachement au musée actuel. Je ne comprends pas qu’on ne l’agrandissement pas en conservant son style architectural. Là on va le dénaturer complètement . Il me semble qu’on aurait dû essayer de faire des annexes comme MAB. Tous les bâtiments sont différents. Mais, ca n’affecte pas la qualité architecturale de chacuns.

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Vous avez parfaitement raison.

Pire, on va l’anonymiser.

Un musée d’art contemporain se doit d’avoir une personnalité, une image forte qu’on reconnaît facilement, qui marque l’imaginaire. C’était le cas.

Mais la nouvelle boîte de verre quelconque et anonyme, qu’on pourrait confondre avec une bibliothèque à Blainville ou un centre de distribution à Vaudreuil-Dorion, n’est pas à la hauteur d’une institution muséale du 21e siècle.

C’est dommage, ce sont pourtant d’excellents architectes qui sont au dossier. Mais les contraintes du site et du programmes, le budget irréaliste, et la haine démesurée de toute une génération envers l’architecture postmoderne auront eu raison de cette institution.

Ce qui est le plus triste, c’est que dans au plus une vingtaine d’année, ce sera assurément à refaire.

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Difficile de faire des annexes sur un site aussi enclavé, autrement ce n’est pas vraiment idéal si on multiplie les sites d’exposition et encore moins avec les budgets limités de Québec. C’est la dure réalité que nous imposent les contraintes actuelles, main-d’oeuvre raréfiée et explosion des coûts. :grimacing:

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Autant que j’adore le bâtiment d’origine, je le trouve beaucoup trop fermé sur l’extérieur. Cela crée une sorte d’environnement austère qui en fait plus un obstacle au milieu de la Place des Arts qu’une destination.

Je partage l’avis, cependant, que la boîte de verre annoncée manque de personnalité. J’aurais préféré une structure qui reprendrait certains éléments architecturaux de l’ouvrage initial.

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