Construction de la tour à bureaux Place du Canada en 1967.
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Ilôt Saint-Antoine Ouest @ Mansfield en 1975. Le site actuel du 1000 de la Gauchetière, avec la devanture du Finale actuel en face.
Fonds Ministère des Communications, BAnQ.
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La voiture d’avant-guerre qui attend au coin de la rue, c’est quasiment un easter egg d’époque 
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Le parc Lafontaine était un endroit magique pour l’enfant que j’étais durant les années 50. J’aimais son atmosphère très particulière, ce n’était plus vraiment la ville, mais pas non plus la campagne. En ce sens il était unique et m’apparaissait immense avec son grand lac sur lequel on se baladait en bateau (appelé gondole) une mini croisière qu’on ne ratait jamais à chaque occasion.
Chaque visite était couronnée d’un pique-nique dans une atmosphère de fête familiale avec mes 5 frères et soeurs. C’est sûrement de là qu’est né mon amour du plein air et des activités natures dans de grands espaces.
Il y avait aussi le Jardin des Merveilles Chronique Montréalité no 13 – Le Jardin des Merveilles, 1957-1988 | Archives de Montréal , c’était notre petit Disneyland, tout ce qu’il fallait pour susciter le rêve, la fantaisie et l’imagination toujours débordante à cet âge.
Vraiment la vie en ville était bien différente d’aujourd’hui, les quartiers étaient de gros villages où tout le monde se connaissait et en plein babyboom on ne manquait jamais d’amis. Tandis que les dimanches après la messe, toute la famille se tassait dans le Hudson de mon père pour visiter la parenté dans la vraie campagne. Puis dans les années 60 c’est au chalet à St-Jean d’Iberville que l’on passait dorénavant les fins de semaines, comme c’était devenu la nouvelle mode pour ceux qui pouvaient fuir la ville et son air de plus en plus pollué.
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Nouvelles approches verdies du tunnel Wellington à l’intersection De la Montagne, le 12 août 1966, suite au retrait des deux voies centrales de tramway.
Fonds La Presse, BAnQ.
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La statue “La Grande Fonte” de Robert Roussil, à son emplacement original face au Square-Victoria, en 1978. Maintenant au Quai de la Pointe-du-Moulin.
Fonds Ministère de la culture et des communications, BAnQ.
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À l’époque il n’y avait pas de terrasse sur le toit du 12e étage!
On était tellement habitué à ces décors urbains d’apparence négligée, de certains taudis et des nombreux terrains vagues (stationnements) qu’on ne les remarquait plus. À noter l’aspect décrépi de l’Hôtel de Ville de Montréal, aujourd’hui impensable.
Ce qui m’amène à dire qu’en dépit de l’immense perte sèche d’édifices patrimoniaux, d’erreurs urbanistiques, la ville dans son ensemble s’est améliorée comme jamais sur le plan esthétique.
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Bombe et prise d’otage à la succursale de la Banque Nationale au coin des rues Sherbrooke/Du Parc, le 30 juillet 1981.
Fonds La Presse, BAnQ.
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C’est Sherbrooke/du Parc.
Merci 
C’est ajusté.
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Site de la Place Émilie-Gamelin au milieu des années 80, et sa transformation en future Place du 350e au printemps 1992.
Fonds La Presse, BAnQ.
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Quincaillerie Pascal près de la rue De Bleury @ Saint-Antoine au début des années 80, démoli pour l’agrandissement du Palais des Congrès et le recouvrement de l’autoute Ville-Marie au tournant du millénaire.
Archives VdeM.
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C’était très pratique d’avoir un Pascal au centre-ville même s’il y avait un rayon de quincaillerie chez Eaton.
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Bonne idée d’avoir changer le tour de l’Île pour juin
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