Ou le service de train de banlieue avec l’ARTM qui pense le couper par manque de fond pour économiser entre 15 et 20 millions par ans Mais un pont a 8 milliards (mais certainement + de 15) avec l’entretien que ça demande ça aucun problème parce que c’est pas Montréal
Le segment d’Infoman sur le 3e lien est excellent! C’est au début de l’émission
Saint-Simeon @ Rivieres du loup c’est une distance de 27 km oublie ca tout de suite.
C’était évidement du sarcasme de sa part. Au Québec, on peut oublier ça, mais ailleurs, des ponts-tunnels plus long que ça, on en a construit suffisamment qu’il n’y a plus vraiment rien d’innabituel à construire des structures de cet ordre de grandeur.
D’ailleurs, au Canada, une part importante de la population se concentre dans seulement quelques métropole. Il va falloir sérieusement penser à mettre à jour les infrastructures de transport pour permettre à nos régions de se développer et diminuer la pression sur nos grandes villes.
le maire de Lévis n’est pas content!
Au Téléjournal de Québec
3e lien : « Celui qui le défend énergiquement, c’est Duhaime », tonne Lehouillier
Le maire de Lévis demande au caucus de la Coalition avenir Québec (CAQ) dans la région de Québec d’appuyer plus vigoureusement un troisième lien autoroutier, allant jusqu’à dire que le parti conservateur du Québec est le seul à défendre « énergiquement » le projet.
Olivier Lemieux explique en détails.
Pour plus de détails, consultez notre article web : 3e lien : « Celui qui le défend énergiquement, c’est Duhaime », tonne Lehouillier | Tout sur le 3e lien Québec-Lévis | Radio-Canada
Les finances du Québec sont dans le rouge écarlate avec un déficit abyssal. Donc seuls des irresponsables ou ceux qui n’ont rien à perdre sur le plan politique, favorisent le 3è lien, une dépense somptueuse et inutile tandis qu’on ne réussit même plus à entretenir convenablement nos infrastructures déjà vieillissantes. À un moment donné il faut revenir sur terre et vivre selon nos moyens, sinon ce sont les générations montantes qui écoperont injustement de notre mauvaise gestion des biens publics.
21 octobre 2024
Le gouvernement Legault met fin au «partage imposé» de la taxe sur l‘immatriculation des Lévisiens, dont la moitié est pour l’instant versée au RTC. Dès 2025, elle sera entièrement rapatriée à la Société de transport de Lévis.
Sur le instagram de la firme d’architecture Quinzhee:
Projet de densification des abords du centre Vidéotron et du Grand marché.
Plusieurs bonnes intentions, mais quelques lacunes urbaines majeures.
J’imagine que c’est seulement préliminaire.
Résumé
L’Assemblée nationale ne reconnait pas la pertinence du troisième lien
Par Simon Carmichael, Le Soleil
23 octobre 2024 à 14h47|
Mis à jour le23 octobre 2024 à 15h45
1
La motion de la CAQ sur le besoin d’un troisième lien entre Québec et Lévis n’a pas trouvé écho chez les partis d’opposition représentés à l’Assemblée nationale. (Jocelyn Riendeau/Archives Le Soleil)
Contrairement à lorsqu‘il est question du tramway de Québec, l’Assemblée nationale ne parle pas d‘une seule et même voix lorsqu’il est question du troisième lien.
L’Assemblée a rejeté une motion caquiste visant à reconnaître le besoin d’un nouveau lien autoroutier entre Québec et Lévis, mercredi.
La démarche, initiée par la députée de Bellechasse Stéphanie Lachance, visait à ce que les élus parlent d’une seule voix pour «réitérer la pertinence et l’importance de la construction d’un nouveau lien interrives, […] notamment afin de prendre action sur l’enjeu de la sécurité économique et afin d’améliorer la mobilité».
Elle rappelait du même coup «le lancement d’un appel d’intérêt international pour la construction d’un nouveau lien interrives entre la Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches».
Mais la motion ne n‘est jamais rendue à l‘étape du vote, faute d’un appui unanime.
Puisqu‘elle a présenté sa motion «sans préavis», la députée caquiste devait obtenir l‘aval de tous les partis de l’Assemblée nationale pour en débattre.
L‘opposition officielle, le Parti libéral du Québec, a coupé court au suspense en rejetant d’emblée de consentir au dépôt du document présenté par la députée Lachance.
Le parti explique avoir pris cette décision puisque «la ministre Guilbault et la CAQ ont perdu toute crédibilité dans ce dossier». «Consentir aurait signifié que nous leur faisons confiance pour ce projet, ce qui n’est plus envisageable», écrit-il.
Tout indique que Québec solidaire et le Parti québécois auraient aussi refusé de consentir à la reconnaissance de la pertinence et de l‘importance d’un troisième lien, s‘ils en avaient eu l’occasion.
La CAQ «seul parti» pour le lien interrives
Stéphanie Lachance dit ne pas être surprise du refus de ses collègues des autres formations politiques représentées à l’Assemblée nationale.
Pourtant, celle-ci était «très nuancée, très neutre et basée sur des faits». Mais elle ne s’en désole pas pour autant.
La députée de Bellechasse brandit le résultat de sa démarche comme «une autre preuve que seule la CAQ travaille réellement pour les intérêts de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches».
«Clairement, ils n‘entendent pas le besoin des communautés autour de Québec. Pour moi, c’était important de réitérer l‘appui du gouvernement au projet, de dire “on est là, on vous a entendus”».
La députée caquiste de Bellechasse, Stéphanie Lachance (Edouard Plante-Fréchette/Archives La Presse)
«Parce qu‘il n’y a pas une journée où on ne m‘en reparle pas!» a insisté l’élue de Bellechasse, région où le projet obtient un appui écrasant.
Un sondage SOM-Le Soleil datant du mois de juin dernier fait état d’un appui au troisième lien de 87 % sur la Rive-Sud.
L’Assemblée pour le tramway
Ce refus par les oppositions d‘entériner le texte caquiste défendant le besoin du troisième lien contraste avec le destin de plusieurs autres motions présentées dans les derniers mois, en défense du projet de tramway de Québec.
Le 3 octobre dernier, par exemple, l’Assemblée nationale se prononçait unanimement en faveur du plan de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), sous l‘initiative de Québec solidaire.
À lire aussi
L’Assemblée nationale dit (encore) oui au tramway
Les élus avaient fait la même chose en septembre 2023, alors que la Ville de Québec pilotait le dossier du tramway, quelques mois avant que le gouvernement ne le lui retire.
Depuis 2018, l’Assemblée nationale n’a pas adopté de motion défendant le projet de troisième lien entre Québec et Lévis.
Les motions, avec ou sans préavis, sont monnaie courante à l’Assemblée nationale.
Pratiquement tous les jours de travaux parlementaires, sur une foule de sujets, gouvernement et oppositions négocient pour trouver un terrain d‘entente permettant de parler d’une même voix.
Bien souvent, il s‘agit surtout d’un outil politique pour forcer les autres partis à prendre position publiquement.
L’appel d’intérêt en question sur SEAO
MTMD-2024-NLI / 20023650
Nouveau lien interrives - MTMD-2024-NLI
Avis d’appel d’intérêt - Ouvrages de génie civil
Ministère des Transports et de la Mobilité durable (Direction de l’administration des appels d’offres publics) 2024-10-11 10
Avis d’appel d’intérêt
Sondage de marché pour le projet de nouveau lien interrives
Par cet appel d’intérêt à portée internationale, le ministère des Transports et de la Mobilité durable (le Ministère) sollicite les entreprises dans le but qu’elles lui fassent connaître leur intérêt pour le projet et leurs expertises afin de tenir compte de l’état actuel du marché, de sa vision et de ses préoccupations. Le projet consiste en l’implantation d’un nouveau lien routier permettant le transport lourd des biens et des marchandises sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Québec entre les deux rives du fleuve Saint-Laurent.
Le Ministère souhaite s’assurer que les soumissionnaires potentiels contribuent de façon constructive à l’élaboration et à l’amélioration du projet. Il souhaite favoriser les échanges avec eux de façon à recueillir un maximum d’information en vue de préparer un éventuel appel d’offres. Il cible notamment les entreprises privées de génie-conseil, de construction et d’investissement ayant la capacité de réaliser le projet.
En manifestant leur intérêt, ces entreprises sont aussi invitées à exposer leur point de vue sur certains aspects du mode de réalisation collaboratif préconisé, notamment la structure commerciale, la répartition des risques et des responsabilités, les modalités de rémunération ainsi que l’échéancier de planification.
Cet appel d’intérêt s’inscrit en amont du processus d’acquisition et constitue une étape préparatoire à un éventuel appel d’offres public menant à la conclusion d’un contrat pour la réalisation du projet selon un mode collaboratif. Il ne constitue pas un appel d’offres à régime de concurrence et il contient de l’information provisoire dans le but notamment de mesurer l’intérêt et l’expertise des entreprises et de favoriser les échanges entre le Ministère et celles qui pourraient être intéressées.
Une réponse au présent appel d’intérêt doit comporter chacun des éléments énumérés au document d’appel d’intérêt et être transmise par courriel au représentant du Ministère avant l’heure et la date et limite fixées pour la réception des réponses figurant au présent avis d’appel d’intérêt.
Très bonne vidéo avec un survol assez complet de la zone urbaine de Québec. Les commentaires sont pertinents et donnent une appréciation juste des réalités propres à cette ville unique en son genre. En fait il y aurait tellement à raconter notamment à propos des nombreux grands parcs urbains (chacun ayant une personnalité forte), la rivière St-Charles, les nombreux escaliers qui sont un défi en soi, des falaises qui sont de véritables parcs linéaires avec une biodiversité étonnante, le nouveau réseau cyclable etc etc.
Oui, la chaîne compte faire une série de vidéos sur Québec. À suivre.
Mise en valeur du Parc de la Chute-Montmorency par Daoust Lestage Lizotte Stecker - Un projet qui valorise l’histoire et facilite l’accès
« La ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Isabelle Charest, le ministre responsable des Infrastructures et de la région de la Capitale-Nationale, Jonatan Julien, le président-directeur général de la Sépaq, Martin Soucy, et le député de Montmorency, Jean-François Simard, ont présenté aujourd’hui les détails du projet de réaménagement et de mise en valeur du Parc de la Chute-Montmorency.
Les travaux, estimés à 19,8 millions $ et prévus principalement dans le secteur du haut de la chute, incluront la création de jardins anglais, le déplacement du stationnement et de l’entrée des visiteurs pour améliorer la fluidité de l’accès et la mise à niveau de certains sentiers. Le Parc de la Chute-Montmorency demeurera ouvert pendant la durée des travaux, qui débuteront dès cet automne et se termineront à l’été 2026. »
À Lévis
Résumé
Port de Québec: des citoyens prêts pour un «nouvel air»
Par Émilie Pelletier, Le Soleil
9 novembre 2024 à 04h15
Le Port de Québec a annoncé cette semaine qu’après presque 14 ans à sa barre, le président-directeur général Mario Girard a accepté une nomination à titre de délégué général du Québec à Tokyo. (Archives Le Soleil, Patrice Laroche)Alors que le maire Bruno Marchand salue la contribution de Mario Girard à la tête du Port de Québec, certains citoyens et élus critiques de sa gestion des dernières années se prennent à rêver d’une «nouvelle ère». Et peut-être même d’un nouvel air.
À la Table citoyenne Littoral Est, la nouvelle a été accueillie avec «soulagement», souffle au bout du fil le porte-parole Daniel Guay.
Le Port de Québec a annoncé cette semaine qu’après presque 14 ans à sa barre, le président-directeur général Mario Girard a accepté une nomination à titre de délégué général du Québec à Tokyo.
Un mandat marqué par plusieurs luttes citoyennes, notamment pour la qualité de l’air et un développement portuaire «respectueux» de l’environnement.
«On s’attend à ce que la bataille se poursuive, mais on espère que c’est la fin d’une ère», partage en entrevue Daniel Guay, au nom du regroupement citoyen.
De Beauport 2020 en passant par Laurentia pour aboutir à la plus récente proposition de QSL de faire atterrir un terminal de conteneurs dans le secteur de la baie de Beauport, le groupe militant dresse un bilan peu reluisant du PDG du port de Québec.
«Pour la congestion routière, la pollution de l’air, rien n’a changé», déplore Daniel Guay, engagé de longue date pour faire valoir sa vision du secteur est de Québec.
Dans une lettre acheminée au début novembre au maire de Québec et à plusieurs ministres fédéraux, dont Le Soleil a obtenu copie, la Table citoyenne Littoral Est défend qu’un projet d’agrandissement tel que proposé par QSL «ne doit jamais voir le jour».
Le Port de Québec a annoncé cette semaine qu’après presque 14 ans à sa barre, le président-directeur général Mario Girard a accepté une nomination à titre de délégué général du Québec à Tokyo. (Frederic Matte/Archives Le Soleil)Une vision «qui ne passera plus»
«Depuis longtemps», l’administration portuaire est axée sur le développement économique, observe à son tour Jackie Smith, cheffe du parti municipal Transition Québec.
Une direction comme celle de Mario Girard, ça n’a pas passé et ça ne passera plus.» - Sol Zanetti
— Sol Zanetti, député solidaire de Jean-Lesage
Dans une «vision de développement maximaliste», qualifie l’élu provincial, «tous les projets possibles d’expansion au détriment de la biodiversité et de la qualité de l’air ont été proposés et ont, heureusement, échoué».Avec Mario Girard à sa tête, «le Port a été un pollueur», accuse pour sa part le député solidaire de Jean-Lesage, Sol Zanetti. Attentes élevées
Le remplacement de Mario Girard laisse planer un vent de renouveau. Et les attentes envers quiconque le remplacera sont élevées.
«Écoute», «ouverture», «transparence», «respect de la qualité de vie»: autant de valeurs que les défenseurs espèrent retrouver chez un nouveau président-directeur général du Port de Québec.
«Avec les changements climatiques, les activités portuaires vont nécessairement changer, alors il faut quelqu’un d’un peu plus ancré dans les défis auxquels on va être confrontés», demande l’élue municipale de Limoilou, Jackie Smith.
«Ça prend un changement de paradigme. C’est le temps qu’on se tourne vers l’avenir.»
— Jackie Smith, élue municipale de Limoilou
«Je le souhaite et je le demande: il va falloir que la prochaine direction rencontre les citoyens et les élus locaux. Je ne veux pas d’un PDG qui va servir uniquement les intérêts des multinationales, mais qui sera soucieux de servir les intérêts des gens de Québec», réclame le député de Québec solidaire, qui verrait d’un «œil plus favorable» une candidature venant de l’extérieur de l’organisation.
Les citoyens voient dans ce changement de garde à la direction une «opportunité» à saisir. La Table citoyenne Littoral Est exige notamment la fin du développement portuaire en milieu urbain.
«C’est assez, on en a marre! L’institution a l’occasion de se moderniser et de mieux s’intégrer dans son milieu. Il faut que l’ambition soit respectueuse de la qualité de vie des gens qui subissent les pressions autour», plaide Daniel Guay.
Le député de QS Sol Zanetti (Frédéric Matte/Archives Le Soleil)
Marchand veut «poursuivre» le travail
Si certains pourfendent le bilan de Mario Girard comme PDG du Port de Québec, tous ne sont pas aussi critiques.
Dans une réaction écrite sur le réseau social LinkedIn, le maire Bruno Marchand a salué son implication pour avoir fait de Québec «une plaque tournante dans le monde maritime international» et avoir «grandement bonifié son lien avec la communauté».
«Évidemment, il reste du travail à faire et on peut penser notamment aux travaux entrepris à propos de la circulation ou de la qualité de l’air, admet le maire Marchand. Mario a collaboré avec ouverture et engagement et nous poursuivrons avec détermination le travail avec son ou sa successeur.e et l’équipe du Port», s’engage-t-il.
Au cœur de sa Vision 2035, le Port de Québec poursuit l’objectif d’être reconnu par les citoyens «pour sa gestion responsable du territoire, le respect de l’environnement et la protection de la biodiversité».
Le moment de la nomination de la personne qui succédera à Mario Girard n’a pas été annoncé.