1280 rue Ontario est - ? étages

Agrandissement du bâtiment de l’organisme Spectre de Rue.

Informations

Nom:
Emplacement: 1280 rue Ontario est
Hauteur:
Architecte:
Promoteur: ** Spectre de Rue**
Début et fin de la construction:
Dates importantes:
Autres informations:

Sources des informations:

Mandat de lobbyisme

Période du mandat

Du 2025-05-30 au 2025-12-23

Résumé du mandat

Accompagnement de l’organisme auprès de l’arrondissement Ville-Marie pour obtenir un dérogation mineure au taux d’implantation pour le bâtiment localisé au 1280 rue Ontario est.

Contrepartie reçue ou à recevoir pour l’exercice des activités de lobbyisme

Aucune

Objectif (s)

Faire autorisé un taux d’implantation supérieur au maximum prescrit pour l’agrandissement du bâtiment.

De la façon que le mandat est formulé, j’imagine qu’ils vont simplement agrandir l’édifice vers l’arrière dans l’espace disponible.

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Je confirme, vivant dans le quartier et fréquentant les commerces avoisinants, il y a souvent des junkies sur le trottoir dans un état de dépravation totale, plusieurs seringues souillées non loin de là avec pleins de poubelles. C’est vraiment dégueulasse! J’ai peur pour ma sécurité ainsi que pour ma femme et mes enfants. Un collègue de travail habitant le coin confirme les mêmes propos.

4 « J'aime »

Passage devant le CCU. L’adresse là est le 1272, Rue Ontario.

Avis favorable.

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Inquiétude du voisinage concernant le projet d’agrandissement

L’agrandissement annoncé de ce centre de consommation supervisée suscite de l’inquiétude : l’école primaire Marguerite-Bourgeoys et le centre Yvon-Deschamps, un organisme communautaire fréquenté par des enfants, sont situés à moins de 300 mètres. Le secteur est déjà éprouvé par l’augmentation de l’usage de drogues dans l’espace public — et par la puissance de ces substances, qui font des ravages parmi les toxicomanes.

L’arrondissement de Ville-Marie a donné le feu vert à l’agrandissement de Spectre de rue dans le but d’offrir la consommation supervisée par inhalation, un phénomène à la hausse, et non plus seulement par injection.

La Direction régionale de santé publique de Montréal a financé ce projet en raison de l’augmentation des méfaits liés à l’inhalation de drogues. Une population relativement jeune inhale du crack, du fentanyl et de la méthamphétamine en cristaux, précise Mme Aubertin.

L’agrandissement n’attirera pas davantage d’utilisateurs de drogues, parce qu’ils se tiennent déjà dans le quartier, souligne-t-elle. L’ajout de quatre salles de consommation supervisée — il y en a déjà quatre sur place — répond tout simplement à la hausse importante de la consommation.

Ce réaménagement de Spectre de rue se fera dans la cour arrière du bâtiment, rue Ontario Est. Les gens pourront fumer leur drogue ou se l’injecter sous la supervision d’infirmières, d’intervenantes et de pairs aidants. Ils consommeront leur drogue à l’intérieur plutôt que dans les parcs ou les ruelles du secteur, explique Annie Aubertin. Leur matériel d’inhalation ou d’injection restera sur place. Ils risqueront moins de faire une surdose. Et ils seront accompagnés vers les services de santé et psychosociaux.