1245 Sherbrooke Ouest - 25 étages

Conversion de l’ancien siège social de Standard Life au 1245 Sherbrooke Ouest en immeuble à logements de 209 logements

Informations

Nom:
Emplacement: 1245, rue Sherbrooke Ouest
Hauteur: 25 étages
Architecte:
Promoteur: NexArm Investments
Début et fin de la construction: / 2025
Autres informations:

  • Préservation des façades extérieures, conversion des espaces de bureaux en logements.
  • 209 logements
  • Un étage sera réservé pour les bureaux de NexArm Investments.

Sources des informations:

Autres images

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Merci de l’information! C’est une grosse transformation, on parle de cet édifice:

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Transformer de vieux immeubles à bureau en logements est probablement la meilleure façon de transformer et revitaliser le centre-ville post-covid. J’espère que la ville va faciliter la tâche à ces entrepreneurs! Et que dire du quartier, ça sera vraiment une adresse de choix à Montréal

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Superbe nouvelle!

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Ils font la même chose à Calgary et ça a deja un impact positif sur sont centre ville

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J’ai toujours bien aimé l’édifice de la Standard Life, en espérant que les promoteurs ne vont pas trop le défigurer, comme ce qui est arrivé avec l’ancien édifice Birks situé au Square Phillips.

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J’imagine que les goûts sont dans la nature, moi je trouve la rénovation de l’édifice Birks très réussie.

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C’est une excellente nouvelle que les habitants du secteur attendaient depuis un bout de temps. Actuellement le site est triste, vidé de ses travailleurs et fermé de ses commerces, il est désert et apparait abandonné malgré la prestance et une certaine beauté de l’immeuble.

J’espère donc que c’est le début d’une reconversion de certains immeubles à bureaux en résidences. Le Centre-ville en a bien besoin car il y a beaucoup trop d’espace à bureau de disponible.

Et dans ce cas-ci, de 200 à 250 unités, cela va non seulement remettre de la vie sur ce tronçon de Sherbrooke mais aussi, et surtout, sur le très bel espace devant l’immeuble qui pourrait servir de terrasse pour un beau café haut de gamme. Je lance une idée comme ca !

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Redonner une deuxième vie à des édifices à bureaux devenus non concurrentiels et surtout inoccupés, c’est faire d’une pierre deux coups. D’abord on permet à une structure en bon état déjà pleinement utilisable, d’être réaménagée selon des besoins évidents, en l’occurrence résidentielle en pleine crise du logement.

Ensuite on densifie le secteur et on stimulera son économie par l’arrivée de nouveaux résidents permanents. On est gagnant à tout point de vue, même sur le plan environnemental puisque dans ce cas on ne contribue pas à l’étalement urbain. Par ailleurs on a plusieurs exemples de reconversions réussis dans ce domaine à Montréal, il ne suffit que d’appliquer la même bonne recette qui a fait ses preuves depuis une bonne dizaine d’années.

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Lors de ma promenade sur Sherbrooke aujourd’hui j’ai aperçu 2 inspecteurs de la ville sortir de l’immeuble. Je me suis alors empressé de les questionner sur l’avancement du projet. Ils m’ont répondu que les travaux étaient bel et bien commencé à l’intérieur et que le permis de faire les travaux avait été émit depuis quelques temps. Je n’ai aucune photo à montrer car rien ne parait de l’extérieur.

Donc cela est une bonne nouvelle sauf que le permis n’est pas très clair selon moi. On mentionne ‘‘aménager les étages en bureaux vacants pour futurs occupants’’ ! Cela me laisse un peu perplexe.

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Est-ce que les termes vague pourraient être dû au fait que, comme annoncé, NexArm veut aménager ses bureaux dans l’immeuble?

Ah! Je n’ai pas cette information. Je n’ai pas pris connaissance de l’intérêt de cette entreprise pour s’installer dans l’immeuble en question. Si c’est le cas alors bonne nouvelle. Mais ou peut-on avoir cette information?

Désolé, c’est mon erreur. J’avais mal lu l’article plus haut qui parle effectivement de conversions mixed-use mais pas spécifiquement par rapport à 1245 Sherbrooke O. Je présume cependant que ça risque d’être le cas, surtout aux premiers étages de celui-ci

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Avis favorable du CCU le 15 février dernier.

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Je m’excuse de réveiller ce fil de discussion sans aucune bonne nouvelle, mais en lisant le journal ‘‘Les Affaires’’ du mois d’avril je suis tombé sur un passage qui me laisse assez perplexe. L’extrait est tiré du Dossier ‘‘Immobilier résidentiel: Sortir de la crise’’ et il cite un expert en immobilier qui donne en exemple le 1245 Sherbrooke Ouest comme idée de conversion en résidentiel sauf que l’article mentionne que le promoteur est encore en attente du ‘‘feu vert de la ville’’ !!! Je ne sais pas trop ce que ca veut dire mais pourtant je croyais que le promoteur avait un permis pour faire les travaux.

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Ça prend plus qu’une solution pour apaiser la crise du logement | LesAffaires.com

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Le projet est passé devant le CCU en février, et le promoteur devait soumettre ensuite de nouveaux documents pour répondre à la condition demandée (symétrie des entrées). Je ne pense pas que c’est un délai anormal pour le moment.

Le permis actuel était seulement pour certains travaux intérieurs. L’édifice doit changer l’entièreté de ses fenêtres, entres autres, pour changer sa vocation.

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Le remplacement des fenêtres est en cours

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Les chiffres déprimants ne manquent pas ces jours-ci en matière de logement.

Il y a les taux d’inoccupation, minuscules. Les mises en chantier, faméliques. Les loyers, en hausse fulgurante. Les familles évincées, toujours plus nombreuses. Je pourrais vous en balancer des paragraphes entiers…

Je me concentrerai sur un seul chiffre aujourd’hui. Un chiffre a priori abstrait, mais aussi rempli de promesses : 1 million.

Plus précisément : 1 million de pieds carrés.

Résumé

Logement La promesse à 1 million

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Cette ancienne tour de bureaux de 21 étages, située au 1245, rue Sherbrooke Ouest, est en train d’être convertie en 209 logements.


Maxime Bergeron
Maxime Bergeron La Presse

Les chiffres déprimants ne manquent pas ces jours-ci en matière de logement.

Publié à 1h32 Mis à jour à 5h00

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Il y a les taux d’inoccupation, minuscules. Les mises en chantier, faméliques. Les loyers, en hausse fulgurante. Les familles évincées, toujours plus nombreuses. Je pourrais vous en balancer des paragraphes entiers…

Je me concentrerai sur un seul chiffre aujourd’hui. Un chiffre a priori abstrait, mais aussi rempli de promesses : 1 million.

Plus précisément : 1 million de pieds carrés.

C’est la quantité d’espaces de bureaux qui pourraient être convertis en logements, au centre-ville de Montréal. Des projets de transformation sont entamés ou à l’étude dans au moins quatre immeubles, ai-je appris, et une demi-douzaine d’autres, voire davantage, pourraient suivre.

Le potentiel est majeur, si les bonnes conditions sont réunies. Ça s’est vu ailleurs et il n’y a aucune raison que ça ne fonctionne pas ici.

Je me suis rendu à Calgary l’an dernier pour me pencher sur le phénomène des conversions. Cette ville est devenue, malgré elle, l’épicentre nord-américain pour ce type de projets⁠1.

La chute des prix du pétrole de 2014 puis la pandémie de COVID-19 ont fait bondir le taux d’inoccupation des bureaux à plus de 30 %. L’exode des locataires a fait fondre leur valeur foncière de 16 milliards de dollars. Cette baisse, par ricochet, a grugé les revenus fiscaux de la Ville.

Une spirale infernale, que la métropole albertaine a réussi à transformer en opportunité.

Comment ? Avec un généreux programme de subventions destiné aux promoteurs privés. Et une bureaucratie réduite à son plus strict minimum, pour accélérer les chantiers.

Ça a fonctionné du tonnerre. Depuis trois ans, 13 projets de conversion ont été lancés et quatre autres sont à l’étude. Ces transformations permettront d’ajouter 2300 logements dans le cœur de la ville. Gagnant sur toute la ligne.

Le centre-ville de Montréal est en meilleure posture que celui de Calgary. Il est plus habité. Plus diversifié.

Mais un péril bien réel plane. Le taux d’inoccupation des édifices de bureaux a doublé depuis la pandémie, à 18,5 %. Le travail en mode hybride n’est pas près de disparaître, ce qui laisse une quantité importante de tours à requalifier.

Je me suis intéressé à un projet qui suit discrètement son cours rue Sherbrooke Ouest, près de l’Université McGill. Une société d’Halifax, NexArm Investments, a racheté il y a un an l’ancien immeuble de la Standard Life pour 50 millions de dollars en vue de le transformer.

La tour de 21 étages sera convertie en 209 appartements locatifs. Le chantier avance rondement, m’a confirmé en entrevue George Armoyan Jr., qui gère les projets immobiliers québécois de cette entreprise familiale.

En fait, l’arrondissement de Ville-Marie et la Ville de Montréal ont fait preuve d’une surprenante rapidité dans ce dossier.

La transaction s’est conclue en juin 2023 et le permis de transformation, qui a permis de démolir l’intérieur du bâtiment, a été délivré dès le mois de septembre.

Le permis final pour la conversion, qui impliquera entre autres le remplacement de toutes les fenêtres, a été délivré récemment, donc en moins d’un an.

Il faut le souligner, le projet bénéficie d’un avantage majeur : le zonage est mixte dans ce secteur du centre-ville. Il permet l’usage résidentiel et commercial. Une demande de changement aurait ajouté des délais considérables.

Mais le fait de convertir un bâtiment existant, plutôt que de le démolir et de rebâtir à neuf, ajoute une « vitesse d’exécution » énorme au chantier, m’a fait valoir George Armoyan Jr. « On hérite en partant de la structure et de la façade, tout est là. »

Il s’attend à ce que les appartements soient livrés dans moins d’un an. La facture totale – ainsi que le montant des loyers – reste inconnue.

Selon la firme immobilière Avison Young, au moins trois autres projets de conversion en sont à différents stades d’avancement au centre-ville : boulevard René-Lévesque Ouest, rue Sainte-Catherine Ouest et dans l’ancien siège social du CN, rue De La Gauchetière Ouest.

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S’ils se concrétisent, ils totaliseront plus d’un million de pieds carrés. Ces transformations permettraient de réduire de 1 % à 1,5 % le taux d’inoccupation des bureaux au centre-ville, en plus de créer des centaines de logements.

Le potentiel de conversion est grand à Montréal, mais la complexité des projets l’est tout autant, m’ont rappelé deux experts d’Avison Young.

Les immeubles, par exemple, doivent avoir une superficie de plancher assez limitée pour que tous les appartements aient accès à des fenêtres. Il y a souvent des changements de zonage à faire, ou des étages à ajouter, ce qui peut ajouter des délais majeurs. Ils espèrent que la Ville fera preuve de plus de « flexibilité » en permettant une densification lorsque nécessaire.

L’administration Plante se dit « hyper favorable » à ce type de projets. Mais pas question pour l’instant de suivre les traces de Calgary avec un programme de subvention.

Attendez-vous à des débats grandissants à cet égard. La pression va s’accentuer pour que la Ville soit moins passive dans ce dossier. L’Institut de développement urbain du Québec, qui représente les promoteurs, a notamment demandé des crédits de taxes foncières ou des subventions il y a quelques semaines.

Demandes justifiées, selon moi.

On s’entend : ces conversions ne régleront pas la crise du logement. Les appartements qui seront livrés, comme ceux de la rue Sherbrooke Ouest, seront loin d’être à la portée de toutes les bourses.

Mais on l’a dit et redit : il faut augmenter l’offre dans toutes les gammes de prix. La Société canadienne d’hypothèques et de logement l’a encore confirmé dans une étude récente. Le fait de bâtir davantage d’unités, même plus chères, crée un effet d’entraînement qui libère des appartements plus abordables⁠2.

Il y a un bassin important d’immeubles à convertir, à Montréal et ailleurs au Québec. Qu’on facilite à tout prix ces transformations. En plus d’être écologique, c’est tout simplement logique.

1. Lisez « Sauver un centre-ville, mode d’emploi » 2. Consultez la recherche de la Société canadienne d’hypothèques et de logement

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2024-07-18 - Sur la page de EEGT Inc.

L’association se poursuit entre Corsim et EEGT Inc. en vue de la reconversion du 1245 Sherbrooke Ouest, un projet de construction à usage mixte d’une superficie de 186 761 pieds carrés.

En plus de travailler conjointement à l’exécution des plans, l’équipe sera responsable de la réalisation électrique des 209 unités locatives, de l’étage à bureaux, du commerce ainsi que des 3 étages de stationnement qui composeront le bâtiment de 25 étages.

Les travaux débuteront au retour des vacances et prendront fin en janvier de l’an 2026.

EEGT, votre solution électrique à tous vos projets!

N’hésitez pas à nous contacter.

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