Économie et commerce - Actualités

1 octobre 2024

Le groupe Renaud-Bray, leader incontesté du secteur du livre et des loisirs culturels, est fier d’annoncer l’acquisition de DeSerres, une entreprise familiale centenaire. Depuis des décennies, DeSerres est un chef de file canadien dans la vente de matériel artistique. La transaction porte sur les 28 points de vente établis au Québec, en Ontario, en Nouvelle-Écosse et en Colombie-Britannique, le site Internet de la société (deserres.ca), l’entreprise Cadres Verbec, spécialisée dans les fournitures et les services d’encadrement, et Lamarche Importation, un distributeur de produits de papeterie.

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Un scénario typique de résistance de l’employeur en vue d’obtenir la résiliation du syndicat et ainsi empêcher d’autres sites à se syndiquer à leur tour. On est ici clairement dans une mouvance capitaliste primaire dont on a vu plusieurs exemples dans les dernières décennies. Amazone fermera-t-elle cet entrepôt pour faire peur aux autres entrepôts qui auraient la tentation de se syndiquer à leur tour? Un dénouement qui s’est produit trop souvent dans le passé.

Dommage que l’on ait encore dû faire grève pour obtenir un règlement satisfaisant.

En remplacement du Bier Market

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L’inflation étant désormais maîtrisée au pays, la Banque du Canada retranche 50 points de base à son taux directeur, qui passe de 4,25 % à 3,75 %. Une baisse qui sera bienvenue pour tous les emprunteurs.

Il s’agit de la quatrième baisse depuis juin du taux directeur de la banque centrale, qui poursuit sa politique de détente monétaire à la faveur d’un ralentissement soutenu de l’inflation au pays depuis le début de 2024.

En septembre, l’indice des prix à la consommation (IPC) s’établissait à 1,6 % sur une base annuelle, en recul de 0,4 point de pourcentage, soit la plus faible progression de l’inflation depuis février 2021.

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Il faudra bien un jour qu’on ferme les robinets d’investissements publics risqués du gouvernement. Une pratique qui nous appauvrit comme citoyens et qui protège indument les actionnaires privés.

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Résumé

Technologies médicales Un labo pour robots-chirurgiens ouvre à Montréal

PHOTO FOURNIE PAR THINK SURGICAL

Le système robotisé TMINI Miniature de Think Surgical

La société californienne Think Surgical se spécialise dans la fabrication de robots-chirurgiens pour le remplacement du genou. Après deux feux verts de la FDA américaine pour la commercialisation de sa technologie, l’entreprise ouvre un laboratoire à Montréal où elle continue d’y développer le logiciel qui anime ses robots.

Mis à jour hier à 9h00

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Alain McKenna
Alain McKenna La Presse

C’est en quelque sorte l’entêtement à ne pas déménager en Californie de Sunil Rottoo, le directeur établi à Montréal qui supervise la technologie appelée TMINI System, qui a mené Think Surgical à investir dans la métropole québécoise pour la première fois en 2017, puis à nouveau cet automne, explique à La Presse son patron, le PDG Stuart Simpson.

« Tout ça a débuté à l’époque sur la table de cuisine de Sunil, et nous ouvrons aujourd’hui un laboratoire où nous mettrons au point le logiciel derrière ce système. Cela fait dix ans que nous développons la technologie, il y a beaucoup d’innovation et de propriété intellectuelle impliquée dans le projet, et une bonne partie vient du logiciel de Sunil », dit-il.

Le laboratoire prend la forme de bureaux situés au centre-ville, rue Sainte-Catherine. Avant cela, la douzaine d’ingénieurs en logiciel qui travaillent pour Think Surgical à Montréal le faisaient à partir de bureaux locatifs.

En plus de centraliser ses activités montréalaises, cet investissement d’une valeur qui n’est pas divulguée permet à Think Surgical de se rapprocher des universités montréalaises, notamment Concordia et McGill, avec qui elle collabore déjà.

« Ça nous donne un meilleur accès à la recherche universitaire et au talent qui sort de ces universités », ajoute Stuart Simpson. « Nous collaborons avec elles, mais nous engageons aussi des ingénieurs issus des deux universités. »

Une opération recherchée

Créer un robot-chirurgien spécialisé dans le remplacement du genou peut sembler être une activité commerciale plutôt nichée. Mais le genou est une des articulations qui demandent le plus de traitements, ces jours-ci, et la demande pour des interventions chirurgicales ne fera que grandir partout dans le monde.

Aux États-Unis seulement, on estime à 1 million le nombre de patients en attente d’un remplacement du genou chaque année. Cela devrait passer à 2 millions de personnes par année d’ici 2030, calcule Think Surgical, puis à 3 millions au cours de la décennie suivante.

« C’est une chirurgie curative, dont le succès dépend de la précision de l’opération. Si on peut combiner la robotisation à un implant de bonne qualité, on améliore grandement la qualité du résultat », explique Stuart Simpson.

Pour les patients, l’opération robotisée a aussi ses avantages : ils peuvent souvent sortir de l’hôpital et retourner à la maison dans la journée suivant l’opération. La douleur et la réadaptation nécessitent moins de médicaments antidouleur, ce qui est aussi un avantage.

Un robot-chirurgien est en réalité un appareil manipulé par un chirurgien et qui permet d’effectuer ces opérations plus rapidement et avec plus de chances de succès, dit M. Simpson. À l’heure actuelle, environ 20 % des remplacements de genou aux États-Unis sont effectués de manière robotisée. Cette proportion est beaucoup plus faible au Canada, ce qui est perçu comme une occasion de croissance pour Think Surgical, qui pense que les chirurgiens canadiens adopteront eux aussi progressivement la technologie.

« Quand ils voient notre robot, les chirurgiens sont généralement surpris par son potentiel, et par le simple fait que c’est offert », ajoute Sunil Rottoo.

Montréal se recentre sur les technos de la santé

C’est Montréal International qui a aidé Think Surgical à prendre de l’expansion à Montréal. L’organisme dont la mission est d’attirer l’investissement étranger dans la métropole multiplie les efforts depuis quelques années pour redonner un peu de vie au secteur montréalais de la santé, qui a connu des années difficiles avant la pandémie.

Aujourd’hui, en partie grâce à la recherche universitaire qui se fait dans des secteurs comme l’intelligence artificielle, le secteur compte sur une masse critique d’entreprises spécialisées dans les technologies médicales. Montréal International espère d’ailleurs que des annonces comme celle de Think Surgical attireront d’autres investissements dans la région.

En savoir plus

  • 240
    Nombre d’entreprises spécialisées dans les technologies médicales dans la région montréalaise

Source : Montréal International

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25 octobre 2024

Le Groupe Sélection revient hanter le gouvernement Legault, deux ans après la déconfiture de l’ex-promoteur immobilier et exploitant de résidences privées pour aînés (RPA). Québec devra remettre un chèque qui risque d’atteindre 60 millions aux banquiers de l’entité autrefois dirigée par Réal Bouclin.


Les coûts de l’agrandissement de l’usine de biométhanisation de Varennes, détenue par des MRC de la Montérégie, ont explosé de 40 %, a appris La Presse. Québec est appelé en renfort pour éponger une partie de la facture alors que l’usine maintient ses activités grâce à une marge de crédit de plus de 50 millions de dollars.


Après ses banquiers, Vincent Guzzo voit le gouvernement s’attaquer à son entreprise. Revenu Québec réclame plus de 2,6 millions de dollars aux Cinémas Guzzo. L’entreprise aurait conservé dans ses coffres l’argent déduit de la paye des employés pour payer leurs impôts, depuis avril 2023.

Au téléphone, le PDG Vincent Guzzo assure avoir appris par La Presse que Revenu Québec avait enregistré des recours hypothécaires contre son entreprise et lui. « On a une entente de paiement avec eux depuis six mois. Je n’ai rien reçu ! » Il ajoute avoir également conclu un tel accord avec le gouvernement fédéral.

Le recours de Québec vise un vaste terrain que détient le groupe Guzzo à Laval, à l’angle de l’autoroute 13 et du boulevard Saint-Martin. Le fisc a déposé son hypothèque légale sur la propriété mercredi pour ne pas perdre ses droits dessus. La veille, la Ville de Laval avait déposé son propre recours pour taxes foncières impayées.
Par ailleurs, Revenu Québec réclame aussi 110 365 $ en impôts, pénalités et intérêts à Vincent Guzzo personnellement, pour les années 2020 et 2023.

cc @futurlacdeFredericBack

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Toutes les boutiques la source du centre-ville deviendront des Best Buy express. Déjà ouvert au Centre Eaton

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Varennes est l’une des seules villes dans la region métropolitaine à avoir des terrains industriels.

Imaginez il y a 2 ans à peine…un entrepreneur avait mis un terrain en vente à 25$ le pied carré…tout le monde le traîtait de fou.

2 ans plus tard…les terrains se vendent à 45$…et imaginez la ville possède certains de ces terrains…vive le profit!!

Cela fait une décennie que les tx résidentielles ont pas monté d"une cenne à Varennes.

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