On est à mille lieues du pavage qui a été fait à l’îlot Rosemont.
Et ça va très mal vieillir. On dirait que l’aménagement urbain a été réalisé sous la contrainte - parce qu’il fallait faire de quoi. J’ai du mal à situer les projections qui ont été faites quant à la fréquentation et l’attractivité du futur centre Sanaaq mais quoi qu’il en soit, les abords immédiats auraient mérité d’être traités de manière plus globale. Ici on a davantage l’impression d’une arrière cour résidentielle assez oppressante compte tenu des murs aveugles des basilaires des tours.
Heureusement, le pavillon des infirmières est très beau.
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La Ville a fini ses aménagements
Il y a des équipements de Trekfit au parc Hector-Toe-Blake
Réaménagement de la Place Henri-Dunant, du parc Hector-Toe-Blake et environs
Publié le 16 novembre 2023 à 13 h 47
Mis à jour le 17 novembre 2023 à 9 h 48
Les nouveaux aménagements bonifient l’offre en lieux publics et en espaces verts, améliorent le confort piéton et créent un milieu urbain encore plus attrayant pour les gens du quartier.
La population de Ville-Marie dispose de nouveaux espaces de socialisation aménagés pour le confort de tout le monde, qui comprennent notamment :
- une aire de jeux
- une aire de mise en forme
- des brumisateurs pour se rafraîchir
- des supports à vélo additionnels pour encourager le transport actif
- des bancs et des tables de pique-nique
Les améliorations ont eu lieu à la place Henri-Dunant, au parc Hector-Toe-Blake, ainsi que sur les rues Tupper, du Sussex et l’avenue Hope.
Les travaux ont permis la reconstruction de chaussée et de trottoirs des rues avoisinantes, ainsi que l’ajout de saillies végétalisées. Les conduites d’égout et d’aqueduc ont en plus été réhabilitées.
Au parc Hector-Toe-Blake, les brumisateurs côtoient l’aire de mise en forme.
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L’oeuvre d’art public pour le Centre Sanaaq a été choisie
De la rivière au ciel
Le Centre Sanaaq, situé dans le district Peter-McGill dans l’arrondissement de Ville-Marie, accueillera l’œuvre d’art de la rivière au ciel signée par l’artiste Hannah Claus. La conceptualisation de cette œuvre provient des ondes sonores d’un chant de gorge chantée par les Inuuk Nina Segolawitz et sa fille Sierra Segalowitz-Clabaux. Les chants de gorge, toujours chantés en duo, sont une tradition culturelle et sociale pratiquée par les femmes Inuit pour le plaisir, comme moyen de se distraire et s’amuser ensemble. Face à face, elles tiennent les bras de l’autre et se bercent au rythme de leurs voix. Ce chant-ci représenté dans l’œuvre imite le ruissellement de l’eau qui passe par-dessus les roches et cailloux de son lit de rivière.
L’œuvre est composée de formes en verre plat avec des torsions vers le haut et le bas, afin que la partie située au milieu, bornée par les torsions, représente les amplitudes variantes des ondes sonores. Tracées d’après leurs visualisations à l’ordinateur, ces ondes sonores s’allient autant aux contenus technologiques du laboratoire musical qui se trouve à l’intérieur du Centre Sanaaq, qu’aux activités socioculturelles et communautaires qui figurent dans la programmation du Centre. Fabriquées en verre, les deux ondes se distinguent l’une de l’autre par leur traitement matériel et leur couleur.
Conformément à la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, le nouveau centre doit être doté d’une œuvre d’art conçue spécifiquement pour celui-ci.
Source : Montréal enrichit sa collection d'art public avec deux nouvelles œuvres
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Éclairage architectural à venir pour la 1111 Atwater.
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