Disons que pour le moment on peut se permettre d’espérer. Même si tout reste encore hypothétique vis à vis de la fin de la pandémie, il est tout de même prudent de préparer la prochaine saison, quitte à repousser ou annuler plus tard. Donc à moins d’un scénario catastrophe, on s’enligne vers le retour des beaux jours.
Québec change la Loi sur le Musée des beaux-arts de Montréal
C’était l’une des recommandations du rapport indépendant commandé par le gouvernement.
Le Musée des beaux-arts de Montréal
PHOTO : MBAM
Radio-Canada
2021-05-13 | Mis à jour aujourd’hui à 5 h 27
La ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy, a déposé mercredi à l’Assemblée nationale un projet pour modifier la Loi sur le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM). C’était l’une des recommandations du rapport indépendant commandé par le gouvernement après la crise qui a secoué le musée l’été dernier et mené au congédiement de sa directrice générale, Nathalie Bondil.
Après cet épisode, la ministre Roy avait demandé un rapport indépendant sur la gestion et la gouvernance du MBAM, dont elle a reçu les recommandations en septembre 2020. On y concluait que rien n’était blanc ou noir dans cette crise ayant secoué l’établissement.
L’une des premières recommandations de Daniel Beaupré, l’expert mandaté par le ministère, était de modifier la Loi sur le MBAM et le règlement sur l’administration générale afin d’éviter les quiproquos et de préciser les rôles du C.A. et de la direction générale.
Dans le projet de loi 81, on propose notamment de modifier la composition de son conseil d’administration de manière, entre autres, à réduire le nombre d’administrateurs et à intégrer des exigences relatives à l’indépendance des administrateurs ainsi qu’à la parité et à la représentativité de la société québécoise au conseil.
Le projet de loi déposé aujourd’hui s’inscrit dans la démarche de modernisation de la gouvernance des organismes et des sociétés d’État dont je suis responsable. Les nouvelles règles proposées ont pour but d’instaurer au Musée des beaux-arts de Montréal des pratiques de gouvernance reconnues et une reddition de comptes plus transparente, tout en respectant ce qui en fait l’un des plus grands musées en Amérique du Nord, a déclaré Nathalie Roy par voie de communiqué.
La ministre de la Culture et des Communications du Québec, Nathalie Roy
PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / JACQUES BOISSINOT
De son côté, par écrit, le MBAM a réagi par la voix de Pierre Bourgie, le président de son conseil d’administration. Le Musée se réjouit de la volonté des autorités compétentes de moderniser la Loi sur le Musée des beaux-arts de Montréal, une loi qui date de 1972, afin qu’elle réponde aux besoins évolutifs de l’organisation dans le présent et le futur.
Le projet de loi prévoit aussi ce que seront les fonctions du président du conseil d’administration et du directeur général du Musée et les modalités de planification, de vérification et de reddition de comptes notamment auprès de la ministre et précise quelles sont les fonctions et les responsabilités du conseil d’administration. La formation de trois comités – un comité de gouvernance et d’éthique, un de vérification ainsi qu’un comité de ressources humaines – est aussi prévue par le projet de loi 81.
Par ailleurs, en octobre dernier, le MBAM avait mandaté l’ancienne présidente de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) Lise Bissonnette et l’avocat Pierre A. Raymond pour prodiguer des conseils et formuler des recommandations au musée. Ce mandat devait être rempli à titre gracieux. Leurs travaux sont toujours en cours.
Nathalie Bondil était en poste depuis plus de 10 ans.
PHOTO : GETTY IMAGES / ILYA S. SAVENOK
Depuis, l’ancienne directrice générale Nathalie Bondil s’est vu confier le mandat de directrice du Département du musée et des expositions de l’Institut du monde arabe à Paris.
Elle a aussi déposé une poursuite en septembre 2020 contre le Musée des beaux-arts de Montréal. Elle a décidé de la maintenir, malgré l’obtention de son nouveau poste.
Cette nouvelle loi permettra sûrement d’éviter une autre désagréable saga qui a forcé le départ de Nathalie Bondil. Un gaspillage de talent et d’expertise qui va à l’encontre d’une bonne gestion pour une institution de l’importance du MBAM.
Gros montant pour soutenir les ateliers d’artistes, 30 millions de dollars de subventions pour les soutenir (25 millions de Québec, 5 millions de la ville). Le montant devrait aider à lutter contre la spéculation immobilière et les hausses de loyer.
Une autre nouvelle pour les ateliers d’artistes, dans le Mile-End cette fois-ci, sur le compte Facebook de Richard Ryan:
Richard Ryan - Ce soir au conseil d’arrondissement du… | Facebook
Le texte est intéressant si vous voulez du détail sur le déroulement de l’entente entre Allied et les ateliers d’artistes ainsi que l’arrondissement pour le maintien des ateliers et des loyers, dans le secteur Saint-Viateur Est. On apprend que l’organisme responsable de la location, Pi2, s’était rapidement endetté, et devait donc louer des ateliers à des artistes plus nantis à un plus grand prix. Il y a aussi l’augmentation de plusieurs charges, des taxes municipales à cause des améliorations de l’édifice, etc…
Bref, il y a une nouvelle entente jusqu’en 2056: Allied éponge la dette de Pi2, baissera les coûts de gestion et il y aura une réduction des taxes. En échange, Allied reprend un étage complet. Pi2 pourra offrir 90% de ses locaux à des prix très avantageux, contre 56% actuellement.
texte intégral
Ce soir au conseil d’arrondissement du Plateau Mont-Royal, nous avons voté une modification à un règlement que j’avais moi même porté en 2012 pour préserver une superficie non négligeable d’ateliers d’artistes sur l’avenue de Gaspé.
Nous avions réussi un coup de maître en 2012, en faisant un contrôle intérimaire sur le secteur de l’emploi du Mile End (moratoire) qui nous a amené à l’époque vers quelques choses d’assez novateur en urbanisme, soit un zonage vertical et des limitations de superficies d’usage (bureau par ex), forçant une négociation entre le nouveau propriétaire des immeubles sur de Gaspé (Allied Properties) avec le nouveau Regroupement d’ateliers d’artistes (Pi2). Une entente de 25 ans, pour 212K pi2 (4 étages du 5445 de Gaspé + des galeries au RDC) a amené l’arrondissement à assouplir sa réglementation pour le propriétaire pour le reste de ses 2 bâtiments.
Or, le projet de Pi2 s’est endetté dès le départ, en plus de certaines charges ayant augmentées considérablement par la suite (notamment les taxes reliées à l’augmentation de la valeur foncière ainsi que d’autres frais du propriétaire), le projet trainait une dette l’obligeant à louer une partie non négligeable à des locataires du milieu culturel plus nantis pour pouvoir payer la note mensuelle.
La nouvelle entente négociée, se prolongera jusqu’en 2056 (oui vous avez bien lu!), le propriétaire épongera la dette accumulée, baissera les coûts de gestion et une entente d’usufruit permettra à l’organisme d’avoir des réductions de taxes via une décision à venir par la Commission municipale.
En retour le projet retourne au propriétaire un des étages, mais le Regroupement pi2 se concentrera sur sa mission d’offrir des espace de création à prix très avantageux. À terme d’ici 3 ans, ces artistes occuperont 90% de l’espace total contre les 56% des 4 étages d’aujourd’hui. Donc plus d’artistes à revenus modestes seront répondus par cette nouvelle entente qui durera beaucoup plus longtemps, soit jusqu’à 2056. On parle de 500 artistes qui bénéficieront de ce projet.
Ça été un dossier phare et fort dès le début de ma vie en politique municipale, nous devions innover, pour ce que nous considérions à l’époque la plus grande concentration d’ateliers au Canada que nous étions en train de perdre par la spéculation immobilière.
Grâce aux professionnels en urbanisme de l’arrondissement qui ont su insuffler les éléments de réponses, grâce également au service de la culture de la Ville, au gouvernement du Québec qui ont également mis la main à la pâte pour que ce projet réussisse, on retrouve les mêmes acteurs aujourd’hui pour que ce projet se viabilise pour une durée qui nous fera dépasser le milieu de ce siècle (j’aurai 91 ans en 2056 et vous?).
Merci au Regroupement Pi2, mais également à l’organisme accompagnateur en développement et gestion qui est Ateliers Créatifs, en occurence son directeur Gilles Renaud, pour tout leur travail.
Restez à l’affut, un autre projet d’envergure de protection d’ateliers d’artistes se prépare dans le secteur…
La motivation derrière ce type d’action, préserver la mixité aussi dans les secteurs de l’emploi des quartiers sous pression immobilière… Montréal Métropole culturelle, doit aussi se vivre non seulement dans la diffusion culturelle, mais également dans la production culturelle.
Le Cirque du Soleil reviendra en 2022 au Vieux-Port avec un nouveau spectacle. Ce qui est intéressant aussi, c’est une entente de 10 ans pour présenter des spectacles tous les ans pendant les 10 prochaines années, dont de vieux spectacle. Bref, on peut avoir des spectacles du Cirque du Soleil de manière annuelle maintenant.
L’Espace Riopelle s’en va au Musée national des beaux-arts de Québec
La même annonce de @ScarletCoral , mais sous forme d’un reportage diffusé ce soir au Téléjournal:
Il est un de nos plus grands artistes : Jean-Paul Riopelle, né en 1923, aurait bientôt eu 100 ans. Pour l’occasion, un tout nouveau pavillon consacré à ses œuvres sera construit au Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ).
Le reportage de Tanya Beaumont.
Et pourquoi a-t-on choisi de s’installer à Québec au lieu de Montréal? Qu’est-ce qui a pu motiver ce choix ?
Le gouvernement.
C’est un peu ce qu’a expliqué le chroniqueur culturel du Devoir dans cette entrevue avec Patrick Masbourian.
En gros, le MBAM avait un déficit avec le projet. Le gouvernement du Québec n’y contribuait que pour 10 M$, tandis que pour Québec, c’est 20 M$!
Espace Jean-Paul Riopelle à Québec : Entrevue avec Nicolas Mavrikakis Rattrapage du vendredi 3 déc. 2021 : Les tests rapides de dépistage, et la chronique de Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques
Je croyais que la fondation Riopelle voulait un musée indépendant et pas un pavillon d’un musée existant. Et voilà qu’elle se retrouve en tant que pavillon du MNBAQ.
On lui promettait 10 millions pour Montréal et on lui en donne 20 pour Québec !
De plus, l’artiste est né à Montréal. Il est rattaché à cette ville. Et je crois aussi que la visibilité internationale de l’artiste et de ses œuvres aurait été accru avec un musée indépendant à Montréal.
Je ne sais pas mais j’ai l’impression qu’il y a quelque chose de raté dans cette histoire.
Un point qui doit expliquer le 20M pour Québec comparé au 10M pour Montréal, c’est qu’au MNBAQ, la verrière du pavillon centrale avait besoin de travaux majeure, et le nouveau pavillon va être construit au-dessus de la verrière, au centre du musée. Donc je crois qu’ils en profitent pour investir l’argent qui devait éventuellement aller au musée de Québec et la combiner avec le montant pour l’aile Riopelle.
C’est sûr que personnellement j’aurais bien aimer l’avoir à Montréal, mais au moment où le projet a été divulgué, la conjoncture n’était pas la meilleure à Montréal pour cet investissement.
Tout ça est le résultat direct du congédiement de Nathalie Bondil. Un véritable gâchis pour Montréal. Une des premières initiatives de son successeur a été de tuer ce projet, au lieu de faire un effort pour trouver des solutions de financement. Il n’a même pas essayer. Manque total d’ambition. Ce qui se reflète d’ailleurs sur la situation actuelle du musée où il ne se passe rien d’excitant.
Le La Tulipe est menacé de fermeture dû à une erreur de la Ville…
Je me demande qui est ce propriétaire
J’ai entendu le reportage à l’émission Le 15-18! à écouter ici : Culture avec Catherine Richer : Le cabaret La Tulipe https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/episodes/591027/rattrapage-du-mardi-14-decembre-2021/23
Voici un article dans La Presse
La Tulipe menacée de fermeture
PHOTO FOURNIE PAR LA TRIBU
La façade de La Tulipe, située avenue Papineau à Montréal.
Les propriétaires de la salle de spectacle La Tulipe, qui depuis 20 ans est installée dans l’ancien théâtre des Variétés de Gilles Latulippe avenue Papineau à Montréal, font face à une demande d’injonction qui pourrait « entrainer la fermeture des lieux sans condition », affirment-ils.
Publié le 14 décembre 2021 à 17h42
Josée Lapointe
LA PRESSE
La compagnie La Tribu a publié un communiqué en fin d’après-midi mardi, se disant « à bout de force et de ressource » devant une situation qui dure depuis deux ans.
Selon le communiqué, un nouveau voisin a acheté et « transformé les anciens entrepôts de Gilles Latulippe, qui sont directement adjacent à la scène de la salle spectacle, en un logement dans lequel il habite ». La Ville de Montréal l’aurait « autorisé par erreur à transformer un espace commercial en espace résidentiel ».
Parce que le voisin se plaint régulièrement du bruit provenant de la salle de spectacle, La Tribu affirme avoir dépensé « une fortune en honoraires de toutes sortes pour se défendre », à la suite de « douzaines de visites de policiers, certaines accompagnées de menaces et de contraventions (1000 $ la contravention, dont deux le week-end dernier pour les spectacles de Dumas) ».
Les propriétaires de La Tulipe affirment avoir fait appel à la Ville de Montréal, mais « en vain ». C’est ainsi qu’ils se retrouveront en cours pendant la semaine du 21 décembre, face à une demande d’injonction qui pourrait les mener à une « fermeture des lieux sans condition », écrivent-ils.
« La Tulipe est un édifice classé monument patrimonial au ministère de la Culture du Québec. Nous ne pouvons transformer ce lieu en pharmacie ou en condo. Il est incroyable de penser qu’on veut nous empêcher de présenter des spectacles dans un lieu qui n’a que la culture et le spectacle pour vocation. »
En dernier recours, La Tribu a donc décidé de lancer un appel public à la mairesse Valérie Plante et au maire d’arrondissement Luc Rabouin, en leur demandant de « mettre fin à cet épisode kafkaïen ».
« S’il y a lieu, vous porterez l’odieux de cette fermeture due à une bévue de l’administration municipale et à votre inertie dans le dossier. »
Luc Rabouin a répondu sur Twitter:
https://twitter.com/LucRabouin/status/1470908266632912903
@LucRabouin: Le théâtre La Tulipe est là pour rester. La vitalité culturelle du Plateau est une richesse à préserver. Nous avons eu plusieurs échanges avec les propriétaires, et suivons de près les démarches judiciaires en cours entre les deux parties privées. Une solution émergera.
Arsenal art contemporain Plonger dans Monet
1/5
Après Van Gogh et Picasso, place à une nouvelle immersion artistique, dans l’univers impressionniste cette fois. En grande première mondiale en prime.
Publié le 15 décembre 2021 à 7h21
Silvia Galipeau La Presse
Imagine Monet nous arrive en effet en exclusivité dès ce mercredi, à Arsenal art contemporain Montréal.
Il s’agit pour la première fois non pas d’une adaptation, mais bien d’une création du fameux duo de créateurs (Annabelle Mauger et Julien Baron) à qui l’on doit les deux imposantes dernières immersions (vues par 1 million de visiteurs, partout au Canada et aux États-Unis). Et déjà, 20 000 billets se sont envolés.
« Ce projet me tient à cœur, parce que nous l’avons créé ici. Dans cette salle que j’adore ! » a confié Annabelle Mauger mardi, en marge du lancement.
Devançant nos questions, la Normande de naissance (tout comme le père de l’impressionnisme) poursuit avec enthousiasme : « Pourquoi l’immersion ? lance-t-elle. Parce que Claude Monet est le père de l’impressionnisme, mais aussi de l’immersion ! » Ah bon ? « Vers la fin de sa vie, il est allé vers l’abstraction, et ses derniers Nymphéas, créés pour le Musée de l’Orangerie à Paris, sont des toiles qui font plus de 17 m de long ! »
En conférence de presse, la créatrice en remet : « J’ai envie de vous dire que ces toiles sont faites pour cette exposition ! »
D’où la volonté manifeste d’« immerger le spectateur », dit-elle, volonté reprise ici dans ce vaste espace rectangulaire de 1200 m2, dans la galerie industrielle du quartier Griffintown. Sur des murs de huit mètres de haut, du sol jusqu’au plafond en passant par le plancher, sans oublier cette forme elliptique en plein centre de la salle (clin d’œil à l’Orangerie), sont projetées (à l’aide d’une cinquantaine de projecteurs) pas moins de 200 œuvres de l’artiste. Et les plus célèbres y sont toutes : de ses Cathédrales aux Coquelicots en passant évidemment par ses Nymphéas, dans lesquelles on « entre », littéralement, en apercevant, outre le coup du pinceau, parfois même un poil décroché (ou deux) !
« Derrière chaque silhouette se cache un mirage, résume Annabelle Mauger. En s’approchant, on découvre qu’il n’y a pas de lignes, mais que des touches de peinture. Et il est intéressant de le présenter de cette manière, en immersion. »
L’exposition, au son d’une douce musique classique (Bizet, Saint-Saëns, etc.), est ici divisée en trois temps : Monet et son environnement (ses jardins, sa famille, ses enfants) ; ses voyages (Venise, Londres) ; et les Nymphéas, prolifique série de ses jardins à Giverny (en Normandie), qu’il a déclinée pendant pas moins de 40 ans de sa vie.
PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE
Annabelle Mauger, conceptrice d’Imagine Monet
Ici et là, quelques animations : des feuilles qui tombent, ou encore un arbre qui pousse. Mais pas trop, promet Julien Baron, complice et coréalisateur de l’exposition. « Le principe n’est pas de dénaturer l’œuvre du peintre, insiste-t-il, mais de montrer l’œuvre première. […] Montrer l’œuvre sous différents angles que celui vu dans un musée. […] On ne veut pas se substituer aux musées. Mais on aimerait bien être un complément. »
À la grande question de savoir comment réagirait Monet aujourd’hui, il répond : « Je ne sais pas. On n’a pas la prétention d’être dans sa tête. On essaie d’imaginer. […] D’un côté, [Imagine Monet] est un honneur, mais c’est aussi de la récupération. Alors, c’est difficile de se prononcer. » Chose certaine, conclut-il, « Monet nous donne un peu de légèreté dans cette période. Et ça fait du bien ! »
Imagine Monet est présentée à Arsenal art contemporain Montréal jusqu’au 27 février. Réservation et passeport sanitaire requis. Prévoir une trentaine de minutes.https://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/2021-12-15/arsenal-art-contemporain/plonger-dans-monet.php
Consultez la page de l’exposition