Économie et commerce - Actualités

Ma dernière tournée était en mars 2021. Ces locaux à louer de plus sont pas mal tous des victimes de la pandémie: resto qui a tenté d’ouvrir pendant les restrictions, bars…

(Astuce pour retrouver mon ancien compte dans ce sujet, si tu cliques sur l’avatar d’une personne sur la version desktop du forum, il y a une option pour filtrer les messages de cette personne dans le sujet, ensuite juste aller en mars 2021 avec l’ascenseur de défilement :slight_smile: ).

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@vincemtl Merci pour cette petite enquête maison qui nous donne un aperçu de la vivacité de certaines rues à Montréal. Avec ton bilan, je me dis que la pandémie n’aura pas été aussi mortelle pour l’économie locale qu’on le craignait au début. En conséquence je me réjouis de la résilience de plusieurs places d’affaires, qui démontre notamment que le commerce traditionnel a sa place dans une société contemporaine dynamique.

C’est bien beau le commerce électronique, mais il a le défaut de ses qualités. D’abord l’absence quasi totale de contacts humains, ensuite sa virtualité avec des produits impalpables, ensuite son incapacité à créé de l’animation et à soutenir une certaine qualité de vie en ville par la présence de services de proximité.

En plus l’expérience du confinement a clairement démontré combien était essentiel la nécessité d’entretenir des rapports directs avec autrui. Un besoin fondamental profondément ancré dans l’âme humaine et qui confirme l’incontournable nature grégaire des populations depuis le fond des âges.

En conclusion: oui on peut améliorer technologiquement notre société moderne, mais non on ne pourrait pas remplacer les échanges sur une base individuelle sans déshumaniser notre monde. Ce qui m’amène à affirmer que le commerce traditionnel est par essence une activité de développement durable.

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Les employés d’un entrepôt d’Amazon à Montréal veulent se syndiquer


PHOTO GONZALO FUENTES, REUTERS
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) affirme que les travailleurs ont contacté le syndicat plus tôt cette année et ont lancé une campagne de syndicalisation sur place le mois dernier, faisant campagne sur des questions de santé et de sécurité ainsi que sur le salaire, qui oscille autour de 17 $ ou 18 $ l’heure.

(Montréal) Une campagne de syndicalisation est en cours dans un entrepôt d’Amazon à Montréal, une situation à laquelle le géant américain du commerce de détail en ligne a été confronté dans d’autres de ses installations, mais qui a débouché sur une victoire syndicale à une seule d’entre elles jusqu’à maintenant.

Publié à 13h13
LA PRESSE CANADIENNE

La Confédération des syndicats nationaux (CSN) affirme que les travailleurs ont contacté le syndicat plus tôt cette année et ont lancé une campagne de syndicalisation sur place le mois dernier, faisant campagne sur des questions de santé et de sécurité ainsi que sur le salaire, qui oscille autour de 17 $ ou 18 $ l’heure.

Si plus de 50 % des 250 à 300 employés de l’entrepôt signent une carte de membre, la Commission des relations du travail du Québec pourra accréditer le syndicat.

Le vice-président de la CSN, David Bergeron-Cyr, affirme que la santé et la sécurité au travail sont l’une des principales raisons de cette initiative, les employés devant soulever jusqu’à 400 boîtes par heure, ce qui entraîne des blessures non signalées et une absence de compensation pour le temps de récupération.

La porte-parole d’Amazon Canada, Ryma Boussoufa, a indiqué que l’entreprise établie à Seattle ne « (pensait) pas que les syndicats sont la meilleure réponse » pour les employés, mais que ce choix leur appartenait.

L’effort de syndicalisation intervient alors que d’autres employés cherchent à organiser un vote sur la certification dans une usine d’emballage d’Amazon de 7000 employés à Nisku, en Alberta, et que d’autres luttent au sud de la frontière pour s’appuyer sur leur unique campagne syndicale couronnée de succès, dans un entrepôt de New York, le mois dernier.

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Technoparc, projet mené par Brocco

Communications effectuées dans le cadre d’un projet immobilier industriel, plus précisément la construction de l’usine de production de vaccins de l’entreprise Moderna dans l’arrondissement de Saint-Laurent à Montréal, sur un terrain situé près de l’intersection boulevard Alfred-Novel et l’avenue Marie-Curie. Les communications porteront notamment sur des modifications ou dérogations qui pourraient être requises au zonage applicable en vertu du Règlement numéro RCA08-08-0001 sur le zonage afin de modifier l’usage permis dans la zone du projet afin qu’y soit permise la production manufacturière de produits pharmaceutiques et biopharmaceutiques (la zone actuelle permet les activités de recherche et développement) afin de permettre la réalisation du projet; l’obtention de tous les permis, certificats et autorisation requis en vertu de la réglementation municipale applicable, notamment les permis de construction, afin de permettre la réalisation du projet.

Consultation de l’inscription (gouv.qc.ca)

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Simons Fairview ouvert depuis hier matin !!

Il reste juste la station à côté pour printemps 2024 !

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Only posting this here since it’s business related. BUT, if passed, it will make the post-pandemic recovery much harder/drag on and will lead to more unemployment and businesses leaving. I already know of a few up and coming startups (that will be major ones in 3-5 years) that recently moved their HQ to Toronto or the United States, citing this bill. Considering startups are firing en masse and VC is down, it will mean much longer recovery for us. FDI is already down dramatically for 2022 and we might see this trend persist for a while if this passes.

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If they can’t respect our culture, they are free to leave. Enough of the bending over for private companies. On dirait une relation toxique avec du chantage :unamused:

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They already comply and respect the culture though! I’ve seen more French now than years before in businesses, this new bill will just add more red tape, bureaucracy and a lot of human rights violations. It’s based on fear tactics by the media (it all started from a b.s article in JdeM)… And the attitude of they can be “free to leave” will lead to huge job losses and huge economic consequences. 94.4% of the province can speak and converse in French! It’s probably higher now.

But hey, let’s add even more restrictions and cause another economic downfall for the city and province. We already had multiple in under 40 years, let’s do it again! Let’s create a society that is only French and lets disregard every other language on this planet and the language of commerce (English)… It won’t work in a globalised world.

But hey, if we see another exodus of capital, talent and people, I won’t be sad. Tired of defending a province that has such a narrowminded pov on everything.

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So you’re talking about human rights violation, and you’re accusing the french speaker of scare tactics? LOL Tell me again how french is racist based on the Montreal Gazette.

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Chers amis évitons de faire dévier ce fil sur l’économie vers un débat linguistique. Voici le lien approprié pour poursuivre vos échanges Politique provinciale

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Yeah you’re right. Quebec was 35% under Ontario economically speaking and now it’s at 12% and keeps climbing over the years. #DownFall :joy:

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L’économie du Québec se porte tellement bien depuis quelque temps, même malgré la pandémie, que la perspective d’entendre certains braillards constamment jouer le rôle de victime devient non seulement drôle mais… loufoque. Comme quoi chaque société possède un certains nombre de bouffons !

Cessons de leur prêter la moindre attention et concentrons nous sur les bonnes nouvelles, sur le développement et sur les forces du Québec. Il y en a tellement en ce moment qu’on ne sait plus ou donner de la tête !

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Yup, with $1.2B being from Montreal… Still waiting for CVCA since they’re more accurate. Sadly, Q2 has been a huge dud in Montreal, it’s been all Toronto and even Calgary has raised more than us. This is on top of a few startups that have quietly relocated their HQ’s elsewhere.

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News is news but what a god awfully slow Q2 for the city… Really been a boring 2022.

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Lets hope we can continue the momentum now

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La fin de la récréation sonne pour les jeunes pousses techno


Photo: Eric Risberg Associated Press Les jeunes pousses québécoises à caractère technologique ont vu leur financement par capital de risque atteindre 1,46 milliard de dollars, un record, durant les trois premiers mois de l’année.

Alain McKenna
10 mai 2022

Le secteur technologique du Québec a connu un premier trimestre 2022 record en ce qui concerne le financement par capital de risque. Mais ce niveau pourrait ne pas être revu de sitôt si les craintes liées à la contraction de l’économie mondiale et aux conditions macroéconomiques plus difficiles se confirment.

Les jeunes pousses québécoises à caractère technologique — les start-up, comme on les désigne souvent — ont vu leur financement par capital de risque atteindre 1,46 milliard de dollars, un record, durant les trois premiers mois de l’année. Cela représente une hausse de 630 % de ce type de financement par rapport au trimestre précédent, et de 440 % par rapport au même trimestre un an plus tôt, révèlent des données publiées par le répertoire spécialisé Briefed.in.

Au total, les investisseurs ont conclu 29 ententes de financement de janvier à mars 2022 au Québec, contre 23 au premier trimestre de 2021. Et ce sont surtout des pactes signés à un stade plus avancé de la croissance de certaines entreprises qui ont permis à l’écosystème québécois d’atteindre un tel niveau.

La société montréalaise Paper, qui a mis au point une solution d’enseignement en ligne particulièrement populaire dans le système scolaire américain, a notamment récolté 343 millions de dollars lors d’une étape de financement avancée de série D. Le site d’achat de matériaux pour les professionnels de la construction RenoRun a pour sa part obtenu 181 millions, deux ans après avoir récolté 22,5 millions de dollars américains lors de sa première étape de financement. La société de médecine moléculaire Ventus Therapeutics, de Saint-Laurent, a quant à elle bouclé un financement de série C de 140 millions de dollars américains en février dernier.

« Cela reflète la très bonne santé du capital de risque au Québec », résume Guillaume Caudron, p.-d.g. de Réseau Capital, le principal regroupement québécois d’investisseurs en la matière. « L’année 2021 a été, de façon générale, très bonne partout [en Amérique du Nord]. Le premier trimestre indique que cette bonne lancée pourrait se poursuivre, car le niveau d’activité demeure élevé. »

« C’est à plus long terme que les perspectives commencent à inquiéter », note-t-il.

Refinancer et recapitaliser

Le grand patron de Réseau Capital ne craint pas nécessairement pour le financement de nouvelles entreprises technologiques québécoises, même si la valeur moyenne des étapes de financement accordées à des start-up depuis novembre dernier aux États-Unis a baissé de 25 %, selon le site spécialisé Carla.

Plus frileux, certains investisseurs américains ont commencé à revoir à la baisse la valeur qu’ils attribuent à des entreprises qui n’ont pas encore fait leurs preuves et qui peinent à générer des revenus, puisqu’il est plus difficile — et donc, plus risqué — d’établir la valeur d’une jeune pousse qui n’a pas encore commercialisé sa technologie.

Cela reflète la très bonne santé du capital de risque au Québec. L’année 2021 a été, de façon générale, très bonne partout [en Amérique du Nord]. Le premier trimestre indique que cette bonne lancée pourrait se poursuivre, car le niveau d’activité demeure élevé.

— Guillaume Caudron

Ce vent ne se fait toutefois pas encore sentir au Québec, où c’est surtout la recapitalisation des fonds d’investissement qui pourrait s’avérer difficile, croit Réseau Capital. L’économie mondiale risque de s’embourber en raison de l’inflation galopante et des effets de l’invasion russe de l’Ukraine, ce qui compliquerait la recherche de nouveau financement.

« Il y a un peu d’inquiétude à court terme de la part des investisseurs, mais cela ne se traduit pas encore par une réduction de leur investissement », assure M. Caudron. « Les start-up qui ont de bons projets ne devraient pas s’inquiéter à court terme. Cela pourrait changer à plus long terme si les fonds peinent à se recapitaliser. »

Les fonds de capital de risque sont souvent financés par de grandes institutions qui voient dans ce type d’investissement un potentiel de rendement plus élevé que dans d’autres secteurs. Cela est tout particulièrement vrai dans un contexte où les taux d’intérêt des banques centrales sont restés très bas pendant plusieurs années. La hausse accélérée de ces taux en raison de l’inflation pourrait toutefois inciter ces institutions à aller voir ailleurs.

Réseau Capital rappelle donc l’importance du rôle que peuvent jouer les organismes publics d’investissement pour atténuer les risques liés à la santé de l’économie ailleurs dans le monde.

Conjointement avec l’Association canadienne du capital de risque et d’investissement, le regroupement a d’ailleurs demandé plus tôt cette année qu’Ottawa presse le pas de son Initiative de catalyse du capital de risque, mise en place en 2021 pour aider les jeunes entreprises à sortir de la crise de la COVID-19. « Ce programme-là était déjà important et, là, sa mise en place devient soudainement plus urgente », dit Guillaume Caudron.

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Expected, VC has def slowed down dramatically in MTL/QC and the United States, while Toronto still keeps booming. I do wonder what will happen with startups 25+ employees after you know what bill might pass… They will either fire people, not hire people or move to save millions on costs/avoid police state tactics infringing in their business life.

Startups are already firing en mass (REEF technology in Miami fired 700 people yesterday after a $700M raise in late 2020). I think for us, this + global factors and possibly you know what bill will destroy the start up scene here.

You talk like only anglos runs businesses lol. If they leave because they dont like french, good riddance, we dont want them here.

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