REM 2 (Est de Montréal) - Projet annulé

Une rencontre avait été organisée mardi soir par l’arrondissement de RDP-PAT afin de présenter l’étude réalisée par les équipes techniques concernant un prolongement du REM de l’Est dans RDP à ces citoyens. :slightly_smiling_face:

Voici la vidéo de cette présentation et un article résumant cette rencontre:

2022-06-21 REM : Présentation de l’étude pour le prolongement du réseau à Rivière-des-Prairies

Diffusé en direct le 21 juin 2022

Arrondissement de RDP-PAT - En direct


Ce n’est pas un «REM de l’Est s’il n’inclut pas RDP»


Si le REM de l’Est est prolongé à RDP, il y a de grandes chances qu’il soit réalisé en aérien sur Maurice-Duplessis | Photo: Gracieuseté, CDPQ Infra, Archive

Journal Métro | RIVIÈRE-DES-PRAIRIES | 22 juin 2022 à 14h18 | Clément Bolano

«Il faut que les trois lettres R, D, P soient associées à chaque fois qu’on parle d’un nouveau mode de transport collectif [dans la région métropolitaine de Montréal]», a à nouveau martelé Caroline Bourgeois, mairesse de l’Arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles.

L’Arrondissement avait organisé une rencontre avec les citoyens au centre récréatif de RDP, le mardi 21 juin, afin de présenter l’étude réalisée par les équipes techniques concernant un prolongement du REM de l’Est dans le district.

«On ne peut pas appeler ce projet REM de l’Est s’il n’inclut pas RDP», a soutenu la mairesse devant la cinquantaine de résidents présents ainsi que tous ceux qui suivaient la rencontre en webdiffusion.

Dans un mot d’introduction, elle a souligné que malgré les motions votées en 2021 et les démarches citoyennes, «on ne voyait toujours pas d’officialisation de prolongement de la branche [du REM de l’Est] vers RDP».

Alors que le projet initialement mené par CPDQ Infra «revient maintenant dans les mains du secteur public», l’Arrondissement de RDP-PAT souhaite saisir «les nouvelles opportunités» que cela implique. Cette soirée visait à présenter sa vision du projet, mais aussi à écouter la population et à prendre en compte leurs arguments.

Trois stations pour RDP

Le quartier «n’est pas un petit village» et «l’évolution de la population n’est pas terminée», rappelait Luc Castonguay, directeur du développement du territoire et des études techniques à l’Arrondissement.

Dans le scénario envisagé, le REM de l’Est serait prolongé le long du boulevard Maurice-Duplessis, du cégep Marie-Victorin au bout du district. Un axe qui permettrait de rejoindre à la fois les secteurs résidentiels, mais aussi les zones d’emploi de Rivière-des-Prairies.

Celles-ci, situées au sud du quartier, entre l’autoroute 40 et Maurice-Duplessis, comptent plus de 5500 travailleurs, sans même compter la zone Anjou, toute proche.

«On rencontre fréquemment des entreprises locales [confrontées à la] difficulté de transporter [la] main-d’œuvre jusque dans l’Est», précisait M.Castonguay.

En entrevue avec Métro, l’Association des gens d’affaires de RDP (AGARDP) indiquait en outre qu’«avec le REM, il y aurait une augmentation de population et de l’achalandage. Cela entraînerait plus d’achat local, plus d’argent pour les commerces, donc plus de variété de produits» pour les Prairivois.

La distance de 2 km serait celle retenue entre chaque station. L’Arrondissement propose ainsi trois stations du REM pour RDP, le long de Maurice-Duplessis: Armand-Bombardier, Rodolphe-Forget et Saint-Jean-Baptiste. Les deux premières permettraient de rejoindre, à distance de marche, 26 500 résidents (46% de la population) dans un rayon de 1 km, et 56% pour l’ensemble de ces arrêts.

Une «opportunité de développement à la fois pour les gens qui vont habiter» autour, et aussi pour les commerces «qui auront plus de clients à distance de marche» selon le département des études techniques.

Cela permettrait ainsi de réduire la part de l’automobile. Plus de 90% des logis possèdent au moins une voiture, contre 71% dans l’ensemble de Montréal.

La parole aux citoyens

À plusieurs reprises, M. Castonguay et la mairesse ont rappelé être «curieux d’entendre [la population]», et ne pas vouloir se précipiter dans un choix particulier.

Les résidents ont formé des groupes de paroles d’une dizaine de personnes afin de discuter des idées présentées et de faire ressortir leurs revendications et attentes concernant l’offre de transport collectif à RDP. Ils étaient invités à s’exprimer sur la zone à privilégier – commerciale, résidentielle ou industrielle –, et leurs diverses préoccupations.

Concernant ce premier débat, aucune position n’a fait l’unanimité, même si l’idée d’un REM le long de Maurice-Duplessis a semblé convaincre une majeure partie des personnes présentes.

Min, externe en soins infirmiers au CHUM et résident de RDP, pointait l’importance de se doter d’un transport collectif qui s’intègre bien dans le quartier, et ne crée pas «une fissure» en devenant «une autoroute métropolitaine» sur le boulevard.

«Entre aujourd’hui et la finalisation de ce projet dont on ne connaît pas la date […], on veut qu’il y ait des mesures prises entre-temps pour répondre aux besoins actuels» des Prairivois, a-t-il ajouté.

Sur l’épineuse question d’un prolongement souterrain, l’option largement préférée par les citoyens et l’Arrondissement, il paraît peu probable qu’elle soit retenue par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). En ce qui concerne les coûts, rappelons, à titre d’exemple, que le prolongement de la ligne bleue coûterait 1035 M$/km, contre 320 M$/km pour un REM de l’Est aérien.

Comme le résumait une citoyenne lors des échanges: «On préfère un REM aérien que rien du tout. Faudrait pas que le mieux devienne l’ennemi du bien.»

Quelques contraintes techniques

Certains éléments exposés par l’Arrondissement dans le cadre du prolongement du REM de l’Est à RDP font l’objet d’enjeux techniques. Parmi ces derniers, le franchissement de l’A-25, à la hauteur du cégep Marie-Victorin, jusqu’auquel on prévoit que le REM sera souterrain. L’axe routier étant en dessous du niveau du sol, cela pose un défi dans le cadre d’un prolongement sous terre. Pour une structure aérienne, c’est la ligne à haute tension qui peut poser problème, même si «rien n’est incontournable», soulignait Luc Castonguay, directeur du développement du territoire et des études techniques à l’Arrondissement. Des enjeux de cohabitation avec le Train de l’Est ont aussi été pointés, même s’ils n’étaient pas au centre des débats.

Relier PAT et RDP


Crédits: CDPQ Infra, Archive

Parmi les sujets évoqués, celui de relier le quartier de Pointe-aux-Trembles à celui de Rivière-des-Prairies est revenu à plusieurs reprises. Comme le soulignait Min, un jeune résident du district, cela prend près d’une heure de bus pour rejoindre le centre aquatique de RDP depuis PAT, contre à peine 15 minutes de voiture. La mairesse a rappelé que «malheureusement, toutes les enquêtes montrent que les déplacements nord-sud» sont bien trop rares pour envisager un raccordement à PAT. D’où l’importance, selon elle, de «relier l’ouest à l’est en priorité». L’option actuelle reste alors la ligne d’autobus 81, malgré son temps de voyage excessivement long.

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Je préciserais : « Ce n’est pas un REM de l’Est s’il n’inclut pas la CDPQi » :yum:

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Le Journal Métro (comme plusieurs autres médias) continu de faire cette erreur, mais les présentateurs ont fait mention que la nouvelle ligne de métro ne s’appellera pas REM et que l’utilisation du nom est par commodité.

La STM a déjà retirer définitivement toutes mentions du « REM de l’Est » sur son site, et parle maintenant du « futur mode de transport structurant dans l’est » :face_with_raised_eyebrow:

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Malgré que j’aurais pu également mettre cet article dans le fil [sur les promesses] des élections provinciales du Québec 2022 :upside_down_face:, je me suis dit qu’il était préférable de le mettre dans le fil directement lié au projet.

PSPP et le PQ enfouiraient l’entièreté du REM de l’Est


Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon. - Photo: Josie Desmarais/Métro

Journal Métro | POLITIQUE | 10 août 2022 à 5h00 | Éric Martel

Il est hors de question pour le chef du Parti québécois (PQ), Paul St-Pierre Plamondon, que la structure du REM de l’Est soit aérienne, a appris Métro. Et pas seulement pour la portion située au centre-ville: le PQ enfouirait le REM de l’Est sur toute sa longueur. La formation politique prend cette position pour des raisons «d’acceptabilité sociale».

«Après avoir passé beaucoup de temps sur le terrain et parlé avec divers intervenants, on comprend que l’acceptabilité sociale a été mise de côté dans le projet actuel», dénonce le chef du PQ, Paul St-Pierre Plamondon, en entrevue avec Métro. «On a perdu quatre ans avec un projet qui ne ressemble pas à la population.»

Pour qu’un REM entièrement sous terre soit réalisable, les tracés proposés devront être revus. Le PQ entend revenir «au cours de la campagne» avec des propositions plus précises à ce sujet. Dans tous les cas, le projet doit voir le jour, insiste-t-on.

«Ce que je crains, c’est que la CAQ trouve des excuses pour encore lambiner pendant quatre ans, indique M. St-Pierre Plamondon. Ça prend quelqu’un pour veiller à ce que ça se passe si jamais la CAQ se fait élire.»

Si c’est nous le gouvernement, ayez l’assurance que ce projet-là va être la première priorité dans le premier mois, qu’il n’y aura aucun délai, ne serait-ce que pour une question de justice historique, à cause des sous-investissements dans l’est de Montréal par rapport à l’ouest de Montréal.

Paul St-Pierre Plamondon, chef du Parti québécois

Protestations

La dernière année a été la scène de plusieurs manifestations dans l’est de Montréal contre la construction d’un REM aérien, entre le boulevard Robert-Bourassa, au centre-ville, jusqu’à Pointe-aux-Trembles. Une pétition pour surseoir à sa conception avait accumulé près de 1500 signatures à l’Assemblée nationale.

Certains craignent la potentielle facture visuelle d’un REM aérien et les vibrations qui pourraient émaner de la structure. «On l’a vu avec le REM de l’Ouest, la CAQ se vante d’avoir un projet rentable, mais tout a été divisé de manière malhabile», accuse M. St-Pierre Plamondon.

Selon CDPQ Infra, enfouir le REM au centre-ville serait très difficile. Cela entraînerait des risques d’affaissement pour des gratte-ciel et d’effondrement pour des lignes de métro. Le chantier pour réaliser une telle chose serait aussi beaucoup plus long.

Le REM de l’Est comptera 32 km de voies doubles et 23 stations, dont sept seront intermodales. Son train électrique sans conducteur créera un réseau relié au métro, au train de l’Est ainsi qu’au futur Service rapide par bus Pie-IX.

Justice pour l’Est

C’est dans la circonscription de Bourget, dans l’est de Montréal, que Paul St-Pierre Plamondon tentera de se faire élire. Le caquiste Richard Campeau y siège présentement. Dans ce secteur de l’île, les députés du parti au pouvoir sont «fantomatiques», accuse le chef du PQ.

«La population de l’Est a pu évaluer en quatre ans ce que ça implique d’avoir un député de la CAQ. Ils ne défendent pas leurs intérêts, ils ne font que défendre les intérêts du parti», avance-t-il.

Si je suis nommé premier ministre, mon engagement pour le REM est clair. Sinon, je serai une voix forte et audible pour défendre les citoyens de l’Est.

Paul St-Pierre Plamondon, chef du Parti québécois

Les autres enjeux importants pour le PQ en vue des élections seront la situation des hôpitaux, le «recul dans le transport» et la qualité de l’air.

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Le journaliste est un peu en retard dans les nouvelles.

Je suis absolument tanné de lire cet argument fallacieux que des gratte-ciels pourrait s’effondrer. De toutes les structures, ce sont généralement les gratte-ciels qui ont les fondations les plus solides. La plupart sont assis directement sur la roche, ou ont des piles qui s’enfoncent quelques pieds dans la roche.

Les vieux bâtiments sont ceux qui encourent le plus de risque. Plusieurs sont assis directement sur la terre et n’ont virtuellement aucune fondation. C’est le cas d’à peu près tous les bâtiments datant du début du siècle dernier ou avant. C’est véritablement ceux là qu’il faut surveiller et traiter avec plus de précautions. Ça ne nous a pas empêché en 1987 de construire un centre d’achat au complet en dessous de la Cathédrale anglicane Christ Church.

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Metro devrait avoir une plus grande maîtrise du sujet considérant tous leurs articles dessus, particulièrement hostiles, et le poids démesuré qu’ils ont donné au CEME.

Si ça apporte 3 électeurs aux PQ c’est déjà un immense gain pour le parti !

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J’ai vu des reportages sur la construction de la Elizabeth Line à Londres. Les efforts pour creuser sous les buildings étaient hallucinants. C’était très impressionnant à voir.

Mais ça a dû coûter une beurrée et va voir l’échéancier de cette ligne pour le fun.

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Après le coup de gueule, justifié*, de l’ARTM face au non-respect de son mandat de planification des transports, j’espère qu’elle mettra à nouveau son pied à terre pour rappeler son mandat et dénoncer cette ingérence politique. Imaginez si toutes lignes de trains de banlieues futures et prolongements des lignes existantes en deuxième-troisième couronne devaient obligatoirement se faire en sous-terrain. Dans le cas du lien structurant de Laval, si l’ARTM décide de le placer dans l’emprise de la 15 au lieu de le placer sur Chomedey or Curé-Labelle, ce serait absurde de l’enfuire pour des raisons purement esthétiques alors que ça n’amènera à aucune amélioration pour l’accessibilité des stations.

Ça aurait été bien que l’auteur de l’article rappellera qu’une contre expertise avait démontré qu’il reste techniquement faisable d’ajouter une ligne sous terre sous René-Lévesque. Le problème n’était pas que c’est physiquement impossible, mais que ça imposait trop de risques par rapport à la facture totale et surtout l’échéancier du projet. C’est presque assuré que le consortium qui travaillera sur ce projet fera face à ses problèmes majeurs du genre du tunnel du Mont-Royal, qui imposeront de très coûteux changements de méthodologie.

* je suis très critique de ses façons de faire et je suis généralement pro-REM, mais j’espérais tout de même qu’après le REM de l’est, il devienne l’unique autorité en matière de planification, quitte à travailler avec la caisse sur certains projets futurs. C’est l’une des raisons pour lesquelles je suis aussi sceptique par rapport remplacement de LEEO de Longueuil par le REM de Longueuil.

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Est-ce vraiment de l’ingérence politique quand ton financement est directement lié au parti au pouvoir? On s’entend, les chances que le PQ monte au pouvoir aux prochaines élections sont pratiquement nulles.

Ça me semble plus comparable à la Jubilee line qui passe sous le palais de Westminster et très proche de Big Ben. Big Ben, c’est véritablement un géant aux pieds d’argile. Les fondations de cette tour d’orloge n’ont que quelques pieds de profond. Cette ligne là, elle a été construite dans la fin des années 70. À Baker Street, cette ligne passe en dessous de la Metropolitan line, puis par dessus la Bakerloo, et en dessous de la Circle, Hammersmith & City Line. Voici la carte détaillé du métro de Londres.

Il y a plusieurs autres jonctions qui sont d’une complexité remarquable. Par exemple, à King’s Cross, il y a 4 tunnel les uns par dessus les autres. Sérieux, ils va falloir qu’ils arrêtent de nous parler de “risques d’effondrement” et qu’ils se mettent en mode solution. Cet argument là, il n’a vraiment pas aidé le cas de CDPQ. Mon impressionne est que je suis loin d’être le seul à savoir à quel point c’était ridicule de leur part d’avancer ça. La population du Québec voyage et peut voir ce qui se fait ailleurs.

Les documentaires que t’a vu sur la Elizabeth line, c’est la culmination de tout l’apprentissage que Londres a fait depuis la construction de la première ligne de métro. Ce n’est pas un petit métro comme le REM de l’Est. Ce sont des trains lourd qui sont opéré comme un métro. Les trains de cette ligne là font 300 mètres de long. Il y a 3 systèmes de signalisation différent. Les systèmes existants sont incapable d’automatisation, donc il a fallu qu’ils installent CBTC dans la section centrale du tunnel et qu’ils programment les systèmes pour qu’ils se parlent. On est très loin d’être rendu à faire des projets d’une telle complexité à Montréal.

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Le financement devrait être pérenne, peut importe le parti au pouvoir et être défini à partir d’une loi ou d’un règlement d’entente sur le financement du transport collectif. Les administrations en place peuvent certainement demander à l’ARTM de desservir leur territoire en train, tram ou métro, ou questionner sa décision lorsqu’elle refuse (ex: L’Assomption pour le train de l’est), mais elles ne devraient pas pouvoir imposer lui imposer des contraintes techniques sur ses projets d’infrastructures.

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On ne verra pas le REM de l’est de notre vivant. Trop de gérants d’estrades, trop d’intérêts divergents et de philosophies concurrentes. Le coup du REM original ne peut être réédité. Le mieux triomphe sur le bien.

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9 messages ont été fusionnés à un sujet existant : REM Rive Sud Taschereau / Rolland-Therrien

Mis à part la longueur des quais dans les stations, qu’on fasse un métro “léger” (court) ou lourd (long), la construction du tunnel doit être similaire.

Par ailleurs, l’apprentissage que Londres a fait ne s’est pas fait en vase-clos: les gens de la STM s’inspirent des meilleures pratiques dans le monde, dont Londres, tout comme les gens de la Elizabeth Line se sont sûrement inspirés des meilleurs projets de métro similaires dans le monde.

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Je suis en train de lire les multiples commentaires sur la manière dont le mandat a été retiré à CDPQ. (entre les posts 3400 et 3500). Considérant que le rapport “dévastateur” de l’ARTM qui a été publié peu de temps avant le retrait du mandat, le cynique en moi se demande si le gouvernement n’est pas en train de rendre la pareille à l’ARTM. Ils ont saboté le projet du gouvernement, et maintenant, ils se retrouvent avec la patate chaude sur leur bureau.

Est-ce que cette éventualité a été considéré quand l’ARTM a écrit son rapport? Je n’ai pas cette impression là que l’ARTM s’attendait à ce genre de dénouement. Ils vont devoir se revirer de bord, produire quelque chose qui répond aux exigences. Maintenant, c’est eux qui vont faire face aux critiques, possiblement assez similaire à celle qu’ils ont émise dans le fameux rapport “dévastateur”. Si l’ARTM échoue, ça va être de sa faute et Legault va vraiment avoir le beau jeu d’imposer les changements qu’il veut au sein de cette agence.

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L’ARTM n’est pas seule dans ce dossier. La Ville, la STM, et le gouvernement (MTQ) sont tous autour de la table pour trouver la solution. Donc si le projet échoue, ce que le Premier Ministre ne veut pas, ce sera la faute au groupe en entier. Le gouvernement n’a aucun intérêt à voir ce projet tomber à l’eau, car il souhaite étendre son influence sur l’île (dans l’Est).

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