École nationale de l’humour (Quartier Latin) - XX étages

Présentement située au coin des rues Sherbrooke et De Lorimier, l’École Nationale de l’Humour planifie de déménager au cœur du Quartier Latin.

Informations

Nom: NOM DU PROJET
Emplacement: Quartier Latin
Hauteur: HAUTEUR EN MÈTRES ET ÉTAGES
Architecte: NOM DE L’ARCHITECTE
Promoteur: NOM DU PROMOTEUR
Début et fin de la construction: DÉBUT / FIN
Dates importantes: APPROBATION, CONSULTATION, ETC.
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Dans le médias
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L’École nationale de l’humour envisage de déménager dans le Quartier latin

La direction saura en mars si elle obtient une subvention du ministère de la Culture

RAPHAËL GENDRON-MARTIN

Après 20 années postée au coin des rues Sherbrooke et De Lorimier, l’École nationale de l’humour pourrait déménager en plein Quartier latin, à quelques pas de l’Espace St-Denis et du Bordel Comédie Club. «On aurait pignon sur rue, en plus d’être dans un environnement qui offre beaucoup plus de synergie», mentionne la fondatrice de l’école, Louise Richer, qui envisage de quitter son poste après ce déménagement.

Cela fait trois ans que Louise Richer et ses collègues de l’École nationale de l’humour travaillent sur une relocalisation. «Parce que l’école actuelle, les locaux, c’est vraiment trop exigu», indique la directrice générale au Journal.

C’est en 2004 que l’institution s’installait à l’est du Parc La Fontaine. Pendant deux décennies, l’école y a occupé le septième étage d’un immeuble. Louise Richer rêvait depuis longtemps d’avoir des espaces plus accessibles, dans le cœur de l’action.

Deux études de faisabilité ont été tenues dernièrement. Et la direction a jeté son dévolu sur deux immeubles du Quartier latin, sur la rue Saint-Denis.

«On serait central, à côté de l’Espace St-Denis, de la [future] Maison de la chanson et de la Grande Bibliothèque, mentionne Louise Richer. Le Quartier latin, c’est un quartier culturel et éducationnel pour lequel il y a une grande volonté de revitalisation. Le Partenariat du Quartier des spectacles a identifié l’arrivée éventuelle de l’école sur Saint-Denis comme étant un pilier de la revitalisation.»

Pour savoir si le déménagement sera possible, l’École nationale de l’humour saura en mars si elle obtient la subvention du ministère de la Culture. «Ils sont en train d’élaborer le budget 2024-2025 avec les crédits accordés», indique Louise Richer.

Advenant une réponse positive, d’importants travaux devraient être effectués dans les deux immeubles pour les rendre propices à accueillir une école avec des élèves. L’inauguration serait projetée d’ici deux ans.

«Personne n’est irremplaçable»

Après cette importante étape dans l’histoire de l’ÉNH, qui fêtait l’an dernier ses 35 ans, Louise Richer prévoit laisser sa place comme directrice générale. «Je me vois mal finir ça de façon radicale du jour au lendemain, précise-t-elle. J’envisage de maintenir un lien. […] J’ose espérer que j’aurai encore un petit rôle, mais que je serai plus sur la voie de service.»

Louise Richer refuse de dire que la personne qui la remplacera aura de très gros souliers à chausser. «Je porte du 6 et demi! [rires] Je ne crois pas à ça. C’est sûr que ça fait image, quelqu’un qui est là depuis une trentaine d’années. […] Personne n’est irremplaçable. J’en suis persuadée.»

«Il y a plein de gens intéressants [qui pourraient diriger l’École nationale de l’humour], poursuit-elle. Peut-être que ce sera une tête bicéphale aussi, avec quelqu’un qui est plus gestionnaire et une autre personne qui a plus une culture humoristique. Tout ça est à réfléchir.»

https://www.journaldemontreal.com/2024/01/23/lecole-nationale-de-lhumour-envisage-demenager-dans-le-quartier-latin

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Est-ce qu’on sait de quels bâtiments il est question? Selon la description, je me demande si ça serait pas les locaux du Saint-Sulpice!!!

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C’est bien ce que je pense aussi, il n’y a pas d’autres locaux assez gros ou disponibles. Avec un peu de chance, il y aurait un aggrandissement pour occuper le stationnement sur Sanguinet aussi !

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actuellement, l’école est dans cet immeuble au 2100, rue Sherbrooke Est

Je me demande combien d’espace elle a besoin.

On peut louer des salles de l’école

Nos espaces en temps normal :

  • Une salle de spectacle pouvant accueillir 75 personnes, incluant la technique son/éclairage
    • en distanciation : 30 personnes
  • Des salles de cours pouvant accueillir jusqu’à 30 personnes
    • en distanciation : 9 à 15 personnes
  • Un vaste lobby servant d’espace cocktail pouvant accueillir 75 personnes
    • en distanciation : 20 à 40 personnes
  • Une salle de conférence avec whiteboard et télé pouvant accueillir 12 personnes
    • en distanciation : 6 personnes

https://enh.qc.ca/entreprises/location-de-salle/

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Je pensais que c’était déjà en conversion pour du résidentiel. Ce serait un site génial.

Ça aurait tellement plus sa place que du résidentiel ici!

Je ne savais même pas que l’école se situait là jusqu’à ce que je remarque le nom de l’école dans le hall du building, où se trouve mon psy aussi :sweat_smile:

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Le bâtiment du Saint-Sulpice appartient toujours au Saint-Sulpice selon le rôle foncier

Maurice Bourassa a mis l’établissement en vente en 2019, mais personne n’a voulu reprendre le fonds de commerce. Plusieurs promoteurs ont démontré de l’intérêt pour y construire des condos, mais aucune offre ne s’est concrétisée, car la Ville refuse que des constructions s’élèvent sur plus de trois étages, explique-t-il.

L’homme d’affaires refuse également de morceler le terrain, dont la superficie dépasse les 21 000 pieds carrés et qui a des accès sur les rues Saint-Denis, Émery et Sanguinet. « J’ai souvent eu l’occasion de morceler tout ça : le terrain, juste la maison en avant, ou juste la rue Émery. Mais moi, je me dis que je n’ai pas ramassé tout ça ensemble pour rediviser et faire de petites choses. Je veux faire quelque chose d’imposant puisque le terrain le permet. »

« J’en fais mon deuil [du bar], mais je ne reste pas là à rien faire. Je pense à développer », explique-t-il avec enthousiasme. Avec une firme d’architectes, il travaille sur un projet qu’il veut présenter à la Ville de Montréal. « Je vais proposer un ensemble résidentiel qui répond aux besoins du milieu. On veut mettre des résidences pour étudiants, comme de petits studios, mais aussi des services de proximité : dépanneur, garderie, petit bistro, des choses comme ça. Je trouve que ce serait une bonne occasion de remettre aux étudiants ce qu’ils ont fait pendant toutes ces années à m’encourager. »

En tout les cas, si l’immeuble en question est le Saint-Sulpice, celui-ci, grâce à son vaste espace jardin, partage une ruelle avec le Bordel Comédie Club, ce qui pourrait donner lieu à une synergie très intéressante, avec un peu d’imagination.

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