Art public

Huh… That’s a somewhat disappointing mural to be honest.

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Agree. C’est assez ordinaire.

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A Tribute to Nalie Agustin

The Concordia Alum’s Family Commissioned a Mural in Her Honour

NEWS
Melissa Migueis
Published September 13, 2022 4 minutes


Murale of Nalie Agustin, located downtown Montreal.
Photo Melissa Migueis

A new mural in downtown Montreal honours the late Nalie Agustin—a Concordia alum, best-selling author, public speaker and cancer advocate—who touched the lives of many worldwide as she shared her cancer journey online, using her platform to inspire those with and without cancer.

In March 2022, Nalie passed away. To honour and commemorate her, her family commissioned a mural, located at the corner of Pierce St. and Police St., near Concordia’s Sir George Williams campus.

The mural was commissioned by Nalie’s brother Justin Agustin. As he was grieving the loss of his sister, he would look out the window of his Griffintown condo and see street art on the buildings. “It just hit me,” he said. He wanted a mural of Nalie on a Montreal wall.

Justin explained that he thought it would be great to do something “creative and artistic” in the city for Nalie. “I wanted her face and her portrait to be somewhere that people could pass by and continue to remember her.”

According to Justin, mural artist Jasmine Dearden “really captured Nalie and the essence behind her.”

Though his sister became famous worldwide, Justin explained that she still called Montreal home. The mural is located in the heart of downtown, where Nalie spent time studying at Concordia’s library and bonding with her friends and family.

Justin commissioned Dearden to paint the mural after seeing some of her previous work online, including a mural of Alicia Keys, Nalie’s favorite singer. “This was super symbolic to us because Nalie’s theme song was ‘Girl on Fire’,” he said. The song was also played at her memorial, Justin added.

“I feel like Nalie was sent to all of us in the breast cancer community by a higher power. She was never ours to keep.”— Alyssa Smith

Dearden, who garnered attention for her murals by music icons like Alicia Keys, Iggy Azalea and Sia, agreed to create the mural for the Agustin family as she had been a follower of Nalie for years. “She was just so strong, and she’s so inspirational,” she said.

The artist explained that she decided to paint this specific photograph of Nalie because “she looks happy, strong and determined.”

According to Dearden, it took approximately 70 hours to complete the entire mural. “I don’t use projectors. Everything I do is freehand. It’s free paint, no brush,” she said. “I have to keep layering the spray paint until it looks the way it should.”

The mural is composed of Nalie’s portrait amidst clouds with a light glare over a part of her face, right by a cardinal bird.

The light radiating on Nalie’s face, the artist said, represented the light she was in people’s lives. The clouds symbolize “being above,” and the cardinal is a sign that those who have passed will continue to live on so long as their memory is alive within us.

The mural also contains a QR code, which, when scanned with a mobile phone, will bring passersby to a link containing Nalie’s YouTube videos, her social media platforms, her book, The Diary of Nalie, and more.

“I want people to continue absorbing her content and remembering her by what she put out into the world because that stuff is so valuable,” Justin piece. “Just because she’s not here physically, it doesn’t mean that her work can’t live on.”

“That’s my sister. That’s Nalie. She’s the angel of our city.”— Justin Agustin

Alyssa Smith, a breast cancer survivor and one of Nalie’s followers, explains that on her darkest days, reading Nalie’s latest post or watching her latest video always made her feel better. “I feel like Nalie was sent to all of us in the breast cancer community by a higher power,” she said. “She was never ours to keep.”

Online follower Jennifer Ellson shared that Nalie’s online presence “is still felt, and her videos are still around to lift us when we’re down.”

Nalie’s content was real, raw and honest, reflecting the tribulations of living with a breast cancer diagnosis while simultaneously being an example of positivity and resilience.

Long-time follower of Nalie and cancer warrior Marianella Chavez said that, while she didn’t know Nalie personally, it “felt like she was a close friend […] she made me feel like she was holding my hand.”

When he first saw the finished mural, Justin said his heart was full.

“I got super emotional. When you look up at it, it’s like that’s her. That’s my sister. That’s Nalie,” he said. “She’s the angel of our city.”

This article originally appeared in Volume 43, Issue 2, published September 13, 2022.

L’histoire de Nalie Agustin

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« Vélocité des lieux », inaugurée en 2015 à la fin des travaux de ce secteur

J’avais oublié qu’elle était illumée le soir.

Il me semble que c’était controversée en raison de son coût et de son emplacement (quartier défavorisé de Montréal-Nord)

Ajout : voici un article résumant la controverse

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Voici la murale terminée de Marc Séguin en hommage à Riopelle. J’aime bien le résultat final. Le grand oiseau blanc représente les oies sauvages souvent représentées dans les oeuvres de Riopelle et la grande pastille de couleurs me rappelle les pastilles de couleurs apposées par Riopelle sur l’étiquette de la bouteille de vin Mouton Rothschild de 1978. La seule chose que je n’aime pas est l’écriture dans le bas qui me semble non nécessaire pour appuyer l’oeuvre. L’écriture n’est pas visible de partout et c’est tant mieux.

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En rattrapage:

:point_up_2:


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Vu sur Twitter: :slightly_smiling_face: :scissors:

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Une photo en passant devant aujourd’hui:

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The new giant ring

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Inauguration de la murale hommage à Riopelle ce soir

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À la fête de quartier vendredi dernier, J’ai parlé un peu avec les deux artistes Jasmin et Simon. La conception n’est pas encore terminée. Des couleurs et textures peuvent changer d’ici le début de sa réalisation au printemps.

Ils étaient en train de faire une version “tableau” que l’ÉTS va accrocher quelque part sur le campus

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Il est louable de souligner le passé du quartier, mais j’aimerais voir une combinaison du passé et du présent. Montrez des images de la brasserie, puis une progression vers la haute technologie que les étudiants de l’ÉTS étudient et produisent. La murale après tout est sur leur immeuble!

C’est seulement la première phase. Le souhait de l’ETS est d’avoir une murale qui fait toutes les faces du Pavillon A.
L’ÉTS veut y raconter l’histoire de Griffintown jusqu’à aujourd’hui

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Sur le compte Twitter de la mairesse

Il y a une vidéo de la réalisation de la murale sur le site d’Artv

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Le nouvel éclairage met bien en valeur la murale en hommage à Riopelle sans éclairer tout le quartier.

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En rattrapage: :ice_hockey:

La nouvelle ancienne murale de Maurice-Richard

journaldesvoisins.com | Publié le29 septembre 2022 | Amine Esseghir, journaliste de l’Initiative de journalisme local (IJL)


La murale de Maurice-Richard a récemment fait peau neuve. (Photo: François Robert-Durand, JDV).

Plus qu’une restauration, c’est en fait une nouvelle version de la murale « le Rocket » qui vient d’être peinte sur un mur du restaurant La Molisana, sur la Promenade Fleury, à Ahuntsic.

La peinture est encore fraîche sur un des murs du 1014, rue Fleury Est. Il y a un fond bleu sur lequel on voit Maurice Richard en action deux fois, puis son numéro 9 et sa signature. Il y a aussi une vieille radio pour rappeler comment les gens suivaient les matchs du Canadien de Montréal à une certaine époque. Un peu au loin, des enfants jouent au hockey dans une ruelle.

La nouvelle murale a été réalisée en deux semaines. Elle permet de rendre hommage au « Rocket » dans le quartier où il a vécu une grande partie de sa vie. Elle est déjà visible aux passants même si elle ne sera inaugurée que le 19 octobre.

L’ancienne murale réalisée par les artistes Dodo Osé et Zek One en 2015 avait été vandalisée en décembre 2020.

Au moment où on envisageait de la nettoyer des graffitis qui avaient été apposés dessus, on avait remarqué que la peinture s’écaillait et rendait toute intervention risquée.

« On craignait que ce soit le béton. Mais la compagnie qui a fait la murale a fait venir un expert et on a su finalement que le béton était correct. C’était une vieille couche de peinture en dessous qui s’écaillait », indique Léo Fiore, directeur de Tandem Ahuntsic-Cartierville (PCAC), l’organisme qui chapeaute les projets de murales dans l’arrondissement.


La murale en l’honneur de Maurice Richard, sur la rue Fleury, vandalisée. (Photo: François Robert-Durand, archives JDV).

La surface de la paroi a été traitée avec un enduit qui permet au ciment de respirer et éviter que la peinture ne s’écaille une nouvelle fois.

La nouvelle œuvre reprend 80 % de la thématique de l’ancienne. Pour s’assurer de rester proche, la direction de Tandem a fait appel aux mêmes artistes de la compagnie Ashop.

« Ce n’est pas une copie, mais on a été chanceux. On a réussi à retrouver les deux artistes qui ont fait la première », relève M. Fiore.

Il fallait le faire

La restauration ou même la reprise de la murale devenait une nécessité aux yeux de M. Fiore.

Outre le fait qu’il fallait enlever les graffitis qui enlaidissait la peinture, un mur du quartier et banalisait le vandalisme, ce rappel de l’histoire de Maurice Richard dans son quartier ne concernait plus seulement les résidants d’Ahuntsic-Cartierville.

« Il fallait qu’on récupère quand même notre murale parce que c’était devenu un lieu de pèlerinage quasiment. Le pire aurait été de ne jamais la refaire », soutien M. Fiore.

En juin, l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville avait accordé 12 000 $ pour restaurer la murale. Ils s’ajoutaient aux 8 800 $ octroyés dans le cadre du volet Murale de quartier du Programme art mural de la Ville-centre.

La question de la durabilité de l’œuvre d’art public se pose malgré tout, même si le travail est achevé. Comment garantir qu’elle ne sera pas une nouvelle fois dégradée ?

Un verni de protection a été posé en surface. Il permet de la nettoyer plus facilement en cas de nouveau vandalisme.

« Cela devrait être bon minimalement, pour les dix prochaines années. La murale est sauvée », croit M. Fiore.

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Une murale pour illustrer la persévérance


Fluke qui présente son œuvre lors de son dévoilement, le 29 septembre dernier, à l’école -secondaire Calixa-Lavallée. | Photo: Gracieuseté, Fluke Art

Journal Métro | MONTRÉAL-NORD | David Beauchamp | 6 octobre 2022 à 5h00

Le 29 septembre, l’école Calixa-Lavallée inaugurait une murale ayant pour thème la persévérance. Cette peinture a été réalisée par Fluke, un artiste visuel montréalais reconnu internationalement, à l’invitation de l’établissement scolaire.

Fluke a 38 ans et est muraliste depuis son adolescence. Après avoir peint des murales autant ici qu’à l’étranger, il a entrepris un processus de remise en question pour retrouver dans ses créations ce qui le définit comme artiste.

«Je remettais en question dernièrement qui je suis comme artiste, et le projet de Calixa-Lavallée est tombé à point dans mon processus de réflexion, raconte-t-il à Métro. L’école avait rejoint l’organisme Kolab pour que l’on puisse mettre sur pied un projet collaboratif de murale. L’organisme a aimé l’énergie de l’école et on a travaillé pour gagner le mandat, ce qui a fonctionné.»

Fluke admet avoir été charmé par l’énergie des enseignants d’arts plastique ainsi que l’environnement dans lequel il a travaillé pour cette murale. «J’ai senti dès le départ une compréhension de la part des profs sur la cohésion de l’œuvre avec son environnement et le processus artistique. Je ne l’ai pas perçu comme une commande, mais plutôt comme une invitation à collaborer», explique le muraliste.

Il ajoute que l’architecture du mur était unique et que c’était la première fois qu’il peinturait une murale sur un mur arrondi, avec du béton de formes différentes. « On aurait dit que le mur était fait pour ça », poursuit-il amusé.

La persévérance en peinture

La thématique principale qui a mené à la création de la murale est la persévérance. Pour Fluke, elle signifie davantage que réussir à l’école puisque le succès provient du travail.

Le but du projet est de souligner la thématique de la persévérance, pas juste scolaire, mais comme trait de caractère. À travers mon œuvre, j’ai pu me présenter comme artiste qui est parti de rien, qui a ensuite fondé une entreprise et qui a voyagé le monde pour vivre de sa passion. Il y a des chemins hors-sentier et pas juste académiques pour réussir dans la vie.

Fluke, artiste visuel et muraliste

Fluke explique aussi que l’école Calixa-Lavallée a initié une série de discussions sur la persévérance en demandant à des athlètes, des artistes ou des entrepreneurs de venir régulièrement présenter des histoires de succès individuels. Le muraliste était le premier de ces invités à venir partager son parcours à travers la création de son œuvre.

Découvrir et faire découvrir Montréal-Nord

C’était également pour Fluke la première fois qu’il faisait une murale dans Montréal-Nord, et son expérience à l’école Calixa-Lavallée et dans l’arrondissement a été somme toute très positive.

«J’essaie de me faire connaître dans tous les milieux de Montréal et je voulais offrir quelque chose d’authentique à Montréal-Nord. Les jeunes de l’école que j’ai rencontrés sont tous extrêmement sharp, intelligents et observateurs et je trouvais que ça collait bien avec mon art parce qu’ils comprenaient les esthétiques de mon œuvre, même si c’était pas mal abstrait», explique Fluke.

Le muraliste explique aussi que son art n’est pas toujours reçu de manière enthousiaste, mais que l’accueil à Montréal-Nord le confortait dans son métier d’artiste visuel.

«Certaines communautés sont plus habituées à digérer ce genre de visuel. Celle-là avait une certaine importance parce que l’appréciation des gens était différente. Il y avait un étonnement et une authenticité chez les gens qui regardaient mon œuvre. J’ai reçu beaucoup de félicitations, et comme artiste, on ne peut pas demander plus.»

Informations sur l’artiste


Signature de l’œuvre réalisée par Fluke à l’école Calixa-Lavallée. Gracieuseté, Fluke Art

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Il y a une autre murale pour Gotham Knights, autre que celle Saint-Denis et Roy. Cette fois-ci c’est au coin Marie-Anne et Cartier:

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