Station Édouard-Montpetit

On est enfin en mesure de figurer qu’elle aura la hauteur de l’édicule du REM, par rapport au Pavillon Marie-Victorin sur l’avenue Vincent D’Indy. Il semblerait que seulement les gens du dernier étage auront une vue "complètement dégager sur le boulevard Édouard-Montpetit. :smirk:

05-08-2021

J’ai eu l’occasion de jeter un coup d’oeil sur la structure d’acier, puisque les portes d’accès au chantier (oranges) étaient ouvertes lors de mon passage ce midi. Cependant, la vue sur l’ensemble de la structure m’était partiellement obstruée par l’immense pompe à béton qui était déployé… :roll_eyes:

Oh ! Est-ce que je vais être chanceux ? :astonished: Soyons patient un peu…

L’attente en a finalement valu la chandelle. :star_struck:

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Photo du chantier, partagée sur le site du REM:

Édouard-Montpetit - Juillet 2021

[Edit] Du FB du REM:

En cette période de rentrée scolaire, nous tenons à remercier les élèves de l’école primaire Saint-Germain d’Outremont pour leurs magnifiques dessins qui enjolivent notre mur antibruit situé face au parc-école, près de la station Édouard-Montpetit. :star_struck:

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L’installation de la toiture en bois a débuté aujourd’hui sur l’édicule de la station. :+1: :smiley:


Devisubox

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Lol the backs of their heads are blurred out.

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Dans l’Info-Lettre du REM… du 23 septembre dernier (oups ! :roll_eyes:):

:camera: En images

Édouard-Montpetit. Le montage de la structure d’acier de la station est maintenant quasi complété. Ce sont plus de 710 tonnes métriques d’acier qui ont été installées pour les 13 étages de la station! On aperçoit d’ailleurs très bien le squelette du futur édicule qui sort maintenant de terre. L’installation de l’enveloppe extérieure (murs, toiture, etc.) de l’édicule débutera cet automne. Un rappel : vous pouvez visionner l’avancement des travaux en tout temps avec nos caméras de chantier!


On observe qu’ils ont maintenant terminé l’installation de la toiture en bois et d’une première couche de membrane. Une chose est sûre, il ne tombera pas de neige au fond du puits de l’édicule cet hiver. :wink: :snowflake:


Devisubox

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Photos des travaux de la station, partagées sur le site du REM:

Septembre 2021

Puits de la station Édouard-Montpetit - Septembre 2021

Octobre 2021

Édicule de la station Édouard-Montpetit - Octobre 2021

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Voici LE timelapse de la station, de 2018 à aujourd’hui!

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Il y a une visite des médias la semaine prochaine, on risque d’avoir de belles images de cette station en construction. :slight_smile:

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Tel que nous l’avait annoncé @vincemtl, il y eu une visite de la station E-M pour certains médias.
Gang de chanceux. :smirk:

Voici le résumé de Reece Martin, partagé sur son fil Twitter. Un vidéo est en préparation pour diffusion ce vendredi… :film_strip: :grinning_face_with_smiling_eyes:

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463512075821535240

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463514633432666112

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463516035013873669

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463516042974666752

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463516238555103232

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463516417458905097

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463518100188540933

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463518214663639040

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463518910687424512

https://twitter.com/RM_Transit/status/1463518936373342222

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Topo from CTV Montreal (in the link below :point_down:):


Reportage du Journal Métro:

Les particularités du projet du REM Édouard-Montpetit

Journal Métro | ACTUALITÉS | 17:06 24 novembre 20211 | Par: Pascal Gaxet - Journaliste

En plein coeur du tunnel Mont Royal, Jean-Philippe Pelletier, directeur adjoint de réalisation du REM pour l’antenne Deux-Montagnes, nous explique les caractéristiques et le déroulement du projet du REM.

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La station Édouard-Montpetit du REM prend forme, malgré les obstacles


Photo: Marie-France Coallier Le Devoir | Les défis ont été nombreux depuis le début de ce chantier à l’été 2018.

Le Devoir | Transports / Urbanisme | 24 novembre 2021 | Zacharie Goudreault

La présence d’explosifs dans le tunnel du mont Royal, les tensions avec le voisinage et la proximité d’une conduite d’eau centenaire sont quelques-uns des défis qu’ont affrontés, au cours des dernières années, les travailleurs chargés de la construction de la station Édouard-Montpetit du Réseau express métropolitain (REM), qui avance malgré tout « à une vitesse folle ». Visite des lieux.

Article complet

La firme CDPQ Infra a convié les représentants des médias mercredi matin pour visiter le chantier de cette station, dont la structure et le toit en bois sont déjà bien visibles de l’avenue Vincent-D’Indy, dans le quartier Côte-des-Neiges. Il ne s’agit toutefois là que de « la pointe de l’iceberg » de ce chantier, en cours depuis l’été 2018, lance d’emblée le porte-parole du bureau de projet du REM, Jean-Vincent Lacroix.

Pour constater l’ampleur des travaux en cours, Le Devoir s’est engouffré dans un ascenseur afin de pénétrer dans l’antre de cette station, où jusqu’à 5000 usagers transiteront chaque heure à partir de l’automne 2023. À 55 mètres de profondeur, on accède à ce qui deviendra la mezzanine de cette station, qui comprendra cinq ascenseurs, des escaliers mécaniques et un autre traditionnel, pour les situations d’urgence.

Sur le principe des stations de métro, les usagers de cette station du futur train léger auront accès à deux quais distincts pour se rendre soit en direction de la gare de Deux-Montagnes, sur la Rive-Nord, ou encore vers le centre-ville ainsi qu’à Brossard, sur la Rive-Sud. Le trajet entre cette station et celle de McGill se fera en trois minutes, tandis que la fréquence des trains sera de deux minutes et demie aux heures de pointe.

À VOIR AUSSI

En photos | Visite de la station Édouard-Montpetit du REM

« Ça va complètement changer les habitudes de transport de la population », entrevoit ainsi le directeur adjoint à la réalisation du projet du REM pour le tronçon Deux-Montagnes, Jean-Philippe Pelletier. Actuellement, les résidents de Côte-des-Neiges doivent prévoir environ 25 minutes, en bus ou en métro, pour se rendre au centre-ville, en raison du détour qu’impose la présence du mont Royal, explique-t-il.

La construction de ce lien du REM entre le centre-ville et le quartier Côte-des-Neiges permettra d’ailleurs de concrétiser un projet imaginé par la Ville dès 1961, à l’ère de l’ancien maire Jean Drapeau. Identifiée de couleur rouge dans les archives, cette ligne de métro hypothétique devait utiliser la voie de chemin de fer qui passe sous le mont Royal pour se rendre au centre-ville. Avec le REM, « on est en train de boucler la boucle », se réjouit ainsi M. Lacroix.

Un record de profondeur

L’antre de la station est voué à terme à avoir une architecture léchée qui comportera des fenêtres ouvertes sur le roc du mont Royal et un fort éclairage qui compensera l’absence de lumière naturelle.

« On va laisser tout un pan de mur qui va montrer la roche du tunnel du mont Royal, qui va rester là et qui va être intégrée dans le concept architectural de la station », explique Jean-Philippe Pelletier. Une œuvre d’art sera aussi installée dans la station, précise-t-il. Pour l’instant, cependant, la cinquantaine de travailleurs à l’œuvre sur ce chantier doivent circuler à plusieurs endroits sur un sol meuble et inégal dans un décor austère et frigorifiant.

À partir de la mezzanine, on descend ensuite des marches en bois pour accéder au tunnel du mont Royal, qui a dû être élargi pour laisser assez de place aux quais de la station, qui seront munis de portes palières pour éviter les arrêts de service causés par la présence d’usagers ou d’objets sur les rails, comme c’est souvent le cas dans le métro. Ces quais se trouveront à 72 mètres de profondeur, un record au pays.

« On est dans l’équivalent d’un bâtiment de 20 étages, mais à l’envers », lance M. Pelletier. Malgré cette profondeur, les ascenseurs qui seront installés dans cette station ne mettront que 20 secondes pour relier la surface aux quais, ajoute-t-il.

De nombreux défis

Les défis ont toutefois été nombreux depuis le début de ce chantier. En juillet 2020, une détonation imprévue et la découverte de résidus d’explosifs dans le tunnel du mont Royal datant d’une centaine d’années ont pris les travailleurs de l’immense chantier du REM par surprise, entraînant un report d’un an quant à l’échéancier initial des travaux des stations situées dans le tunnel du mont Royal et une augmentation des coûts du projet de train léger.

Le plus grand défi, aux dires de Jean-Philippe Pelletier, a toutefois été celui de la cohabitation avec le voisinage autour de cette station, située à cinq mètres du pavillon Marie-Victorin de l’Université de Montréal et à une centaine de mètres de l’école primaire Saint-Germain, à Outremont. Les méthodes de construction ont ainsi été revues pour limiter les nuisances sonores, en particulier la nuit, tandis que des murs antibruit ont été installés autour du chantier.

« Cet ouvrage-là, c’est le même type d’ouvrage qu’on va faire dans le nord du Québec quand on creuse pour faire des avenues d’eau pour les centrales hydroélectriques, mais on a fait ça en plein cœur de la ville », illustre l’ingénieur de formation.

Les travailleurs ont aussi dû faire preuve de prudence dans leurs opérations de dynamitage dans les dernières années afin de s’assurer que les vibrations engendrées par celles-ci n’endommagent pas une conduite d’aqueduc centenaire située à deux mètres seulement de cette future station du REM, note par ailleurs M. Pelletier.

Malgré tout, les travaux avancent « à une vitesse folle », se réjouit M. Pelletier, qui se montre ainsi confiant quant au respect du dernier échéancier concernant ce projet. À suivre.

Quelques-unes des magnifiques photos réalisées et partagées par Marie-France Coallier:


Marie-France Coallier | Le Devoir


Marie-France Coallier | Le Devoir


Marie-France Coallier | Le Devoir


Marie-France Coallier | Le Devoir


Marie-France Coallier | Le Devoir


Montreal’s Édouard-Montpetit station bringing Jean Drapeau’s dream to reality

The station in the depths of Mount Royal — first dreamed up by the former mayor in the 1960s — is taking shape 72 metres below the road surface.

Montreal Gazette | Jason Magder | Nov 24, 2021

There is a lot of history in the 72-metre-deep train station taking shape in the middle of the city.

Full article

A station in the depths of Mount Royal was first dreamed up by Jean Drapeau in the 1960s, who planned to convert the Deux-Montagnes commuter rail line into a surface métro as part of the initial network he launched in 1966 . In the 1980s, builders of the Blue Line’s Édouard-Montpetit station added a hidden chamber to eventually link that station with a future station in the Mount Royal Tunnel below.

Drapeau’s dream is on the verge of becoming reality, as work on the Édouard-Montpetit station — now part of the Réseau express métropolitain network — is in full tilt (though the hidden chamber was deemed not useful in the construction of the station). On Tuesday, reporters got a look at the station, the deepest in Canada, at 72 metres below street level (or 20 storeys), and second deepest in North America next to the Washington Park station on Portland, Ore.’s MAX light rail system, which is 79 metres deep.

The station will put Mount Royal’s distinctive limestone on full display, with a large limestone wall left visible where escalators will take commuters to the platform. The 35 cubic metres of limestone dug out will be crushed and used as the foundation for the train tracks of the Deux-Montagnes branch of the system.

“This station is marking the history of Montreal,” said Jean-Philippe Pelletier, deputy director of work coordination for the REM. “It’s also a game changer for the people who live in the area, because it allows them to get downtown in three minutes, instead of 25 minutes as it is now.”

Started in June 2018, with daily dynamite blasts for a period of several months, the station has begun to take shape over the course of this year, with a steel structure visible at street level.

Reporters descended into the tunnel on a work elevator. When completed, five high-speed elevators will each carry up to 20 people to the station in roughly 20 seconds. A stairway has also been built to link to the surface, but it won’t be accessible unless there is an emergency.

Standing on a gravel surface, surrounded by the vaulted ceiling of the tunnel, Pelletier said the builders’ greatest challenge is coexisting with vital urban infrastructure: two metres from a city of Montreal aqueduct, five metres from the Marie-Victorin pavilion of Université de Montréal, 10 metres from the rushing trains on the métro’s Blue Line, and less than 100 metres from École St-Germain d’Outremont .

“Because drilling and dynamiting can generate vibrations, we developed a lot of techniques to limit vibrations,” he said.

Pelletier said the worksite is like building an open-pit mine, but using the least amount of space possible because of the urban setting.

“I like to say we put the construction site on a postage stamp, because the space is extremely small and the contractor found a way to manage all the delivery of materials, as well as transporting (the rock that was dug out).”

Added to that challenge, was doing much of the work remotely, because the discovery of remaining century-old explosives forced crews to keep their distance, while remote-controlled robots did much of the drilling.

Other challenges included diverting the water around the tunnel, and creating a water pumping station. A good deal of traffic management is required, as the station is a transit point for concrete-mixer trucks, ATVs and buses carrying crews working on the five-kilometre tunnel, the McGill, Mont-Royal or Canora stations.

In the coming months, rails will be built on the spot where Pelletier was standing. After that point, the tunnel will be used by work trains carrying crews to their sites.

Once completed in 2023, the station will be part of a roughly $7 billion driverless train network linking Brossard to downtown’s Central Station over the Champlain Bridge, replacing the old Deux-Montagnes train line and adding branches that lead to Ste-Anne-de-Bellevue and Trudeau airport in Dorval.

Link to the fantastic pictures from the media visit, taken by Allen McInnis: :star_struck: :point_down:

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J’espère vraiment qu’on va garder la ‘‘cavernéité’’ de la station avec le roc exposé et même les volumes excavés recouverts d’enduits sont intéressants. J’espère qu’on va garder le côté grotte monumentale et que le roc ne sera pas ennuyant comme le ramasse poussière de Jean-Talon ou caché derrière un plexiglass comme à Snowdon…

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Station Édouard-Montpetit du REM À 70 mètres sous terre


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Creusée dans le roc jusqu’à 70 mètres sous la surface, la future station Édouard-Montpetit du Réseau express métropolitain (REM) sera la plus profonde au Canada. « C’est un chantier digne de ce qui se fait dans le Grand Nord », mais creusé dans le roc en milieu urbain, à moins de cinq mètres d’un pavillon achalandé de l’Université de Montréal, résume l’ingénieur Jean-Philippe Pelletier, de CDPQ Infra. Visite en photos.

Publié le 25 novembre 2021 à 5h00 | TRISTAN PÉLOQUIN & ALAIN ROBERGE | LA PRESSE

Prudence et ingéniosité


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Érigée là où se trouvait l’ancien édicule de la station de métro Édouard-Montpetit (ligne bleue), la structure d’acier de la station du REM n’est que la pointe de l’iceberg d’un impressionnant dédale de tunnels de béton creusés depuis l’été 2018 au cœur du mont Royal. Les concepteurs ont dû faire preuve d’ingéniosité pour arriver à effectuer du « microdynamitage » et percer un trou de 70 mètres de profondeur si près de l’établissement universitaire, d’une importante conduite du réseau de distribution d’eau et de différents ouvrages utilitaires.

Clip de 0:29

Ascenseurs à haute vitesse


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Pour arriver ici, à 50 mètres sous terre, les passagers du REM pourront utiliser l’un des cinq ascenseurs à haute vitesse qui les transporteront de la surface à la station en 20 secondes. Derrière la toile orange se trouve une autre descente, qui conduit, 20 mètres plus bas, au tunnel sous le mont Royal, une infrastructure centenaire qui était utilisée avant le début des travaux pour la ligne de train de banlieue Montréal–Deux-Montagnes.

Clip de 2:22

« L’équivalent d’un immeuble de 20 étages, mais sous terre »


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

« Les ouvriers ont dû construire l’équivalent d’un immeuble de 20 étages, mais sous terre », explique l’ingénieur Jean-Philippe Pelletier, responsable du secteur Deux-Montagnes à CDPQ Infra. Au-dessus de la structure d’acier visible (qui sera recouverte d’éléments architecturaux), 12 étages techniques logent l’imposant système de ventilation du tunnel, les systèmes électriques et l’équipement d’urgence. En noir, sur la voûte, on aperçoit une membrane qui sert à capter l’eau de ruissellement, qui sera pompée vers les égouts de la ville.

Déplacements des voyageurs


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE | Vistite du chantier REM, station Édouard-Montpetit, à 70 mètres sous terre.

Un escalier roulant permettra de franchir les 20 mètres restants entre la sortie des ascenseurs à haute vitesse et le tunnel sous le mont Royal, tout au fond de la station. Les voyageurs pourront aussi arriver au quai du REM par un tunnel piétonnier relié à la station de métro Édouard-Montpetit, ce qui représente environ deux minutes de marche. « C’est moins long que passer de la ligne orange à la ligne jaune à la station de métro Berri-UQAM », illustre Jean-Vincent Lacroix, directeur des communications de CDPQ Infra.

Un train toutes les deux minutes et demie aux heures de pointe


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

L’opérateur de la bétonnière, stationnée là où seront les rails du REM, s’apprête à déverser le reste de sa cargaison de ciment à l’endroit où se trouvera le futur quai de la station. Un train s’y arrêtera toutes les deux minutes et demie (aux heures de pointe) pour transporter les passagers en direction de Sainte-Anne-de-Bellevue, de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau et de Deux-Montagnes.

À la station McGil en trois minutes


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Dans l’autre direction, vers le sud, le REM transportera les passagers à la station McGill, en plein centre-ville de Montréal, en seulement trois minutes. De là, ils auront accès au métro.

35 000 mètres cubes de roche excavés


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Le tunnel sous le mont Royal, creusé de 1912 à 1918, servait au passage d’une soixantaine de trains par jour auparavant. Avec le REM, ce nombre passera à 500 par jour, ce qui nécessite notamment l’installation de puissants ventilateurs de deux mètres de diamètre pour mettre l’installation aux normes. Pour creuser la station, environ 35 000 mètres cubes de roche ont été excavés, puis transportés à une installation où le roc a été broyé afin d’être réutilisé pour les fondations des voies ferroviaires.

Tentatives du passé


PHOTO FOURNIE PAR ARCHIVES MONTRÉAL | L’ancien maire de Montréal Jean Drapeau présente les projets des lignes verte, orange et rouge, qui devait passer sous le mont Royal, en présence du président du comité exécutif, Lucien Saulnier, le 20 octobre 1961.

Dès la construction du métro, en 1961, ses concepteurs ont eu l’idée de se servir du tunnel sous le mont Royal pour construire la « ligne rouge » qui devait relier Ahuntsic-Cartierville au centre-ville de Montréal. En 1983, le maire Jean Drapeau a même présenté ce plan, qui prévoyait de faire descendre et monter les usagers par des escaliers, mais le projet a fini par être abandonné.

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Les voyageurs pourront aussi arriver au quai du REM par un tunnel piétonnier relié à la station de métro Édouard-Montpetit, ce qui représente environ deux minutes de marche. « C’est moins long que passer de la ligne orange à la ligne jaune à la station de métro Berri-UQAM », illustre Jean-Vincent Lacroix, directeur des communications de CDPQ Infra.

CDPQi avait admis que le transfert pouvait être plus rapide, mais aurait nécessité la fermeture temporaire de la station Édouard-Montpetit. La qualité des transfert a pourtant un sérieux impact sur le choix d’un personne de prendre les TEC. Le traitement de la ligne A, et les enjeux de la ligne B étant réduits à son intégration architecturale, n’est pas très encourageant.

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La visite complète (ou presque) avec Shane Seguin:

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Via la story du REM:

image osaimages
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“Je ne pouvais pas soupçonner, en 2019, que derrière les panneaux qui protègent le chantier du REM à la station Édouard Montpetit se trouvait un trou aussi immense. Profond, jusque dans les entrailles de la ville. Tout au fond, dans la lumière blafarde, les ouvriers dynamitaient le roc. J’avais l’impression d’avoir été transporté dans le décor d’un film sci-fi. Une autre planète à quelques mètres du CEPSUM.” - Ulysse
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Photographe: @ulysse_lemerise
Pour: @cdpqinfra et @rem_metro

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Photos des travaux de cette station, qui viennent tout juste d’être partagées sur le site de NouvLR:

Structure d’acier de la station Édouard-Montpetit - Hiver 2021

Escaliers station Édouard-Montpetit - Été 2021

Station Édouard-Montpetit - Automne 2021

Travaux sur la structure d’acier Édouard-Montpetit - Automne 2021

Installation des plafonds de l’édicule de la station Édouard-Montpetit - Automne 2021

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Dans l’Info-Travaux de la station:

Nature des travaux :

En 2022, l’aménagement de l’intérieur de la station et de son édicule se poursuivront, tandis que la construction des quais dans le tunnel s’amorcera.

Voici le détail des activités à venir :

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Bravo pour cette accomplissement. :clap:
Vraiment hâte d’emprunter (et d’admirer) cette station ! :star_struck:

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