Corridor de mobilité durable Henri-Bourassa

Travaux sur le mail central et traverses piétonnes. Que du granit.


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Pourquoi faut-il toujours donner le droit de parole aux opposants? Et ce sont toujours les mêmes arguments…

Trop, c’est trop, Madame Plante, ne touchez pas au boulevard Henri-Bourassa!

Trop, c’est trop, Madame Plante, ne touchez pas au boulevard Henri-Bourassa!
`PHOTO FOURNIE PAR NICOLAS LANDRY

*NICOLAS LANDRY, CITOYEN AHUNTSIC-CARTIERVILLE, *
JEAN GADBOIS, CITOYEN AHUNTSIC-CARTIERVILLE
Dimanche, 20 août 2023 00:00
MISE À JOUR Dimanche, 20 août 2023 00:00

Nous, simples citoyens, «payeurs de taxes» et résidents de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, venons tout juste d’apprendre que le boulevard Henri-Bourassa va devenir un «corridor de mobilité durable». Ces mots sont ceux de fonctionnaires. Le commun des mortels dont nous faisons partie n’a pas compris que dans cette «mobilité durable », l’on perdait tout le stationnement sur Henri-Bourassa qui sera remplacé par une piste cyclable, et ce, de l’autoroute 13 à l’ouest jusqu’au boulevard Lacordaire à l’est.

Sans compter que toutes ces voitures, car il y a encore des voitures à Montréal, vont encombrer les rues transversales déjà amputées de leurs espaces de stationnement et en grande partie, devenues sens uniques et/ou avec piste cyclable.

Cela va aussi créer des embouteillages, et donc plus de pollution, de frustration, mais surtout, la fermeture de beaucoup de petits commerces qui ont pignon sur le boulevard Henri-Bourassa (ou en périphérie) qui, après avoir traversé la difficile COVID, ont de la difficulté à reprendre une vie «normale». Cette autoroute à vélos va les achever.

  • Écoutez Jean Gadbois, citoyen d’Ahuntsic-Cartierville via QUB radio :

Autoroute à vélos

Dans tous les cas, les vélos roulent allègrement sur Henri-Bourassa et bien souvent, ils ne font pas leurs arrêts, ne respectent pas les feux de circulation, les sens uniques, ils n’ont pas de pneus d’hiver, roulent sans casque, sans immatriculation, sans assurance, sans participer au financement à même hauteur que la contribution des automobilistes, sans respect les piétons, et surtout sans respecter les automobilistes à qui les rues sont aussi destinées.

Trop, c’est trop, ne touchez pas au boulevard Henri-Bourassa si c’est pour le transformer en autoroute à vélos, diminuer notre qualité de vie, chasser les petits commerçants vers les grands centres commerciaux (voire à l’extérieur de Montréal) et générer une fuite importante de revenus vers les multinationales.

Il est aberrant de vouloir importer un modèle de mobilité durable du Plateau Mont-Royal ou du Village, par exemple, aux banlieues urbaines dont l’aménagement et les besoins sont différents.

Sondage

Il serait important de demander l’avis des citoyens, mais d’abord, de leur dire les vraies choses. En plus de vivre des années de coûteux travaux, ils vont perdre beaucoup plus que des stationnements. La ville va ajouter des zones de vignettes et de parcomètres dans les rues avoisinantes de Henri-Bourassa, des zones pour livraison dans les rues transversales, des interdictions de virage à gauche, réserver seulement deux voies (et à certains endroits une voie) pour les automobiles, et quoi d’autre? À ce sujet, il convient de sonder le grand public et de lui soumettre ces faits bruts afin de connaître son opinion.

À Montréal, les citoyens non cyclistes sont-ils seulement des payeurs de taxes?

Nous ne sommes pas contre tout, mais là, on trouve que c’est trop. Le boulevard a besoin d’être embelli, nettoyé, verdi, mais sans autoroute cyclable (REV).

Un sondage serait nécessaire et s’impose. Non seulement sonder les cyclistes, mais aussi les automobilistes et tous les citoyens qui sont d’actuels ou de futurs électeurs, n’est-ce pas?

Nicolas Landry, Citoyen Ahuntsic-Cartierville
Jean Gadbois, Citoyen Ahuntsic-Cartierville

https://www.journaldemontreal.com/2023/08/20/trop-cest-trop-madame-plante-ne-touchez-pas-au-boulevard-henri-bourassa

Google n’est pas donné à tout le monde…

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Blah blah blah blah :raised_hand: tous les mêmes arguments stupides. Mais l’AUDACE de prétendre que les conducteurs contribuent plus à la société que les cyclistes est d’un absurdité extrême que j’ai failli rire. Faites-moi savoir quand les taxes versées par les conducteurs paient suffisamment pour entretenir les routes qui EXISTENT DÉJÀ… Nous devrions encourager les gens à utiliser des modes de transport moins dommageables pour les routes, peut-être qu’un jour nous pourrons maintenir ce que nous avons.

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En effet, les opposants ne devraient pas avoir toute la place dans le débat public! J’ai lancé cette pétition pour montrer clairement que la communauté appuie le projet. Je compte la présenter à un prochain conseil de ville. C’est un projet emballant, mais il pourrait y avoir des améliorations au niveau de la communication de l’exécution des différentes phases du projet. Je trouve que nous n’avons pas beaucoup de visibilité à ce sujet. Quand pourrons-nous rouler de la 40 à Lacordaire? Mystère. Je vous invite à signer et partager si vous appuyez ce projet et pour demander des comptes aux élus! Merci!

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Transport actif Un appui au projet de REV Henri-Bourassa


PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE | « Actuellement, [le boulevard Henri-Bourassa] constitue un environnement extrêmement hostile aux transports actifs par sa conception datant de l’époque du tout-à-l’auto, notamment par la présence de nombreux viaducs, de bretelles d’autoroutes et d’intersections dangereuses, le tout sur une route de trois ou quatre voies de large dans chaque sens », écrivent les auteurs.

Le 1er novembre 2022, la Ville de Montréal a présenté la Vision vélo 2023-2027, qui comprend la réalisation de 17 axes de type Réseau express vélo (REV). Sachant que ce projet suscite diverses réactions, la Coalition pour la mobilité active de Montréal réitère son appui à l’ensemble de la Vision vélo et à ce tronçon en particulier.

26 août 2023 | Publié à 1h04 Mis à jour à 13h00 | OPINIONS| La Presse

OLIVIER LABRÈCHE, SAMUEL MILETTE-LACOMBE ET JEAN-FRANÇOIS GAGNÉ
COALITION POUR LA MOBILITÉ ACTIVE DE MONTRÉAL

Le REV Henri-Bourassa offrira une option longtemps attendue pour la mobilité active dans le nord de l’île, le long de l’axe est-ouest. À terme, ce projet reliera les arrondissements de Saint-Laurent, d’Ahuntsic-Cartierville et de Montréal-Nord, à partir de l’autoroute 40 jusqu’au boulevard Lacordaire, et il sera constitué de pistes unidirectionnelles protégées dans chaque sens. Le REV sera déployé dans le cadre d’un corridor de mobilité durable qui inclura également un Service rapide par bus (SRB) et qui permettra l’intermodalité avec deux futures stations du REM ainsi qu’avec la station de métro Henri-Bourassa. Pour les arrondissements excentrés de Montréal-Nord et de Saint-Laurent, loin des axes principaux de transport actif et habités en bonne partie par des ménages à statut précaire, ce projet est une question de justice sociale et permet un rattrapage bienvenu !

Actuellement, ce boulevard constitue un environnement extrêmement hostile aux transports actifs par sa conception datant de l’époque du tout-à-l’auto, notamment par la présence de nombreux viaducs, de bretelles d’autoroutes et d’intersections dangereuses, le tout sur une route de trois ou quatre voies de large dans chaque sens. Bien que des pistes aient vu le jour au fil des ans sur certaines rues, elles sont segmentées, indirectes ou ne sont pas aménagées selon les meilleures pratiques en matière de sécurité.

Sécurité et accessibilité

En cette période de rentrée scolaire, nous soulignons le fait que de nombreux établissements scolaires seront aussi desservis par cet axe. Grâce au REV, plus de jeunes pourront se rendre vers leurs écoles autrement qu’en voiture, ce qui réduira la congestion ainsi que les risques d’accident aux alentours des écoles. Les travailleurs ne sont pas en reste, ce projet reliant le Technoparc Montréal (et plus globalement le pôle d’emploi de l’ouest de l’île) au réseau cyclable montréalais.

En plus de servir aux utilisateurs de vélos, trottinettes ou autres appareils de transport personnel motorisés, les pistes de type REV favorisent l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.

Les déplacements en fauteuil roulant ou en quadriporteur y sont nettement plus conviviaux que sur les trottoirs, la présence de pentes et de cahots rendant ceux-ci ardus et inconfortables.

Sur le plan environnemental, le projet Henri-Bourassa permettra de réduire nos besoins énergétiques, sachant que le gouvernement du Canada a pris l’engagement d’atteindre la carboneutralité d’ici 2050 et que des représentants du gouvernement québécois reconnaissent le besoin de diminuer radicalement le nombre de voitures sur nos routes. Pour conclure la liste des bienfaits, la Direction régionale de santé publique de Montréal a également émis un avis public favorable à la Vision vélo, notant des retombées positives pour la santé de la population ainsi qu’une réduction des inégalités.

La Coalition saisit cette occasion pour signaler le fort soutien de la communauté pour ce projet comme démontré par une pétition en ligne1 et les commentaires favorables des citoyens lors des consultations2. Nous saluons l’engagement de la Ville pour le transport actif et collectif dans le nord de l’île, et nous encourageons la poursuite et l’accélération des travaux pour le projet Henri-Bourassa pour l’ensemble des voies cyclables prévues. Madame la Mairesse, bravo pour cette vision ambitieuse et environnementalement durable pour le nord de l’île, qui bénéficiera au plus grand nombre. Poursuivons la transformation du secteur !

1. Consultez la pétition

2. Participez au sondage en ligne

  • Olivier Labrèche, Association pour la mobilité active de Saint-Laurent ; Samuel Milette-Lacombe, Association pour la mobilité active d’Ahuntsic-Cartierville ; Jean-François Gagné, Association pour la mobilité sécuritaire de Montréal-Nord
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J’espère vraiment qu’ils n’imposeront pas de vignettes et de parcomètres sur les rues avoisinantes après le retrait des stationnements sur Henri-Bourassa.

Ce n’est pas une solution aux retraits de stationnement, ce n’est qu’une façon de plus de remplir les coffres de la ville en offrant moins de services aux automobilistes (ceux qui paient la vignette ou le parcomètre) illogique

Et que dire des livraisons, ça va créer bien des maux de tête aux livreurs qui n’auront plus d’endroits pour effectuer leurs livraisons.

Henri-Bourassa dans le coin ville St-laurent je comprends il y a de la place et la plupart des habitations et commerces ont des entrées et stationnements mais la portion à l’est de la 15 ce n’est pas la même chose.

J’habite proche de Saint-Laurent et Henri-Bourassa. J’attends avec impatience le projet de corridor de mobilité qui va partiellement réduire les nuisances d’avoir un quartier résidentiel traversé par une quasi-autoroute de 4 voies par direction.

J’attends avec impatience des vignettes dans mon quartier et j’espère que le projet sera le déclencheur pour en installer. Je pourrais vous parler de long et en large des absurdités que le stationnement gratuit sur rue entraine dans mon quartier. J’ai un voisin qui a un stationnement privé qu’il trouve trop étroit pour son pickup alors il la stationne dans la rue, ou bien de mon autre voisin qui a un garage qu’il utilise comme débarras plutôt que pour sa voiture. Ou bien de mon autre voisin qui a 2 voitures + un VR, il stationne le VR dans la rue et le change de côté à chaque semaine…

Si l’idée était de remplir les coffres de la ville il faudrait charger environ 1000$/an pour une case de stationnement sur rue. Le coût des vignettes permet de filtrer les usages non-essentiels du stationnement sur rue et favoriser un bon usage de l’espace limité en ville.

Il y a de la capacité excédentaire de stationnement sur les rues perpendiculaires, ce n’est pas un problème dans le quartier. Par contre, le nombre disproportionné de blessés graves et de morts causé par l’autoroute Henri-Bourassa, ça c’est un problème dans mon quartier.

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Mais ce l’est:

  • Les parcomètres ont toujours eu comme fonction première d’inciter la rotation des automobilistes utilisant ces espaces.
  • Les vignettes garantissent un espace pour les résidents lorsque le taux d’occupation est élevé. Il y a un ratio entre ces vignettes distribuées et le nombre de places. Généralement, ces vignettes sont implémentées dans des scénarios spécifiques (proximité du TEC, taux d’occupation, demandes citoyennes, etc)

Si un secteur tend vers une rareté de stationnements, garantir une rotation des voitures stationnés augmente l’utilisation de ces places, et la vignette assure que les citoyens ont les espaces en priorité.

Je vis dans un secteur avec une forte pression sur le stationnement par une zone d’emploi, et la vignette est définitivement un atout bienvenu (même si on paye plus du double d’Ahuntsic je crois).

Effectivement, et c’est sur le principe utilisateur-payeur. Le coût du stationnement et des vignettes ne couvre pas le coût de ces places.

Si on considère que le service est d’avoir plus de places vides tout autour de sa voiture stationnée, oui, mais sinon, les gens payent pour leur seule et unique place, ni plus ni moins.

Les livraisons continuent même sur les rues 100% piétonnisées, et la densité commerciale est immensément plus grande.

Je vais apporter une hypothèse ici: la majorité des ménages vivant le long de Henri-Bourassa dans Ahuntsic n’ont pas de voitures et vont immensément bénéficier d’un corridor de transport alternatif efficace. Et les édifices qui ne sont pas des taudis ont généralement des entrées de garage.

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De toute manière, il n’y a pas tant de commerces qui ont pignon sur Henri Bourassa à l’est de la 15, les plus gros générateurs ont un stationnement intérieur (IGA millen), ancien Loblaws si une épicerie revient sur ce site. Pour les autres, les 5-10 premières places sur les rues perpendiculaires peuvent être gratuites mais limitées à 15-30 min, soit juste assez de temps pour ramasser une pizza chez Roni :wink:

En fait le réel fléau ici c’est les livreurs qui pour la plupart n’utilisent pas les entrées privées lorsque disponible, et se contentent d’arrêter au milieu de la rue sur les feux d’urgence, même dans des zones “no-stop”

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Alors pourquoi attendre transformons toutes les rues comme ste-Catherine, aucun stationnement, juste une voie et le trottoir large comme pas possible.

Mais au moins ayez l’honnêteté d’avouer que vous faites la guerre à l’automobile…

Quand on veut absolument mettre des REV partout sans considération aux automobilistes, c’est clairement une guerre à l’automobile.

Pas de problème avec les REV mais c’est que là un par un, les boulevards collecteurs se font charcuter pour implanter des REV. Il est là le problème.

Différentes rues répondent à différents besoins. Par exemple, cela ne se fait pas dans une autre rue en construction, l’avenue des Pins, parce qu’il n’y a pas beaucoup d’entreprises dessus.

Guerre contre à l’automobile ? Les voitures prennent la majorité de l’espace, par rapport aux pistes cyclables qui prennent environ 3 % de l’espace routier (tout au plus). C’est une arrogance de l’espace

La plupart des conducteurs sont dérangés lorsque les gens à vélo font du vélo devant eux, et les conducteurs doivent les contourner dangereusement. Moins de gens se sentent en sécurité en voyageant, par rapport à avoir des infrastructures séparées, tout le monde est plus heureux.

Il a été prouvé CHAQUE FOIS que les pistes cyclables fonctionnent. Bien sûr, vous pouvez le nier, mais vous avez tout simplement tort lol

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La piste cyclable fonctionne mais la congestion est empirer et se retrouve sur les rues avoisinantes et la ca devient aussi un problème alors on bloque les rues avoisinantes alors tout le monde se retrouve dans des bouchons à plus finir …

Je vous exprime mon point de vue d’automobiliste car vous n’avez probablement pas de voiture.

Je ne vous demande pas si j’ai raison ou non, mais merci de votre précision.

Demande induite. Plus de routes pour les voitures signifie plus de voitures et plus de trafic

Je ne comprends pas pourquoi le fait de ne pas posséder de voiture signifie que je ne peux pas avoir mon mot à dire sur la sécurité de nos rues

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Typiquement les arrondissements vont venir en installer lorsqu’au minimum 3 demandes au 311 ont été faites dans une année de la part de résidents du tronçon de rue (entre deux intersections). Les modalités varient selon les arrondissements, mais je sais que Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension fonctionne comme ça. À la ville, tout passe par le 311 :wink:

Ce n’est pas ce que je dis, seulement le fait que vous n’ayez pas de voiture, fait que vous ne pouvez pas comprendre la réalité que nous automobilistes devons vivre et qui empire à cause de projets où il n’y a aucun respect de l’automobiliste.

Pas parce que globalement l’auto a plus d’espace que localement ça ne cause pas de problème de stationnement ou de circulation quand des projets sont fait avec une vision anti-auto.

Les automobilistes ne constituent pas une classe protégée et ne se trouvent pas non plus dans une situation de précarité. L’automobile occupe la grande majorité de notre espace public et la grande majorité de nos coûts de transport. Ce n’est pas un « manque de respect ». Les voitures sont des outils. Nous sommes tous des êtres humains qui devons partager notre espace public, nous ne sommes pas des boîtes métalliques à quatre roues. Si de nombreuses personnes estiment que Henri-Bourassa n’est pas sécuritaire pour faire du vélo ou marcher, il faut alors le changer. Si c’est le cas pour tous les boulevards du Québec, alors chaque boulevard doit changer. L’époque où l’on concevait nos espaces publics pour des boîtes métalliques est révolue. Tous les humains qui habitent notre espace public méritent le respect.

Je trouve très drôle l’importation de la phrase « guerre contre la voiture » au Québec. Cela implique-t-il que la réalité actuelle est une « guerre contre les piétons, une guerre contre les vélos, une guerre contre notre santé et notre sécurité et une guerre contre notre bien-être financier en tant que société » ? Parce que c’est ça le résultat des 80 dernières années d’infrastructure.

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Je ne pense pas que la fabrication d’une piste cyclable devrait nécessiter des mois de réunions pour parler aux résidents. Les pistes cyclables rendent tout le monde plus sûr, les automobilistes ne respectent pas les enfants quand ils les tuent

Étant propriétaire d’un auto et moto où les deux sont stationné sur rue qui habite un quartier centrale, je trouve que c’est normalement l’inverse. Les automobilistes ne comprennent pas pourquoi les cyclistes ont véritablement besoin de cette espace, et croient que ne pas avoir droit de se stationner devant sa destination c’est la guerre contre l’automobile quand on peut tous jours emprunter ou se stationner sur n’importe quel autre rue pour se rendre à notre destination.

Oui le stationnement en hiver c’est n’importe quoi mais au finale, c’est la vie avec un auto dans les quartiers centraux avec un automobile. La ville mets à notre disposition des stationnements gratuits pendant la déneigement, donc si je ne trouve pas d’espace proche de chez nous, on va se stationner à l’aréna en attendant que la déneigement soit terminé.

Ces pistes cyclables représentent/deplacent beaucoup plus de monde que les stationnements et donc les remplacer c’est simplement utiliser l’espace dans une manière plus efficace et il réduit le bruit pour tous le monde. Nous avons tous le droit de posséder un véhicule, mais c’est écrit nul part que j’ai droit de l’utiliser sans obstacles. Si le stationnement c’est difficile, considérez un autre mode. Mais si au finale on choisis l’auto, c’est à nous de dealer avec le conséquences.

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This resonated with me, because I see car ownership putting so many people into financial insecurity. It’s easily one of the biggest stressor on personal finances and a major source of loan delinquencies.

With that in mind, it’s understandable that for some people, it makes sense to favour designing public space that prioritize cars. It also possibly helps them rationalize – in an untenable way, sure – that the car-shaped hole in their income isn’t the money pit that it actually is.

I totally see why some folks default to cars when there isn’t much in alternatives beyond painted bikes lanes and a stunted transit network, but things are slowly changing with the REV and metro expansions like the REM and the blue line. Good things are coming, if we’re open to the change.

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