Économie et commerce - Actualités

Journal de Montréal qui salive :rofl::rofl::rofl::rofl:

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Je serais très surpris. Il n’y a pas de mention dans l’article, mais certains Provigo, dont celui de l’Avenue, sont des Provigo Le Marché qui sont un peu plus haut de gamme que les Provigo “réguliers”. À parier, je dirais que c’est celui sur Parc qui va devenir un Maxi, et non celui de l’Avenue.

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Montréal International présentait son bilan annuel

Baisse des investissements internationaux dans la grande région de Montréal, 1 G$ de moins que 2022, mais mieux que 2019 et 2020

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Travailleurs de 60 ans et plus Le Conseil du patronat lance son projet, avec l’aide de Québec

PHOTO JACQUES BOISSINOT, LA PRESSE CANADIENNE

Au cours d’une conférence de presse, lundi à Montréal, la ministre de l’Emploi, Kateri Champagne Jourdain, a précisé qu’une somme de 987 289 $ est octroyée à ce projet.

(Montréal) Le Conseil du patronat du Québec implante son projet visant à favoriser le maintien en emploi des travailleurs de 60 ans et plus, ou leur embauche, avec l’aide d’une subvention de près d’un million de dollars du ministère de l’Emploi.

Publié à 11h49

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Lia Lévesque La Presse Canadienne

Au cours d’une conférence de presse, lundi à Montréal, la ministre de l’Emploi, Kateri Champagne Jourdain, a précisé qu’une somme de 987 289 $ est octroyée à ce projet.

Le projet sur lequel le CPQ travaille depuis plusieurs mois déjà en est un de guide des meilleures pratiques, de service d’accompagnement personnalisé, d’évaluation et de suivi pour les entreprises qui sont intéressées à maintenir en emploi leurs travailleurs de 60 à 69 ans ou à en recruter.

Une vingtaine d’entreprises bénéficient déjà d’accompagnement à ce chapitre et le président et chef de la direction du CPQ, Karl Blackburn, espère pouvoir y intéresser 90 entreprises.

Pour le moment, certains secteurs d’activité sont privilégiés : restauration et hébergement, commerce de détail, fabrication, construction. Mais si le projet connaît du succès, M. Blackburn aimerait pouvoir le généraliser aux autres secteurs d’activité.

C’est déjà un Maxi depuis un bon moment lui

Changement de nom pour le McLean’s Pub


Aussi le local du magasin Empire (Maisonneuve) est vide et en travaux

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Drôle de choix d’avoir choisi cette traduction plutôt que de simplement ajouter par exemple “restaurant • bières” ou “depuis 1992”.

Par ailleurs, ça m’a fait apprendre aujourd’hui que pub est un diminutif de public house.

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Pub dans le sens de « établissement typiquement anglo-saxon où l’on sert des boissons alcoolisées » est un terme privilégié par la OQLF :person_shrugging:

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Réduction importante d’effectif à la Caisse de dépôt

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Le nombre d’emplois qui disparaîtront n’est pas connu, mais il pourrait être important, selon le PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Charles Émond.

L’intégration des deux filiales immobilières a déclenché un grand rebrassage des cartes à la Caisse de dépôt, qui se traduira par des pertes d’emplois importantes dans l’ensemble de l’organisation.

Publié à 0h57 Mis à jour à 5h00

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Hélène Baril
Hélène Baril La Presse

Résumé

Un nombre substantiel d’emplois, qui pourrait atteindre la centaine, serait éliminé dans cette vaste restructuration en cours. « Tout le monde va être fixé sur son statut d’emploi le 29 avril », a précisé la porte-parole de la Caisse, Kate Monfette.

L’intégration des filiales immobilières Ivanhoé Cambridge et Otéra Capital annoncée à la fin du mois de janvier vise à réduire les coûts de 100 millions. Mais ces économies ne proviendront pas uniquement de ces deux filiales, précise la Caisse.

La restructuration touchera aussi toute l’offre de services de l’organisation, comme les technologies de l’information, les ressources humaines et les communications, a fait savoir la porte-parole.

Le nombre d’emplois qui disparaîtront n’est pas connu, mais il pourrait être important, selon le PDG de la Caisse, Charles Émond. « Est-ce que ce sera des dizaines ? Non. On parle de quelque chose de plus substantiel au niveau des emplois », a-t-il dit lors de la publication des résultats financiers de 2023, la semaine dernière.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Charles Émond, PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec

Ivanhoé Cambridge et Otéra Capital ont 680 employés. Les synergies recherchées ne viendront pas toutes d’une réduction des emplois, a indiqué la Caisse, mais aussi de l’amélioration du fonctionnement de l’ensemble de l’organisation, où il existe beaucoup de doublons.

Charles Émond a donné l’exemple de la multiplication des conseils d’administration, des comités de direction et des comités d’investissements qui accaparent trop de temps, en plus de systèmes informatiques différents qui nuisent au partage de l’information.

Selon lui, l’objectif de la restructuration est de passer d’un coût de fonctionnement « raisonnable » à un coût de fonctionnement « optimal ».

Les deux filiales immobilières ont un coût de fonctionnement annuel de 300 millions, comparativement à 800 millions pour les autres activités de la Caisse, a-t-il précisé.

Les frais de fonctionnement de la Caisse de dépôt sont passés de 48 cents par tranche de 100 $ d’actif en 2022 à 59 cents par tranche de 100 $ d’actif l’année dernière. Selon ses dirigeants, ce bond s’explique par les primes à la performance versées à ses gestionnaires internes et externes. Sans ces primes, les charges d’exploitation ont été de 22 cents par tranche de 100, un niveau similaire à l’an dernier.

Intégration des filiales

Otéra Capital a déjà été intégrée au portefeuille existant de revenus fixes de la Caisse et Ivanhoé Cambridge deviendra un portefeuille distinct, comme ceux de placements privés et d’infrastructures.

L’intégration des deux filiales aux autres activités de la Caisse de dépôt s’étirera sur 18 à 24 mois. C’est long, a expliqué la présidente et cheffe de la direction d’Ivanhoé Cambridge, Nathalie Palladitcheff, parce qu’il ne s’agit pas de coupes, mais d’optimisation. Mme Palladitcheff quittera son poste à la fin d’avril.

La Caisse affiche un rendement de 7,2 % pour 2023, une performance qui a été tirée à la baisse en partie par ses investissements immobiliers. Son secteur immobilier a réalisé un rendement de - 6,2 % dans un marché difficile où l’indice de référence a fait pire, à - 10 %.

Avec l’hiver très doux et sec, la voie maritime s’est déjà libérée de la glace, sans même que des brises-glace ait eu besoin d’intervenir. On est encore en février, c’est exceptionnel.

Pour cette année, je ne suis pas sur si la voie maritime ouvrira beaucoup plus tôt, mais dans un futur plus ou moins lointain, il est à se demander si la voie maritime ne restera pas ouverte à longueur d’année.

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Pour l’instant on peut considérer tous ces changements météorologiques comme ponctuels et plutôt de nature exceptionnelle. Toutefois on constate certaines tendances qui se dessinent à l’horizon et tendent à confirmer l’arrivée de changements plus durables dans l’avenir. Ce qui aura éventuellement un effet direct plus soutenu sur l’économie à plus long terme.

À noter finalement que l’amplitude des changements varie beaucoup d’une région à l’autre et selon les années. Donc il est trop tôt pour déterminer des actions précises et ainsi engager des budgets ou des pratiques prématurément.

Usine de 300 000 pi² à Pointe-Claire au 5501 Transcanadienne
Sheertex fait des bas-collants

Fabricant montréalais Sheertex : 140 M$ pour une nouvelle usine

Le fabricant montréalais de bas collants Sheertex déménage dans une nouvelle usine. Son objectif : multiplier par 10 sa production et fabriquer sa propre fibre.

Le reportage de Marie-Claude Morin

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Dans une autre nouvelle, le Panier bleu c’est fini! Le site Web a été débranché!

Il y a un message sur la page d’accueil

https://www.lepanierbleu.ca/

22 millions de brulé. Au moins ce n’était pas une étude ou un rapport. Next.

Il est difficile de blâmer quelqu’un (ou un gouvernement) d’avoir essayer quelque chose. Parfois ca fonctionne bien et parfois non. Cette fois-ci l’idée était bonne mais nous ne sommes pas assez gros et ni assez discipliné pour favoriser les produits d’ici alors vaut mieux arrêter l’expérience dès maintenant.

Je suis en désaccord avec cette affirmation. Cette initiative à l’origine pue le coup de tête aveugle. Comme les propositions de TeC et autres décisions de cette administration.

Dans un monde où les Walmart, Costco et Amazon n’existeraient pas, et que le Québec aurait une population de 80 millions, peut-être que ça aurait fonctionné. Dans quel monde est-ce que l’État peut compétitionner le libre-marché?

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C’est un peu drôle de parler de libre-marché alors qu’on parle d’un nombre extrêmement restreint de joueurs, dans un marché hyper concentré.

Visiblement le Panier Bleu n’est pas la solution, mais Amazon n’est pas “le libre-marché” qui fonctionne parfaitement non plus.

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Il n’y a rien de restreint, d’où le terme libre-marché.

J’ai simplement listé les plus gros. Et rien n’empêche que ces gros joueurs de tomber (ex: Sears, Target Canada, etc.). Même les Fermes Luffa seraient techniquement un compétiteur au panier bleu.

La SAQ ne fonctionnerait pas économiquement si elle n’avait pas le monopole qu’elle a.

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Pour la SAQ, si elle n’existait pas, il y aurait d’autres entreprises locales pouvant prendre la place. Comme n’importe quelle épicerie. Je ne sais pas pourquoi elle est mentionnée d’ailleurs?

Je trouve juste que c’est contradictoire de dire qu’il faut un marché de 80 millions de personnes pour avoir un compétiteur viable, et ensuite vanter le libre-marché qui n’est pas capable par lui-même d’avoir un écosystème réellement diversifié au Québec. Techniquement, ce serait un argument en faveur de l’intervention de l’État dans le marché. Parce qu’on avoue qu’on n’a pas les conditions requises pour que celui-ci fonctionne.

La part de marché de Amazon est tout simplement incompatible avec un marché réellement diversifié. C’est un concurrent écrasant qui n’a jamais été gêné d’utiliser sa position pour renforcer un monopole. Ce n’est pas un marché sain pour le moment. Les autres joueurs sont minuscules.

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Je veux dire que la SAQ ne serait pas assez compétitif dans un libre-marché. Une ou plusieurs entité privée l’aurait battu en termes de d’effience opérationnelle. Elle survit et vit à cause de sa situation monopolistique.

Le but de mon intervention est qu’une entité d’état n’est pas compétitif dans un libre-marché. Insérer une entité d’état dans un environnement de libre-marché n’est qu’un gaspillage de fonds qu’elle a été.

Amazon est né et a grandi dans un marché diversifié. Elle a sur-innové et sur-performé ses compétiteurs. C’est ce qu’une entité d’état ne peut faire de par sa nature. Est-elle trop grosse, trop monopolistique? C’est une question valide, mais annexe au sujet discuté.