Industrie audiovisuelle et tournages à Montréal

Ralph Macchio never ages :wink: The woman that plays mom was in the joy luck club movie in 90s

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Aucune précision n’a pour le moment été donnée sur les conditions d’application de surtaxes sur les films produits à l’étranger.

Il s’agit d’une nouvelle escalade dans l’offensive commerciale lancée par le président américain à l’encontre des partenaires économiques des États-Unis.

La Chine, contre qui Donald Trump concentre une large partie de ses flèches, avait annoncé début avril qu’elle allait réduire, « modérément », le nombre de films américains diffusés officiellement sur son territoire, l’une de ses réponses aux droits de douane prohibitifs imposés par les États-Unis sur ses produits.

Pékin limite, par un système de quotas, le nombre de films étrangers diffusés officiellement dans ses cinémas. Une réduction de l’accès à ce marché, le deuxième du monde derrière les États-Unis pour le cinéma, pourrait rogner les recettes des studios hollywoodiens.

Après la CAQ qui a coupé dans les crédits d’impôt des studios de post-prod, la famine des chaînes de télé qui produisent de moins en moins de fiction, et maintenant ceci, l’industrie audio-visuelle montréalaise va passer un mauvais quart d’heure.

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Los Angeles, Atlanta, Vancouver… tous les studios sont au gros ralentit. On pourrait même se demander si ça va redémarrer un jour…

Très cool! Cette scène a été filmée au sommet de cet immeuble:


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Tournage au coin René-Lévesque et rue du Square-Philips

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La Banque Royale qui se déguise en bâtiment gouvernemental américain

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Quel est ce tournage, d’ailleurs ? Il se trouvait dans la Petite-Bourgogne aussi la semaine dernière, mais je n’ai pas été en mesure de lire les panneaux.

Je crois que c’est The Housewife, avec Naomi Watts

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« McGill, la rue des Récollets, le Quartier chinois, le Vieux-Port… Montréal, c’est la seule ville au monde où j’ai pu me rendre à pied au travail ! Bien sûr, en plus, l’équipe, les techniciens, ils étaient tous formidables. Même si au bout d’un moment, ils en ont eu marre de mon mauvais français [rires]. »

Dans une entrevue en visioconférence accordée au Devoir , le réalisateur britannique Jonathan Entwistle, 41 ans et chevelure blanche indomptée tranchant sur ses lunettes à grosse monture noire, ne tarit pas d’éloges — en anglais comme dans un français sympa mâtiné d’accents divers — à propos des six mois qu’il a passés dans la métropole québécoise, au printemps et à l’été derniers, pour la préproduction et le tournage de Karate Kid: Legends (Karaté Kid. Légendes ).

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Au Téléjournal

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La Cour d’appel devient un musée de Krakow en Pologne

C’est pour le film Love & Chaos

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Il y a un tournage des studios Mels sur la rue Saint-Viateur Est, dans le Mile End. Visiblement, on a un look ville américaine d’il y a quelques décennies.




La saillie verte devant le stand à journaux est un peu un anachronisme urbain. :stuck_out_tongue:

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Tournage ce matin sur l’Avenue des Canadiens

Un des gars qui gérait la circulation piétonne m’a dit que c’est un film français dont le titre est Le rêve américain et que Montréal est New York

On peut supposer que ce rêve implique le repêchage de la NBA

Aussi, il y a du mobilier urbain new yorkais :wink:

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Peut-être un film sur Tony Parker, le meilleur joueur de basket français de l’histoire ?