Oui ! Enfin ! Mais plus à l’est il y a la Tour de Montréal (stade) qui a détrôné le complexe dans les années 1980. Maestria sera difficile à dépasser du côté est. À moins que dans un autre cinquante ans …
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De ce point de vue, je remarque que les tours Maestra font echo à l’hotel du complexe Desjardins, avec le jeu des fenêtres carrées vs les “balcons” de Maestra.
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Oui effectivement; je ne sais pas si c’était voulu par l’architecte des tours Maestria mais j’avais remarqué ce détail.
Le stade, quel stade? 
Assez remarquable comment le Maestria et probablement surtout sa passerelle attire le regard des passants du QDS et de la rue Sainte-Catherine.
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Pas seulement du QDS et de la rue Ste-Catherine, j’en vois souvent regarder les tours Maestria de la rue Sherbrooke maintenant qu’elles sont assez hautes.
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j’ai fais le calcul jusqu’en haut de la partie en rouge, même si ce ne sont pas nécessairement des étages complétés, juste pour évaluer la hauteur visible. Il reste donc une dizaine d’étages, peut-être onze, plus l’étage mécanique avant que la tour ouest atteigne sa pleine hauteur. C’est fou comme elles vont paraître hautes dans leur environnement.
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En me basant sur la passerelle qui est censée être au 26è étage, j’avais aussi calculé qu’il manquait une dizaine d’étages à la tour 1 ce qui devrait être atteint vers la fin de septembre. Si on regarde l’édifice de la CIBC de près ce sera à peu près la même hauteur.
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Excellente observation, sûrement pas le fruit du hasard, une façon de donner la réplique puisque très souvent les architectes cherchent une partie de leur inspiration dans le voisinage immédiat.
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Sur le site de Lemay architecture
En réponse à la cadence de son environnement, l’enveloppe de la structure, composée de murs-rideaux, de fenêtres et de panneaux sombres, ainsi qu’une architecture intérieure aux tons noirs et blancs discrets et aux matériaux nobles, constituent un amplificateur luxuriant du pouls culturel de Montréal. Il s’agit d’une combinaison d’espaces permettant de s’éloigner des festivités sans rompre le rythme, que ce soit depuis sa base de verre et de granit réfléchissant où le privé et le public s’entremêlent, ou depuis le déploiement vertical qui s’étend vers le ciel jusqu’à des échappatoires balayées par le vent offrant des nouvelles perspectives.
Alors que les rues du quartier fourmillent au niveau du sol, la silhouette et la palette de couleurs des tours de Maestria évoquent deux touches de piano noires. Les spectateurs surélevés sur le pont, eux, rappellent les notes d’une partition changeante, profitant du spectacle qui se déroule en dessous.
Alors c’est assez vague, mais vu la manière dont ils décrivent l’intégration et l’inspiration de la tour, je pense que le jeu de fenêtre est voulu.
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C’est très poétique comme description. Ça me fait penser à ce que ma firme d’architecture a mis dans sa description au CCU pour l’obtention d’un permis d’agrandissement.
C’est beau mais de la à partir dans des envolées
poétiques plus ou moins abstraites qui sont difficilement percevables concrètement par les gens circulant au bas de ces tours, il y a une marge que je n’arrive pas à franchir bien que je trouve que ce projet sera une belle réussite visuelle et indéniable pour le centre-ville!
Je trouve juste qu’on beurre un peu trop épais dans ce type de description passablement abstraite. Je trouve admirable que les membres du comité achètent ça en pensant qu’ils comprennent ce que sa représente.
Je suis probablement trop cartésien dans ma façon de penser et je m’en excuse auprès des autres membres qui sont peut-être plus sensibles à ce type de description et qui arrivent à en déduire une vision qui va se traduire par un projet concret. A vous, je vous dois mon respect car j’en serais incapable avant d’avoir une maquette devant moi 
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