Rue Saint-Denis (Plateau) - Actualités commerciales

Il y avait un restaurant de pogo coréen là-bas avant! C’etait Wagdog je pense

J’ai été déçu de le voir fermer mais je n’ai pas été surpris car il y avait un manque total de publicité a l’exterieur. Ce restaurant peut avoir du succès mais il faudra que leur nom soit vraiment visible de la rue

3 « J'aime »

Il y a un reportage vidéo sur le site qui accompagne l’article
On parle d’un taux d’occupation de 81.5% des locaux

Jacques Nacouzi, a REV rider and merchant on St. Denis, said the bike path is good for his business, Les Ateliers Kikicode.

“If you compare my 2019 to 2022, my revenues have doubled. Is it only because of the REV? No, there are many factors, but the rev definitely has helped,” he said as families cycled past him on the bike path.
[…]
Some shop owners contacted by CTV News on Monday who did not want to be interviewed on camera said that they didn’t think the REV led to an increase in their sales.

The St. Denis Merchants’ Association wrote, however, that the occupancy rate on the stretch between Roy and Gilford is about 81.5 per cent — the highest rate since the association started keeping records three years ago.

3 « J'aime »

Faut qu’ils parlent français aussi. Je suis tombé sur un employé qui ne parlait ni francais ni anglais…

1 « J'aime »

Huh je me souviens que j’ai commandé en français :thinking: mais ça se peut que ce fût des différents employés

Quelques nouvelles dans le coin de l’intersection avec la rue Rachel:

Voici le local de la SQDC:

Ces locaux en rénovation sont maintenant à louer:

Le gros local à côté de la nouvelle pâtisserie sera un magasin de vélo:

6 « J'aime »

Un nom étrange pour un café!

1 « J'aime »

Un témoignage intéressant d’une nouvelle commerçante sur Saint-Denis, atteinte de paralysie cérébrale:

Texte intégral

Le rêve d’Azalia, rue Saint-Denis

Photo: Valérian Mazataud Le Devoir Azalia Kaviani (en bas) et sa mère Fanny Esfahani

Josiane Cossette

6 octobre 2022IDÉES

Rédactrice et citoyenne engagée, l’autrice a enseigné la littérature au collégial, est présidente du conseil d’établissement d’une école primaire et membre du comité de rédaction de Lettres québécoises. Elle a codirigé et coécrit l’essai collectif Traitements-chocs et tartelettes. Bilan critique de la gestion de la COVID-19 au Québec (Somme toute).

Depuis l’implantation du REV, la rue Saint-Denis revit. Son visage se transforme grâce à l’audace d’entrepreneurs qui ont foi en leur quartier. Parmi eux, Azalia Kaviani, qui a ouvert cet été le restaurant Azalea, entre les rues Rachel et Marie-Anne. Mais à sa grande volonté et son amour du Plateau Mont-Royal s’ajoute une condition pas banale : la paralysie cérébrale.

Je rejoins Azalia sur la vaste terrasse à l’arrière du restaurant, où la cuisinière me guide. La jeune femme m’y accueille avec un grand sourire, puis se lève et m’entraîne à l’intérieur au rythme que lui permet sa motricité. Mon ordinateur ne fonctionne que lorsqu’il est branché. Nous prenons place à une table en ce mercredi midi. Je connecte ma machine, puis elle sort la sienne : une tablette numérique sur laquelle elle commence à pianoter. À un doigt, elle aligne les mots qui germent dans son esprit sans parvenir à franchir ses lèvres. Puis, la voix de Siri me les lit.

« Je vais vous parler grâce à ma tablette », m’explique-t-elle. C’est parfait. Azalia est née en Iran. Arrivée avec sa famille au Québec en 2006, elle a d’abord étudié au collège Dawson en chimie avant de bifurquer vers la comptabilité. C’est dans cette discipline qu’elle a ensuite décroché un baccalauréat à Concordia. Je suis curieuse de savoir comment elle en est venue à la restauration.

« Je travaillais dans un restaurant mexicain au marketing et à la comptabilité. Le restaurant a fermé pendant la pandémie. Après que j’ai perdu mon travail, j’ai rappelé quelques restaurants, envoyé des CV, et on me refusait. » La tablette parle dorénavant avec un accent anglais qui me fait sourire, mais n’empêche en rien la compréhension. Bonjour-hi et on continue, ma curiosité reste à satisfaire. Par quelle magie est-elle parvenue à ouvrir son propre restaurant, en plein coeur du Plateau ? Je m’avoue un peu médusée…

« Avez-vous eu l’aide de quelqu’un, d’un organisme, de subventions pour réussir à ouvrir ici, rue Saint-Denis ? » Elle rit. « Ma mère », répond-elle. Le chat est sorti du sac. Je tourne la tête et observe plus longuement la cuisinière qui m’a accueillie et qui vient de temps à autre s’enquérir que tout va bien. L’air de famille ne trompe pas. Fanny Esfahani se joint gentiment à nous.

L’amour d’une mère

« Quand Azalia naît, je comprends qu’il y a un problème. Puis j’apprends qu’elle a la paralysie cérébrale. Mais toujours, je l’ai amenée partout avec moi. Quand je travaillais, quand j’allais voir mes amies. Quand elle a commencé l’école, elle n’a pas été acceptée à l’école régulière. On m’a dit de la mettre à l’école spécialisée, les personnes pensaient qu’elle avait un déficit cognitif. »

Pas du tout — mais ce préjugé a la vie dure. Alors que Fanny me raconte l’histoire d’Azalia, je repense à un homme atteint de paralysie cérébrale qui était venu nous visiter, dans ma classe de sixième année. « Moi, je suis très intelligent », nous avait-il dit, avec humour. « Dans ma tête, ça va très vite. C’est le chemin entre ma tête et mes muscles qui est plus lent. » Je ne l’ai jamais oublié.

Mais Fanny a insisté, et l’école a accepté l’entente suivante : on essaie, et si Azalia réussit bien, elle pourra rester. « Au début, quelques enfants n’acceptaient pas Azalia, mais après trois mois, elle a très bien réussi tous les examens. » Et le vent a tourné. Non seulement a-t-elle pu poursuivre sa scolarité dans cette école, mais les élèves en difficulté ont été tellement inspirés par son courage et sa détermination que la moyenne des notes de l’école a augmenté ! « L’intégration, c’est la meilleure chose au monde », me dit Fanny. Mais je ne suis pas à convaincre.

Ses mots me rappellent Le petit astronaute, de Jean-Paul Eid. Dans cette bande dessinée, les parents de Tom, jeune garçon atteint de paralysie cérébrale, sont comme Fanny : se heurtant à des refus, même dans des milieux prônant de belles valeurs sur papier, ils bataillent pour que leur enfant puisse évoluer dans une garderie « normale ». Tom se développe comme jamais, entouré de ses copains — mais lui aussi les tire vers le haut en les éveillant à la différence, à l’empathie, en les amenant à changer leur regard, à ne pas réduire les personnes à leur handicap. Vivement plus de services pour soutenir cette approche.

Azalia lit beaucoup, elle peint, a une professeure d’art dans le Vieux-Port, danse, étudie la chorégraphie à l’UQAM. Quand elle décide quelque chose, tassez-vous de d’là, comme chantait Dédé. « Donnez-leur une chance pour le travail, pour les études, devenez leur ami », plaide Fanny. « Si on me met un ordinateur dans les mains, je ne sais pas comment m’en servir. Mais Azalia fait des choses rapides dans l’ordinateur… » Pour le découvrir, encore faut-il se donner le temps. Un temps qu’on s’octroie trop peu dans notre société axée sur la productivité. « Il faut leur donner une chance », oui.

Mère et fille ont saisi la leur et ont foncé, rue Saint-Denis. Elles veulent redonner à leur voisinage. « Le monde manque d’empathie, d’amour », se désole, l’oeil mouillé, celle qui en a de toute évidence à revendre. Elle refusera de me laisser partir sans me servir une réconfortante soupe aux parfums d’Orient et un généreux (et moelleux !) sandwich à l’avocat. En cette Journée mondiale de la paralysie cérébrale (et toutes les autres), passez les voir : elles vous accueilleront à bras ouverts… et vos papilles ne seront pas en reste, pas plus que votre soif de belles histoires.

Pour ma part, j’ai quitté le 4306, rue Saint-Denis, le coeur chaud en me promettant d’y revenir — et ce n’était pas juste à cause de la soupe.


J’ai pris quelques photos la semaine passée sur Saint-Denis aussi.

8 « J'aime »

2 promenades sur Saint-Denis aujourd’hui. La première vers 15h et la seconde vers 20h30. J’ai été déçu par le manque de piétons donc de vitalité. Plusieurs restos étaient vides vers 20h30, ce qui n’est pas normal. les classiques et certains nouveaux s’en sortent bien (L’Express, le Cherrier, la Fabrique, le Barouf, Auprès de ma blonde ainsi que Colonel Moutarde et Cabaret l’Enfer).

Piste cyclable vide vers 20h30. Pas beaucoup de piétons. Mais une circulation automobile soutenue. Il manque définitivement quelque chose et cela passe, selon moi, sans aucun doute par une densification du secteur. La recette simple est la densification, comme partout ailleurs…d’ailleurs !

4 « J'aime »

L’été ça grouille de monde mais je dois avouer que l’hivers c’est très déprimant. Peut-être des évênnements familliaux en hiver peuvent être interessant pour ramener un peu de vie ?

J’ai trouvé que la rue a retrouvé sa vitalité cette année. L’été et même les beaux jours d’automne, il y avait des moments où ça me faisait penser aux années 2000 avant son déclin. Je ne m’inquiète pas trop pour Saint-Denis.

Hier c’était un peu bizarre en matière d’achalandage. Il faisait beau et le centre-ville était bondé de monde, mais le Plateau, la Petite-Patrie et la Petite-Italie étaient tous plus tranquilles que d’habitude.

C’est tout à fait vrai. Le Centre-ville était bondé de monde, voir impressionnant. Et en même temps, Saint-Denis semblait désert. J’espère bien que ce n’était que circonstanciel. Mais ça me fait toujours de la peine de voir ma rue préférée presque vide, un samedi soir vers 20h30.

J’ai aussi peur pour certains restos qui étaient vides. Je ne dirai pas lesquels mais je doute qu’ils passent l’hiver. Depuis plusieurs mois, certains restos, plusieurs mêmes, sont déserts. Pendant que d’autres fonctionnent toujours bien. Alors ça provoque un sentiment bizarre, une sorte d’ambiguïté dont je n’arrive pas encore à saisir. Je trouve aussi que la SDC et l’arrondissement ne remplissent pas bien leur rôle. Ils ne sont pas de bons promoteurs, ça c’est sûr.

La SQDC a l’air ouverte maintenant:

L’édifice en rénovation en face est pratiquement terminé:

6 « J'aime »

I feel lots of action in this section of st Denis I’m noticing many new restos and stores …you can feel that it’s coming back :+1:

6 « J'aime »

Sur le compte Twitter de @jacouzi

Hier, je suis allé au resto avec mes parents, et on a marché Saint-Denis de Laurier à Rachel pour s’y rendre. La rue était belle, les restaurants super occupés (ça donnait le goût d’en essayer plusieurs autres de voir certaines adresses si populaires), beaucoup de gens dans la rue. Il y a des tonnes de nouveaux commerces. J’ai été vraiment enthousiaste pour la rue comme je l’ai pas été depuis longtemps. Ça remonte vraiment la pente.

Un autre Tweet qui montre un peu l’ambiance:

3 « J'aime »

J’étais sur Saint-Denis samedi midi et samedi soir aussi. C’est vrai qu’il y avait du monde et une certaine effervescence. J’ai bien aimé. La piste cyclable était bien déneigé ce qui permettait aux gens de bien déambuler. Les trottoirs étaient aussi bien dégagés mais assez étroit. Par contre, certains coins de rues étaient malheureusement rempli de gadoue et/ou d’énorme flaque d’,eau ce qui rendait la traverse assez désagréable, là dessus on peut et on doit faire mieux.

Pour les commerces, ca va. Ce n’est pas encore l’eldorado mais c’est encourageant. Je vais attendre encore un peu avant de célébrer car j’ai l’impression qu’il y en a quelques uns qui ne feront pas long feu. Je crois aussi qu’il est temps d’élargir les trottoirs rue Rachel et avenue Mont-Royal. Ca devient un peu encombrant avec la foule, la neige et la gadoue.

2 « J'aime »

L’avenue Mont-Royal est terrible, il y a tellement du monde, il arrive d’attendre devant un pied d’arbre pour laisser du monde passer pour ensuite continuer. Pendant se temps, je remarque que la rue n’est pas si occupé par les voitures et que les vois semble assez large!

4 « J'aime »

C’est terminé pour le bar Le Saint-Sulpice

Photo: Capture d’écran - Facebook

author profile image

Jean Numa Goudou

29 janvier 2023 à 22h08 - Mis à jour 29 janvier 2023 à 22h10 2 minutes de lecture

Le Café-Bar Le Saint-Sulpice baissera les rideaux définitivement, à la fin du mois de février, après 43 ans de services. L’établissement en a fait l’annonce dimanche via sa page Facebook, après avoir échoué à vendre l’entreprise.

Il s’agissait d’un endroit particulièrement populaire auprès des étudiants de l’UQAM. «Nous remercions toute notre clientèle, et particulièrement celle étudiante et artistique», indiquent les responsables.

Les commentaires en lien avec cette annonce ont fusé. Près de 300 réactions et une centaine de commentaires ont été inscrits au bas de la publication par des habitués se disent déjà nostalgiques.

«Que de nostalgie d’entendre cette nouvelle… Un lieu marquant dans mon parcours universitaire! Merci pour ces superbes années et tous ces souvenirs de beaux moments», a écrit une utilisatrice. «Bravo pour toutes ces belles années vous avez marqué tout un pan de l’histoire étudiante et artistique. Chapeau bien bas», a indiqué un autre.

Voilà un an, en janvier 2022, La Presse avait rapporté que Le Saint-Sulpice avait été mis en vente. Le quotidien révélait que le bar pouvait se transformer en projet mixte commercial et résidentiel.

Je crois qu’il y a beaucoup de potentiel pour cet endroit. Non seulement il contient un beau petit immeuble coté rue Emery mais le terrain vacant qui donne rue Sanguinet est idéal pour construire un petit quelque chose de sympa.

Pour l’immeuble principale, je vois quelque chose en lien avec La Maison de la chanson qui s’en vient juste à coté. Pourquoi ne pas garder la vocation bar/café au rez-de-chaussée mais qui mettrait à l’honneur des chansonniers qui chanteraient… en français ? Un peu comme Chez Jojo mais pour les chansonniers. Et aux étages supérieurs des petits appartements pour artistes par exemple.

Mais plus important encore, serait de joindre les deux terrains extérieurs, derrière les immeubles, pour en faire un gros jardin magnifique ouvert au public. Accessible par la rue Saint-Denis, mais aussi par Sanguinet. Il y a une occasion en or ici de faire quelque chose de génial pour le quartier, de lui donner un outil magnifique qui rehausserait l’expérience du Quartier Latin. Il faut un peu d’imagination.

3 « J'aime »

La rue Saint-Denis se transformera en piste de ski


Photo: Gracieuseté, TRIBU

Journal Métro | VILLE-MARIE | Alexis Drapeau-Bordage | 1 février 2023 à 9h09

La rue Saint-Denis deviendra une piste de ski entre les rues Sherbrooke et Émery du 24 février au 5 mars prochains. Cette transformation donnera lieu à la première édition d’APIK, un nouvel événement hivernal et sportif au cœur du Quartier latin.

Une compétition avec pour prix une bourse de 20 000 $ aura lieu la fin de semaine des 25 et 26 février. Cent athlètes s’y affronteront et seront jugés sur leurs manœuvres et leur style.

Après la compétition, la piste sera accessible aux amateurs, qui pourront y pratiquer leur descente ou se risquer dans un parcours à obstacles de taille. Du 1er au 5 mars, des moniteurs seront présents sur une pente-école afin d’accompagner les participants.

Une grande fête de lancement sera organisée sur la terrasse chauffée du bar l’Abreuvoir après les activités du 25 février.

«Nous nous donnons comme mission de mettre en lumière les sports d’action en créant des opportunités pour les communautés de se réunir, de célébrer leur passion et d’atteindre le niveau supérieur», explique le président de TRIBU, Micah Desforges, qui organise l’événement.

7 « J'aime »

Ok, on ne s’attend pas à ce genre d’évènement mais Montréal étant en parti une ville d’hiver, alors vaut mieux faire avec et en profiter. Original en tout les cas.

1 « J'aime »