Demande de démolition du bâtiment existant construit en 1965 et remplacement par un bâtiment public de 3 étages.
Informations
Nom:
Emplacement: 2620 Boulevard Saint-Joseph Est, coin 2e Avenue
Hauteur: 3 étages
Architecte: ARCHIPEL ARCHITECTURE
Promoteur:
Début et fin de la construction:
Dates importantes:
Donc, en gros, un bâtiment ayant une valeur patrimoniale et un intérêt à être conservé, et pouvant l’être sur le plan constructif, va être démoli puisque le SGPI a été incapable d’effectuer un travail en amont pour identifier de meilleurs sites et pour se rendre compte de la valeur du bâtiment dès le départ, et pour trouver une solution de rechange.
De ce qu’on peut lire entre les lignes, le bâtiment va donc tomber en raison d’un manque de vision du SGPI, qui a mis le comité de démolition devant un fait accompli, pour être remplacé par un bâtiment de valeur moindre. Le comité a fait son travail et la réponse n’a pas plu, et puisque personne ne s’était dit que la réponse pouvait être non, aucun plan B n’existait. Bref, c’est un manque de respect pour les instances et pour le patrimoine sur toute la ligne.
C’est assez cavalier comme manière de procéder. À quoi sert le comité de démolition alors, si on peut renverser ainsi ses décisions sans problème et sur des bases aussi frêles que le non respect d’un échéancier? Comme si les échéanciers administratifs n’étaient pas constamment rallongés pour X ou Y raisons.
@Dom723 tu te demandais dernièrement si le CCU allait dire non à la ville pour un de ses propres projets. Ici ce n’est pas le CCU, mais le comité de démolition. L’instance est assez similaire cependant. Le comité était opposé à la démolition. Comme quoi ça peut arriver!