Merci encore, M. Frappier.
Les concours ont un objectif qui est de réaliser un projet particulier de qualité supérieure pour marquer le territoire d’une oeuvre qui saura traverser le temps. Bien sûr on ne recherchera pas l’impossible unanimité, mais au moins un certain consensus qui satisfera une majorité de critiques en la matière et un public souvent très exigeant.
Donc dès le départ l’intention est motivée par l’enthousiasme et la volonté bien arrêtée d’atteindre les objectifs visés. Sauf que comme dans tout projet le contexte peut changer drastiquement et conduire à un résultat tout autre. @FrappierM l’a d’ailleurs bien expliqué dans sa dernière intervention.
En effet tous les projets de construction des dernières années on été impactés par les conditions difficiles du marché: inflation, taux d’intérêts, approvisionnements, rareté de la main-d’oeuvre, etc. Un concours de circonstances plutôt rare en comparaison de la moyenne des décennies précédentes.
Alors qu’on le veuille ou pas la pandémie a été sévère et ses conséquences plus profondes et généralisées qu’anticipées au départ. On ne fait d’ailleurs que se relever de cette crise qui en a créé d’autres, dont la fameuse et prévisible crise du logement que niait vigoureusement le gouvernement du Québec il n’y a pas si longtemps déjà.
Cela dit les décideurs du projet ont été confrontés à des compromis de plus en plus astreignants qui ont finalement abouti au résultat que l’on connait. Je ne suis donc pas prêt à les blâmer, bien que comme tout le monde je suis déçu de la version finale.
Quoi qu’il en soit j’accepte l’ensemble de l’oeuvre pour son originalité et son audace. Bien qu’elle ne me fasse pas rêver, elle me console néanmoins d’une majorité d’immeubles génériques bien trop en évidence dans le voisinage immédiat (GFT) et qui appauvrissent bien davantage le paysage urbain.
Avec l’Haléco ont aura éprouvé la dure réalité changeante du marché immobilier où on ciblait d’abord une forme de projet idéal, qui ne s’est malheureusement pas véritablement matérialisé. Mais quoi qu’on en pense cet édifice marquera durablement le paysage montréalais. Il finira par s’imposer avec le temps en devenant un point de repère incontournable dans la ville et une des plus grandes murales artistiques recto-verso qu’on ait créée dans le monde.
L’installation enlèvement de la pellicule protectrice du revêtement « Terre » du côté gauche a commencé aujourd’hui
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En fait ils font juste enlever la pellicule 
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Oui! J’allais le mentionner!
C’est ce que je pensais qu’ils faisaient aussi, car ils font une bande verticale largeur nacelle en une matinée
On peut voir en zoomant
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L"isolant beige est pratiquement tout posé sur la dernière section centrale. Les panneaux finaux seront prochainement installés, recouverts de leur pellicule blanche qui sera ensuite retirée 
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On dirait qu’il y a des petits problèmes avec le retrait de la pellicule de protection. Ça prend plus de temps que pour les autres sections
Aussi, la pose de d’isolant et du système d’ancrage des panneaux est presque terminée dans la section du milieu où était situé le montecharge.
Et on peut voir que le revêtement a été posé au niveau terrasse. On verra enfin le bas de la Terre
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ce matin, la bande niveau terrasse a été installée, sauf la partie centrale
Je crois qu’il y a des problèmes à décoller la couche protectrice des panneaux de la partie restante
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Global News avait fait un reportage + Vox pop sur les cercles
From the 1000 De La Gauchetiere building to the famous Farine Five Roses sign, Montreal’s skyline has its fair share of iconic staples.
However, its newest addition is sparking a divided reaction.
“It’s the ugliest building I’ve ever seen,” Old Port resident Robert Kline said while walking the Lachine canal.
