Comment tu peux vivre 8 ans ici et te retrouver dans cette situation??
Sans connaître le cas personnel d’une personne, on ne peut pas supposer qu’il y a un problème de régularité. La façon de faire pouvait corresponde au programme, qui existe bien pour une raison. Tout comme il pouvait ne pas être possible ou pratique d’utiliser un autre moyen de rester ici.
On parle d’abus de privilèges, de situation non-régularisée, de ne pas être en règle, de ne pas faire les choses en ordre. Ça me semble un jugement sévère contre une personne dont on ne connait rien de la situation, et qui pouvait simplement utiliser de plein droit un programme adapté à la situation jusqu’à présent.
S’il existait un seul moyen en 3 ans de gagner sa citoyenneté (bravo pour la diligence à y arriver), tout le monde le ferait et il n’y aurait pas de multiples programmes, il me semble. Ça semble une dénouement désirable pour bien des gens voulant s’installer ici.
Enfin, c’est juste mon opinion, pas un expert en immigration non plus.
Mon expérience empirique fait en sorte que j’ai cette opinion de beaucoup d’expats français. Généralement quand tu t’enfuit d’un pays dont tu n’a pas trop d’avenir, tu fais tout pour être en règle pour ne pas te faire renvoyer. Dans le cas contraire, quand tu viens d’un pays comme la France, tu as une sorte d’immunité, tu stress un peu moins. Je suis tout a fait d’accord que les gouvernements serent la vis. Maintenant dire que la CAQ veut pas de Français c’est clairement faux et ne fait aucun sens.
Can you please not assume what my friend’s status is? She’s a student that went to college and then university here, has worked most of her years here and wants to stay. It feels like you’re trying to gate keep Montréal, and your comments come off extremely rude.
I do agree that my friend’s situation is on the better side, she has family in France so she can move back, but her situation is on the better side, imagine the other 6500+ students that will be kicked back to the country they’ve left from?
you did the same by assuming CAQ want to kick out french people.
and challenging your ideas is not an act of rudenessn it’s simply the expression of differing opinions and perspectives.
I edited my message to remove that statement directly, but I wrote it because there is a push for getting French people to come to Québec to study, like reduced tuition and programs like the one we’re talking about. It seems counterintuitive to me for the government to want to now kick these same people out now
La CAQ est difficile a suivre elle a offert de payer les etudes aux étudiants étrangers qui vienne étudier en regions dans les colleges et universités. Et puis ensuite vire capot.
Faut avouer qu’il y a eux de l’abus du systeme d’immigration surtout des indiens. Avec toute sortes de combine pour mettre leur pieds ici et passer devant tout le monde. Désolé mais tu triche tu est renvoyé chez vous. Étudier dans des classes improvisés au dessus d’un local commercial pour obtenir un diplome bidon en Global marketing businness ca ne te servira a rien pour travailler ici. A part essayer d’obtenir la residence permanente sur un pretexte que tu es étudiant.
Legault devrai s’occuper de gerer les finances du Quebec qui sont dans une mauvaise situation a 11 milliards $ de déficit. Sans oublier que le Québec se retrouve avant derniere province pour la croissance économique en 2023.
Au lieu de blamer toujours les immigrants.
Pour justifier sa mauvaise gestion
Et comme il aime se comparer avec l’'Ontario. Cette province prevoit un déficit de 6.6 milliards en 2024 avec une population et une économie pas mal plus élevée.
Une autre décision lourde de conséquences de la part du gouvernement caquiste
Reportage de l’émission radio Tout terrain
Les Ukrainiennes et Ukrainiens accueillis au Québec dans les trois dernières années se demandent s’ils vont encore pouvoir se faire soigner. Ils se heurtent à des refus pour renouveler leur carte d’assurance maladie au delà de février 2025, alors que leur permis pour rester au pays, lui, a été prolongé par Ottawa jusqu’en 2027. Ils angoissent à l’idée de devoir payer eux-mêmes des frais de santé qui peuvent atteindre parfois des milliers ou des dizaines de milliers de dollars. Le reportage de Myriam Fimbry.
Quoique la vanne comme première réaction, ce n’était peut-être pas la réplique la plus civile (ce qui explique son retrait). Les commentaires subséquents sont plus riches je trouve.
Un message a été fusionné à un sujet existant : Politique provinciale
Version texte du reportage radio
Dans un café du quartier Côte-des-Neiges, à Montréal, Zhanna caresse son ventre qui commence à s’arrondir et se réjouit de pouvoir donner naissance à un enfant dans un pays en paix. Toutefois, il y a une ombre au tableau : sa carte d’assurance maladie arrivera à expiration en février 2025, comme celle de nombreux Ukrainiens établis ici.
Ce qui l’inquiète, c’est qu’elle ne sait pas si elle va accoucher juste avant ou juste après la fin de la période de validité de sa carte. La différence pourrait lui coûter 30 000 $.
Cette jeune femme est originaire de la région de Kharkiv, dévastée par les bombes et maintenant occupée par la Russie. Arrivée au Canada en octobre 2022, elle a bénéficié, tout comme son mari, de l’Autorisation de voyage d’urgence Canada-Ukraine (AVUCU), créée par le gouvernement fédéral dès le début des bombardements.
Au Téléjournal Québec
Travailleurs étrangers : quels contrecoups sur la chaîne d’approvisionnement alimentaire?
Plus d’un mois après l’entrée en vigueur au Canada de nouvelles restrictions liées à l’embauche de travailleurs étrangers temporaires, des entreprises du secteur alimentaire de la grande région de Québec craignent que les mesures aient un impact sur la chaîne d’approvisionnement.
Une bonne nouvelle pour les réfugiés ukrainiens au Québec
Le gouvernement du Québec prolongera la couverture des réfugiés ukrainiens par le régime d’assurance maladie, a assuré le ministre de la Santé, Christian Dubé, mercredi.
« Nous allons trouver une solution, nous ne laisserons pas tomber les réfugiés ukrainiens », a dit le ministre.
« Nous sommes toujours en discussion avec le gouvernement fédéral, mais nous souhaitons prolonger leur couverture. Le Québec a un engagement envers eux et nous le tiendrons. »
Plusieurs Ukrainiens s’inquiétaient de la fin de leur couverture par le régime d’assurance maladie du Québec et des frais qu’ils auraient ensuite à débourser pour obtenir des soins de santé.
C’est vraiment dommage. Il est important que le Québec conserve ses francophones afin qu’ils puissent enrichir nos vies de leurs points de vue et de leur savoir-faire linguistique.
Je voulais partager un témoignage qui démontre aussi à quel point ce volte-face a un impact sur tout un éventail de personnes. Un de mes bons amis est au Canada depuis 10 ans et vient d’obtenir son doctorat de l’université Concordia. C’est un moment qui en temps normal devrait surtout être joyeux mais est maintenant accompagné de beaucoup d’incertitudes puisqu’il n’a plus aucune voie vers la résidence permanente avec la mise sur arrêt du PEQ, d’autant plus que ses études ont été faites en anglais et qu’il semble y avoir aussi une partie du changement qui vise à donner cette voie uniquement aux personnes ayant faites des études en français (je me trompe peut-être sur ce point, c’est pas clair). Il a présentement un contrat et un permis de travail pour un post-doc, mais à l’heure qu’il est, il semble que le seul moyen pour éventuellement avoir la résidence sera d’aller dans une autre province. Je ne comprend pas comment il n’y a pas eu de clause grand-père pour les gens qui sont déjà en processus de complétion de leurs études.
Et au Canada ?
Après sa visite en France en octobre, François Legault a proposé de créer des zones d’attente dans les aéroports canadiens, entre autres pour mieux répartir les demandeurs d’asile entre les provinces. Le ministre fédéral de l’Immigration, Marc Miller, a immédiatement écarté cette idée. À la différence de la France, il est possible au Canada de faire une demande d’asile directement à l’aéroport et d’être admis sur le territoire canadien, sans passer par la détention.
PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
François Legault, premier ministre du Québec
« En soi, ce n’est pas une mauvaise chose d’avoir des zones d’attente », affirme la sénatrice socialiste de Seine–Saint-Denis Corinne Narassiguin. C’est elle qui a rendu possible la visite de La Presse en acceptant de l’accompagner, la ZAPI se trouvant dans sa circonscription. « Ça permet de gérer les gens qui ne peuvent pas rentrer en France en respectant un cadre légal », estime-t-elle. « Il faut juste être sûr que le cadre légal soit bien respecté. »
Dans une récente lettre qu’il a fait parvenir à son homologue fédéral, Marc Miller, et au ministre de la Sécurité publique, Dominic LeBlanc, le ministre de l’Immigration du Québec, Jean-François Roberge, affirme que l’imposition d’un visa aux ressortissants mexicains, au début de l’année, a permis de réduire considérablement les demandeurs d’asile en provenance du Mexique.
Ce genre de mesure devrait donc être utilisé pour freiner les demandeurs d’asile provenant d’autres pays, a affirmé M. Roberge dans sa lettre, que La Presse a obtenue.
Imposer « des contraintes additionnelles »
Selon les données d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, les 10 premiers pays d’origine des demandeurs d’asile au Québec sont, dans l’ordre, l’Inde, le Mexique, Haïti, le Bangladesh, le Nigeria, le Ghana, la République démocratique du Congo, la Colombie, l’Algérie et la Guinée.
En 2023, le Canada est arrivé au cinquième rang des pays ayant reçu le plus grand nombre de demandes d’asile, derrière les États-Unis, l’Allemagne, l’Égypte et l’Espagne, selon un rapport du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés publié en juin.