Nouvelles économiques et commerciales

La SQDC sur Mont-Royal ouvre bientôt, le 22 décembre.

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Le supermarché Avril ouvrira sa première succursale à Montréal dans l’Humaniti. 7500 pieds carrés donc assez petit mais il sera surement apprécié par tous ceux qui habitent le Vieux-Montréal.

Excellent. Non seulement cela offrira de la diversité au niveau alimentaire/commerciale mais cela animera le quartier immédiat qui est assez tranquille hors des heures de bureau et/ou des congrès.

J’ai lu l’article sur Avril en cherchant ce qu’ils allaient faire pour le stationnement (vu que les propriétaires avaient mentionné dans un autre article qu’il était inimaginable pour eux de ne pas en avoir) et ça dit qu’ils auront 10 places de stationnement gratuit pour les clients. C’est leur choix, je vais pas les blâmer pour ça et c’est eux qui paient au final, mais je m’interroge vraiment sur la pertinence du stationnement pour une petite épicerie de quartier comme ça. En espérant que ce magasin leur démontre que ce n’est pas aussi nécessaire qu’ils le pensent.

Tout de même un très bon ajout pour cette première épicerie aux portes du Vieux-Montréal, un quartier qui en a vraiment besoin. Cette chaîne est nettement plus intéressante que Rachelle Béry à mon avis.

je m’interroge vraiment sur la pertinence du stationnement pour une petite épicerie de quartier comme ça.

Moi aussi. 10 cases de stationnement, c’est assez symbolique, et j’espère que leur expérience dans l’Humaniti leur convaincra qu’il n’est pas nécessaire d’en avoir pour faire de bonnes affaires dans les quartiers centraux de Montréal. Il y a déjà des dizaines d’épiceries, toutes gammes confondues, qui n’ont pas de stationnement.

Ok, parce que je suis gourmand et j’aime découvrir les épiceries, voici une autre nouvelle dans cette domaine. Le marché Sabor Latino sur le boulevard Saint-Laurent vient récemment de louer l’ancien local du supermarché Sakaris juste à côté. Il me semble qu’il va tripler sa superficie pour avoir à peut près la même taille que la succursale sur la Plaza Saint-Hubert.

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Le chômage recule à 6,7 % au Québec

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Le taux de chômage au Québec est le plus faible au Canada. Il a reculé de 0,5 point en décembre pour s’établir à 6,7 %, selon les données rapportées vendredi par Statistique Canada.

Publié le 8 janvier 2021 à 8h44 Mis à jour à 9h07

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Pierre-André Normandin Pierre-André Normandin
La Presse

C’est nettement en deçà de la moyenne canadienne qui s’est établie à 8,6 %, stable par rapport à novembre.

Ailleurs au pays, la Colombie-Britannique affiche un taux de chômage stable à 7,2 %. En Ontario, le nombre de personnes à la recherche d’un emploi a augmenté de 0,4 point, pour s’établir à 9,5 %. L’Alberta affiche quant à elle un chômage stable à 11,0 %.

Le Grand Montréal n’a pas échappé à l’embellie de l’emploi. Le taux de chômage s’est établi à 7,7 %, en baisse de 0,7 point. C’est légèrement supérieur à la région de Vancouver (7,0 %), mais nettement inférieur à celle de Toronto (10,8 %).

L’économie canadienne a perdu 63 000 emplois en décembre, une première baisse depuis avril dans un contexte de resserrement des restrictions de santé publique pour ralentir la résurgence de la pandémie de COVID-19.

L’emploi à temps plein en décembre a augmenté de 36 500, mais il y a eu une perte de 99 000 emplois à temps partiel.

Statistique Canada a également noté que le nombre total d’heures travaillées avait diminué pour la première fois depuis avril, avec un recul de 0,3 % en décembre.

Selon la société de données financières Refinitiv, les économistes s’attendaient en moyenne à une perte de 27 500 emplois pour décembre. Ils prévoyaient aussi un taux de chômage de 8,6 %.

- Avec La Presse Canadienne
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-01-08/le-chomage-recule-a-6-7-au-quebec.php

À 6.7% c’est une tendance qui se poursuit et qui est tout à l’honneur de l’État du Québec. À noter que la pénurie se poursuit dans certains secteurs névralgiques et qu’il faudra bien qu’on y réponde efficacement. Parce que notre succès économique en dépend et n’en serait que plus éclatant.

À ce propos il faudra aller chercher de précieux immigrants bien ciblés afin de combler les carences dans les grands centres comme en régions. N’oublions pas en passant que le meilleur facteur de rétention des nouveaux arrivants est l’emploi, l’emploi et encore l’emploi.

C’est la recette qui a assuré le succès économique et démographique de l’Ontario. Nous nous devons de l’appliquer à notre tour, dans un objectif d’enrichissement collectif et de mieux-être social.

On peut acheter et se faire livrer à la carte des produits du marché Jean-Talon maintenant:

Rien n’est plus traditionnel que d’aller dans un marché public, mais la pandémie a vraiment accéléré certains changements!

J’ai découvert ça grâce à un article du Journal Métro:

Par l’acquisition de Bombardier Transport, Alstom accroit son importance sur l’échiquier mondial.

Mariage et naissance d’un leader mondial

Moins d’un an après avoir été annoncée, l’acquisition de Bombardier Transport par Alstom sera officiellement complétée le 29 janvier et le grand patron du nouveau géant industriel n’a qu’un seul regret, celui de ne pouvoir venir célébrer le mariage en personne à Montréal. « C’est dur de se marier sans se toucher », confesse Henri Poupart-Lafarge, qui souhaite néanmoins la bienvenue aux nouveaux équipiers de Bombardier qui vont se joindre à la famille Alstom.

Publié le 13 janvier 2021 à 6h24 | JEAN-PHILIPPE DÉCARIE | LA PRESSE

L’intégration de Bombardier Transport par Alstom pourra donc débuter dès le 1er férvier et elle se réalisera, anticipe Henri Poupart-Lafarge, de façon souple et conviviale puisque les deux groupes ont un ADN commun : la passion du transport sur rail et l’innovation dans le domaine de la mobilité durable.

« On ne fait pas cette acquisition pour lancer de grands plans de restructuration industrielle, mais pour augmenter notre capacité d’innovation dans le cadre d’un marché très porteur », m’a expliqué le PDG d’Alstom, mardi, dans une entrevue pour marquer le coup de la naissance du deuxième constructeur ferroviaire du monde.


PHOTO FRANÇOIS LO PRESTI, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE | Henri Poupart-Lafarge, PDG d’Alstom

En acquérant les activités de Bombardier Transport, Alstom doublera pratiquement ses revenus de 12,4 à 23 milliards de dollars, derrière le géant chinois CRRC et ses 43 milliards, mais devant l’allemande Siemens et ses 11 milliards de revenus annuels. La nouvelle entité Alstom comptera sur un carnet de commandes de 108 milliards et un réseau de plus de 170 usines dans le monde avec 75 000 employés.

« Le mariage de Bombardier et d’Alstom permet de créer un leader mondial qui va offrir les meilleures solutions de transport vert et de mobilité durable à ses clients partout à travers le monde », insiste Henri Poupart-Lafarge.

Malgré la forte empreinte industrielle du nouveau groupe fusionné, le PDG ne prévoit pas de grands chambardements opérationnels puisque les deux entreprises ont développé au fil des ans des activités dans des marchés complémentaires plutôt que concurrentiels.

« Bombardier avait une forte présence en Angleterre et en Allemagne où on était peu présents alors qu’on est forts en Italie et en Espagne où Bombardier n’était pas très active.

« Bombardier était bien implantée en Chine alors que nous, on a une bonne présence en Inde. Même chose en Amérique latine où Alstom est l’acteur dominant alors que Bombardier est bien établie au Mexique et en Amérique du Nord », constate Henri Poupart-Lafarge.

C’est d’ailleurs la position enviable de Bombardier en Amérique du Nord qui fera des installations de Bombardier à Saint-Bruno le siège social des activités des deux Amériques de la nouvelle Alstom.

Le PDG estime également que la meilleure façon d’assurer du travail aux usines québécoises de La Pocatière et de Sorel-Tracy est de mettre au point de nouveaux produits innovants.

« On va nommer prochainement un président du groupe des Amériques et c’est aussi Montréal qui deviendra le centre du développement de la mobilité intelligente [Smart Mobility] verte de tout le groupe Alstom », précise le PDG.

Une pause dans la course à la consolidation

L’acquisition de Bombardier Transport par Alstom va aussi mettre un terme à la course folle à la consolidation dans laquelle étaient engagés les deux groupes ferroviaires depuis des années, convient Henri Poupart-Lafarge.

Avec l’émergence du groupe chinois CRRC, qui s’est imposé comme le plus grand manufacturier de matériel roulant du monde, les autres grands acteurs n’ont cessé de tenter des rapprochements pour mieux affronter la vague chinoise. Alstom et Bombardier ont essayé à plusieurs reprises de se regrouper, puis ç’a été des tentatives entre Bombardier et Siemens et enfin entre Siemens et Alstom.

Henri Poupart-Lafarge a planché durant trois ans sur la fusion avec Siemens qui a été refusée par la Commission européenne, avant de réaliser l’ultime union avec Bombardier.

« Depuis trois-quatre ans, c’est vrai que les projets stratégiques de regroupement nous ont beaucoup occupés. Mais celui entre Alstom et Bombardier Transport s’est conclu en moins d’un an, ce qui peut paraître long, mais qui est court pour une transaction de cette envergure », souligne le PDG.

Toutes les autorités de la concurrence dans les pays où Alstom et Bombardier Transport font affaire ont donné le feu vert. Deux sites industriels ont été exclus de la transaction à la demande de la Commission européenne, une usine d’Alstom en Alsace et une de Bombardier à Berlin.

Si la crise sanitaire induite par l’épidémie de coronavirus a empêché le PDG d’Alstom de venir célébrer officiellement à Montréal le mariage avec Bombardier Transport, il ne pense pas que la COVID-19 mettra en péril l’avenir du développement du transport collectif et de la mobilité durable.

« La crise sanitaire est bien présente, mais elle devrait être vaincue avec la vaccination. La crise climatique, elle, est là pour durer encore bien des années et il faut que les modes de transport deviennent durables, on n’a pas le choix », constate-t-il.

Puisqu’il est question de durée, M Poupart-Lafarge salue encore une fois l’arrivée de la Caisse de dépôt et placement comme nouvel actionnaire de référence du groupe mondial avec sa participation de 18 % au capital de l’entreprise.

« La Caisse est un actionnaire de long terme qui croit au développement durable et avec qui l’on souhaite soumissionner sur des appels d’offres de projets de partenariats public-privé de transport partout dans le monde », anticipe le PDG d’Alstom.

J’ai essayé le Panier Québécois la semaine passée et c’est génial, surtout avec le surachalandage des services de livraison des supermarchés qui les rend quasiment inutile.

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Glenn Castanheira est le nouveau directeur général de la SDC Montréal centre-ville. Il avait fait un excellent travail à la SDC de la Main il y a plusieurs années, j’ai bon espoir qu’il fasse un beau travail pour le centre-ville. Le type aime Montréal, et a une vision que je crois actuelle et jeune de la ville.

Le Journal Métro a une entrevue avec lui:

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Le Plateau Mont-Royal prévoit d’autoriser les terrasses toute l’année :

Les terrasses pourront être chauffés, et la cuisson permise.

Laurier et Fairmount auront aussi des terrasses à l’avenir, une nouveauté (Il y en a avait quelques-unes exceptionnelles l’été passé).

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Je suis surpris. Cette année, Paris a interdit les terrasses chauffées, puisqu’elles consomment énormément d’énergie. “Une seule terrasse chauffée de 12 m2 émet autant de Co2 qu’un 4x4 de type SUV qui roulerait 350 kilomètres chaque jour”. C’est complètement à l’encontre de la logique de transition écologique. Pourquoi les terrasses chauffées vont être interdites en 2021 - Le Parisien

P.S.: comment on fait pour que l’article linké devienne un bloc cliquable?

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Ils vont peut-être réglementer le type de chauffage aussi, de mémoire le Plateau les interdisait complètement avant, ils vont peut-être autoriser le chauffage électrique seulement (et plusieurs restos vont être déçus, plusieurs ont des chauffages au gaz à l’extérieur cet hiver, de manière illicite!).

Pour mettre un lien en bloc comme je fais, il faut juste copier l’URL tout nu (aucun autre formatage, je sais que Microsoft Edge en rajoute par exemple par défaut quand on fait un copier-coller du URL) dans la boîte de texte, sans passer par le bouton « lien » dans la barre de formatage! Ça va intégrer tout seul.

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Voici une bonne nouvelle pour Montréal. Il est passionné par la ville et j’ai bon espoir qu’il sera proactif et original dans le développement commercial du centre-ville. Ça devrait être un allié de premier plan pour les commerçants et pour nous tous qui aimons la vitalité et l’énergie d’un centre-ville

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Réalisons que c’est ce vent d’optimisme et l’esprit positif sous-jacent qui a totalement changé nos perceptions de l’économie de la ville. On ne sait pas si c’est le boum de la construction ou le dynamisme des gens d’affaires qui sont responsables de cette embellie. Néanmoins tout le monde constate que Montréal n’est plus à la remorque du progrès, mais le devance et l’entraine dans la plupart des secteurs.

D’ailleurs on sent cette volonté généralisée de pousser dans la même direction, par une foule d’actions concertées qui s’intensifient dans tous les domaines, malgré la lourdeur de la pandémie actuelle. Nos manches sont retroussées et nous sommes prêts à relever le prochain défi, non seulement pour retrouver la force de cette énergie dynamique, mais la canaliser encore davantage dans son élan créateur.

Je ne doute donc pas de la réussite de cette envolée, puisque notre appétit pour le succès n’a jamais été aussi grand depuis les années 60. Et quelque chose me dit que cette fois-ci elle sera durable.

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La construction va bon train malgré les plus récentes restrictions

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

(Montréal) L’industrie de la construction n’a pas ralenti ses activités malgré les nouvelles consignes émises la semaine dernière par le gouvernement Legault lorsque celui-ci a imposé un couvre-feu.

Publié le 15 janvier 2021 à 6h54

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Pierre Saint-Arnaud
La Presse Canadienne

Québec demandait alors au secteur de réduire ses activités « au minimum nécessaire pour assurer la réalisation des engagements » et d’ajuster les quarts de travail « pour limiter les présences sur les sites […] de construction au même moment ».

Cette ouverture à la « réalisation des engagements » signifie, dans les faits, que tous les chantiers en cours sont demeurés actifs. Les vérifications de La Presse Canadienne auprès des trois grandes associations de la construction du Québec indiquent qu’on a maintenu le rythme.

« Tout ce qui est en cours est considéré comme étant essentiel », résume Guillaume Houle, porte-parole de l’Association de la construction du Québec (ACQ), qui représente les entrepreneurs des domaines institutionnel, commercial et industriel.

Livrer l’habitation à temps

Le respect des engagements est essentiel dans le domaine de l’habitation, fait valoir de son côté François Bernier, vice-président de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ).

« On a tous ces chantiers à livrer au cours des prochains mois », raconte-t-il en faisant état de 20 000 chantiers à livrer au premier semestre de 2021.

Évidemment, s’il y avait retard, c’est toute la problématique de laisser du monde dans la rue. L’idée de respecter les engagements, c’est aussi de respecter ces gens qui sont là et qui attendent leurs unités à très court terme et on n’a pas beaucoup de marge de manœuvre si on ne respecte pas nos échéanciers.

François Bernier, vice-président de l’APCHQ

Pénalités et « clauses COVID »

Guillaume Houle rappelle également que les ententes contractuelles prévoient des pénalités pour les retards de livraison. « Plusieurs contrats mis en suspens au printemps [lors de la première vague de COVID-19] font actuellement les frais de débats en Cour », note-t-il.

Il ajoute que plusieurs nouveaux contrats contiennent désormais des « clauses COVID » qui font en sorte que « le donneur d’ouvrage, qu’il soit public ou privé, se déleste de la responsabilité et des retards de livraison dus à la COVID et aux mesures sanitaires supplémentaires à mettre en place. Tout le fardeau repose sur les entrepreneurs. »

La troisième association, celle des constructeurs de routes et grands travaux (ACRGTQ), n’est que marginalement concernée : « Le niveau d’activité des gens qu’on représente était déjà à son plus bas. À ce temps-ci de l’année, COVID pas COVID, on est au minimum », explique son porte-parole, Christian Croteau, qui signale tout de même certaines exceptions, comme le chantier du REM qui poursuit ses activités.

Jugement et difficultés d’approvisionnement

La décision de prendre de nouveaux engagements d’ici au 8 février, lorsque le couvre-feu sera levé, repose sur deux variables inhabituelles, le jugement et l’approvisionnement.

Ce que le premier ministre et ce que le décret nous disent, c’est d’user de notre gros bon sens pour déterminer la nature essentielle des travaux.

Guillaume Houle, porte-parole de l’Association de la construction du Québec

François Bernier souligne qu’il n’y a pas vraiment de problème à prendre un engagement, par exemple, pour la construction d’une maison en septembre. La restriction face aux nouveaux engagements vise le futur immédiat : « À ce moment-ci, pour diminuer l’intensité sur les chantiers, diminuer le nombre de chantiers, faut-il donner suite à une demande aujourd’hui ? Ta nouvelle salle de bains, peut-on la réaliser un peu plus tard ? »

De toute façon, ajoute-t-il, il est plus difficile qu’à l’habitude de prendre de nouveaux engagements : « Certains n’ont pas le choix que de refuser de nouvelles demandes parce que l’année s’ouvre sur une sérieuse difficulté d’approvisionnement en toutes sortes de matières : le bois, les fenêtres. La chaîne de production, bien qu’elle ait repris ses activités dans l’année, elle a des problèmes. Essayez aujourd’hui d’aller voir quelqu’un dans l’industrie des fenêtres pour vous faire un contrat. Il va vous dire oui, mais d’attendre quelques mois. »

Baisse forcée des éclosions

La décision du gouvernement de maintenir l’activité du secteur sans entrave s’explique entre autres par les données de l’Institut national de la santé publique (INSPQ) sur les éclosions et le nombre de cas actifs sur les chantiers en date du 2 janvier, la plus récente semaine où les données sont disponibles. Ainsi, on y rapporte 33 éclosions sur des chantiers, soit 4,5 % du total des éclosions dans l’ensemble des milieux de travail (excluant les milieux hospitaliers, les CHSLD, les écoles et services de garde). Le nombre de cas confirmés, lui, se situait à 134 personnes, soit 3,7 % du total.

Il s’agit d’une importante baisse par rapport aux semaines précédentes, où l’on avait dénombré jusqu’à 60 éclosions et près de 200 travailleurs infectés. Au 19 décembre, le secteur de la construction représentait alors 8,6 % des éclosions et 5,8 % des travailleurs infectés. Cette diminution s’explique par le fait que le gouvernement avait mis les chantiers en pause durant deux semaines pendant les Fêtes.

Les entrepreneurs sont cependant fort conscients qu’une augmentation marquée de cas et d’éclosions avec la reprise pourrait amener le gouvernement à changer d’idée et tous les porte-parole rejoints ont insisté sur le resserrement des mesures sanitaires : « Il n’y a personne qui puisse se vanter d’être parfait dans la gestion de la pandémie et le secteur de la construction ne fait pas exception. Par contre, on s’est pris en main, on a un guide avec des mesures sanitaires très strictes à respecter sur les chantiers et nous avons rappelé à nos membres la semaine dernière qu’il faut appliquer de la manière la plus stricte possible ces mesures sanitaires », plaide Guillaume Houle.

Les détails des changements pour les terrasses, et la restauration en général sur le Plateau:

https://montreal.ca/actualites/reforme-majeure-dans-le-milieu-de-la-restauration-et-des-bars-du-plateau-10117

C’est plus large que les terrasses en hiver.

De nouveaux usages sont créés : pour régulariser la situation des épiceries avec plus de 12 places assises (usage café), et pour les microbrasseries (usage brasseur artisanal) pour qu’ils puissent vendre plus facilement leurs produits sur place.

La règle demandant une certaine distance entre les restaurants et les bars est éliminée. L’espoir est de réduire la pression immobilière sur certains locaux spécifiques ciblés. Il y aura des quotas par secteurs à la place.

Dans certains secteurs, la superficie des bars et restos pourra être plus grande.

Les terrasses pourront être deux fois plus grandes, empiéter sur les commerces voisins, et les cafés et brasseurs pourront en faire maintenant.

Augmentation de l’intensité commerciale sur un tronçon de Rachel Est.

Terrasses à l’année avec cuisson d’aliments en extérieur. En hiver ces terrasses ne seront pas sur le domaine public cependant.

Des terrasses autorisées sur de nouvelles rues (on parle de Fairmount et Laurier par exemple).

Bref, c’est pas mal pro-commerçants comme mesures.

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Bon enfin un allégement de certains mesures qui n’étaient que des barrières à la vitalité d’une rue ou sont re-développement. En espérant que ça aide bien les commerçants et que ça ne rajoute pas une étape de complexité bureaucratique.

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