1050, rue de la Montagne - 37 étages

Donc, si je comprends (enfin) le fonctionnement administratif de Ville-Marie, il est désormais possible de faire une demande d’accès à l’information !

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Rien de majeur, mais il y avait des employés de Coffrage Synergy qui visitaient le site aujourd’hui. Bonne nouvelle pour les choses à venir.

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Yess a new tower wooohoo :partying_face:

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La pelleteuse est rentrée comment :eye: :lips: :eye:

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@Mondo_Grosso a déjà montré la version papier du permis, mais celui-ci est maintenant dans les données ouvertes:

Bâtiment, agrandir en aire de bâtiment et en hauteur pour un total de 37 étages afin d’ajouter 261 logements. Au sous-sol, ajouter 92 unités de stationnement pour vélo. Au rez-de-chaussée, aménager un local commercial de 200 m². Travaux tels qu’aux plans approuvés.

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Ça va être tellement densifié dans ce coin là que je me demande si l’air va pouvoir passer.
Je dirais même que les occupants de ces tours vont pouvoir se donner la main tellement elles seront rapprochés.

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La petite maison à l’arrière a été démolie

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On va attendre voir si la construction embarque après la démolition, mais j’ai un bon sentiment que c’est maintenant un départ pour cette tour-là :slight_smile:

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En tout cas pour ma part je trouve que ce secteur est particulièrement propice a créer des corridors de vent au niveau du sol . Je ne sais pas si des ėtudes sur le phénomène de vortex engendrer par ces tours est pris en compte lors de l’implantation d’une nouvelle tour dans un secteur aussi dense. Mais comme piéton c’est assez désagréable

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On se fait déjà « venter » pas mal sur l’avenue des Canadiens, sur Drummond et sur de la Montagne au nord de René-Lévesque.

Toutes les grandes villes ont un quartier de gratte-ciel que ça plaise ou non. L’axe Maisonneuve à St-Antoine entre Guy et Saint-Laurent est le secteur de Montréal où c’est permis. J’aime mieux ça que les disséminer partout.

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Cette histoire de vent est subjective : l’été, en canicule, je suis particulièrement heureux d’être à l’ombre des gratte-ciel et même de sentir une bonne bourrasque, L’hiver c’est autre chose, mais cela dit, les endroit ou, l’hiver, le vent est de loin le plus désagréable ce n’est pas les occasionnelles bourrasques entre les gratte-ciels, mais bien le vent continu dans les endroits très à découvert… Quand je travaillais dans l’est du cv, l’hiver, je me rappelle que dans le coin de Radio-Can, les grands parkings étaient des moments ‘‘piquants’’ à passer pcq rien ne bloquait les rafales glacées. Plus au vrai cv, quand je m’y rendais, je ne sentais plus ce désagrément, ou très rarement. D’ailleurs, chers amis, en cas de doute sur ce genre de sujet, référez-vous à la nature : elle ne ment jamais. En ville, au centre-ville, il y a des types d’arbres ou de plantes qui poussent facilement. Allez faire un tour en campagne: vous n’en verrai jamais autant. Ils ont de la difficulté à passer l’hiver. La Nature n’a pas ‘‘d’impressions’’. Elle réagit directement, sans déformation intellectuelle ou psychologique. Au final, les ‘‘corridors de vent’’ tellement décriés sont soit occasionnels (comparés au endroits plus découverts), soit plutôt bienvenu quand il fait chaud l’été.

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Pas vraiment, elle est mesurable et simulable. On sait que les gratte-ciels, surtout aux coins, rabattent les rafales vers le sol ou encore, peuvent créer des couloirs d’engoufrement. Le rabattement des rafales par les coins est particulièrement désagréable à subir par les piétons, surtout quand il pleut ou il neige. Ces même rafales rabattues empêchent également la croissance des arbres.

C’est simplement car les arbres sont choisis et plantés en ville tandis qu’en campagne, ils poussent selon les conditions. Tous les arbres qui poussent en ville mais pas en campagne ne sont pas des espèces indigènes, tandis que la plus grande quantité de certaines espèces est simplement attribuable au fait qu’on les a choisi tandis qu’en nature, bien d’autres processus rentrent en compte (les sols, l’humidité, la pente, l’exposition au vent, la compétition, les espèces dominantes, la présence de cours d’eau, etc).

Oui, certains arbres ont plus de facilité à pousser en milieu urbain, puisqu’il y a moins de compétition et surtout, une intervention humaine, mais ils se retrouvent dans les quartiers de plus faible hauteur. Les arbres au centre-ville ont particulièrement de difficultés car ils ont beaucoup d’agents de stresse comme le manque de lumière, la densité piétonne, les déchets, la minéralisation, le sel de déglaçage, les rafales, etc. Bien des espèces indigènes, tel que la plupart des conifères, ont beaucoup de difficulté à pousser au centre-ville.

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2024-09-28

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