Art public

Bravo pour cette initiative qui transforme les inévitables fissures du trottoir en minis tableaux poétiques. Une forme libre d’art public que je trouve tout à fait rafraichissante et qui met de la beauté là où on s’y attend le moins. :+1: :+1: :+1:

ETS, Griffintown.

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La magnifique sculpture de Junko près de Vendôme a été incendiée :disappointed:


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Ça prend juste un épais avec un briquet, quelle déception. J’espère que l’artiste va revenir en force pour remplacer l’oeuvre.

Et tant qu’à y être, pourquoi ne pas trouver un moyen de pérenniser au niveau du règlement ces installations artistiques. En ce moment c’est une pratique illégale, mais qui plait et qu’on tolère.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Graffitis et tags

Armand Vaillancourt à San Francisco pour défendre sa fontaine

Par Ian Bussières, Le Soleil

16 mai 2025 à 17h41

La fontaine Québec Libre!, l’une des œuvres maîtresses du sculpteur québécois Armand Vaillancourt, à l’Embarcadero Plaza de San Francisco. (Ian Bussières/Archives Le Soleil)

Le sculpteur Armand Vaillancourt s’envolera samedi vers San Francisco pour prendre la défense de sa fontaine Québec Libre!, installée à l’Embarcadero Plaza depuis 1971 et menacée de démolition.


L’artiste de 95 ans passera une semaine là-bas avec son fils Alexis afin de rencontrer les personnes engagées dans le projet de réaménagement de l’Embarcadero Plaza.

Ce sera la première fois en huit ans que le natif de Black Lake, une municipalité de Chaudière-Appalaches maintenant fusionnée avec Thetford Mines, retourne sur le site de l’œuvre brutaliste qu’il a bâtie de 1967 à 1971 et qui est constituée de tubes de béton, fait 12 pieds de haut et pèse 640 tonnes.



Rencontres

Les deux artistes rencontreront mardi la Commission des Arts de San Francisco, qui sera responsable de prendre la décision finale dans le dossier de réaménagement.

Mercredi, ils discuteront avec le Département des parcs et des aires de repos de la Ville de San Francisco, qui dirige les travaux de réaménagement en partenariat public-privé avec la firme BXP.

D’autres rencontres sont prévues jeudi, notamment avec les représentants du Musée de Young, et un événement est déjà annoncé à la fontaine vendredi avec le Groupe de travail pour la documentation et la conservation des bâtiments du mouvement moderne (Docomomo International).

«C’est déjà une bonne nouvelle qu’ils soient ouverts à nous rencontrer, car ils ne connaissaient pas beaucoup mon père et l’histoire de la fontaine», a expliqué au Soleil Alexis Vaillancourt.

«Nous serons accompagnés des représentants du consulat canadien et de la délégation du Québec, qui a aidé à organiser ces rencontres», poursuit-il.

«Nous allons leur raconter l’histoire de cette fontaine et essayer de les convaincre que ce n’est pas une bonne idée de la démolir.»

— Alexis Vaillancourt, fils du sculpteur Armand Vaillancourt

Armand Vaillancourt passera la prochaine semaine à San Francisco pour défendre sa fontaine Québec Libre! (Archives Le Soleil)

Aucune garantie

Car même s’il n’a jamais été annoncé que la fontaine serait démolie, il n’a non plus jamais été annoncé qu’elle serait préservée.



Les enjeux sont le coût de rénovation de la fontaine (selon un article du San Francisco Standard, la Ville aurait estimé à plus de trois millions de dollars américains le coût de remplacement du système de pompage) et les nouveaux aménagements de l’Embarcadero Plaza, dont certains diraient que la fontaine ne s’y agencerait pas bien.

«Les arguments sont assez vagues. Je ne vois pas du tout pourquoi la fontaine ne pourrait pas rester dans le nouveau projet», indique Alexis Vaillancourt.

Des appuis

Armand Vaillancourt a aussi reçu l’appui du Musée des Beaux-Arts du Canada, du Musée national des Beaux-Arts et du Musée d’Art contemporain ainsi que de la Fondation du paysage culturel de Washington dans ce dossier.

«La Fondation du paysage culturel est en contact avec la famille de l’architecte Lawrence Halprin, décédé en 2009 et qui a fait les plans de l’Embarcadero. On retrouve des fontaines dans plusieurs de ses parcs aux États-Unis et elles sont presque toutes protégées sauf celle-là qui, en plus, est située dans sa ville natale!» fait remarquer Alexis Vaillancourt en terminant.

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Son oeuvre située dans Hochelaga-Maisonneuve a aussi disparu il y a un certain temps. Reste-t-il une seule des ses oeuvres ?

Il doit probablement rester le Falaisosaure au cœur de la falaise Saint-Jacques.

Année: 2019?

Le groupe citoyen Sauvons la Falaise, qui milite pour la préservation et la naturalisation de la falaise Saint-Jacques se sert de cette œuvre comme point de repère et de lieu de rencontre.

Photo prise en 2024

Est-ce que quelqu’un pourrait me pointer vers les détails de l’œuvre au centre du boulevard Robert Bourrassa devant l’OACI?

Année?
Artiste?
Description/représentation?
Propriétaire/Financier?


Source de l’image

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Elle n’est malheureusement pas inscrite sur la carte du Bureau d’art public

Ce n’est p-ê pas considéré comme de l’art public, mais du mobilier urbain dessiné par Michel Dallaire / Provencher_Roy

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Oh, je ne la connaissais pas. Merci.

Elle a malheureusement été démantelée. Toutes les stèles au centre du boulevard sont maintenant vides… un autre éléments phare du design du Quartier International qui n’a pas été respecté et pas entretenu

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Est-ce que l’idée était de changer les drapeaux à l’intérieur au gré des événements?

L’OACI (où je travaillais avant de prendre ma retraite) a déménagé son siège au 999 University (aujourd’hui Robert Bourassa) le 5 décembre 1996. Cette installation a été mise en place en 1996 ou peu de temps après. À l’époque il y avait des drapeaux des pays à l’intérieur des colonnes comme on peut en voir quelques-uns sur la photo et il y avait un éclairage de l’intérieur. Ces drapeaux ont disparus avec le temps. Le bas de chaque colonne suit la montée de la rue mais le haut est à la même hauteur. Je ne sais pas qui est l’artiste mais je crois que cette installation appartient à la Ville de Montréal (Quartier International) mais pas à l’OACI même si elle a été créée pour le déménagement de l’OACI à cet endroit.

Devant l’édifice de l’OACI on peut voir une sculpture/verrière intitulée “Le Miroir Aux Alouettes”. Cette sculpture a été créée par Marcelle Ferron, la même artiste qui a créé les vitraux de la station de métro Champ-de-mars et il s’agit d’un don du Gouvernement du Québec à l’OACI alors que le siège se trouvait au 1000 Sherbrooke O.

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Le Festival MURAL est encore en possession de son monstre fait en Bixis, si je ne m’abuse

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J’ai trouvé que sa serait une commandite de BELL

Et sur le terre plein

Et la nuit elles sont toujours illuminées

Photo d’angle

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Je ne pense pas que Bell aie commanditée cette installation, son logo est sur leur infrastructure, il doit y avoir des conduites qui doivent leur appartenir passant par là

Le logo de bell est gravé sur les panneau





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