Gabriel Giguère: Analyste senior en politiques publiques à l’Institut économique de Montréal (IEDM)
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Un restaurant ne sert plus d’eau potable gratuite et il y a une controverse. Maintenant que tous les contenants d’eau sont récupérés je n’ai rien contre ça. On ne peut pas être pour la préservation de l’eau “sauf une fois au resto”
30 % à 70 % moins de travailleurs dans les centres-villes au Canada depuis la pandémie
| Ville | Pourcentage de baisse |
|---|---|
| Calgary | -27 % |
| Toronto | -33 % |
| Montréal | -50 % |
| Vancouver | -55 % |
| Ottawa | -73 % |
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Sauf que les restaurants servent en général de l’eau du robinet, et ce resto refuse de le faire…
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à des fins scientifiques ça serait cool d’étudier l’impact de lui versus les autres sur la consommation de l’eau de la ville si c’était à grande échelle. ça rappelle encore une fois que l’île de Montréal est privilégiée en eau potable même comparée à Brossard. Plein de restos à Royalmount ont eu de l’eau comme si de rien était comme les nouvelles tours au centre-ville. à Calgary ils veulent importer l’eau de la baie d’Hudson.
À quel point en tant que propriétaire de restaurant faut être cheap ? Son eau plate, c’est de l’eau du robinet mise dans une bouteille d’eau de source, ou bien sont eau plate est une eau de source importée que la bouteille est scellée quand elle est commandée ?
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Peut-être que c’est un écologiste qui a décidé de faire comme en Californie ?
Résumé
L’expérience française au cœur de la forêt québécoise
14 juillet 2025 à 04h05
L’entreprise française Huttopia est installée à Sutton depuis 10 ans. Elle inaugure cet été un deuxième site au Québec. (Romain ETIENNE/Romain ETIENNE / item)
BIENVENUE AU CAMPING / Installées depuis 10 ans dans la forêt de Sutton, les tentes Huttopia font leur apparition cet été dans Les Laurentides. Ce deuxième site en sol québécois marque les 25 ans de l’entreprise française qui a revisité la façon de faire du camping.
«Ce n’est pas un terrain de camping traditionnel», lance la cofondatrice Céline Bossanne, en entrevue avec Le Soleil. «Chez nous, le camping, c’est d’abord une expérience vacances accessible et axée sur la nature.»
Et c’est d’ailleurs la nature canadienne qui a été la bougie d’allumage. En 1999, après un séjour de deux ans au Canada, le couple Bossanne a dessiné une première tente prête-à-camper, la Canadienne, qui a notamment été vendue à la Sépaq.
Peu après, un premier site de camping Huttopia a vu le jour en Isère, dans le sud-est de la France.
«Dès nos débuts, alors qu’on commençait tout juste à parler de prêt-à-camper de luxe et de glamping, notre vision était claire: proposer une expérience de camping tout confort et axée sur la nature.»
— Céline Bossanne, cofondatrice d’Huttopia
Différents modèles de tentes prêtes-à-camper et toutes équipées sont proposés. (Fournie/Fournie)
Vision globale, direction familiale
Au fil des 25 ans, les tentes et les petits chalets de bois bâtis par Huttopia ont poussé à travers l’Europe et l’Amérique du Nord. Le Groupe compte près de 150 sites aujourd’hui.
Tous appartiennent à la famille Bossanne. «Il n’y a pas de franchise, tout est géré par le Groupe», confirme la cofondatrice.
La maison-mère située en France chapeaute autant la gestion des sites que la fabrication des tentes et des chalets.
«Oui l’entreprise grossit, mais on se plaît à dire qu’on est encore une entreprise familiale.»
— Céline Bossanne, cofondatrice d’Huttopia
Les filles du couple Philippe et Céline Bossanne travaillent également dans l’entreprise, «mais elles feront ce qu’elles veulent par la suite», précise la cofondatrice.
Souhaitant être une entreprise durable, tant sur le plan environnemental que dans le temps, un conseil de gouvernance a été mis sur pied.
Chaque été, le couple Bossanne prend la route pour visiter certains sites. Ils feront notamment un arrêt au Québec, afin d’accompagner les équipes en place.
S’adapter
Bien que la marque rayonne à l’international, les tentes Huttopia s’adaptent au climat et à leur environnement. «Ce sont les mêmes modèles, mais les moustiquaires au Québec sont différents puisque vos moustiques sont plus petits qu’en Europe», illustre-t-elle.
Fabriquées par l’entreprise, les tentes Huttopia s’insèrent dans la nature existante. (Huttopia)
Depuis ses débuts, l’entreprise s’inspire des territoires dans lesquels la marque s’intègre. Avant d’ouvrir un site, un processus de cinq à dix ans en amont est nécessaire afin de bien connaître la géographie, l’hydrographie, etc.
«On bâtit nos installations en fonction de la géographie du site. On ne veut pas dénaturer les sites naturels et on coupe le moins d’arbres possibles», renchérit Céline Bossanne.
L’entreprise veut aussi s’ancrer dans sa communauté. En plus d’être un bon voisin, elle devient un acteur économique local, estime-t-elle.
Un projet est actuellement en cours dans Charlevoix, au pied du Mont Grand-Fonds.
Du canot-camping dans Les Laurentides
S’il est une expérience profondément ancrée dans l’imaginaire des Québécois, c’est bien celle du canot-camping.
Pour son nouveau site Les Deux Lacs – Laurentides, au cœur du parc Éco-Laurentides, Huttopia a voulu faire un clin d’œil avec ce rite d’aventure, en proposant cette nouvelle expérience. «Mais à petite échelle !» prévient la cofondatrice.
Cette deuxième destination Huttopia au Québec permettra d’explorer les deux lacs du site en canot. (Huttopia)
Ainsi, dès le 18 juillet, les visiteurs en quête de déconnexion pourront accéder à leur site de camping en traversant le lac à canot. «C’est une courte traversée, accessible pour les familles et ceux qui n’ont jamais pagayé», rassure-t-elle.
Arrivés à destination, ils auront accès à tout le confort Huttopia, quoique plus rustique que sur le reste du site, avec l’équipement déjà prêt dans la tente.
Le site déploiera à terme 111 hébergements intégrés à la nature. Dès cet été, 73 seront disponibles, dont des tentes prêtes-à-camper et des chalets quatre saisons.
Sur place, on retrouve les services habituels, dont un centre de vie avec restauration, baignade, activités incluant une programmation spécialement adaptée aux enfants, location d’embarcations, sentiers et terrains de sport.
«Le camping chez Huttopia, c’est ça: être plongé en pleine nature sans se prendre la tête.»
Arrivé prochaine des célèbres Labubu et autres figurines Pop Mart à Montréal?
La company Pop Mart vient de ce créer un compte instagram pour le Canada avec une publication “Hello / Bonjour Canada” qui a Ottawa, Toronto et Montréal comme arrière plan.
Les célèbres jouets Labubu sont déjà disponibles à Montréal; quelques boutiques sur Saint-Denis en vendent. Je serais surpris qu’ils ouvrent des magasins au Canada, peut-être un pop-up pour tester le marché?
Uniqlo et Shein l’ont déjà fait dans le passé.
Peut-être simplement des pop-up effectivement, je doit avouer que leur publication ma donné l’impression d’un peu plus, mais on verra!
Les seuls commentaires auquels ils ont répondue sont du genre : “hope TO is getting a store”, “hope you guys are opening a few locations soon”.
Cest sûre que mes attentes ne sont pas un pignon sur rue, mais je m’attends a soit le centre eaton, royalmount ou carrefour laval.
J’ai regardé un peu plus, et jai été surpris qu’ils aient déjà 41 lieux au États-Unis et 2 “coming soon” en seulement 3 ans (dont 4 ouvert depuis juin (en me basant sur wikipedia).
Et une cinquantaine de distributeur officiel (dont 1 a toronto depuis un moment).
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On va savoir bientôt! J’espère que ca va être un magasin permanent! Je serais ravi de voir un espace commercial vide être occupé.
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J’ai lu ailleurs que c’était plus dans les 43% la baisse de personnes au centre ville de Toronto.
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C’est le trafic à pied. Il y a plusieurs méthodes de calcul
Bizarre parceque les deux articles que ce soit celui de radio-canada ou de BlogTO donne des chiffres de la même firme environics.
Le globe and mail a aussi un article sur le sujet.
On peut mesurer la marche à pied ou la fréquentation des immeubles comme tel ça va être différent.
Couche-Tard ne deviendra pas propriétaire de 7-Eleven après tout
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Ça fait des années que j’écris juste “La Caisse”, parce que c’est trop long, sinon. 
Ils auraient dû me donner 400 000 $ pour cette recommandation. 
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