REV AXE 1 – Berri/Lajeunesse/Saint-Denis (2020)

Nouveau record hier sur le REV:

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Avec le million de passages qui semble facilement atteignable dans les prochaines semaines (fin octobre?), le REV St-Denis pourrait rivaliser avec plusieurs lignes d’autobus. C’est prometteur et signe que ça fonctionne vraiment!

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Je crois que c’est faisable!
Saint-Laurent/Bellechasse a eu 1.14M de passages en 2020 malgré le confinement au début de la pandémie
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Le million de passages dépassé sur le REV Saint-Denis:

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“À qui la rue ? Aux cyclistes la rue !” :biking_man: :+1: :biking_woman:

Des centaines de cyclistes pour le REV sur Saint-Denis


Des cyclistes empruntent la piste cyclable rue Laurier. | Photo: Josie Desmarais/Métro

Quentin Dufranne - Métro | 21 octobre 2021 à 13h54 - Mis à jour 21 octobre 2021 à 16h05

Des centaines de cyclistes montréalais se réuniront ce samedi 23 octobre à 11h au carré Saint-Louis pour célébrer le succès du Réseau Express Vélo (REV) rue Saint-Denis.

En moins de 10 mois, c’est plus de 1 million de cyclistes qui ont passé le compteur de vélos situé au croisement des rues Saint-Denis et Des Carrières.

Pour célébrer le franc succès de ce tronçon cyclable, des centaines de cyclistes se sont donné rendez-vous samedi. Les cyclistes rouleront tous ensemble sur le REV Saint-Denis en direction du Nord. Ensuite, ils iront vers l’Est sur le REV Bellechasse.

L’évènement est organisé par des commerçants de la rue Saint-Denis. Il vise aussi à souligner l’importance de l’axe est-ouest. Ce dernier, décompte quant à lui plus de 350 000 passages de vélos depuis le début de l’année.

Ce rassemblement mettra en évidence l’importance que représente le REV et les déplacements en vélo pour la communauté et pour l’environnement.

«Samedi, on célèbre des centaines de vies protégées, des milliers de gens en meilleure santé, les tonnes de GES évitées, tous ces écoliers épanouis et que du bonheur depuis une année», a expliqué dans un communiqué l’organisateur de l’évènement, Jacques Nacouzi.

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Achalandage sur le REV Saint-Denis

Des cyclistes se rassemblent pour célébrer


PHOTO PASCAL RATTHÉ, COLLABORATION SPÉCIALE | Plus d’un million de passages ont été enregistrés sur le Réseau express vélo (REV) de la rue Saint-Denis depuis le début de l’année.

Plus d’une centaine de cyclistes ont pédalé samedi pour célébrer l’achalandage sur le Réseau express vélo (REV) de la rue Saint-Denis. L’« autoroute pour vélos » cumule plus d’un million de passages depuis décembre 2020.

Publié le 23 octobre 2021 à 11h33 | CORALIE LAPLANTE | LA PRESSE

L’air froid d’automne n’a pas empêché les amateurs de vélo de se réunir en matinée à l’extrémité du REV Saint-Denis, à proximité du square Saint-Louis. Ils ont ensuite circulé sur la piste cyclable.


PHOTO PASCAL RATTHÉ, COLLABORATION SPÉCIALE

« Cette piste cyclable est inclusive, elle permet à des gens qui ne faisaient pas de vélo d’oser en faire », estime l’organisateur de l’évènement et propriétaire d’Ateliers kikicode, sur la rue Saint-Denis, Jacques Nacouzi.

M. Nacouzi constate que des familles, comme des personnes âgées et des personnes ayant un handicap, empruntent le REV de la rue Saint-Denis depuis son inauguration en novembre 2020.

Le commerçant estime que le REV a permis d’attirer de nouveaux clients qui n’auraient pas circulé sur la rue Saint-Denis sans la piste cyclable. « On est capable d’aller chercher un rayon beaucoup plus loin que le Plateau [avec les gens qui se déplacent à vélo]. On est capable d’aller chercher Rosemont, Villeray, Hochelaga, Outremont, Ville-Marie », raconte M. Nacouzi.

Pablo Goujon et sa conjointe, Claire Grillet, ont participé au rassemblement avec leur bébé, qui dormait dans un vélo-cargo.

« On est pour le développement du vélo, du réseau cyclable à Montréal », affirme M. Goujon. Il estime qu’il est plus facile de se déplacer à vélo depuis la mise en place du REV. « C’est le fun pour me rendre à la job, quand je me déplace à vélo tout seul, mais c’est [aussi] le fun quand on est en famille. C’est ça le grand avantage du REV par rapport aux autres pistes cyclables », poursuit-il.

Jeanne Neyron et Jean-Luc Malo ont plus de 75 ans. Ils considèrent que le REV leur permet de rester actifs, racontent-ils aux côtés de leurs vélos à assistance électrique.

« Ça a changé notre vie. Avant on avait toujours une crainte de circuler, d’avoir un accident, surtout à notre âge. Maintenant on est en sécurité », évoque M. Malo.

Laurent Christain s’est aussi dit satisfait de la mise en place du REV. « Si j’ai le choix maintenant, je fais un détour par le REV si ce n’est pas trop loin. […] L’asphalte est plus beau, il y a des feux de circulation, c’est large, c’est beaucoup moins stressant aussi », déclare-t-il.

L’évènement organisé par des commerçants de la rue Saint-Denis voulait aussi donner son appui au REV Bellechasse, afin que le tronçon reste intact. En septembre, le candidat à la mairie, Denis Coderre, a déclaré qu’il réduirait le REV de la rue Bellechasse s’il est élu, mais qu’il conserverait celui de la rue Saint-Denis tel quel.

Le REV de la rue Bellechasse recense plus de 366 000 passages depuis décembre 2020.

Jacques Nacouzi espère que le REV prendra de l’ampleur. « Si ça marche très bien sur une rue commerciale, pourquoi ne pas le faire ailleurs ? Pourquoi pas sur Papineau, De Lorimier, du Parc ? », lance-t-il.


Autre article sur un prix sur la mobilité active pour le projet «L’axe Berri-Lajeunesse du Réseau Express Vélo (REV)» remis à la ville de Montréal:

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REV: des craintes à la réalité


Des cyclistes empruntent le REV.
Photo: Josie Desmarais/Métro

Zoé Magalhaès
8 avril 2022 à 9h55 - Mis à jour 8 avril 2022 à 9h56 5 minutes de lecture

Bientôt deux ans après l’aménagement du Réseau express vélo (REV) sur les rues de Bellechasse et Saint-Denis, les appréhensions exprimées par plusieurs se sont-elles réalisées? Métro s’est penché sur la question.

Le stationnement

Craintes:

Dès l’installation des premiers aménagements du REV sur la rue de Bellechasse, des résident.e.s et commerçant.e.s se sont inquiété.e.s de voir disparaître de nombreux stationnements au profit de la voie cyclable. À tel point que Denis Coderre avait fait du rétablissement du stationnement sur la rue de Bellechasse une promesse de campagne électorale.

Réalité:

Dans les faits, sur la rue Saint-Denis, ce sont seulement quelques dizaines de places de stationnement qui ont effectivement été retirées dans le but de garantir «la sécurisation des traverses piétonnes ou des voies de bus», explique le PDG de Vélo Québec, Jean-François Rheault. Mais c’est sur l’axe du REV de Bellechasse que le stationnement a surtout pâti: environ 800 places de stationnement y ont été supprimées.

Cette perte est-elle vraiment dommageable? Pas vraiment, à en croire Pauline Wolff, urbaniste et chercheuse au Centre d’étude en responsabilité sociale et écocitoyenneté. Selon elle, la perte de stationnement présente, oui, certains inconvénients, mais est gagnante au bout du compte lorsqu’elle se fait au profit d’un autre moyen de transport, écolo qui plus est.

«Les gens ont l’impression qu’on leur retire un acquis. Ça se comprend, parce que dans notre imaginaire collectif, il paraît normal que l’auto prenne autant de place, mais ce n’est pas équilibré. On oublie que la voiture est un mode de transport parmi d’autres. Il faut changer de paradigme et mieux se partager l’espace urbain», souligne la chercheuse.

La fluidité de la circulation

Craintes:

Alors que sur la rue Saint-Denis, les voitures disposaient de quatre voies de circulation (deux de chaque côté), le REV est venu réduire de moitié ce nombre de voies sur la majorité du parcours. Plusieurs se sont alors inquiétés de voir le trafic empirer sur cet axe central.

Réalité:

Les voies ont effectivement été réduites, mais la circulation automobile n’a pas perdu de sa fluidité, au contraire, d’après Jean-François Rheault.

«Les intersections ont été réaménagées et on y a ajouté des lumières synchronisées pour permettre une meilleure circulation autant pour les autos que pour les vélos. Le mouvement de chacun est donc mieux organisé et c’est plus facile qu’avant [l’inauguration du REV] de tourner pour les voitures», précise-t-il.

Une analyse soutenue par les données enregistrées par la Ville, qui a observé que «la réduction des vitesses affichées de 50 km/h à 40 km/h [sur la rue Saint-Denis] a entraîné une diminution moyenne des vitesses observées de 8 km/h et la réduction des interactions entre piétons et cyclistes».

Sans nuire à la circulation, le REV – dont les voies cyclables sont clairement séparées de la route – est aussi venu améliorer la sécurité des cyclistes.

Selon Pauline Wolff, il offre ainsi une solution de rechange à la voiture pratique pour se rendre au centre-ville, ce qui pourrait encourager certaines personnes à délaisser l’auto solo.

L’achalandage des commerces

Craintes:

Enfin, certains commerces ont craint que les nouvelles pistes du REV empêchent les automobilistes de se rendre jusqu’à eux et aient un impact sur leur achalandage.

Réalité:

«C’est très compliqué pour l’instant de savoir si le REV a eu ou non de l’influence sur l’achalandage des commerces. Avec la pandémie, les gens ont beaucoup remis en question leurs habitudes de déplacement et les commerces ont connu des périodes de fermeture prolongées», rappelle Pauline Wolff.

Selon la chercheuse, il est donc trop tôt pour voir des liens de causalité entre la création du REV et l’achalandage des commerces. Certains d’entre eux pourraient d’ailleurs, en effet, connaître une baisse de fréquentation, surtout s’ils vendent des objets lourds (par exemple des électros) qui ne sont transportables qu’en voiture.

«Ce qu’on sait, par contre, c’est qu’un.e cycliste ou un.e piéton.ne a tendance à consommer plus en se déplaçant qu’un.e automobiliste, souligne toutefois l’urbaniste. On appréhende la ville autrement et c’est plus facile de s’arrêter en chemin.»

1 million de passages

En 2021, plus d’un million de passages ont été comptabilisés par la Ville sur le REV Saint-Denis.
Les deux pistes cyclables ont aussi été fréquentées cet hiver. Plus de 90 000 passages ont été enregistrés sur Saint-Denis et près de 78 000 sur de Bellechasse entre le 14 novembre 2021 et le 27 mars 2022.

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À nuancer. Chaque fois que j’y suis passé c’était quand même ralenti et je me suis arrêté à chaque lumière donc pour la synchronisation… Il y a aussi le fait que les GPS ne suggèrent plus Saint-Denis même quand c’est l’option la plus directe. On peut donc penser que le traffic se redirige vers d’autres artères ce qui embête d’autres résidents à la place. Est-ce mieux ?

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Dans ce reportage de Bloomberg CityLab, il y a deux exemples de rues (San Francisco et New York) où la circulation automobile a été interdite. Les automobilistes n’ont pas nécessairement pris des rues parallèles, mais ont pris d’autres moyens de transports.

Aussi, il faut se rappeler qu’il y a eu plusieurs changements de configuration des rues du Plateau justement pour empêcher les automobilistes de prendre les rues résidentielles comme détours.

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Hate de voir une étude qui montre que c’est le cas à Montréal. Pour l’instant je ne le crois pas. Personnellement je n’ai pas commencé a prendre le bus, je passe juste ailleurs pour descendre en ville. On est certainement nombreux vu comment St-Urbain et St-Laurent sont toujours packed.

Sauf que les rues autour du REV déroutaient déjà la circulation vers St-Denis, et pour l’avoir fait et connaitre des gens qui le font, je connais plusieurs personnes qui ne passe plus par St-Denis mais qui évite le secteur. Oui le trafic c’est régularisé, mais je mettrais plus ça sur le dos des nouveaux feux synchronisés.

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Je ne sais pas si c’est juste moi, mais quand je vais à un magasin de meubles ou d’électros, c’est principalement pour voir et tester les modèles avant de les faire livrer chez moi. C’est arrivé une seule fois que je loue un camion pour ramener mes meubles et c’est parce que mon coloc de l’époque et moi prévoyons tous deux faire nos achats en même temps.

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Pour ce que ça vaut, il y a eu un gros transfert modal dans le Plateau pendant la période de Ferrandez (on verra pour le dernier recensement quand ces chiffres sortiront). En 2016, on a vu une réduction de pas loin de 25% du nombre de gens utilisant la voiture pour aller travailler depuis son début de règne. C’est difficile de pouvoir pointer exactement la raison, ça peut être bien des choses, mais le Plateau ne s’est pas appauvri, il y a autant de véhicules dessus… Il y a cependant de meilleures pistes cyclables et l’utilisation du vélo a explosé dans le quartier. Je ne vois pas pourquoi les gens à Montréal ne ferait pas du transfert modal comme ailleurs, ou comme dans les quartiers centraux sur le long terme.

Enfin, le calcul de la ville avec le REV n’était pas particulièrement de réduire la congestion, mais de créer un axe efficace pour les vélos. Est-ce que c’est mieux? Oui, parce qu’on a une infrastructure de transport actif qui n’existait pas avant. En prime, ça rend Saint-Denis plus fréquentable.

Je ne crois pas que la congestion a particulièrement augmenté sur Saint-Laurent ou Saint-Urbain, ou même Parc, qui sont dans mon quotidien. Ça roule toujours assez bien quand il n’y a pas de travaux, et ça ne change pas. Si le volume de véhicules à augmenter, ce qui est possible, ça n’a pas pas trop l’air de poser problème. Si le trafic s’est redirigé ailleurs, j’ai l’impression que celui-ci est très dilué.

Anyway, je trouve que c’est un peu drôle comme argument dans l’article, vu que le stationnement est toujours là, comme avant. T’as juste à stationner sur Saint-Denis comme d’habitude. Le seul point négatif c’est de traverser la piste. Pour un arrêt de chargement aussi, il y a des zones sans stationnement qui se prêtent bien, que les camions utilisent pour les livraisons.

Personnellement, je suis aussi d’accord que le concept d’aller chercher de gros items soit-même disparaît. C’est juste du trouble. Si j’achète sur place, la livraison est plus commode, et le prix est souvent insignifiant, par rapport au trouble et au risque de bouger de gros objet moi-même.

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Ça semble être contre-productif, mais la fluidité est améliorée justement à cause du ralentissement de la circulation. À cause de son environnement urbain, la circulation sur Saint-Denis était toujours condamnée à être stop&go, contrairement aux autoroutes. C’est beaucoup plus facile de rouler plus proche à 30-40km qu’à 50-60km. Pour pouvoir atteindre les vitesses plus élevées de façon sécuritaire, il faudrait augmenter la distance entre chacun des blocs et réduire autant que possible les accès sur rue, ce qui est beaucoup plus faisable sur le boulevard des Source, Papineau au sud de Rachel ou Notre-Dame Est que sur une rue commerçante avec du stationnement sur rue.

Niveau feux de circulation, je suis d’accord avec toi. Je pense qu’il y a moyen de les revoir. Présentement ils ne sont synchronisé ni sur la vitesse des vélos, ni celle des automobilistes. Les manoeuvres de stationnement sont aussi hautement problématiques pour la fluidité de circulation, mais c’est aussi un enjeu sur des artères de trois voies comme Saint-Laurent.

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C’est anecdotique tu me diras (avec raison), mais je connais quand même plusieurs automobilistes qui prenaient St-Denis qui ont troqué leur auto pour le métro ou le vélo depuis le REV, plutôt que d’utiliser un autre axe nord-sud en voiture.

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J’habite Ahuntsic. Je parlais de descendre au centre-ville.

Et par rapport à cette question j’ai une vision très métropolitaine de ma ville. C’est facile pour un habitant du Plateau de dire que chacun reste chez soi et profite de rues locales puisqu’ils ont des centaines de commerces et attractions de qualité à distance de marche. Ce n’est pas le cas pour tous les quartiers. Donc moi personnellement je ne fais pas d’opposition entre ceux qui vivent dans le quartier et ceux qui vivent ailleurs mais qui aiment y venir pour profiter de ce qu’ils n’ont pas chez eux. Après tout les métropoles sont des métropoles parce qu’elles attirent du monde de toute la région environnante. Montréal ne serait pas ce quelle est sans ses quartiers périphériques et ses banlieues. Pareil pour New-York ou Paris.

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En effet, plus la vitesse baisse et plus la capacité monte. C’est ce qui se produit en période de congestion sur l’autoroute, la vitesse baisse.

C’est mathématique: les voitures laissent du TEMPS de sécurité entre elles et non de la distance brute (idéalement c’est 2 secondes).

Exemple sur l’autoroute à 100 KM/h, une voiture de 5 mètres laisse 55 mètres (2 secondes) entre elle et la voiture précédente. On a donc 8.3% de la route occupée (5/60). (en moyenne, je simplifie en ignorant camions et voitures qui se collent de trop près).

En cas de congestion moyenne, disons que la vitesse diminue à 50 KM/h, une voiture de 5 mètres laisse 28 mètres entre elle et la voiture précédente. On a donc 15% de la route occupée (5/33).

En cas de congestion extrême, disons que la vitesse diminue à 15 KM/h, une voiture de 5 mètres laisse 8 mètres entre elle et la voiture précédente. On a donc 38% de la route occupée (5/13).

La même logique en ville. Plus on diminue la vitesse sur les grande artères, plus la capacité totale augmente. Ça ne veut pas dire que chacun arrivera plus vite, mais que davantage y arriveront en un temps donné.

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Par curiosité, est-ce que ce n’est pas plus rapide pour toi de prendre le métro à Sauvé ou HB pour aller sur Le Plateau?
Je comprendrais l’argument que tu emmènes si on parlait de Papineau ou St-Michel. Mais la ligne orange passe littéralement sous St-Denis (bon, sous Berri pour être précis).

Et tu as raison pour la vitalité des quartiers. Montréal ne serait pas Montréal sans ses différents quartiers qui ont vraiment tous une saveur local et une façon d’y habiter qui y est propre. Mais pour reprendre tes exemples de Paris et New York, ce n’est justement pas contradictoire que de faire vivre ces quartiers tout en retirant des voies de circulation et en les rendant accessibles entre eux autrement qu’en voiture.

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Oui, en effet, c’est une bonne démonstration; mais dans le cas de Saint-Denis la capacité de la voirie a quand même été divisée par 2 (ou un peu moins si on prend en compte les portions de voie pour virages autorisés).

Entre nous, même à 50 km/h personne ne laisse 28m (4-5 voitures) devant elle en milieu urbain; même si le conducteur devrait.