Aéroport Montréal-Trudeau - Discussion générale

They gone…. :joy:

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That’s good news. We’re in desperate need of a new jetty, terminal. Especially if we want AC to keep expanding YUL.

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qu’est ce qui se trame?

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Reconstruction de la piste nord

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C’est une bonne période pour aller observer les avions au parc Jacques-de-Lesseps; tous les mouvements d’aéronefs y seront concentrés pour les 3 prochains mois. Deux fois plus d’action, et des atterrissages qui alternent avec les décollages, c’est souvent impressionnant.

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Et ça continue! Ce genre de liaison est la raison pour laquelle YUL va voir son achalandage augmenter très rapidement, alors qu’Air Canada en fait de plus en plus un pôle de correspondance.

Avec la valeur du dollar canadien qui continue de descendre, ça va rendre Air Canada beaucoup plus compétitive sur le marché USA → International.

Avec Pearson qui est au prise avec un manque d’espace et une demande accrue pour les voyages de/vers Toronton, Montréal sert de débordement, et c’est très très bon pour nous!

Ça augmente encore plus le besoin d’avoir un nouvel aérogare, qui est officiellement annoncé pour 2035, mais j’entends dire entre les branches qu’on va s’essayer pour 2030.

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Great news, the Netherlands is such a beautiful country to visit.

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Ah oui 2030? Si cest le cas…ce sera tout une nouvelle piur Mtl!!

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Montréal-Trudeau parmi les 50 meilleurs aéroports au monde

Photo: iStock

Sliman Naciri

17 mars 2023 à 16h19 - Mis à jour 17 mars 2023 à 16h20 3 minutes de lecture

Un récent classement de l’organisme de consultation Skytrax basé au Royaume-Uni place l’aéroport Montréal-Trudeau parmi les 100 meilleurs aéroports au monde.

En compétition avec les plus grands noms de la planète, dont l’aéroport Changi de Singapour qui ravit la première place de ce palmarès, YUL s’installe confortablement en milieu de tableau en décrochant la 45e place. Il s’agit d’une belle envolée pour Montréal-Trudeau qui parvient à gagner 21 places de plus par rapport au classement de l’année précédente. YUL était alors à la 66e place.

Scénario inversé pour l’aéroport Pearson de Toronto qui lui recule de 21 cases pour atterrir à la 64e place…derrière Montréal.

Toujours à l’échelle canadienne, l’aéroport Vancouver devance YUL et Pearson en se voyant attribuer la 20e position, un gain de 8 places par rapport à 2022.

Notons que Calgary est le seul autre aéroport canadien à apparaitre de ce classement, à la 92e place.

Par ailleurs, à l’échelle nord-américaine, Montréal-Trudeau arrive cinquième au classement alors qu’il stagnait à la 10e position depuis plusieurs années.

Distinction spéciale pour les employés de YUL

Si l’aéroport Montréal-Trudeau réalise de belles performances cette année, les employés de YUL se démarquent encore davantage. Les employés de la communauté aéroportuaire ont en effet mis la main sur le premier prix dans la catégorie «Best Airport Staff Service» (traduction libre: meilleur service de la part du personnel aéroportuaire) en Amérique du Nord.

«Avec une très forte reprise des activités aériennes en 2022 qui aura engendré de nombreux défis pour notre industrie, je suis très fier de savoir que l’excellent travail des employés de notre communauté aéroportuaire a été reconnu. YUL se démarque depuis plusieurs années pour la qualité de son accueil et sa volonté à mettre l’expérience des passagers au cœur de ses préoccupations », a réagi le président-directeur général d’Aéroports de Montréal Philippe Rainville.

Le classement a été réalisé à partir de votes de voyageurs des airs venus des quatre coins de la planète, dans le cadre de la plus grande enquête de satisfaction client du transport aérien, The World Airport Survey. Les résultats ont été dévoilés le 15 mars.

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Taxis « illégaux » à l’aéroport À Montréal comme au Far West

PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

Des taxis attendent des voyageurs à l’aéroport Montréal-Trudeau, mercredi.


Maxime Bergeron
Maxime Bergeron La Presse

Le nombre de taxis « illégaux » a explosé à l’aéroport Montréal-Trudeau au cours des derniers mois. Chauffeurs harcelants, au moins une tentative d’extorsion, stationnement chaotique : près de 400 infractions ont été répertoriées depuis janvier. L’autorité aéroportuaire s’inquiète pour la sécurité des passagers et demande à Québec de revoir de toute urgence sa réglementation.

Publié à 5h00

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Je garde un souvenir très approximatif de mon premier voyage au Mexique.

Tournant du millénaire. Acapulco. Billet d’avion à 200 $ acheté à la dernière minute. Auberge à 12 $ la nuit trouvée dans un guide touristique froissé. Trop de soleil, trop de cerveza.

La seule chose dont je me souviens comme si c’était hier, c’est le trajet en « taxi » entre l’aéroport et le cœur de la ville. Je revois la horde de chauffeurs insistants à la sortie du terminal. La vieille Coccinelle défoncée dans laquelle je me suis engouffré. Et ce parcours tétanisant à 100 km/h, à flanc de montagne, sans aucun doute le plus stressant de toute ma vie.

Quiconque a déjà visité une destination exotique a vécu un scénario similaire.

Vous atterrissez, ramassez vos valises, et avant même d’avoir mis le pied dehors, vous êtes assailli par des chauffeurs de taxi plus ou moins louches. Souvent difficile de déterminer à qui faire confiance, surtout lorsqu’on a l’esprit un peu embrumé après un long vol.

Eh bien, le même phénomène s’observe maintenant à l’aéroport Montréal-Trudeau.

Le nombre de taxis « illégaux » a explosé au cours des derniers mois, ai-je appris. Les plaintes se multiplient, et de nombreux passagers ont vécu des situations où ils se sentaient en danger.

Aéroports de Montréal (ADM), l’autorité aéroportuaire, est très inquiète de la tournure des évènements.

C’est de mauvais augure pour l’image et la réputation de la métropole.


J’ai longuement parlé avec des responsables d’ADM ces derniers jours. Un incident en particulier m’a laissé stupéfait.

Une personne fraîchement arrivée à Montréal-Trudeau est montée dans ce qu’elle croyait être un taxi légitime. Une fois rendu sur l’autoroute Métropolitaine, à quelques kilomètres de l’aéroport, le chauffeur a exigé un paiement de 150 $, au comptant, « faute de quoi il menaçait de l’abandonner sur l’autoroute ».

PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

Voyageurs à l’aéroport Montréal-Trudeau

Une tentative d’extorsion pure et simple.

Comment Montréal a-t-il pu en arriver là ?

Jusqu’à récemment, les chauffeurs de taxi dûment accrédités par ADM attendaient sagement les passagers au niveau des arrivées, bien assis dans leurs véhicules. Les chauffeurs du service Uber, pour leur part, se cantonnaient à une porte bien identifiée, un étage plus haut.

Tout se passait à peu près dans l’ordre.

Les choses se sont dégradées après un changement réglementaire à Québec. Le gouvernement Legault a adopté en 2019 la Loi concernant le transport rémunéré de personnes par automobile, qui a entraîné dans son sillage la disparition (très discrète) du Bureau du taxi de la ville de Montréal, en décembre dernier.

Cette loi vise des objectifs louables, mais elle a aussi causé l’apparition de plusieurs angles morts et zones grises. Les problèmes sont devenus aigus avec la forte reprise du trafic aérien des derniers mois.

Montréal-Trudeau est en quelque sorte le ground zero de ce nouvel environnement réglementaire.


En gros, tout le monde et son prochain peut s’improviser chauffeur et aller cueillir des passagers à l’aéroport. ADM observe depuis plusieurs mois des particuliers qui vont proposer leurs services de conducteur, avec leur voiture personnelle, en offrant parfois de casser les prix pour faire concurrence à Uber. ADM les qualifie de « taxis illégaux ».

Il y a aussi la catégorie des vrais chauffeurs de taxi, qui sont de plus en plus nombreux à aller chercher des clients à Montréal-Trudeau sans être titulaire d’un permis aéroportuaire et sans suivre les règles très strictes d’ADM. Ils vont souvent grappiller des clients à la va-vite, n’importe où, surtout dans la zone réservée à Uber.

Je l’ai expérimenté il y a tout juste deux semaines, au retour d’un voyage en Europe.

Je marchais dans le terminal avec ma grosse valise quand un homme a surgi de nulle part pour m’offrir ses services. Un chauffeur d’une petite entreprise de taxi, qui m’a avoué aller chercher des clients à YUL dans ses temps libres, pour arrondir ses fins de mois. J’ai accepté son offre et fait le trajet jusque chez moi sans anicroche.

Certains ont été moins chanceux.

On me rapporte plusieurs cas de passagers qui se sont fait agripper leurs valises par des chauffeurs très entreprenants. D’autres qui se sont fait solliciter de façon moins brutale, mais tout aussi dérangeante, ou même extorquer.

ADM se dit impuissante devant la situation, puisque le Bureau du taxi, qui exerçait auparavant une surveillance serrée, a cessé d’exister il y a quatre mois.

La seule chose que les autorités aéroportuaires peuvent faire est de remorquer les véhicules garés illégalement au niveau des arrivées.

Pas de quoi faire peur à sa mère.

Des vérifications ponctuelles sont effectuées par des agents de Contrôle routier Québec, agence affiliée à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), qui a hérité du mandat de surveiller l’aéroport dans la foulée de la nouvelle loi provinciale.

Mais ceux-ci peuvent seulement agir s’ils constatent une transaction entre un passager et un chauffeur, donc un échange d’argent. Ils ne peuvent rien faire pour freiner la sollicitation, qui est au cœur de la crise actuelle.

Autre problème : ces contrôleurs provinciaux ne sont pas présents en tout temps à Montréal-Trudeau, puisqu’ils doivent aussi inspecter les poids lourds sur les autoroutes, vérifier les émissions polluantes des camions, etc.

Ce n’est pas très sérieux.

« Notre plus grande préoccupation concerne la sécurité des chauffeurs autorisés, mais surtout, celle des passagers, qui peuvent se trouver dans de très fâcheuses positions », m’a expliqué Anne-Sophie Hamel, directrice des communications de l’aéroport.

ADM dit avoir enregistré 374 « infractions » depuis le 1er janvier dernier, comme de la sollicitation, des vols de clients et des stationnements interdits de faux taxis. Et ce n’est sans doute que la pointe de l’iceberg, puisque les pouvoirs de surveillance et d’intervention de l’organisation sont limités.

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ADM a lancé une campagne d’affichage pour contrer le phénomène des taxis « illégaux ».

Pour tenter de calmer le jeu à court terme, ADM a lancé une campagne d’affichage à l’intérieur de l’aérogare. Elle rappelle aux voyageurs de toujours utiliser les taxis et Uber bien identifiés, qui, eux, continuent de travailler de façon légitime (et d’accumuler les frustrations par rapport à leurs nouveaux concurrents).

Les craintes d’ADM sont partagées par la Ville et par Tourisme Montréal. Au-delà des enjeux de sécurité, ils redoutent aussi que l’image de la métropole soit entachée par ce bordel digne d’un pays en développement.

Le chaos actuel est d’autant plus incompréhensible que le ministère des Transports a été averti il y a des années, dès 2017 en fait, au moment de l’élaboration de la nouvelle loi, que cette situation de Far West risquait de se produire à l’aéroport.


ADM a trois demandes précises pour le gouvernement. Que l’interdiction de sollicitation qui existait auparavant soit réintroduite, qu’elle puisse de nouveau exiger que les chauffeurs de taxi qui travaillent à l’aéroport soient tous accrédités, et que les contrôleurs routiers puissent agir dès le moment où ils observent de la sollicitation, et pas juste une transaction.

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Près de 400 infractions concernant des taxis « illégaux » ont été répertoriées depuis janvier à l’aéroport Montréal-Trudeau.

Une réunion est prévue bientôt avec le cabinet de la ministre des Transports Geneviève Guilbault pour discuter du dossier. Son cabinet dit avoir été informé « récemment » de la situation des taxis « illégaux », et avoir décidé de rencontrer ADM « rapidement ».

Pour assurer la sécurité des voyageurs et préserver l’image déjà écorchée de Montréal, on ne peut qu’espérer que Québec réponde sans tarder à l’appel.

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L’autre jour en revenant de Toronto il y avait un homme qui n’arrêtait pas d’essayer de trouver des clients dans la file pour les taxis. Il s’est approché de la famille derrière moi et essayait de les convaincre, ils m’ont regardé et j’ai fais non de la tête… Ça me faisait penser au hall des arrivées à Lima…

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Taxis « illégaux » à Montréal-Trudeau Une pratique devenue « beaucoup trop facile »

PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

Aéroports de Montréal, qui s’inquiète pour la sécurité des passagers, demande formellement à Québec de revoir de toute urgence sa réglementation.

L’explosion du nombre de taxis « illégaux » à l’aéroport Montréal-Trudeau appelle à des actions immédiates, estime l’un des plus grands regroupements de taxis dans la métropole, déplorant qu’il est tout simplement « devenu trop facile » de s’improviser chauffeur autorisé et d’en engranger des revenus.

Publié à 11h00 Mis à jour à 11h53

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Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

« Ça pousse comme des champignons, littéralement. C’est devenu beaucoup trop facile. Honnêtement, le gouvernement a ouvert une jungle avec tout ça », lance le directeur général de Taxi Coop, Jean Fortier, en entrevue avec La Presse.

Jeudi, le chroniqueur Maxime Bergeron révélait que près de 400 infractions ont été répertoriées depuis janvier seulement pour la présence de ces « taxis illégaux », dont les chauffeurs sont parfois harcelants, ou encore cherchent à frauder l’usager en augmentant le prix de façon arbitraire.

Aéroports de Montréal (ADM), qui s’inquiète pour la sécurité des passagers, demande formellement à Québec de revoir de toute urgence sa réglementation. Pour Jean Fortier, tout a changé depuis que Québec adopté en 2019 la Loi concernant le transport rémunéré de personnes par automobile. « Avant, on savait combien de personnes avaient un permis à Montréal. C’était légiféré, c’était clair. Là, il n’y a même plus réellement d’inventaire. N’importe qui peut devenir chauffeur autorisé », dit-il.

Le gestionnaire estime qu’il faudra « peut-être » mettre sur pied un nouveau regroupement de taxis pour faire pression sur le gouvernement. « Il faut qu’il y ait des actions qui soit posées rapidement. Nous, on ne peut pas faire grand-chose. Moi, si je m’en vais là-bas et que je commence à vérifier, c’est un chaos. Ça devient très compliqué à gérer », insiste M. Fortier.

À ses yeux, une solution peut facilement être mise en place. « On parle d’une situation aigüe à un endroit en particulier, avec certains regroupements. Je ne vois pas pourquoi on ne serait pas capables d’arriver avec quelque chose. Il s’agit que le gouvernement dispose d’une bonne oreille, d’une bonne écoute », ajoute-t-il.

« Un enjeu de sécurité majeur »

Chez Tourisme Montréal, la porte-parole Aurélie de Blois affirme que son groupe est « très préoccupé » par la situation. « Avec l’été à nos portes, il y aura des milliers de voyageurs qui vont affluer vers l’aéroport. C’est un enjeu de sécurité majeur, et on s’attend à ce que les autorités prennent action rapidement », dit-elle.

Pour l’organisme, il en va d’un « enjeu réputationnel » pour Montréal. « L’accueil, c’est le facteur numéro un du retour d’un visiteur dans une destination. Quand tu arrives à Montréal et que tu vis une expérience traumatisante, assurément que tu vas en parler à tes proches », souligne Mme de Blois.

Tourisme Montréal appelle les autorités à « effectuer un travail de communication » plus serré auprès des visiteurs, afin d’éviter que ceux-ci ne se fassent prendre par des taxis illégaux. « On espère aussi qu’une éventuelle réglementation fera en sorte qu’on est capables d’intervenir sur place, possiblement en donnant des amendes. Le problème doit être endigué à la source », conclut la porte-parole.

Sur Twitter, jeudi, la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, a quant à elle souligné que la situation rapportée par La Presse « est préoccupante ». « Je rencontre la direction de l’aéroport aujourd’hui pour faire le point et évaluer les solutions possibles », a-t-elle fait savoir.

Les demandes d’ADM sont les suivantes : d’abord, que l’interdiction de sollicitation qui existait auparavant soit réintroduite, qu’on puisse à nouveau exiger que les chauffeurs de taxi qui travaillent à l’aéroport soient tous accrédités et, enfin, que les contrôleurs routiers puissent agir dès le moment où ils observent de la sollicitation, et pas juste une transaction.

Sans l’aide de Québec, l’organisme se dit impuissant devant la situation, entre autres puisque le Bureau du taxi, qui exerçait auparavant une surveillance serrée, a cessé d’exister il y a quatre mois. « Notre plus grande préoccupation concerne la sécurité des chauffeurs autorisés, mais surtout, celle des passagers, qui peuvent se trouver dans de très fâcheuses positions », a de son côté illustré Anne-Sophie Hamel, directrice des communications de l’aéroport.

Pour tenter de calmer le jeu à court terme, ADM a d’ailleurs lancé une campagne d’affichage à l’intérieur de l’aérogare. Elle rappelle aux voyageurs de toujours utiliser les taxis et Uber bien identifiés, qui, eux, continuent de travailler de façon légitime.

Je ne savais pas que c’était le résultat d’un changement de loi, mais c’est vrai que c’est tout à fait perceptible comme phénomène.

L’automne dernier, j’attendais mon Uber en haut près des départs US et je sors en le voyant arriver pour apercevoir un des ces chauffeurs improvisés essayer de dire à mon Uber de partir parce que je n’en voulais plus. Ce chauffeur-là m’avait sollicité quelques minutes plus tôt, ils étaient 3-4 en équipe à bloquer l’espace réservés aux Uber/Eva et à tenter de faire croire aux gens qu’ils étaient le Uber qu’ils avaient commandé.

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Où sont les constables de la Sureté aéroportuaire ? La sécurité et l’ordre doivent être respectées autant à l’intérieur de l’aérogare qu’a l’extérieur de l’aérogare.

En amerique du sud tu te fait harceler par une meute de chauffeurs dans les aeroports.

Si ca commence a ressembler a ca a Montréal on va avoir une image negative pour les touristes dès leur arrivé.

Droit au but À quand un aéroport digne de ce nom ?

PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

Voyageurs à l’aéroport Montréal-Trudeau


Alexandre Sirois
Alexandre Sirois La Presse

Serait-ce trop demander que d’espérer pour Montréal un aéroport digne de ce nom ? Un aéroport qui ne fait pas la manchette en raison du chaos qui y règne, des vols retardés et des bagages perdus. Un aéroport qui ne met pas à l’épreuve la patience des voyageurs avec des files d’attente interminables aux douanes. Et un aéroport qui – c’est le plus récent fléau signalé – ne doit pas composer avec l’explosion du nombre de taxis « illégaux ».

Publié hier à 9h00

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Notre chroniqueur Maxime Bergeron a levé le voile jeudi sur cette situation intolérable. Il a même rapporté que le chauffeur d’un de ces taxis aurait réclamé 150 $ à la personne qu’il transportait en la menaçant de l’abandonner sur l’autoroute si elle ne payait pas ! Oui, c’est le Far West. Le coupable ? Le ministère des Transports du Québec, qui a changé les règles du jeu en 2020. Montréal a perdu la possibilité d’encadrer la réglementation sur le taxi, et le Bureau du taxi – qui faisait régner l’ordre – a disparu.

Le changement réglementaire a aussi ouvert la voie à la sollicitation des passagers à l’aéroport. Et tout ça a été fait en toute connaissance de cause. En effet, Aéroports de Montréal (ADM) avait fait part de ses préoccupations à Québec dès 2017, lorsque les changements législatifs ont été proposés.

La balle est maintenant dans le camp de la ministre des Transports, Geneviève Guilbault. Elle mène actuellement des discussions en vue de régler la situation. Qu’on mette fin à ce gâchis au plus vite !

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Lufthansa had its inaugural 787-9 flight to YUL from Frankfurt this afternoon. I manged to get a pic of it on arrival.

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Bildschön.

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