Sur le compte Bluesky d’Infoman : @infomantv.bsky.social on Bluesky
Un premier candidat sérieux au poste de tsar du fentanyl à la frontière canadienne.
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Un premier candidat sérieux au poste de tsar du fentanyl à la frontière canadienne.
On voit bien à quel point il est ignorant, qu’il tire dans toutes les directions comme un imbécile en se ridiculisant lui-même.
La Caisse offrira du financement complémentaire aux entreprises, ce qui leur permettra de mener à bien leurs projets sans augmenter leur dette bancaire ni diluer leur capital. « Cette offre pourra ultimement être adaptée pour répondre à la situation spécifique et aux besoins de l’entreprise pour préserver son bilan et ses liquidités », précise le communiqué de la Caisse.
En plus du financement, la Caisse de dépôt a l’intention de mettre à la disposition des entreprises québécoises de l’expertise pour la transformation technologique, comme l’automatisation et la robotisation. Elle offre notamment l’expertise du leader québécois de l’intelligence artificielle appliquée, Vooban, une entreprise dont la Caisse est actionnaire.
La Caisse soutiendra financièrement les projets les plus porteurs, suivant un appel de projets à être lancé au cours des prochaines semaines. L’organisation veut aussi ouvrir des portes aux entreprises intéressées. Présente dans 5000 entreprises et dans 70 pays, elle mettra son réseau à la disposition des entreprises qui veulent aller à la recherche de nouveaux clients ou de nouvelles activités.
Le gouverneur démocrate de l’Ilinois, JB Pritzker, sur son compte officiel de gouverneur sur Bluesky
I’ve spoken to officials from Canada and Mexico this week as a part of my ongoing efforts to protect Illinoisans and keep costs down from Trump’s Tax on Working Families.
I plan on staying in touch as we work together to strengthen our economic ties with both nations.
Le CST emploie 3500 personnes et jouit d’un budget annuel de plus de 1 milliard de dollars consacré principalement au renforcement de la cybersécurité du Canada, ainsi qu’à l’interception de communications à l’étranger aux fins de renseignement. Depuis 2019, l’organisme est aussi autorisé à mener des « cyberopérations » pour affaiblir ou éliminer les capacités d’un individu, d’un groupe ou d’un État qui cherche à nuire au Canada. La loi interdit au CST de viser des citoyens canadiens ou toute personne se trouvant sur le sol canadien.
…Il lui demande même ouvertement de passer à l’attaque dans le cyberespace. « J’ordonne également que ces fonds servent à renforcer les cyberopérations […] dans le but de faire échec à ces chaînes d’approvisionnement illicites », précise la directive.
Reuters rapporte que Trump aurait signé le décret pour mettre les barrières douanières de 25 % sur toutes les importations d’aluminium et d’acier
Pas d’exception pour le Canada, ni le Mexique
Le hic, c’est que l’emprise qu’exerce le président sur les membres de son administration nuit considérablement aux négociations, selon une source gouvernementale canadienne qui a participé de près aux missions diplomatiques des dernières semaines.
« Il traite son administration de la même façon qu’il traite les autres pays : comme des marionnettes », a constaté cette personne sous le couvert de l’anonymat, n’étant pas autorisée à s’exprimer publiquement sur les tractations en coulisse.
Depuis les années 1940, aucun pays n’a dominé l’industrie sidérurgique mondiale comme le fait la Chine aujourd’hui. Les États-Unis produisaient alors la moitié de l’acier mondial (leur part est tombée à moins de 5 %).
Pendant des années, le secteur chinois de la construction a utilisé d’immenses quantités d’acier, érigeant assez des logements pour les 1,4 milliard d’habitants du pays et même pour 300 millions de locataires inexistants.
La baisse des prix a nui à la sidérurgie américaine, un secteur influent dans des régions électorales clés. Le siège des United Steelworkers est à Pittsburgh, en Pennsylvanie, cœur historique de la sidérurgie américaine, un État qui a pesé lourd dans l’élection de Donald Trump. L’aciériste en difficulté U.S. Steel, jadis symbole de la puissance américaine dans l’acier, a aussi son siège social en Pennsylvanie.
Told ya so
Superbowl out, tariffs on. Techniquement nos répliques ont maintenant moins d’impacts qu’avant hier.
Les élus républicains, même ceux qui pensent que c’est une mauvaise idée, les tarifs – et il y en a beaucoup –, ils ne vont pas prendre la parole publiquement.
Benjamin Bélair, délégué du Québec à Washington
« Une décision totalement injustifiable », a écrit le premier ministre sur X, en soirée lundi. « Le Québec, je le rappelle, est le plus important exportateur d’aluminium vers les États-Unis. Je serai à Washington dès [ce mardi] pour défendre vigoureusement les intérêts du Québec et protéger nos travailleurs », a-t-il ajouté.
L’aluminium est le principal produit d’exportation du Québec vers les États-Unis. La valeur des exportations d’aluminium québécois vers le marché américain a atteint 8,8 milliards de dollars en 2023. Le Québec fournit 64 % de l’aluminium brut utilisé par les entreprises américaines, selon le gouvernement Legault.
Ce mardi, François Legault rencontrera d’ailleurs des représentants de l’Aluminum Association, de Rio Tinto et d’Alcoa. D’autres entretiens sont prévus avec la National Association of Home Builders et Alstom.
Où les États-Unis choisiront-ils de s’approvisionner en aluminium si tous les pays sont visés par ces tarifs ? « C’est le grand mystère », affirme M. Bélair, qui se préparait à l’arrivée du premier ministre au moment de notre appel. « Économiquement, il n’y a aucune rationalité à mettre des tarifs sur l’aluminium », plaide-t-il.
Lundi, à Alma, les cinq députés caquistes du Saguenay–Lac-Saint-Jean ont tenu une rencontre avec une quarantaine d’entrepreneurs de plusieurs secteurs d’activité afin de discuter de l’impact de tarifs douaniers. Plus du tiers de l’aluminium canadien est produit dans cette région et la grande majorité est destinée au marché américain.
Selon la ministre régionale Andrée Laforest, il y a eu un soupir de soulagement à la rencontre lorsque le géant Rio Tinto a confirmé que ses investissements importants – dont celui de plus d’un milliard dans l’arrondissement de Jonquière – n’étaient pas compromis, même si le président Trump met ses menaces à exécution.
« Les sous-traitants au niveau de l’aluminium, ce sont eux qui sont les plus inquiets. Il faut comprendre que si Rio Tinto réagit d’une manière, eux, ils se demandent comment ils vont être impactés. Les gens étaient rassurés par la position de Rio Tinto de continuer les investissements », a affirmé Mme Laforest en entrevue.
Si l’on envisage de se tourner vers d’autres marchés d’exportation, « on ne voit pas comment les États-Unis à court terme pourraient ne plus dépendre de notre aluminium », a-t-elle ajouté.
Ils ne peuvent pas construire des usines demain matin. Et on a ici six usines, six centrales hydroélectriques, c’est l’aluminium le moins cher à produire. On a quand même une bonne force.
Andrée Laforest, ministre responsable de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean
L’administration actuelle ne fonctionne pas comme une administration normale, c’est très déstructuré, les décisions sont prises par quelques personnes sans consulter [le reste de] la Maison-Blanche.
Benjamin Bélair, délégué du Québec à Washington
Lui parle-t-on d’annexion du Canada ? « Personne ne parle du Canada », admet-il sans ambages. « Ce dont les gens parlent, c’est de la Chine. Il y a vraiment une déconnexion entre les priorités sur lesquelles l’ensemble du pouvoir américain travaille puis certaines volontés du président », dit-il.
« Ce travail va être payant dans trois à six mois quand l’administration sera bien constituée […], quand le président va s’être recentré sur certaines priorités », croit M. Bélair qui assure que le réseau du Québec aux États-Unis fait l’envie d’autres provinces comme l’Alberta et l’Ontario.
« Non, tranche Mme Dufour. Ça vient enfreindre toutes les règles. Le principe premier en commerce international, c’est qu’on négocie des tarifs douaniers et on les consolide dans des listes tarifaires qui ont la même force que des traités internationaux », explique-t-elle.
Il ne faudrait quand même pas que l’arrivée au pouvoir de Trump devienne le prétexte pour relancer des projets qui n’ont pas vu le jour pour des raisons très valables.
Ce n’est pas parce que le président américain n’a aucun intérêt pour les questions environnementales qu’il faut ajuster nos préoccupations sur cette question.
La Chambre de commerce du Canada a fait une étude sur les villes les plus à risque des tarifs.
J’ai encadré Montréal en bas à droite, pour plus facilement nous identifier. 12.7% de notre PIB à Montréal dépend des exportations aux USA.
Article de La Presse:
« Le Canada a besoin d’un tsar du fentanyl qui assurera la coordination entre les organismes, agira rapidement pour relever des défis [et] pour résoudre cette crise qui sévit dans nos communautés », a déclaré le ministre de la Sécurité publique, David McGuinty, par voie de communiqué.
Le gouvernement de Justin Trudeau s’est engagé le 3 février dernier à désigner un « tsar du fentanyl ». Cette mesure figure parmi celles qui ont été mises de l’avant par Ottawa afin d’obtenir un sursis d’un mois sur les droits de douane que comptait imposer Washington sur l’ensemble des importations canadiennes.
En vertu de cette entente intervenue in extremis, le Canada dispose de 30 jours pour resserrer le contrôle à la frontière – et ce, même si moins de 1 % du fentanyl qui entre aux États-Unis provient de la frontière au nord, selon les autorités douanières américaines.
Depuis que le gouvernement canadien a annoncé ses nouvelles mesures pour apaiser Donald Trump, celui-ci a signé deux décrets présidentiels pour frapper l’ensemble des pays, y compris le Canada, de tarifs douaniers de 25 % sur l’acier et l’aluminium.
Du côté de Paris, où il participe à un sommet international sur l’intelligence artificielle, le premier ministre Justin Trudeau a signalé que le Canada ripostera si ces surtaxes entrent effectivement en vigueur le 12 mars prochain, tel que le prévoit le duo de décrets (un sur l’acier, et un sur l’aluminium).
En parlant avec les gens [mardi], entre autres du bois et de l’aluminium, on espère essayer de découvrir ce qui est caché dans tout ça.
François Legault, premier ministre du Québec
La Presse rapportait mardi que les élus républicains ont un certain inconfort à parler du Canada depuis l’élection de Donald Trump. Le délégué du Québec à Washington, Benjamin Bélair, affirme que « tout le monde est tétanisé » et qu’à court terme, « personne ne va s’opposer » au président. « Les élus républicains, même ceux qui pensent que c’est une mauvaise idée, les tarifs – et il y en a beaucoup –, ils ne vont pas prendre la parole publiquement », a confié M. Bélair en entrevue.
Je ne comprends pas comment la réplique n’est pas encore annoncé. Je me serais attendu que les scénarios probables aient déjà étés élaborés.
Apparently, as of tonight’s press conference, the USA government wants to slap 50% tariffs on steel and aluminium for Canada and Mexico.
La nouvelle salve tarifaire du président américain ne passe pas pour François Legault, qui a qualifié de « ridicule » la stratégie du nouvel occupant de la Maison-Blanche d’imposer des tarifs de 25 % sur l’aluminium et l’acier malgré le sursis accordé la semaine dernière. Or, le droit de douane de 25 % sur les produits canadiens pourrait s’ajouter à ceux en vigueur sur ces métaux ce qui porterait le total à 50 %.
« On ne peut pas continuer à avoir […] de nouvelles menaces chaque semaine », a pesté M. Legault lors d’une mêlée de presse organisée avec ses vis-à-vis des provinces. François Legault participe mercredi à une mission spéciale du Conseil de la fédération à Washington.
« Je pense qu’il ne faut rien exclure, même pas exclure de mettre des tarifs à l’exportation. J’ai proposé ça à mes collègues. On va regarder ça comme un scénario », a dévoilé le premier ministre. La veille, il affirmait pour une première fois que le Québec pourrait envoyer son aluminium en Europe plutôt qu’aux États-Unis.
Mais, Ottawa n’est pas prêt à brandir les contre-tarifs. « Les Américains sont dépendants de l’aluminium du Canada. Mais, nous, on espère utiliser les semaines devant nous pour éviter les tarifs douaniers américains », a-t-il précisé. Dominic LeBlanc est à Washington notamment pour rencontrer le secrétaire au Commerce américain, Howard Lutnick.
Selon le ministre fédéral, il « n’est pas réaliste » de rouvrir l’accord de libre-échange avec les États-Unis, comme le demande François Legault, avant le 1er avril. « M. Trump a donné le mandat à M. Lutnick de réviser ses échanges commerciaux […] avec comme date butoir le 1er avril. [Ce travail] donnera probablement la première piste vers cette discussion [de renégociation] », a nuancé M. Leblanc.
PHOTO BEN CURTIS, LA PRESSE CANADIENNE
Le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford
(Washington) Revirement de dernière minute dans la capitale américaine. François Legault et ses homologues des provinces ont été invités à la Maison-Blanche pour rencontrer des conseillers du président américain.
Publié à 14 h 00 Mis à jour à 18 h 04
Envoyée spéciale
Fanny Lévesque La Presse
Le Conseil de la fédération a confirmé l’information qui avait d’abord fuité au réseau CTV. « Les premiers ministres des provinces et territoires ont été invités à la Maison-Blanche pour une réunion avec les principaux conseillers du président des États-Unis. En raison de cette réunion, tous les autres engagements ont été annulés cet après-midi », a écrit l’organisation en début d’après-midi.
PHOTO BEN CURTIS, ASSOCIATED PRESS
François Legault devant ses homologues provinciaux
Les médias n’ont eu aucun accès à l’entretien ni à une prise d’image traditionnelle. Le Conseil de la fédération n’était même pas en mesure de préciser qui seront les conseillers que les premiers ministres allaient rencontrer.
Au sortir de la réunion, Doug Ford, qui est aussi président du Conseil de la fédération, a expliqué qu’il s’agissait d’une rencontre de « dernière minute ». L’entretien a duré environ une heure en compagnie de « quelques conseillers » du président, a-t-il indiqué, visiblement satisfait. « Ils ont été très généreux », a précisé M. Ford, ajoutant que cela témoigne de la bonne relation entre le Canada et les États-Unis.
François Legault a brièvement ajouté qu’il estime que la rencontre a permis d’établir des pistes de solutions pour faire avancer leurs intérêts des deux parties.
Le premier ministre doit s’adresser à nouveau aux journalistes en fin de journée, mercredi.
Un peu plut tôt mercredi, le premier ministre de l’Ontario affirmait que Donald Trump « sait » que les premiers ministres effectuent une mission spéciale Washington pour le dissuader à imposer des tarifs douaniers sur les produits canadiens.
« Ne faites pas erreur. Le président sait que nous sommes ici. Il sait que nous sommes préoccupés. Il sait que nous travaillons de notre côté, que ce soit auprès des républicains et des démocrates. Nous voulons avancer et éviter les tarifs », a-t-il lancé en mêlée de presse.
François Legault a participé mercredi matin à une rencontre avec le représentant républicain au Congrès et président d’un comité sur le commerce, Adrian Smith. Les premiers ministres devaient prendre part à un dîner organisé par le Conseil canadien des affaires américano-canadiennes.
L’accès à ces rencontres est fermé aux médias.
Le premier ministre doit également participer à une table éditoriale avec le magazine Politico à Washington avant de rentrer au Québec.
Autant le Federal que le Provincial plient l’échine en ne répondant pas aux tarifs. Moi qui croyais qu’ils avaient une détermination, mais on dirait qu’ils ne savent que menacer sans mordre.
Ils essaient de jouer à la diplomatie avec un Président, donc une administration, donc un gouvernement qui, très explicitement, ne respecte pas la diplomatie, point-barre.
Ils ne se rendent pas compte que les règles du jeu ont changé.